Dorothée asservie - Partie 02

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Une nouvelle vie, faite de contraintes, commence.
2.6k mots
4.21
21.6k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 10/11/2020
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Lorsque, le vendredi matin, Kévin, selon un rituel qui va devenir probablement immuable, pénètre dans le bureau de son patron, dix minutes après Dorothée, il a le plaisir de voir celle-ci nue, lui tournant le dos. Il ne prive pas pour admirer la jolie paire de fesses qui lui fait face.

Sa collègue est en pleine conversation avec Antoine : - Mais je ne peux pas porter ça au magasin!, tandis que son patron lui tend une robe ayant appartenu à son ex-épouse.

- Mais si tu peux! Et tu vas le faire! Ma femme était juste plus petite que toi et avec de moins gros seins. Cela t'ira à ravir, crois -- moi! Maintenant, ne discute pas et habille-toi!

La tenue, ou plutôt si c'est un vêtement, une fois essayée, est trop courte et dévoile le bas de ses globes fessiers. La vendeuse éprouve également toutes les peines du monde à fermer celle-ci sur le devant. Quand elle y arrive enfin péniblement, son patron s'approche d'elle et déboutonne les trois premiers boutons, ce qui ouvre la robe jusqu'au-dessous de ses seins. Ce modèle est presque obscène.

- Voilà! C'est parfait! Tu es magnifique! N'est-ce pas Kévin?

- Sûr, patron! Les clients vont adorer! Je pense que nos ventes augmenteront rapidement!

- Je n'en doute pas!

Puis s'adressant à la fille : - Maintenant, appuie-toi contre le bureau et écarte les jambes pendant que je me positionne à l'arrière. Il est temps de découvrir si ta chatte est bonne! Et puis, Kévin et moi, on peut et on veut tout voir, maintenant que tu es intégralement épilée. Sur ce, forçant l'entrée non humidifiée de la pauvre employée, il commence à la pistonner brutalement, agrippant les cheveux mi-longs de la malheureuse afin de lui tirer la tête en arrière. Puis, sans se préoccuper des cris de douleur de Dorothée et se tournant vers son ouvrier : - Regarde, mon ami, comment on baise une salope! On la chevauche a cru! A peine ces mots prononcés que, dans un grand râle, il éjacule abondamment à l'intérieur de celle-ci.

- J'espère que tu prends la pilule, sinon ton fiancé sera bientôt le père d'un joli bâtard! s'esclaffe-t-il. En tout cas, ton con est bien étroit! Un vrai régal! Plus qu'à te l'élargir...

Se remettant péniblement debout, la jeune femme se réajuste comme elle peut. Antoine lui donne une dernière injonction : - ce soir, avant de partir, tu prendras ces deux grandes caisses et tu les ramèneras à la maison. Il y a là trente tenues qui appartenaient à mon ex. Je les ai numérotées afin que tu les portes, dans l'ordre indiqué, durant les quatre prochaines semaines. Au fait, dernière question : - Est-ce que Frédéric t'a déjà enculé? Ou bien ton petit trou est-il toujours vierge?

Totalement désarçonnée par cette question, la pauvre bégaie, entre deux sanglots : - O...Oui...

- Oui quoi? Oui, il t'a déjà prise par l'arrière ou oui, ton anus n'a pas encore été décapsulé?

- Je... suis... vierge...

Goguenard, son boss, lui annonce alors gaiement ce qui l'attend juste après le week-end : - Parfait! J'aurai donc la joie d'être le premier à prendre ta cerise! N'oublie pas d'amener de la vaseline car sinon tu risques d'avoir un peu mal! A lundi, même heure!

La journée est un véritable calvaire et les heures s'écoulent avec une terrible lenteur. Des questions assaillent l'employée : comment fuir cet endroit maudit et ce monstrueux patron? Comment prouver sa bonne foi alors que les prétendues preuves --construites machiavéliquement- sont clairement toutes contre elle.

Elle a beau réfléchir, elle ne trouve aucune issue. En parler à son compagnon? Il risque, sous le coup de la colère, qu'il a parfois du mal à contrôler, de commettre l'irréparable à l'encontre de son tortionnaire. Malgré ces longues réflexions, elle ne voit pour le moment aucune autre issue que celle de se soumettre aux perversités infâmes d'Antoine. Le tout, et c'est le pire, devant les yeux narquois de son collègue, spectateur amusé de sa lente déchéance. En fin de journée, elle emporte les deux caisses avec une seule obsession : où les cacher dans la demeure?

Elle opte finalement pour le grenier, un endroit où Frédéric se rend peu et qui est encombré de nombreuses vielles choses et autres objets inutiles. Dans un recoin, sous une pile de cartons, elle dissimule du mieux qu'elle peut ses nouvelles « tenues de travail », non sans s'être préalablement changée avant le retour de son fiancé.

Le soir venu, prise de remords bien qu'étant pourtant la victime, elle lui fait l'amour de manière passion, presque maladive. Ce qui ne manque pas de surprendre son conjoint, qui ne peut toutefois que se réjouir de cette ardeur sexuelle inhabituelle.

Le lundi arrive trop vite. La peur au ventre, après avoir attendu le départ très matinal de son fiancé, elle s'habille rapidement --tout en emportant avec elle un sac contenant des vêtements « normaux » pour le retour à la maison- et manque de s'étrangler en regardant son reflet dans le miroir. En effet, la robe qu'elle est obligée de porter ce jour présente deux graves inconvénients. D'abord, l'ourlet arrive presque à son entrejambe. Il suffit qu'elle se penche un peu pour que ses lèvres vaginales soient exposées à la vue de tout un chacun. Ensuite, le haut, fait de pure dentelle, n'a pas été conçu pour masquer les seins. D'autant que la taille étant beaucoup trop étroite, Dorothée découvre avec horreur que ses mamelons sont clairement visibles.

Mais la pire des humiliations est quand elle emporte avec elle un tube de lubrifiant, pressentant le supplice qu'il l'attend. Et effectivement, lorsque Kévin pénètre quelques minutes après elle dans le bureau du boss, ce dernier lui adresse un large sourire, en regardant l'employée positionnée sur la table de travail, ses mains et ses coudes appuyés sur cette dernière, tandis que sa robe est relevée à l'arrière :

- Viens sur le côté, mon ami, tu verras mieux. Regarde ce magnifique fessier que nous avons là, rond et ferme. Puis s'adressant à sa vendeuse : - Alors comme ça, ma chérie, tu n'as jamais eu, en aucune situation, de bite dans le cul? Jamais, ô grand jamais?

Et la fille de répondre en pleurnichant : - Non... Monsieur... Florent...

- Tu souviens de ce que je t'ai dit?

- Oui, Monsieur. Et la fille de réciter mécaniquement la phrase imposée par son patron pervers : - Vous pouvez me prendre... par là... si vous voulez... Monsieur...

- Tu peux faire mieux, voyons!

- Enculez-moi, s'il vous plaît...

- Plus vulgaire que cela!

- Enfilez-moi... votre grosse pine... dans mon anus! Bourrez-moi... comme la salope que je suis! Je veux... sentir votre queue! Bien au fond! Dépêchez-vous... j'ai envie... d'être votre chienne...

Des larmes coulent abondamment sur ses joues. Elle se sent souillée d'avoir à proférer de telles insanités dont elle ne pense pas un mot. S'enduisant le sexe de vaseline, avant d'en faire de même avec l'anus de sa future victime, Antoine n'en a cure : - Tu verras, ma belle, tu me remercieras. Si ton homme n'en est pas un et qu'il ne sait pas t'offrir de plaisir anal, il faut bien que le fasse à sa place. Quand tu l'auras fait une demi-douzaine de fois, tu t'y habitueras et tu n'auras même plus mal. Crois-moi!

Et qui sait, tu finiras peut-être même à éprouver une grande jouissance. Quant à toi, Kévin, je peux t'affirmer à l'instant même que je vais défoncer le plus beau cul que je n'ai jamais vu de ma vie.

Dans la foulée, ses mains se posent sur les fesses de Dorothée pour mieux les écarter et positionner son membre imposant contre son œillet. Le boss s'arque-boute et sans se préoccuper le moins du monde de sa « partenaire », commence à s'enfoncer dans le fondement de son employée, avançant inexorablement, centimètre par centimètre, indifférent aux cris poussés par cette dernière. Restée un instant muette, la bouche bée, les yeux exorbités, elle est martyrisée, malgré le lubrifiant dont elle s'est enduit, par cette énorme queue, dure comme du béton. A chaque poussée, elle hurle de douleur. Jamais elle n'aurait imaginé pareille sensation de brulure. Plus pour reprendre son souffle que par compassion pour la femme qu'il est en train de sodomiser, Antoine marque un temps d'arrêt. Avant de reprendre de plus belle. La fille est littéralement éperonnée, à coups d'estoc, le membre viril poursuivant son va-et-vient brutal avant, quelques minutes plus tard, d'envoyer un flot de sperme dans le rectum ainsi profané.

La jeune femme, après avoir émis un long râle rauque, laisse ton tomber sa tête sur la table. Comme paralysée, elle n'émet plus ni le moindre son ni ne fait le moindre mouvement, affalée sur le bureau, le corps en sueur, les cheveux mouillés et le regard vide. Elle est brisée, liquéfiée, son oeillet encore béant suite aux assauts subis.

- Plutôt sympa cette première expérience! commente son patron. Tu as un trou de balle merveilleusement étroit. C'est un plaisir sans fin que d'y coulisser! J'espère que tu as apprécié autant que cela m'a plu! Allez, file au comptoir, maintenant. Mais avant, nettoie-moi avec ta langue. Je veux que mon sexe reste bien propre.

Elle s'exécute machinalement, supportant péniblement le mélange de sperme et de vaseline resté sur la pine qui vient sauvagement de profaner sa petite porte.

Avant qu'elle ne sorte de l'office, son boss lui adresse une recommandation lourde de sens : - Au fait, j'oubliais! J'aime beaucoup Kévin. Il travaille pour moi depuis son adolescence, lorsqu'il est venu, il y a cinq ans, en apprentissage. Il est vis-à-vis de moi d'une loyauté absolue. Et je trouve que cela mérite une récompense.

Dorothée se liquéfie, ne doutant pas un instant qu'elle va devoir être « gentille » avec son collègue. Mais c'est encore pire que ce qu'elle pensait. Car Antoine lui annonce sèchement qu'à partir du lendemain, elle devra être présente au travail une demi-heure avant le début de son horaire et rester une demi-heure après la fin de celui-ci.

- Convaincu par tes compétences, j'ai décidé, ma chère, d'augmenter tes responsabilités. A partir de maintenant, ta première tâche du matin consistera à te rendre à l'atelier, où tu satisferas les besoins primaires de Kévin. Ensuite, tu viendras me faire la même chose dans mon bureau. Pareil le soir avant de partir, tu iras à l'atelier soulager Kévin de toute tension et puis tu t'occuperas de moi. Bref, tu es devenue la préposée au vidage des couilles des travailleurs mâles œuvrant au sein de cette société. Fort heureusement pour toi, nous ne sommes que deux!

Se tournant vers son manutentionnaire, il ajoute : - Tu peux utiliser sa bouche et sa chatte comme bon te semble et lui donner tous les ordres que tu veux. Mais pour le moment, tu ne touches pas à son cul. Je me le réserve pour moi durant quelque temps.

Avant d'adresser à l'attention de ses deux employés : - Pour fêter ces bonnes résolutions, nous irons au fast-food ce midi. Il y en a un à une dizaine de kilomètres d'ici. Rendez-vous à l'entrée de l'atelier à douze heures précises. Kévin, tu nous serviras de chauffeur : je m'installerai avec Doro à l'arrière, ce sera plus confortable!

Et chacun de retourner à ses occupations professionnelles, la mine joyeuse pour le patron, le cœur léger pour l'ouvrier, le visage défait et désespéré pour la vendeuse...

Midi arrive, déjà, et les trois personnes se retrouvent bientôt dans la voiture conduite par Kévin. Un quart d'heure plus tard, le pilote s'arrête sur le parking d'un McDo doté d'un drive-in. Il y a encore peu de monde sur celui-ci, hormis quatre adolescents.

Antoine s'adresse directement à son employée : - Tu vas nous chercher un menu et tu reviens. Je vais ouvrir ma fenêtre, tu t'appuieras ainsi contre le rebord de la portière quand tu reviendras et tu attendras gentiment que Kévin et moi fassions notre commande.

En une fraction de seconde, la femme a compris le manège de son boss : dès qu'elle se penchera contre celle-ci, elle offrira aux jeunes présents --qui doivent avoir environ seize ans- le spectacle de ses fesses nues. Mais le show commence avant, de manière imprévue, une légère bourrasque de vent soulevant la robe alors que l'employée s'en va quérir les cartes. Les regards des garçons, un instant ébahis, deviennent soudain plus qu'insistants. De retour à la voiture, elle s'appuie, comme exigé, contre la portière et expose ainsi au moins la moitié de son cul aux ados.

- Je prendrai cheeseburger et un coca. Et la même chose pour Kévin, dit son patron sur un ton ironique.

Dorothée, elle, angoissée comme jamais, ne peut manger la moindre nourriture. -- Tant pis pour toi! dit simplement son boss, avec un haussement d'épaules. Avant d'ajouter froidement : - Lorsque tu reviendras avec notre commande, tu t'arrêteras deux minutes près des jeunes gars et tu leur demanderas s'ils ont apprécié le spectacle. Tu leur diras comment tu t'appelles et où tu travailles. Et tu soulèveras ta robe devant eux pour savoir s'ils aiment ta chatte récemment épilée.

Tu as bien compris?

- Je vous en supplie, Monsieur, pas ça! implore-t-elle. Je ferai tout ce que vous voulez, mais pas ça. S'il vous plaît...

- Fais ce que je te dis et tout de suite. Je t'interdis de discuter le moindre de mes ordres. Vas à présent!

Revenant vers l'automobile avec la commande dans une main, elle marque un temps d'arrêt près des garçons et, rouge comme une pivoine, engage la conversation avec ceux-ci en se présentant et en leur dévoilant ensuite ses charmes intimes avant de leur dire au revoir. Remettant la nourriture à Antoine, elle s'engouffre dans la voiture.

Alors que la vitre électrique est toujours ouverte et que les adolescents se sont rapprochés, le boss donne une nouvelle injonction à sa vendeuse : - J'aime bien me faire sucer la bite pendant que je mange mon repas. Exécution! Mais avant, merci d'abaisser le dessus de ta robe! J'adore quand une salope à les seins à l'air pendant qu'elle me taille une pipe.

Sous le regard médusé des jeunes et invitée à se mettre à quatre pattes sur la banquette arrière, Dorothée s'exécute, ouvre la braguette de son chef et commence à faire coulisser la pine entre ses lèvres, sa tête montant et descendant tandis qu'elle s'active sur le chibre. Son patron soupire de plaisir, tandis qu'il déguste son repas et, volontairement, relève la robe de sa subalterne. Suivant le sens dont ils font le tour de la voiture, les garçons peuvent donc voir tantôt son cul et sa chatte, tantôt sa bouche s'activer sur la bite d'Antoine.

Comme si de rien n'était, ce dernier entame la conversation avec les quatre voyeurs : - Elle est belle, hein? Et c'est aussi une sacrée bonne suceuse. Avec un peu de pratique, elle deviendra d'ailleurs quasiment imbattable! Et tandis qu'il expulse une forte charge de sperme au fond de la gorge de son assistante, il poursuit, imperturbable, à l'adresse des ados : - Vous connaissez son prénom et où elle travaille. Je suis son boss. Si vous voulez mieux la connaître, il suffira de me téléphoner et j'organiserai peut-être, qui sait, un rendez-vous! Voici ma carte...

La conversation se termine ainsi et la voiture prend la direction du magasin, non sans que l'employée ait été obligée d'enlever ce qui restait de sa robe afin d'être assise, totalement nue, dans le véhicule. Une fois arrivée, elle est contrainte de courir pour pénétrer dans le bâtiment via la porte arrière, ses seins ballotant et ses fesses roulant sous le regard hilare des deux hommes. Essoufflée, elle n'a que le temps de remettre son vêtement, que lui a tendu Antoine, pour accueillir le premier client.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
La suite !

Très bien !

J’espère que la demoiselle va faire des ventes privées très privés ! Ils seraient sûr d’augmenter leur chiffre d’affaire ! Accueillir et servir les clients à poil, sans poil même !

La patron précise qu’ils ne sont que 2 hommes. Il y a peut-être aussi des femmes qui seraient contente des services particuliers de Doro...

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