Dérapages. 07

BÊTA PUBLIQUE

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- Papa, pourquoi? Pourquoi???

- Parce que je peux, parce que j'ai envie!

- Pas par là, papa, pitié, je ferais tout ce que tu veux!

- Tu le feras de toutes façons et souvent, très souvent.

Ma menace sourde résonne en elle comme une terrible prophétie.

- Mon dieu...

Je fais rentrer lentement mon gland en elle, m'arrêtant contre son hymen intact. Je veux vivre pleinement le moment de son dépucelage. Je veux laisser le temps à l'horreur d'un viol incestueux dépucélatoire envahir le cerveau de Jess.

- Attends, papa, laisse-moi te sucer à la place?

- Quoi???

Sa proposition me surprend.

- Laisse-moi te sucer, ne me viole pas par là, je t'en supplie!

- Tu l'as déjà fais?

- Avec des sexe de femmes, jamais... avec un pénis.

Le mot pénis sort difficilement de la bouche de ma fille, comme si il lui écorche les lèvres.

- Pitié, papa, acceptes, je suis ta fille.

- Si tu me suces de toi-même, que tu avales tout mon sperme et surtout, ma bite en entier, c'est d'accord.

- Promis, je le ferais, mais sort, je t'en supplie, sort!!!

- De plus au premier supplique je te dépucelle, OK?

- Oui, oui, tout ce que tu veux, mais pas par là, pitié, pas par là. Prends ma bouche, je t'en supplie, papa.

- Bon, c'est d'accord alors.

Alors je tiens parole, je me retire d'elle, laissant pour l'instant son vagin intact. Je fais s'agenouiller ma fille sur le lit, je lui menotte les poignets dans le dos. Je me mets ensuite debout devant-elle. Mon sexe toujours dur, pour longtemps, j'ai pris une pilule dur-sexe avant de revenir dans la chambre. J'en ai d'autre que j'ai caché dans le tiroir de la table de nuit. Je vais pouvoir la violer toute la nuit. Jess ne le sait pas, mais de toute façon, après sa pipe, je vais la décapsuler.

En attendant je présente ma bite devant la bouche de Jess. Sachant ce qui l'attend si elle ne participe pas, elle fais rentrer mon gland entre ses lèves. Cette conne ne sait pas quoi faire, elle n'a jamais vu de film de cul ou quoi? Elle reste comme ça, la gueule ouverte, la moitié de ma bite dans sa cavité buccale.

- T'es vraiment nulle! Mets-y du tien ou je prends ta chatte.

- e... ai... as...

- Tu sais pas, t'es trop conne. Je ne sais pas ce qui me retiens de te baiser la chatte!

- Ié...

Si je n'avais pas pitié, je t'aurais déjà baisée! Bon referme tes lèvres sur ma bite, doucement.

Jess obtempère, fermant ses lèvres voluptueuse sur mon engin.

- Maintenant fais travailler ta langue de pute, avec agilité, tu dois me caresser le sexe.

- Slurp! Lick! Slurp! Lick!

- Voilà, c'est pas trop mal.

Jess se débrouille finalement bien pour sa première fellation, surtout que c'est un viol.

- Maintenant sans arrêter de caresser ma bite de ta langue, fais coulisser ta tête sur mon pieu.

Elle se débrouille vraiment bien. Ma fille y met tout son cœur pour éviter le viol de sa chatte.

- Parfait, fais rentrer maintenant ma bite en entier, je veux ton nez contre mon ventre!

Jess avance, elle hésite quand mon gland heurte sa luette. Mais elle continue, lui faisant franchir sa gorge.

- Glurp! Glurp!

Jess à un haut-le-cœur quand mon gland viole sa gorge, mais elle se retient de vomir. Son nez est contre mon ventre, mes couilles contre son menton.

- Bien, maintenant tu continue à faire aller-et-venir ta tête le long de ma bite, du gland aux couilles!

Une fois encore elle m'obéit, la pauvresse, si seulement Jess savait qu'elle faisait cela pour rien!

J'attrape les oreilles de ma fille, je m'en sers alors pour la faire aller-et-venir sur ma bite au rythme qui me va. Tantôt doucement, tantôt rapidement. Puis je sens le plaisir monter de mes reins. Je m'enfonce au maximum dans la gorge de ma fille.

- Aaaaaaarrrrrrrrrrggggggggghhhhhhhhhhh!!!

Bien que étouffé par mon engin, son hurlement de douleur est puissant. Je me vide d'abord dans sa gorge, puis sur sa langue.

- Slurp! Slurp!

Comme ordonné, ma fille avale tout. Je me retire d'un coup. Un filet de sperme coule de la commissure droite de sa bouche. Jess essaie de reprendre sa respiration, je ne lui en laisse pas le temps. Je la pousse sur le lit, à plat dos. Je me couche sur elle.

- Arrêteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!! Pitié, papa, tu m'avais promis! Tu m'avais...

La fin de sa phrase se termine dans un hurlement. D'un puissant coup de reins hyper-violent, je viens d'arracher son hymen, seau de sa virginité.

- Aaaaaaarrrrrrrrrrggggggggghhhhhhhhhhh!!! Aaaaaaarrrrrrrrrrggggggggghhhhhhhhhhh!!! Aaaaaaarrrrrrrrrrggggggggghhhhhhhhhhh!!! Aaaaaaarrrrrrrrrrggggggggghhhhhhhhhhh!!!

Jess hurle comme une bête blessée a mort quand je la dépucelle.

Je suis en entier dans son sexe. Son vagin me va comme une chaussette en hiver. Un confort maximum! Je le sens palpiter autour de mon pieu, tentant piteusement de me chasser des lieux. Mais je n'en ai cure. Je reste immobile en elle, pas par pitié, non. Je veux la défoncer avec le maximum de puissance, pour cela je laisse le sang de son dépucelage bien lubrifié les lieux ainsi que mon sexe. Pendant ce temps, je malaxe avec force ses deux gros seins, ils sont bien ferme, bien doux. Jess me supplie entre deux cris.

- Papa, sort!!! Pitié... papa, sort de moi... Je... je... suis ta... fille...

Pour tout réponse, je gobe son sein droit, j'en mord le mamelon avec force.

- Aaaaaaarrrrrrrrrrggggggggghhhhhhhhhhh!!!

Son hurlement est inhumain, je lâche son sein, je regarde mon œuvre. Une fine rigole de sang coule de son téton que j'ai légèrement entamé avec mes dents. Je pense qu'il est temps d'accélérer les choses, je me mets à aller-et-venir en elle. D'abord doucement, pour m'approprier son étroit conduit, bien trop petit pour mon engin. Jess crie, supplie.

- S'il-te-plaît , papa!!! S'il-te-plaît, papa!!! S'il-te-plaît papa!!!

Ma fille répète cette phrase comme une litanie, hurlant entre deux. Mais cela n'a pas l'effet escompté, au contraire, ça m'excite vraiment. Je savoure son corps, je la caresse, l'embrasse. Puis je vais de plus en plus vite.

- S'il-te-plaît, arrête!!! arrêteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!

Je viens de pratiquement me retirer de son vagin, avant de m'empaler de nouveau en entier, lui arrachant cette hurlement. Je répète l'opération plusieurs fois, arrachant des hurlements de plus en plus atroce de la part de Jess. Elle n'est plus ma fille, Jess est devenue, pour moi, juste un sexe. Un objet de plaisir, une poupée gonflable vivante. A la chatte accueillante, au trou-du-cul serré, à la bouche de velours. Une vulgaire éponge à sperme, un simple vide-couille. Puis je me mets à la défoncer comme un soudard, massacrant sa chatte encore vierge vingt minutes plus tôt. Je la pistonne comme un malade, comme si je cherchais à la tuer de ma bite devenue couteau, épée, lance. Je lui donne l'impression de vouloir la transpercer, que mon pieu va détruire son estomac, massacrer ses poumons pour lui ressortir par la bouche. Alors Jess fais la seule chose qu'elle puisse faire dans une telle situation de souffrance atroce : Elle hurle. Je sens le plaisir monter de mes reins, je ne vais pas tarder à la remplir.

- Je vais jouir, sale putain!

- Pas dedans, pitié, pas dedans!!!

- Trop tard!

Un orgasme puissant me foudroie quand j'éjacule torrentiellement dans son corps. Jamais jouissance n'a été aussi forte, jamais je n'ai autant éjaculé, même pas dans son cul. En recevant ma semence, le visage déformé par l'horreur, Jess hurle à la mort. Moi je suis au paradis des violeurs.

Je reste de longues minutes, allongée sur le corps de ma fille sanglotante. Elle est secouée de spasme violent, qui branle mon sexe. Me faisant rebander. Jess sanglote atrocement. Spectacle horrible pour la grande majorité des pères, mais tellement excitant pour moi. Je me retire d'elle, de nouveau dur. Un flot impressionnant de liquide séminale sort de son corps. Un mélange du blanc de mon sperme, et du rouge de son dépucelage. J'ai encore envie. Je la retourne sur le ventre, je la mets à genoux. Son trou du cul, qui ressemble à un chou-fleur est encore ouvert. Sa chatte aussi. Je m'enfonce en elle de nouveau, lui défonçant pour la seconde fois sa vulve. Jess hurle comme une malade à ce nouveau viol.

- S'il-te-plaît, papa!!! S'il-te-plaît papa!!!

Cette fois je me mets en mode sauvage immédiatement. Avec trois éjaculations, même avec les pilules, je sais que je vais tenir longtemps. Je la viole en levrette, lui arrachant le maximum de souffrances. Je vais au bout de mon gland, avant de rentrer en un seul coup, en entier. Je lui massacre la chatte à une vitesse hallucinante.

- S'il-te-plaît!!! S'il-te-plaît!!!

C'est la seule chose qu'elle semble pouvoir dire entre deux hurlements. Je la défonce pendant une bonne demi-heure. Puis je jouis une nouvelle fois dans son corps. Mais je ne me retire pas cette fois. Je bande encore, alors je recommence à la violer, restant en elle.

- Stoooooooooop!!! Papa, pitié, arrête!!!

Je ne lui répond même pas, je n'ai cure de ses suppliques. Je la défonce comme un fou, la faisant hurler plus fort, allant plus loin en elle. Je lui écartèle le vagin, lui défonce le col de l'utérus. Ma fille à un petit vagin pour son plus grand malheur, en levrette, mon gland entre dans son utérus, lui provoquant une douleur innommable, des hurlements tellement démentiel qu'ils sont indescriptibles. Je la viole longtemps, me retenant au maximum de jouir en elle, faisant durer le plaisir, enfin mon plaisir, car pour Jess...

Je la remplit de nouveau, en criant. Cette fois je me retire, m'allongeant sur le dos, reprenant mon souffle. Jess, terrassée se couche en chien de fusil. Pleurant à grands sanglots, tremblant de tout son corps. Son corps est couvert de sueur, ses cheveux collent à son front, ses épaules, elle est dans un bien triste état. Mais je bande encore, la pilule fais toujours effet, un effet qui en est même à son maximum.

- Empale-toi sur moi!

- Pitié, papa, pas comme ça...

- J'ai dit empale-toi sur moi!

- Je peux pas... Pas comme ça... Pitié... Papa... Je... Je... suis... ta... fi... fille...

Pour toutes réponses, je la retourne sur le dos, je lui enfonce deux doigts dans son cul. Jess cabre et hurle de douleur. Je rajoute un doigt, la forçant à une vitesse folle.

- Tu vas obéir ou je met ma main en entier!

Je retire mes doigts de son cul.

- Alors soit tu viens t'empaler sur ma bite, et tu me regarde dans les yeux jusque à ce que je jouisse, soit je te fist l'anus à deux mains.

- Pitié...

Je lui enfonce de nouveau trois doigts dans le cul, arrachant un nouvel hurlement de mon enfant.

- Je ne veux pas de supplique. Alors?

- D'accord, je ferais tout ce que tu veux, mais plus par derrière, pitié, plus par derrière!!!

- C'est OK tant que tu obéiras.

Jess ne m'a pas répondu, mais j'ai compris qu'elle m'obéirait, que j'avais gagné. Elle a enjambé mon corps. Ses yeux rougis par les larmes plongeant dans les miens. Jess a du mal à soutenir mon regard, détournant de nombreuses fois les yeux. En tremblant, elle attrape mon pieu dressé, descend dessus. Ma fille gémit quand elle s'empale sur mon gland, mais elle descend, pleurant comme une folle, mais s'empalant complètement sur moi. J'ai saisit ses merveilleux gros seins fermes, tenant droit tout seul en défiant toutes les lois de la gravité, je les aient malmenés, torturés, tandis que ma fille monte et descend sur mon chibre. Quand j'ai voulus plus de force, plus de violence, je l'ai plaqué contre mon torse, je me suis mis à la défoncer comme cela, jouant avec mes reins et mes jambes. Une nouvelle fois j'ai jouis en elle. Jess est restée empalée sur moi une fois que je me suis vidé.

- C'est bon, j'ai fini, tu peux te retirer.

Comme une zombie, ma fille se désempale de ma bite. De la semence coule de sa vulve sur mon corps. Elle se met à genoux, pleurant fort, ses mains sur ses yeux.

- Ma bite n'est pas propre, j'ai du sperme sur mon ventre. Lèche!

Vaincu, Jess se penche vers moi, elle lécher d'abord ma bite avant de lécher mon ventre. Une fois propre je l'ai repoussé. Je me suis levé du lit.

- Je vais pisser, attends-moi!

Elle ne m'a pas répondu. Je suis allé uriner, une fois de retour dans la chambre je suis allé à la table de nuit, j'ai pris une boite de pilule sexe-dur et j'en ai avalé une. J'ai rebander immédiatement.

- Écarte les cuisses!

- Papa... je... Je n'en... peux... plus... Je... Je... suis... si... si... fatiguée...

- Ta gueule. Écarte tes putains de cuisses j'ai dis! Puis tu te fous de moi, tu n'as que vingt ans, on en est qu'à l'apéritif, tu ne peux pas être fatiguée. Maintenant ouvre tes jambes où je t'encule!

Alors anéantie, Jess à obéit Je me suis couché sur elle et j'ai de nouveau violé son vagin aux chairs tuméfiés. Lui faisant reprendre le rythme atroce de ses hurlements.

Je n'ai pas compté le nombre de fois où je l'ai violée, alternant sa chatte et sa gorge. Jouissant sur son corps, son visage, ses cheveux. Mais aussi et surtout dans son vagin. Par contre j'ai tenu parole, je ne l'ai pas sodomisée de nouveau. Pour cette fois du moins. Jess à encore pissée deux fois, elle à même vomit une fois par terre, penchant la tête sur le côté du lit, tandis que je détruisais une nouvelle fois sa chatte.

Quand j'en ai eus marre, j'ai regardés l'heure, il était dix-neuf heures trente, j'ai violé Jess pendant plus de huit heures d'affilés. Merci les pilules. Avant de partir, j'ai ramassé mes habits. Puis la main sur la porte je lui ai laissé des ordres.

- Demain, avant toutes chose, tu nettoiera ta chambre. Ensuite tu pourras prendre une douche. Surtout ne reste pas au lit en faisant semblant de dormir, je viendrais plusieurs fois vérifié, et si je vois que tu veux m'escroquer, gare à ton cul. Une fois propre, tu descendra déjeuner, nue! Compris?

- Oui...

- Oui, qui?

- Oui papa...

- Bien.

Je suis enfin sortis de la chambre de ma fille. La laissant à son enfer.

Je suis aller prendre une douche, puis je suis descendu au salon. J'ai pris mon téléphone. Une voix me répondis juste après la première sonnerie.

- Allô?

- Bonsoir, je suis le père de Jess.

- Bonsoir. Enchanté.

- Nous ne nous connaissons pas, j'aimerais que cela change, pourquoi ne pas venir dîner après-demain soir.

- Vous devez-être au courant, ma femme m'a quittée et je n'ai plus de nouvelle de ma fille...

Je lui ais coupé la parole.

- Justement, je pourrais avoir des nouvelles intéressante pour vous.

- C'est à dire?

- C'est une surprise. Venez et vous verrez.

- Quelle heure?

- Vingt heures, après-demain soir.

- Parfait, j'y serais.

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