Sandra, Esclave De Son Patron - 01

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Une secrétaire vit une véritable descente aux enfers.
3.2k mots
4.08
46.5k
7
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 02/26/2021
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Chapitre 1 -- Début du chantage

Sandra, jolie blonde de 37 ans, 1m63, des yeux bleus magnifiques, un corps de rêve, une bouche en forme de cœur, une poitrine oscillant entre le C et le D, épouse d'un policier en maladie longue durée, ayant 2 enfants de 14 et 12 ans, est assise la tête basse et les larmes aux yeux.

Comment a-t-elle pu en arriver là? Que va-t-elle faire? Que va-t-il se passer? Son patron, Roger, l'a surprise en train de détourner de l'argent. Elle travaille pourtant pour lui et sa société depuis plus de six ans.

Mais, depuis l'arrêt pour cause de soucis de santé de son mari et une baisse conséquente des revenus du couple, il y avait trop de factures impayées...

Un mercredi, il vient de la convoquer dans son bureau et là, devant elle, toutes les preuves sont étalées. Elle a détourné une somme conséquente. Son boss l'informe immédiatement qu'il va déposer plainte et qu'elle ira en prison.

Sans compter l'opprobre jeté sur sa famille et, surtout, ses enfants adorés.

- Tu ne mérites pas que je te donne une nouvelle chance, assène-t-il d'un regard froid.

Toujours en pleurs, elle lui répond qu'elle fera n'importe quoi.

Son chef sait qu'il a tous les atouts en main, surtout s'il joue bien ses cartes.

- Tout? Ce n'est qu'une vague promesse. Je me dois d'appeler la police...

- Tout, Monsieur, tout! Je vous le promets!

Roger s'est alors mis à écrire sur son PC et, après quelques minutes, lui a remis un document, lui disant de le lire et de le signer. Il s'agit pour elle de reconnaître qu'elle a détourné volontairement des milliers d'euros, mais qu'elle est prête à les rembourser en services rendus sur deux ans.

- Si tu refuses de reconnaître ton larcin, ce sera une plainte en bonne et due forme et... la prison!

Sandra lui demande simplement ce que signifie les mots « services rendus ».

- Tu feras tout, absolument TOUT ce que je t'ordonne, sans poser de questions.

Elle sait qu'elle n'a pas vraiment le choix, si elle veut garder sa famille et éviter le déshonneur à ses enfants. Elle signe donc la lettre et la remet à son boss.

- Parfait, ma chère! Tu es maintenant à moi! Les choses vont beaucoup changer dans ta vie professionnelle et personnelle, crois-moi! Tu vas téléphoner maintenant à cet hôtel, réserver une chambre pour treize heure et m'appeler dès que tu y seras. Voici de l'argent liquide --sur ce, il lui tend une enveloppe-, ce qui t'évitera d'utiliser ta carte bancaire.

La secrétaire ne peut se concentrer le reste de la matinée. Peu avant l'heure fixée, elle se rend à l'hôtel en question, réserve une chambre et une fois installée, appelle son tourmenteur. Ce dernier lui ordonne de se mettre nue et d'attendre. Lorsqu'il frappera à la porte, elle devra lui ouvrir, sans dire un mot.

Elle s'est déshabillée, en espérant que tout serait bientôt fini. Elle n'a jamais trompé son mari. Elle attend, nue, gênée et en larmes. Bientôt, on frappe à la porte. Elle entrouvre celle-ci, pour s'assurer que c'est bien son chef.

Celui-ci ouvre la porte de la chambre en grand. Sandra est effrayée et tente de la refermer. Une paire de gifles s'abat sur ses joues.

- T'ai-je demandé de la refermer?

- Non... Monsieur...

- J'ai envie que des gens te voient nue. Tu y es opposée?

- Non... Monsieur...

Elle est horrifiée à cette idée, mais reste plantée là, sans savoir quoi faire.

- Tu peux refermer la porte maintenant, lui enjoint-il.

Une fois qu'elle se retourne vers lui, elle réalise alors et seulement qu'il regarde son corps. Elle recouvre rapidement son sexe et sa poitrine avec ses mains. Une fois de plus, son patron lui hurle dessus en lui disant de ne plus JAMAIS se couvrir sans permission. Désormais, elle ne devra rien faire sans son accord.

Roger lui intime de se mettre à genoux et de lui sucer la queue. Il a déjà sorti sa bite. Sandra remarque qu'elle est plus grosse que celle de son mari. En s'agenouillant, elle espère que c'est tout ce qu'elle aura à faire. Elle a déjà sucé son époux auparavant, mais n'aime pas vraiment le faire. Elle commence à s'activer sur la pine, toujours quelque peu étonnée par la taille de celle-ci. Ses efforts contraints sont « récompensés » par une gifle à l'arrière de la tête et sur chacune de ses joues.

- Suce mieux! Et vite!

Ce disant, il lui enfourne sa pine dans la gorge, tout en tenant son visage. Elle s'étouffe d'abord, mais se repositionne et le pompe. Elle s'escrime longtemps sur le chibre, priant intérieurement pour que cela s'arrête bientôt.

Roger lui fait bouger la tête de haut en bas sur son manche et puis explose au fond de sa gorge. Il la maintient en place jusqu'à ce qu'elle ait tout avalé :

- Tu as intérêt à faire mieux la prochaine fois ou tu seras punie! Je veux que tu sois une suceuse hors pair! Tu as bien enregistré? Ton boulot maintenant, c'est d'être ma salope! Me suis-je bien fait comprendre?

- Oui... Monsieur...

Sandra pense que son calvaire du jour est fini, mais son boss lui ordonne d'aller s'allonger sur le lit. Ce qu'elle fait pendant qu'il se déshabille. Nu, il la rejoint et commence à lui tâter la poitrine, avant de se diriger vers sa chatte. Ses mamelons, tendus, réagissent au froid. Ce qui l'embarrasse encore plus. Lorsqu'il arrive à son vagin, il triture son clitoris. Elle tente de le repousser et ramasse en retour une paire de gifles : non seulement elle ne doit plus JAMAIS prendre une quelconque distance vis-à-vis de lui, mais en outre, elle doit le supplier de jouer avec son bouton d'amour. Et de le dire plus fort. Il lui fait répéter cette phrase plusieurs fois, jusqu'à ce qu'elle se soumette à ses désirs.

Alors, il lui enfonce un doigt.

Roger rampe ensuite sur la secrétaire, avant de la pénétrer profondément avec sa queue. Sandra est humiliée, mais elle sait qu'elle doit lui laisser faire ce qu'il veut. Prenant la pilule, elle ne s'inquiète pas de tomber enceinte. C'est déjà cela. Elle s'est juste allongée et le laisse la baiser.

Après avoir éjaculé en elle, il se lève et se nettoie. Sa subalterne, par contre, reste étendue dans les draps, embarrassée par ce qu'elle vient de faire et ce qu'elle va probablement continuer à subir. Son supérieur lui a dit alors qu'elle peut aller s'habiller et retourner au travail.

Peu après son retour à la société, son boss l'appelle et lui donne l'injonction de ne porter à l'avenir que les mini-jupes et des chemisiers déboutonnés, afin que chacun au travail puisse observer l'échancrure de sa poitrine. Tout sous-vêtement -- culotte ou soutien-gorge- lui est désormais interdit. Le plus souvent possible, elle devra porter des cuissardes et des bas-nylon, ainsi qu'avoir son sexe perpétuellement rasé, afin de « favoriser le plaisir des hommes ».

- De même, comme réponse à chacune de mes questions -- y compris devant d'autres personnes- en matière sexuelle, tu diras « oui » en répétant mot à mot l'interrogation posée.

Dès le lendemain, Sandra vient travailler dans la tenue demandée et le sexe imberbe. Ses vêtements sexy ne manquent pas d'entraîner quelques regards salaces de la part de ses collègues masculins.

Pendant quinze jours, elle doit montrer chaque matin à son patron, en soulevant sa mini-jupe, qu'elle est rasée de près, aucun poil pubien n'étant toléré.

De temps en temps, il la prend sur son bureau ou debout, les mains sur la photocopieuse. Elle doit aussi se masturber devant lui jusqu'à l'orgasme.

Elle ne doit pas non plus nettoyer les jus qu'elle a créés, ni le sperme coulant sur ses jambes. Sandra se sent avilie à plusieurs reprises. Son moral est brisé depuis qu'elle a réalisé qu'était n'est plus, comme Roger aime à lui répéter, un four à bite(s). Malgré tout, elle arrive encore plus ou moins à se concentrer sur son travail et non sur son sordide sort.

Mais tous les jours, elle vérifie si ses poils pubiens sont parfaitement épilés, comme il lui a ordonné. C'est vraiment bizarre pour elle d'être perpétuellement imberbe. Elle a simplement expliqué à son mari que c'était pour lui plaire.

Chaque matin, elle se lève plus tôt, préparant discrètement une autre tenue glissée dans le coffre de sa voiture pour pouvoir se changer avant d'arriver au boulot, troquant ses vêtements de départ, plutôt sages, contre des habits plus sexy. Elle ne veut pas que son mari la voit portant des cuissardes, des mini-jupes, des chemisiers et, surtout, aucun sous-vêtement.

Et chaque mercredi, peu avant midi, Roger appelle Sandra en lui disant de le retrouver dans la chambre d'hôtel. Elle a peu à peu accepté d'être son sextoy. Elle essaie de se convaincre que c'est un petit prix à payer pour sa famille et sa liberté.

La routine s'égrène : chaque soir, avant de rentrer chez elle, elle change de tenue et enfile des sous-vêtements, avant d'aller chercher les enfants à l'école.

Les soirées s'avèrent relativement normales avec le dîner et la télévision. Elle est soulagée de retrouver son quotidien de mère et d'épouse durant ce temps éphémère.

Au fil des semaines, elle s'améliore aussi dans l'art de la fellation. Elle obéit maintenant plus rapidement, tout en ne manquant pas, comme il l'exige, de remercier systématiquement son boss de l'avoir « si bien baisée ».

Sandra se demande souvent si ce qu'elle va devoir accepter pendant les deux années à venir.

Chapitre 2 -- Début des voyages à l'étranger

Lorsque qu'elle arrive un jeudi matin au siège de la société, Roger lui annonce soudain qu'elle a été promue et son salaire augmenté. Officiellement, elle devient sa secrétaire particulière, ce qui implique de nouvelles obligations, notamment de partir en voyage de temps à autre.

Elle doit simplement annoncer à son mari qu'elle va leur apporter plus de rentrées financières mais qu'en contrepartie elle devra voyager de temps à autre.

Elle sait de toute façon qu'elle n'a aucun choix en la matière.

Le lendemain, plusieurs de ses collègues la félicitent pour sa promotion, même si la plupart se s'en soucient guère.

Roger lui a également annoncé qu'elle devait réserver son prochain week-end pour un voyage professionnel de trois jours à Paris. Le soir même, elle prépare sa famille à cette nouvelle. Tous semblent heureux pour elle.

Son chef lui impose aussi une nouvelle règle : elle ne devra plus jamais croisé les jambes, afin que ses collègues masculins découvrent qu'elle est « une salope ».

Il lui a rappelé qu'elle lui appartenait, qu'elle était désormais son esclave.

Elle ne l'a plus vu du reste de la semaine.

Chapitre 3 -- Début de l'esclavage

Arrivée à Paris, elle se rend compte qu'une seule chambre a été réservée par son patron. Le soir, avant d'aller au restaurant, il lui ordonne d'ouvrir trois boutons de son chemisier. Revenus dans la chambre d'hôtel, il la contraint à se mettre à quatre pattes sur le lit, sortant un énorme gode noir. Tandis qu'il la fourrage avec ce sextoy, il lui demande d'appeler son mari. Sandra essaie de faire de son mieux pour parler normalement son époux durant le long appel téléphonique.

Pendant les heures qui suivent, elle est utilisée comme une poupée gonflable. Elle doit également conserver désormais perpétuellement ce gode d'ébène dans son sac à main, et ce, « afin de soulager de temps à autre ses instincts lubriques ».

Le lendemain matin, il doit rester nue devant la fenêtre pendant une quinzaine de minutes. Elle se sent particulièrement gênée. Roger lui annonce ensuite qu'ils vont aller faire du shopping pour qu'elle porte des plus adaptés à sa nouvelle condition, « de petite chienne personnelle du patron ».

Avant de se rendre au centre commercial, elle doit laisser le gode bien en évidence sur sa table de nuit, celui-ci étant muni d'un pied avec une ventouse. Elle doit aussi demeurer sans aucun vêtement, même pendant le service de nettoyage de la chambre. Sandra est mortifiée.

La technicienne de surface change les draps sans dire un mot. L'après-midi, Roger l'emmène faire les boutiques et lui achète des mini-jupes très courtes avant de l'inviter à entrer dans un magasin de chaussures.

Tandis qu'il lui fait essayer plusieurs paires de hauts talons, le vendeur ne manque pas d'observer sa chatte imberbe. En sortant, le patron de Sandra lui fait remarquer qu'ainsi désormais habillée avec de telles mini-jupes et chaussée de tels hauts talons, elle devra « faire chalouper son cul, afin que tous les hommes sachent qu'elle est à prendre! ».

Le soir même, son boss la contraint à le baiser, à califourchon, tandis qu'elle appelle son mari, tout en recevant de violentes claques sur des fesses afin de la « motiver à bien bouger ». Il lui enfonce un doigt dans l'anus :

- Tu aimes avoir un doigt dans le cul, salope?

- Oui, Monsieur, j'aime avoir un doigt dans le cul.

Ils se rendent ensuite au restaurant de l'hôtel. La mini-jupe est si courte qu'elle découvre le porte-jarretelle et les bas autoportants, tout en dévoilant largement le haut des cuisses.

La soirée se termine dans un bar. Après lui avoir donné un préservatif, Roger ordonne à Sandra d'aller lever un mec et de l'inviter à aller aux toilettes. Elle a quinze minutes pour lui rapporter le condom rempli de sperme. La secrétaire particulière croit s'évanouir.

Après treize minutes, elle revient toutefois avec celui-ci, comme demandé, après avoir dû sucer comme une forcenée --avec toute la technique désormais acquise- un type qu'elle ne connait même pas, afin de respecter le timing prévu.

Jamais elle n'a été autant humiliée.

Le matin suivant, après avoir été brutalement baisée par son patron, elle est de nouveau contrainte de se mettre à quatre pattes. Roger, après avoir utilisé du lubrifiant, lui enfonce le gode noir dans le sexe et un plug anal -plus petit- dans son cul, en lui intimant de ne jamais perdre ceux-ci avant de l'obliger ensuite à porter une mini-jupe sans culotte.

En descendant vers le restaurant de l'hôtel pour aller prendre le petit déjeuner avec son chef, elle se rend compte que le plug anal, lui aussi de couleur ébène et qu'elle doit également mettre dans son sac à main, est en train de glisser. Ne voulant pas que quelqu'un s'en aperçoive, elle est contrainte de se l'enfoncer plus profondément encore. Cela lui fait un mal de chien, mais c'est mieux que d'être vue avec un gode noir qui dépasse de son anus et, surtout, de sa mini-jupe.

Arrivé dans la salle de restauration, il l'oblige à s'asseoir à la table du restaurant.

Elle est totalement remplie.

De retour à la chambre, son boss lui enlève le gode anal avant de s'introduire dans sa petite porte.

- Tu aimes avoir une bite dans le cul, salope?

- Oui... Monsieur, j'aime avoir une bite dans le cul.

- Tu en as déjà eu une?

- Non... Monsieur...

- Tu aimes?

- Oui... Monsieur...

- Tant mieux, car ton trou du cul va bientôt être visité de nombreuses queues!

Après avoir éjaculé dans le fondement, son patron invite Sandra à aller se doucher. La fin du séjour se déroule sans plus aucune demande salace de Roger.

Chapitre 4 -- Début de la formation de salope

Le mardi suivant le retour de Paris, elle se retrouve dans la même chambre d'hôtel que celle habituellement réservée le mercredi. Son chef souhaite en effet désormais qu'elle ait un « sparring-partner », ou plutôt « un fucking-partner » afin « d'augmenter ses capacités à bien baiser ».

Respectant à la lettre les consignes de Roger, elle fait face à une caméra installée dans la chambre. Sur le lit, un black musclé, portant un masque, est allongé. La secrétaire s'approche de lui, de côté, toujours devant le caméscope et récite le texte que lui a imposé son boss pervers :

- Bonjour! Je m'appelle Sandra et je travaille comme secrétaire dans une entreprise de production. Il s'agit de l'un de mes collègues que j'aime beaucoup. Je suis une salope et j'aimerais vous initier à l'art de sucer une bite.

Tout en enfournant le sexe énorme entre ses lèvres, elle poursuit, en sortant de temps à autre la queue de sa cavité buccale, son discours : - Il convient d'abord de bien lécher le gland, la hampe et les couilles. Se faisant, elle termine par un : - Evidemment, comme on ne peut pas parler la bouche pleine, je vais me contenter de vous faire une démonstration pratique, dont la conclusion doit toujours se terminer par un avalage de sperme et un bon nettoyage de la pine qui vient d'être sucée.

Accueillant la semence dans sa gorge et retirant la bite de sa gorge, elle continue son monologue, tout en commençant à branler lentement le sexe qui vient d'éjaculer. Après cinq minutes d'efforts, celui-ci est à nouveau bien dur et l'assistante de reprendre ses explications :

- Il est important maintenant de vous montrer comment on bouge et ondule sur une grosse queue.

Toujours face à la caméra, mais cette fois de dos, elle s'empale péniblement, en guidant la bite entre ses lèvres vaginales et commence un lent mouvement de va-et-vient, tout en prononçant, comme son chef lui a imposé, des commentaires des plus vulgaires :

- J'aime avoir une pine bien dure en moi! Vas-y, mon chéri, crache ta purée!

Elle accélère son mouvement de bassin, obtenant en moins de dix minutes un nouvel orgasme de son partenaire d'un jour. Sortant d'entre elle le préservatif rempli de semence, elle s'active à nouveau immédiatement sur l'engin, qui doit mesurer plus de vingt centimètres.

Après un quart d'heure, elle parvient à ses fins et revigore le membre flasque.

Elle se met alors cette fois face à la caméra à quatre pattes sur le lit et invite le black à se positionner derrière elle, avant de reprendre ses commentaires :

- Pour conclure une bonne séance de baise, il importe de terminer celle-ci par une grosse queue dans le cul. L'objectif est de jouir en même temps que son amant, lorsque celui-ci crache son foutre. L'idéal est donc de se branler le clito pour être tous les deux un minimum coordonné.

Pendant de longs moments, Sandra est pilonnée, tout en se touchant son bouton d'amour. Elle ne ressent aucun plaisir devant l'énormité du sexe lui défonçant le rectum. Mais, comme son patron lui a ordonné, elle doit donner le changer et simuler un orgasme. Son visage est déformé par la douleur, tandis qu'elle s'efforce de demeurer naturelle :

- Oh, putain, que c'est bon! Une bite dans le cul, rien de tel, Mesdames!

Et tandis que son partenaire lui inonde les entrailles, malgré le peu de sperme qui reste en lui, elle s'effondre pendant plusieurs minutes sur le lit, avant de reconduire, une fois rhabillée, son amant d'un après-midi.

Elle range la caméra, change de tenue et rentre chez elle, non sans avoir fait un détour par le boulot pour remettre la vidéo à son chef et en se souvenant des mots de Roger : - Après une telle séance, tu auras bien mérité un après-midi de congé! A demain midi pour voir tes progrès!

- Au fait, ta descente aux enfers ne fait que commencer, salope!

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
excellent

Très bon début. Continue comme ça

MoinaturelleMoinaturelleil y a environ 3 ans
bof bof

L'histoire est moyenne , le sujet est sympa mais ça va trop vite , ça ne laisse pas le temps de rentrer dans l'histoire.

Dommage

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