Du mauvais coté 02

Informations sur Récit
Suite des aventures sous l'occupation.
1.7k mots
4.07
18.8k
2

Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 12/19/2023
Créé 03/26/2019
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Paris était une fête. Les allemands avaient rouverts les lieux de plaisir et de débauche pour faire de la capitale de leur vieil ennemi un lieu de détente et de repos des troupes qui traversaient l'europe comme un fleuve de fer et de feu.

L'occupant attendait de la police qu'elle maintienne cette plaisante villégiature en état. Je passe donc un certain temps à fréquenter des directeurs d'établissements plus ou moins licencieux afin d'assurer que ces lieux soient sûrs et accueillant pour les vainqueurs.

Les allemands commencent à être ennuyés par la résistance. Par une belle après midi de septembre, je me présente à la porte de l'appartement cossu de monsieur et madame Rivière. Une bonne au visage rond vient m'ouvrir, et ouvre de grands yeux devant ma carte de police.

La maîtresse de maison est en train de boire un thé au salon, je la salue respectueusement et l'informe que je venais lui parler. Elle congédie la bonne d'un geste et je m'assoie dans un fauteuil élégant.

-Votre fils s'appelle bien Olivier?.

Elle approuve et précise que ce brillant élève est la fierté de la famille.

-Il est dans nos cellules. Dis-je

Elle prend un air outré, et jette un regard sur le téléphone posé sur un guéridon

-Je vous déconseille de prévenir monsieur Berthelaud, à la préfecture. Il s'agit d'une affaire impliquant les allemands, vous ne réussiriez qu'à le compromettre. On a trouvé un mot codé dans son cartable, il est mal engagé. Je pense qu'il oeuvre pour un réseau anglais d'espionnage.

Ses yeux se mettent à briller de larmes retenues, elle sait que la vie d'Olivier est terminée.

-Je suis venu vous proposer de nous arranger.

Elle hoche la tête, éperdue.

-Je ne veux pas d'argent.

-Que voulez vous, alors?

-Vous.

Elle ouvre de grands yeux; elle ne comprend pas.

-Votre bouche, et vos autres attributs féminins me rendront distrait, et Olivier dînera chez lui ce soir.

Elle baisse les yeux tandis que ses joues s'enflamment. Je me lève et marche jusqu'à la bourgeoise prostrée sur le petit canapé.

-Faites vous même.

Elle n'esquisse pas même un mouvement. Je m'y attendais.

- Tant pis. Lachais-je avec un gros soupir.

-Attendez! Gémit-elle. C'est d'accord.

Elle tendit sa main vers ma braguette, défit maladroitement les boutons, mon pantalon se baissa un peu et quand elle glissa ses doigts dans l'élastique, ma bite se dressa à quelques centimètres de son visage.

Elle me regarda d'un air interrogateur.

-Fais ce que tu as à faire, dis-je.

Elle m'embrasse le gland à plusieurs reprises et je comprends qu'elle n'avait jamais sucé de bite. Je lui fais ouvrir la bouche et engloutir mon chibre. Elle manque de vomir mais commence à aller et venir le long de ma hampe avec bonne volonté et inexpérience. Les dents me raclent par instant et la langue ne fait pas grand chose, mais putain ce que c'est bon. Je sens ma queue gonfler avant la décharge. Je lui bloque la tête et lui ordonne de bien tout avaler. J'ai l'impression de l'inonder de foutre. C'est délicieux. Elle déglutit avec peine. Je me recule et elle me regarde de ses yeux tristes au dessus de ses joues où traînent des lignes de son mascara emporté par ses larmes.

Je me rajuste. Je redresse son menton au creux de ma main, et la regarde dans les yeux.

-Ne t'inquiètes pas, Olivier n'en saura rien.

-Merci. Souffle -t'elle.

Le jeune homme se redresse de toute sa taille quand j'entre dans la cellule où il croupit depuis le matin. Je le regarde dans les yeux.

-Viens.

Il me suit jusque dans la cour du bâtiment. Une voiture noire y est garée, deux hommes en imperméables escortent un jeune homme au visage tuméfié. Il le jettent à l'arrière de la berline qui démarre peu après.

-C'est Martin. Il ne reviendra pas. Ca aurait pu être pareil pour toi.

Olivier me regarde avec de grands yeux.

-Tu peux continuer tes activités, mais méfies toi, tout le monde n'est pas aussi coulant que moi.

Je le dépose au pied de son immeuble. Trois jours plus tard, je reviens à la même adresse. La bonne m'introduit sans cérémonie et me laisse dans le salon. Mme Rivière me regarde avec intensité.

-Cette fois-ci, on passe dans la chambre.

Elle s'allonge sur le lit et relève sa jupe. Prévoyante, elle n'a pas mis de culotte. Elle écarte les jambes et je la baise sur le lit conjugal. Elle couine un peu, mais bordel, baiser cette bourgeoise qui me toisait avec mépris dans la rue, c'est un bonheur. J'ouvre son chemisier et je relève son soutien gorge. Elle a de beaux gros seins comme je les aime. Au moment fatidique, je me retire et la chevauche. ma semence lui inonde le visage et coule sur son nez, son front et sa joue gauche. Elle pleure d'humiliation.

Je ricane tandis qu'elle se débarbouille avec le drap. Je m'allume une cigarette.

-C'est bien. Vous tenez parole. Je reviendrai la semaine prochaine. N'oubliez pas la vaseline.

Elle me jette un regard atterré et je sors sans rien dire.

Leur réseau d'espions est organisé comme le théâtre aux armées. Je prends un après midi avant de les faire tomber. Je repère les hommes mariés avec une belle femme et les pères de famille avec une fille en âge de se faire tringler. Il n'y en a que deux.

C'est pas grave, il faut bien que la Gestapo travaille un peu.

En fin d'après midi, je repasse chez moi. Maleka, ma petite polack, est installée à demeure. Sa mère n'a pas passé l'été, faut croire qu'elle était vraiment malade. Le gamin est en pension chez les curés en province, au moins, il mange à sa faim. Maleka reste avec moi, pour assurer sa survie à elle. Elle est toujours complètement à mon service, n'attendant que mon signal pour relever sa robe ou se mettre à genoux sur le parquet afin de me donner sa bouche. Elle se laisse faire avec passivité, le regard dans le vague. La nuit, elle chauffe mon lit de son corps menu.

C'est le bonheur.

Mardi, c'est le moment de faire sauter le dernier barrage de la Rivière.

Ce calembour est naze, mais il me fait ricaner tandis que je monte l'escalier. Je sonne à la porte et madame m'ouvre en personne. Je m'étonne de l'absence de la bonne et elle me répond que craignant de crier, elle lui a donné son après midi.

-Parfait, alors passons au salon. Mettez vous nue.

Elle dénoue sa ceinture et sa robe choit sur le tapis épais devant le petit canapé. Le chemisier termine sur un fauteuil. Elle porte une culotte simple et un soutien gorge enveloppant.

-Vous avez pensé à la vaseline?

Elle hoche la tête, au bord des larmes, et va, en sous vêtements chercher un tube dans la chambre.

Je lui fais signe de se mettre à genoux sur le tapis. Elle me regarde sans comprendre.

-Virez le slip et le soutien, et mettez vous à genoux sur le tapis.

Elle dégrafe sa lingerie et libère ses lourdes mamelles, puis fait glisser son cache cul sur le sol. Elle se place ensuite à genoux devant l'élégant canapé et s'y pose. Son cul occupé tout mon regard. Je me baisse et caresse les globes jumeaux . Je pèses sur ses reins et elle se cambre un peu. Ses fesses s'écartent et son étoile serrée apparaît dans la grande lumière du soleil de l'après midi. Je presse le tube, une noisette de gras atterrit sur mon doigt. Je graisse le pourtour de la rosette, et je la sent frémir. Je me graisse de nouveau le doigt et pousse au centre de l'étoile. L'orifice résiste à mon entrée, mais je force. Ses chairs cèdent alors qu'elle pousse un gémissement sonore. Je fais aller et venir mon majeur, rajoutant même un peu de gras. Je me redresse et m'essuie le doigt avec une serviette. J'enlève mes bretelles et mon pantalon se retrouve bientôt plié sur un fauteuil. Je bande dur comme fer et ses sanglots étouffés sont une douce musique à mes oreilles.

Je me place à genoux derrière elle et pose mon gland graissé sur la petite porte de derrière de cette bourgeoise sont le chignon se défait sur sa nuque. Je pousse doucement, et à bite se fait une place dans le fondement rétif. Quand mon gland est entièrement disparu, elle pousse un cri. Puis un second quand mon pubis vient heurter son coccyx. Je reste en place, tandis qu'un long gémissement plaintif lui échappe. Je commence mes va et vient sans douceur mais sans violence non plus, et elle ne cesse de gémir comme un animal blessé. Sentant le plaisir monter dans mes reins, j'accelere et là, elle crie sa douleur et sa honte, d'être pilonnée comme une pute. Mon orgasme me semble interminable et j'ai l'impression de cracher des jets de feu dans ses reins.

Je me retire, et la rondelle souillée reprend son aspect initial. Quelques petites tâches marron souillent mon membre, je m'essuie avec la serviette.

-Bien, vous avez tenu parole. Mettez votre gosse au pas et nous ne nous reverrons plus.

Elle tourne vers moi son visage ravagé de larmes. Un éclat de morve a même coulé de son nez. Je sors peu après sur le boulevard en sifflotant.

Au bureau, je trouve une belle et grande blonde en tailleur strict.

-Madame, que puis-je faire pour vous?

-Je suis Inga Müller, dit elle avec un accent germanique. Je viens travailler avec vous.

-Pour quelle mission?

-Liaison avec l'État Major. Vos résultats impressionnent en haut lieu.

Je hoche la tête. Les allemands me mettent une laisse.

-Comment vous avez refusé la plaque de police allemande, c'est une nécessité.

Je souris.

-Comment voyez vous les choses?

-Ne changez rien, je veux juste être observatrice. Je peux vous servir de secrétaire.

Je lui montre le bureau et le fonctionnement du téléphone. Elle est douée, et peu après, elle tape frénétiquement à la machine pour traduire mes rapports.

Je me pose à mon bureau, et inspire profondément. J'ai l'impression que je coulisse encore dans le cul de Madame, et mon vit m'envoie des ondes de plaisir, minuscules répliques du séisme de plaisir qui m'a secoué.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
excellente histoire

Très bonne histoire.

J'adore lire tes histoires ...

Continue comme ça.

Félicitations

AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
Changement

La donne va changer ?

Y aura-t'il des blocages par cette surveillance ?

Rudy

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