Dominant Wife 02

BÊTA PUBLIQUE

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Et puis, un vendredi soir, quand je rentrai à la maison, Hélène était en pleine discussion autour d'un apéritif avec un homme d'une quarantaine d'année, plutôt bel homme.

« Pascal, je te présente Marc...»

L'inconnu se leva, et vint vers moi la main tendue

« Bonjour Monsieur »

Un peu interloqué par la présence impromptue de ce type un vendredi soir, je lui serrais la main distraitement

« Euh...bonjour »

Hélène intervint

« Marc se propose de refaire notre cuisine»

Bien qu'effectivement la cuisine méritait un coup de frais, elle n'avait jamais discuté de la refaire si précipitamment

« Oui..c'est bien...je fais confiance à ma femme pour ce qui concerne les travaux de décoration »

Je me servis un whisky et nous discutâmes.

Marc était au chômage et améliorait son ordinaire en faisant des travaux 'au noir' chez les particuliers. Il était divorcé depuis trois ans.

Ce qui retint surtout mon attention, c'était la manière dont Hélène le dévorait des yeux.

Je finis par me sentir mal à l'aise. La conversation entre Hélène et ce nouveau venu devenant de plus en plus un dialogue, me laissant sur la touche. Je me sentais 'de trop' et sirotait mon whisky en silence.

Il se leva, une demi-heure plus tard.

« Je vous remercie beaucoup pour cet apéritif...je passe demain vers 10 heures pour commencer les travaux »

Je n'avais pas encore eu le temps de réagir qu'Hélène était déjà debout à ses côtés, lui serrant la main.

« Je vous attendrai...mon mari ne sera pas là, mais ce n'est pas très grave »

Je fus stupéfait de sa déclaration. Je n'avais rien de prévu pour le lendemain et me demandais pourquoi elle avait dit ça. Ce qui me choqua le plus, c'est la poignée de main appuyée qu'elle lui fit en le regardant droit dans les yeux.

Une fois seuls, je demandai une explication

« Mais pourquoi tu lui as dit ça, je suis là demain »

« Non demain, tu ne seras pas là...et si tout se passe bien, demain soir, tu seras cocu! »

Je me sentis blanchir. J'avais même oublié ce problème, et il me rattrapait maintenant de plein fouet et je sentis mon cœur accélérer brutalement à cette annonce énoncée froidement ;

« Tu veux dire...tu veux dire que tu vas faire l'amour avec lui? »

« Non, je ne vais pas 'faire l'amour', je vais baiser et oui, j'en ai bien l'intention »

J'étais catastrophé par cette annonce. Réfléchir à une éventuelle relation entre ma femme et un individu imaginaire était une chose, mais voir un homme de chair et d'os et envisager qu'il puisse y avoir des choses entre elle et lui en était une autre et je me retins de lui crier de tout arrêter. Mais sans doute était-ce trop tard. Nous avions été trop loin elle et moi pour revenir à une vie 'normale' et rien ne serait pire que de vivre sur des incohérences. Malgré la douleur profonde que cela me provoquait, il fallait boire le vin jusqu'à la lie.

« Pourquoi lui? »

« D'abord parce qu'il me plaît bien en tant qu'homme, et puis parce que je sais qu'avec lui, ça sera juste physique des deux cotés. Il sait que je suis en couple et lui, de son côté, n'a aucune envie d'y être à nouveau »

« Mais...enfin, je veux dire...si vous tombiez amoureux?»

Elle s'approcha de moi et m'embrassa passionnément, cherchant ma langue de la sienne. Cela dura sans doute quelques secondes mais ça me parut une éternité paradisiaque. Puis elle s'écarta et me prit la main dans les siennes en me fixant

« Je ne tomberai pas amoureuse Pascal, et je sais que lui non plus....mais si ça devait lui arriver, hé bien tant pis pour lui! Nos relations seront claires dès le départ. Ne nous connaissant pas, il me prendra sans doute pour une salope, mais je m'en fous. »

Le lendemain matin, sitôt le petit-déjeuner fini, elle me mit un collier de cuir autour du cou, y attacha une laisse me fit descendre dans la cave. Nous avons une grande cave au trois-quart vide qui nous sert essentiellement à stocker du vin, et quelques autres affaires de peu d'intérêt. C'était la première fois que j'y descendais nu et le froid du ciment sous mes pieds me fit un drôle d'effet. Elle me fit mettre les mains dans le dos et les attacha avec des menottes. Je ne savais pas qu'elle avait ce genre de gadget mais à présent, plus rie m'étonnait de sa part. Me faisant mettre à genoux, elle me mit une boule de caoutchouc dans la bouche et l'attacha fermement derrière ma tête, puis elle attacha mon collier à une grosse chaîne d'un mètre qui était fixée sur un gros tuyau d'eau. Elle avait décidément tout prévu...et ça ne datait pas d'hier. Elle amena un seau en fer à côté de moi.

« Tiens, si tu as envie de pisser...si j'en ai le temps, je viendrai d'apporter ton déjeuner »

Je la regardais avec un nouvel œil, Elle était en sortie de bain, comme tous les matins, avec ses mules un peu défraîchies aux pieds. Elle n'avait rien fait pour s'apprêter, loin de là, et accusait un peu son âge, mais à cet instant précis, je la trouvai suprêmement belle. Elle me fixait avec un regard bizarre, comme si elle hésitait de la suite...puis elle détourna le regard et quitta la cave.

La lumière éteinte, je ne voyais clair que grâce au soupirail qui projetait sa pénombre sur la cave. Assez vite, mes yeux s'adaptèrent et je commençai à voir les choses clairement au lieu des vagues formes que je distinguais au début

J'étais mal, tant physiquement que psychologiquement. Mes bras, liés dans mon dos, rendaient pénible toutes les positions, mon bâillon gênait ma respiration et me faisait baver. Et l'idée que ma femme allait se faire sauter par un autre était encore plus insupportable.Je m'assis dans un coin et attendis.

Le temps passa lentement. La lumière se faisant plus vive au fil de la matinée. J'allai pisser avec beaucoup de difficulté. Me lever, avec mes mains attachées dans le dos fut une véritable épreuve. M'accroupir au-dessus du saut avec la traction de la chaîne ne fut pas plus simple. Le bruit sonore de mon urine tombant dans le seau acheva de m'humilier. J'étais incapable de nettoyer ma cage, comme je le faisais d'habitude, et m'assit à nouveau dans mon coin. Il faisait chaud, la chaudière n'étant pas loin. Périodiquement, j'entendais l'eau circuler dans les conduits, sans savoir s'il s'agissait des éviers ou de la chasse d'eau. J'avais du mal à comprendre pourquoi elle m'avait mit un bâillon, la cave était parfaitement insonorisée et même si j'avais hurlé, personne ne l'aurait entendu de la maison.

Malgré ma fatigue, j'étais incapable de dormir, de part mon inconfort et mes pensées perturbées. J'attendais patiemment, je n'avais pas tellement le choix.

Soudain, la porte s'ouvrit et la lumière s'alluma. Ça m'éblouit un instant mais ce fut surtout l'image d'Hélène qui descendait les escaliers qui me surprit. Elle portait une robe d'été, légèrement maquillée comme à son habitude quand elle sortait, portant des bas couleur chair et des chaussures à talon.

Elle était rayonnante.

Je me dis intérieurement 'Mon Dieu, quelle est belle'

« Rebonjour esclave »

Elle vint vers moi, s'accroupit, ce faisant, sa robe se releva sur ses cuisses et je pus voir le liseré de ses bas. Elle m'enleva mon bâillon, essuyant du revers de sa main la bave qui m'avait coulée sur le menton. Une fois mes mâchoires à nouveau mobiles, je voulus lui dire mon admiration.

« Vous êtes belle Madame »

« Ne t'emballe pas, ce n'est pas pour toi! »

Elle avait apporté un sandwich qu'elle découpa en morceau pour me le faire manger, et une bouteille d'eau avec pipette.

Quand j'eus fini de manger, elle se releva, choisit un bouteille de vin, et remonta, sans m'avoir remis mon bâillon. Je l'en remerciai intérieurement de m'avoir retirer ce truc qui m'obligeait à garder la bouche grande ouverte et qui me faisait baver.

Le temps s'écoula à nouveau lentement. L'avoir vu ainsi à midi m'avait un peu rasséréné mais en même temps avait réactualisé l'idée qu'elle allait me tromper. Mes mains attachées commençaient à devenir douloureuse et je finis par m'allonger sur le ventre pour atténuer cette gêne. Ce faisant, ma cage venait se loger entre mes cuisses et me tirait sur les couilles, mais c'était mieux que rien. Le principal inconvénient étant que me je retrouvais la tète sur un ciment pas très propre.

La lumière finit par s'atténuer, et je me retrouvai dans une pénombre de plus en plus sombre.

Enfin, la porte s'ouvrit à nouveau et la lumière se fit, m'éblouissant. Je me ré-assis difficilement

Hélène descendait l'escalier. Elle était à nouveau en robe de chambre et en mule. Elle s'approcha en me fixant dans les yeux avec un léger sourire..

« Ça y est, tu es officiellement cocu »

Bien que je m'y attendais, la nouvelle me catastropha. Jusqu'au dernier moment, j'avais espéré qu'elle renoncerait. J'avais le cerveau vide et je n'arrivais pas à dire une parole. Qu'aurais-je pu dire, ma femme venait de coucher avec un autre pendant que j'étais attaché et encagé dans la cave. Cela faisait plus d'un an la dernière fois que nous avions fait l'amour et je savais que cela ne se reproduirait pas.

Elle m'enleva mes menottes et détacha la chaîne qui me liait au tuyau, et retira ma cage de chasteté..

« Viens dans ma chambre »

Elle remonta sans m'attendre. Quand j'arrivais dans sa chambre, le spectacle était éloquent. Le lit était complètement en désordre, la couette jetée par terre, les draps froissés. Sur la table de nuit, il y avait deux préservatifs usagée fermés par un nœud. Il y avait une nette odeur de sueur et de sexe. Hélène était nue, allongée sur le lit, jambes largement écartées.

« Viens me sucer »

J'étais dans un tel état que je ne réfléchissais même plus à ce que je faisais. Comme un zombie, je me mis à genoux entre ses jambes. Son odeur était forte, animale. Son sexe entre-ouvert était rouge, luisant, des gouttes blanches et liquoreuse de mouille s'étaient accumulées au bas de sa vulve. Je passai doucement la langue sur ses lèvres, récoltant une cyprine au goût légèrement métallique.

« Va doucement, c'est sensible »

Je lapai délicatement dans son vagin les sécrétions que son coït avait provoqué. Je la sentais se détendre. Elle avait posé négligemment, presque tendrement, une main sur ma tête. Je la sentis se contorsionner et elle posa une des capotes emplie du sperme de son amant sur son ventre, à quelques centimètres de mon visage et juste sous mes yeux.

Je la léchais ainsi un moment avant de me concentrer sur son clitoris. Dans ma position agenouillée, mon membre érigée frottait sur le drap humide et je sentais mon plaisir monter doucement tandis que je me concentrais sur mon cunnilingus. Elle-même avait posé ses deux mains sur ma tête et me pressait sur contre elle, commençant à onduler du bassin en poussant de petits gémissements et je savais que son orgasme était imminent. Nous restâmes ainsi au bord de l'orgasme tous les deux quand enfin elle se cambra en poussant un grand cri de bête, me serrant la tête entre ses cuisses, j'explosais moi aussi, projetant mon sperme sur le drap dans une jouissance presque douloureuse tellement elle était forte. Son orgasme sembla durer un temps infini et elle resta contractée pendant une bonne minute, me maintenant prisonnier de l'étau puissant de ses cuisses. Enfin, elle se détendit, retombant lourdement sur le lit. Libéré, je m'écroulais à mon tour sur le dos, incapable de réagir après le plaisir qui venait de m'emporter. Nous restâmes là un moment, allongée côte à côte, cherchant tous deux à reprendre notre respiration et nos esprits. Ce fut elle qui réagit la première, se dressant sur ses coudes

« Tu as joui? »

« Oui »

Elle se leva, ramassa sa robe de chambre et se dirigea vers la salle de bain.

« Je vais prendre un bain. Toi, tu ranges la chambre et tu changes les draps »

Je passai la demi-heure suivante à ranger, jetant à la poubelle avec dépit les préservatifs preuves de son infidélité. Les draps étaient humides de sueur et maculés de mon sperme.

Je me sentais à la fois épuisé et triste. Ça me faisait toujours ça après avoir joui, sauf que la tristesse était là accrue par le fait que j'étais cocu et même si je savais que cela avait été juste une partie de jambes en l'air, j'avais beaucoup de mal à accepter qu'un autre ait pu avoir une telle intimité avec ma femme. Je me sentais sale, la poussière du garage était restée collée par la sueur. Sitôt qu'Hélène revint dans la chambre, enveloppée dans sa sortie de bain et une serviette nouée sur sa tête, je passai moi même à la salle de bain pour prendre une douche.

Nous échangeâmes peu de paroles ce soir-là, chacun perdue dans nos pensées. Nous étions en train de dîner quand , n'y tenant plus, je crevai l'abcès qui me tourmentait

« C'était bien »

Elle me regarda l'air surprise

« Tu veux que je te raconte? »

« Non, non...juste savoir si tu avais pris du plaisir »

« Oui, c'était bien et j'ai pris du plaisir. Marc est un bon amant, délicat, attentionné...mais ce qui m'excitait le plus, c'est de penser que pendant que je me faisais sauter, tu étais nu attaché dans la cave. Ah, au fait, il revient demain »

A cette nouvelle, je me sentis blanchir.

« Vous...vous aller recommencer? »

« Mais non, demain, tu seras là...il revient juste pour finir la première couche de peinture qu'il n'a pas eu le temps de finir aujourd'hui »

Elle eut un sourire narquois

« Il faut dire qu'il a été occupé à autre chose »

L'idée de me retrouver en face de lui me terrifiait. J'étais incapable de savoir quelle serait ma réaction et cela pouvait mettre en péril l'équilibre fragile de notre couple.

« Je...je ne sais pas si je pourrai »

Elle posa sa main sur la mienne en me fixant

« Mais si tu pourras. Je sais que tu hais ce qui se passe et que tu te sens humilié...mais je sais aussi que tu adores te sentir humilié. Je suis ta Maîtresse et tu t'es donné à moi. Il faut que tu en acceptes tous les aspects...et n'oublie jamais que je t'aime »

« Tu as une drôle de manière de me le montrer »

« Je te le montre en étant exactement ce que tu veux que je sois, une Maîtresse despotique. Nous avons de la chance tous les deux, j'ai vraiment pris goût à ce rôle. Nous sommes un couple...un couple particulier, mais un couple quand même. Dis-toi que chaque fois que je trouve une manière de t'humilier, c'est une sorte de 'mot d'amour'»

« Tu...tu lui as dit pour toi et moi »

« Mais non, et il n'en est pas question. Il me prend juste pour une femme au foyer qui a le feu au cul et qui trompe son mari dans son dos »

Elle me tapota la main en me souriant et ajouta

«Ne t'inquiète pas...tout ira bien...et fais-moi confiance, je t'enverrai encore des tas de 'mots d'amour' »

Le soir venu, elle me remit ma cage et nous nous couchâmes chacun dans notre chambre. Je me sentais encore anxieux mais notre conversation m'avait rasséréné.

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Anonymous
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1 Commentaires
smdream327smdream327il y a plus d’un an

Très bon ces deux premières parties, j'attends la suite avec impatience.

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