Dérapages. 07

BÊTA PUBLIQUE

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A cette idée, son cœur se mit à saigner, serait-elle insensible au point d'infliger tout ça à Anne? Non, elle est une bonne fille, elle doit se montrer courageuse et serrer les dents, tant pis pour les conséquences. Pour sa chérie adorée, elle va tenir, elle va résister, elle ne doit pas faire son malheur... Dans sa douleur atroce, dans sa souffrance incroyable, le cerveau tellement embrumé par l'horreur, ma fille à oubliée, comme je l'avais parié, la trahison de Anne avec Paul.Sa petite rondelle, toute petite, toute renfermée, qui mesure à peine, je ne sais pas, même pas deux centimètres, sa rondelle ne s'ouvre pas assez pour accueillir ma queue qui est presque aussi large qu'une canette de coca. Sentant l'imminence de la défloration, je forces toujours plus, je forces encore, attisant avec rage la brûlure autour de son anus en totale panique. En regardant derrière elle, Jess vois ses deux petites fesses en train d'accueillir malgré elles une bite, oui, une bite, tellement grosse qu'elle semble aussi large que chacune de ses fesses. Jess sent bien que tout est trop petit, trop serré, trop neuf pour espérer accepter cette énormité sans séquelles...

Et puis soudain, l'irréparable. Sous l'effet d'un coup de reins plus hargneux, le bout de ma queue arrive à ses fins, et s'infiltre à coups de machette au centre de son sphincter, la faisant hurler une nouvelle fois dans ma main, moi son tortionnaire, qui ne se laisse plus surprendre en la bâillonnant efficacement. La sensation de mon intromission lui donne le tournis, mélange de douleur, d'incrédulité et de surprise. Jess se sent percée, comme si une pointe de couteau venait de s'introduire en elle, au plus profond de son corps. Une fois le bout rentré dedans, même d'aussi peu, plus rien ne peut le freiner dorénavant et l'inévitable se produit. Sous une ultime poussée, son anus écartelé émet un bruit sinistre, comme un claquement, une dislocation, une déchirure. Jess ne le saura que plus tard, mais les muscles de son sphincter viennent littéralement de se déchirer. Ce bruit la terrorise et l'instant d'après, une douleur extrême l'électrise, explosant dans son trou du cul, avant de se propager le long de sa colonne vertébrale puis dans tout son corps, lui faisant contracter ses cuisses, ses mollets, ses orteils comme jamais, tentative si vaine pour expier ce concentré de souffrance qui se dilue en elle.

Le barrage cède alors complètement, son anus capitule, mon gland la perfore sauvagement, ma bite se rue à l'intérieur de son petit corps à toute vitesse. Maintenant que la tête est passée, il rentre en elle comme dans du beurre, plus rien ne me résiste, son cul est perforé par ma toute-puissance, ma bite défonçant tout sur son passage, écrasant tout, cassant tout à l'intérieur.

Comble de l'horreur, elle me sens progresser dans son corps, comme un tsunami rentrant à l'intérieur des côtes, et maintenant la douleur la submerge. J'investis chaque recoin de ses villosités, Jess sent son rectum s'écarteler de plus en plus profondément, elle est complètement tétanisée tellement la pauvrette à mal. Là, tout de suite, elle a juste envie que tout s'arrête, qu'elle puisse se relâcher, ou même que la jeune femme je s'évanouisse pour se libérer. Elle ferme les yeux et elle prie, Jess prie comme jamais, elle prie avec une ferveur démente pour être libérée de cette horreur, mais rien ne vient. Elle est désespérée. "Où es-tu, Dieu, pourquoi l'a-tu abandonnée?" Pourquoi son corps, ce corps qui n'a jamais rien reçu de sa vie, ce corps encore tout frais, ce corps de jeune femme pas encore en état de recevoir un tel membre sodomite, se retrouve maintenant empalé par cette bite disproportionnée?

- Et c'est pas fini, j'en ai rentré que la moitié!

Je la prévient alors que je la sens hurler de plus en plus fort. « Que veut-il dire? Ne trouve-t-il pas qu'il m'en a déjà assez fait baver comme ça? » pense Jess. Elle se sent déjà sur le point d'éclater, et elle est terrorisée à l'idée que je veuille en entrer plus loin dans ses entrailles. La fille espère un instant qu'il va se raisonner, l''épargner dans un ultime sursaut d'humanité, mais une pression forte et constante au fond de son rectum lui signifie avec sécheresse que ses espoirs vont être déçus. Je force, et force tout au fond, j'avance, et chaque millimètre de gagné est un pas vers la reddition de son sigmoïde qui souffre, des choses bougent à l'intérieur d'elle, ses organes, ses viscères, la femelle les sent se disloquer sous la contrainte pour se conformer au désir de sa bite de les aligner bien droit autour de mon membre raide comme du bois. Mon ventre plane à quelques centimètres au-dessus de ses reins, et dans une ultime poussée, je m'écrase de tout mon poids sur elle. Son anneau intérieur cède alors, ses boyaux se distendent et dans une convulsion réflexe inappropriée due à sa souffrance, ses fesses remontent malgré elles d'un seul coup vers le haut, précipitant la pénétration totale de mon membre à l'intérieur de son corps.

- Putain j'y suis! Et c'est ton cul qui s'est empalé tout seul sur ma queue! Espèce de chienne, tu aimes ça alors?

Je la torture verbalement alors qu'elle n'est plus qu'une plainte, une plaie béante, une chair à vif. Jess ne bouge plus, son esprit est déjà très loin, et nous sommes maintenant dans une posture grotesque, sculptée par l'horreur du supplice. Un petit morceau de chair tendre à plat ventre, elle, écrasée par une masse de muscles bestiaux, moi, son père, immobilisé par ma queue dans son cul, ancrée comme un hameçon géant dans la chair de ses entrailles. Nous ne bougeons plus, la scène est comme figée, mais à l'intérieur, tout son corps hurle à la mort.

Je suis rentré en totalité, je me fixe en elle, le souffle court, la peau exsudant un mélange de sueur aigre et de vapeurs d'alcool. Je fais une pause. Jess se sent complètement compressée de l'intérieur, elle a ce truc là planté en elle, il fait partie d'elle. Ma fille a comme l'impression d'avoir une grosse constipation, ses organes distendus à l'extrême, sa respiration s'emballe mais plus elle essaie d'avaler de l'air, plus ça a tendance à rétrécir son trou du cul, ça lui déchire tout à l'intérieur, coupant sa respiration. Elle a l'impression d'avoir ma grosse bite jusqu'au niveau de sa gorge, elle ne respire plus, ne bouge plus. Elle a beau être grande pour une fille, en proportion ma longueur remonte très haut dans ses entrailles, bien au-dessus de ses reins. Jess essaye de ne pas trop bouger pour ne pas faire de mouvement brusque par crainte d'avoir le trou du cul tout arraché par mon hameçon. Elle ne sent que trop bien la paroi de son trou du cul serrer cette grosse bite.

Mon enfant n'a qu'une envie, la refouler et dans un élan de courage, pour faire cesser la douleur, cette conne me serre encore plus pour m'expulser de son fondement. Avec l'énergie du désespoir, elle se contracte en serrant son cul de toutes ses forces, mais la douleur qui la foudroie est intolérable, sans doute la conséquence de sa déchirure. Jess abandonne aussitôt, vaincue par la souffrance, et, comble du comble pour elle, cela m'excite :

- Oh oui, j'adore quand tu me branles avec ton cul! T'es une vraie chienne en fait!

Tout le contraire de l'effet escompté, la double peine même car en se relâchant, Jess sent la douleur l'envahir à nouveau. Qu'elle ouvre, qu'elle ferme son trou du cul, ça lui fait extrêmement mal, et après cet acte de bravoure, dès qu'elle inspire ou que Jess expire, l'effet est terrible car par réflexe son anus se contracte et se dilate en cadence, lui arrachant des hurlements à chaque pulsation.

« Mais comment un être humain peut-il infliger tout ça à un autre être humain? Ne sent-il pas que je suis toute fragile et qu'à chacun de ses gestes il peut détruire quelque chose à l'intérieur de moi, quelque chose qu'il peut abîmer, casser, fracasser, déchirer? » pense la jeune femme horriblement violée.

C'est alors que pour Jess se profile le pinacle de l'horreur. Sans que ma fille ne me demande quoi que ce soit, j'enlève mes mains de sa bouche et les pose sur ses hanches. Elles sont si grosses qu'elles font le tour de sa taille et la maintienne fermement contre le matelas en s'appuyant dessus, ce qui a pour effet de la cambrer encore plus. Je commence alors à sortir de son cul. « Il s'en va. Enfin! » pense Jess. Ma fille se détend un peu, la douleur de l'extraction étant atténuée par la perspective de sa délivrance proche. Jess voit la fin du tunnel, ma queue quasiment sortie de ses reins... mais quelle horreur pour elle, me voilà en train de serrer sa taille plus fort, je la fixe au matelas, me tend, puis je me replante d'un coup de reins rempli de haine. Ses dents s'entrechoquent, elle a l'impression qu'une bombe atomique vient de dévaster ses entrailles. Sa détresse est totale. Puis je ressort. Je la maintient puis je rentre de nouveau en elle, comme un fou, ma enfant ressent ma chose tout au fond de son corps, au niveau de son cœur. L'horreur vient de franchir un nouveau palier, Jess comprend alors que son calvaire vient réellement de commencer.

A chaque explosion au fond de son rectum, sa douleur augmente. A chaque coup de reins, sa résistance faiblit. A chaque coup de bélier, sa conscience s'éloigne. C'est alors que son corps, ce petit corps de jeune fille menu, qui a déjà tant subi, ce corps encore tendre commence à la lâcher. Des décharges électriques provenant de son derrière lui font arquer le dos, jusqu'à se cambrer d'une manière involontairement obscène pour une fille victime d'un viol atroce. Une cambrure à angle droit qu'elle ne revit que bien plus tard dans des films pornographiques, où des actrices rodées adoptaient des poses indécentes en se faisant saillir comme des truies. Son corps est arqué à tout rompre, ce qui me donne l'impression qu'elle s'offre à moi.

- Oui comme ça, donne-moi ton cul!

Ma fille n'a rien envie de me donner, en fait c'est tout le contraire, elle est parcourue de frissons terrifiants, et c'est tout son corps qui est maintenant pris de spasmes, rectum et anus y compris. Elle voudrait tellement m'évacuer! Jess aimerait tant que je me retire, que je sorte d'elle. Je suis tellement bien dedans, je suis parfaitement serré, le meilleur cul que j'ai eus de ma vie. Mais de toutes façons il est trop tard, son corps échappe à son contrôle, il expulse comme il peut le trop-plein de souffrance qui lui est injectée, en se cambrant comme le ferait la pire des catins impatiente de se faire saillir. Une défense dérisoire, en puisant dans ses ultimes ressources une énergie qu'elle ne soupçonne pas, Jess commence à s'agiter de manière désordonnée. Chaque muscle, chaque articulation se tend dans une tentative désespérée de m'échapper, telle une pauvre petite poupée de chair disloquée par la douleur. Cette situation lui paraît inextricable tant qu'elle n'est pas arrivée à son terme, quand cela cessera-t-il? Elle essaie de s'échapper, mais une fois planté dans ses fesses, elle a beau bouger, se débattre, quand on est petite on ne peut pas s'en échapper. Et Jess subit, et subit, et subit encore... Je détache les menottes de ses poignets, ma fille n'a pas la force de se débattre.

Sous l'effet de la douleur infligée par ma grosse bite qui laboure son rectum, tout son corps n'est plus que spasmes, contractions réflexes et hurlements. Ces contractions, dont la fille se souviendra toujours, parcourent la surface de sa peau, mais également chacun de ses organes, y compris son côlon, son rectum et son anus. Comble de malchance, ces pressions aléatoires sur ma queue me procure, à moi, son père des sensations inouïes, ce que je lui fait bruyamment savoir :

- Ton cul branle ma bite, putain t'es une vraie salope, déjà à ton âge! Tout juste vingt ans, lesbienne, et tu adore te faire violer le cul! Tu dois-être une hétéro refoulée!

Je rigole de ma propre blague. Bien entendu, je ne crois pas ce que je dis, mais l'important ce que ma fille pense que je le crois. Et plus elle se débat, plus elle se serre, plus elle essaye de m'empêcher d'investir ses entrailles, plus au contraire je m'enfonce, je progresse, je me fraye un chemin là où il n'y en avait pas, mon envahissement facilité par ses spasmes incontrôlables. Moi, tout à mon plaisir, je me branle maintenant dans son cul, oubliant complètement la fragilité de son petit corps, je la baise comme on baise une femme mûre, pire, je la baise comme on baise une sale pute, sans respect, sans douceur, sans égards, juste pour son plaisir. Son corps désarticulé cherche de l'air, ses yeux roulent dans leurs orbites et tout d'un coup, Jess me sent grossir à lui faire éclater sa muqueuse anale,je durcit encore, mais surtout, pour son plus grand malheur, j'accélère.

- Maintenant ma petite Jessica chérie, je vais te bourrer comme une chienne en chaleur, tu vas voir, attends-toi au pire!

Le dénouement est proche. Chacun de mes mots la gifle comme un coup de poing. Comment moi, son père chérie, son père adoré, peut-il lui faire cela. Mais le pire, c'est que la douleur la fait tellement hurler, qu'elle ne peut rien me dire. Jess ne peut faire qu'une chose, crier, et crier et encore crier.

Elle me sent tendu à l'extrême, et ma fille à la nette impression que tout son corps enfle, que tous ses muscles se bandent, y compris ce que j'ai enfourné à l'intérieur d'elle. L'éclatement est proche, et, bien qu'elle ne connaisse rien aux choses du sexe avec un mâle, elle pressent l'imminence de l'horreur. La panique, la douleur, l'impuissance atteignent leur paroxysme, Jess n'est plus que spectatrice de sa dislocation. La pauvrette à l'impression qu'elle va mourir, que tout son corps va exploser de l'intérieur et que des morceaux de sa chair vont tapisser les murs de la chambre. Mes coups de boutoir s'intensifient dans son rectum, des va-et-vient terribles qui lui donne la sensation d'être perforée par un marteau-piqueur.

Je me crispe maintenant sur elle, l'empêchant de respirer, j'enfonce cruellement mes doigts dans ses gros seins ferme, et dans un hurlement de bête, je lui inflige un coup de rein d'une violence inouïe, concentré de haine et de perversité, qui lui donne le coup de grâce, signifiant la mise à mort de la suppliciée. Sa vessie n'y résiste pas, Jess fait pipi dans le lit sans pouvoir s'arrêter, ma fille se répands dans ses draps, son corps ayant perdu tout contrôle.

- Et en plus t'es une fontaine! Petite salope!

Jess ne comprends rien, mais elle trouve que j'ai l'air encore plus excité. Telle une épée rentrant dans son fourreau, je bute au fond d'elle, bousillant ses entrailles et arrachant ses muqueuses.

- "Aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaarrrgh!"

Jess hurle à mort, et au milieu de ce maelstrom de douleur, sa crispation devient totale, je la laboure frénétiquement, arrachant tout à l'intérieur, je gonfle, mais je gonfle! La jeune fille de vingt ans à l'impression de mourir de douleur, de mourir du cul, de mourir tout court. Puis elle m'entend de très loin hurler comme une bête sauvage, alors Jess sent une chaleur nauséabonde envahir le fond de ses entrailles. Au début elle ne comprend pas ce qui arrive, c'est comme si je faisait pipi à l'intérieur de son corps, en plus sec, en plus crispé, en plus sauvage. « Quelle horreur mon père vient encore d'accomplir? » se demande ma fille. Quelques soubresauts la secoue encore, quelques contractions à l'intérieur de son corps martyrisé, massacré. Le pire c'est cette sensation de tiédeur nauséabonde qui se répand au plus profond de ses viscères... On dirait que je me détend complètement maintenant, je reprend ma respiration en relevant mes épaules, je m'écarte de son corps comme on laisse une serpillière sur le sol après l'avoir souillée.

Puis je commence à me retirer,je m'extrait de ses viscères avec une lenteur cruelle, volontaire. Ma douce fille tord le cou pour voir ce que je fait, elle pleure comme une madeleine. Elle voit sortir de ses entrailles une grosse masse flasque et visqueuse. Sa sortie lui fait l'effet d'une déchirure à l'envers, comme une chaussette que l'on retourne, chaque millimètre d'extraction lui arrachant des lambeaux d'elle-même, qui adhèrent à mon membre velu. Après le sommet de douleur que Jess vient de vivre, cet accouchement rectal lui fait l'effet d'une évagination à vif, le passeport qui annonce la fin de sa torture se monnayant cher sur l'échelle de la douleur. Je la libère enfin de mon étreinte en lui léchant le visage, je me remet debout en contemplant mon œuvre, je la laisse comme morte sur le lit, en chien de fusil, recroquevillée sur elle-même comme si Jess essayait de retenir ce qui s'échappe de son corps. Un liquide puant d'une couleur indéfinissable coule alors sur le côté, mélange de blanc laiteux, de rouge sang et brun sale formant une liqueur immonde, se répandant à gros bouillons sur les draps roses dans un gargouillis infect provoqué par les spasmes de ses intestins distendus.

Malgré ma sortie, la douleur est tenace, et irradie toujours dans son fondement. Sa main fiévreuse part à la recherche de son trou du cul, palpe doucement les contours de son anus. Sa main a beau chercher, elle ne le trouve pas, découvrant avec horreur que la peau de son œillet brun hermétiquement serré a laissé place à une béance distendue, sans aucun ressort, sourde à ses injonctions et incapable de se refermer malgré tous ses efforts.

- J'espère que tu as compris la leçon!

« Quelle leçon? Pour quelle bêtise? Pourquoi? Pourquoi moi? Pourquoi mon père m'a-t-il fait cela, » Toute ces questions explosent dans la tête de Jess, tandis qu'elle gémit encore de douleur, incapable de parler.

Je sors alors de la chambre pour prendre une douche, mais je compte revenir immédiatement après. Jess se sent honteuse, humiliée au plus profond d'elle-même, souillée par ce venin qui s'écoule de son corps, et dévastée par l'injustice de la situation, par son impuissance face à ma volonté. Mais surtout pour la totale dévastation de ses viscères. Jess se dit qu'elle aurait dû m'en empêcher, mais elle n'a rien pu faire, elle n'a rien fait, et elle en paye le prix. Elle est une mauvaise fille qui a été punie de la pire des manières, Jess n'est plus que douleur, une douleur qu'elle ne pourra jamais oublier. Douleur physique, douleur psychique, étroitement imbriquées dans un souvenir qui restera gravé dans sa chair à tout jamais. Elle vient de grandir trop vite, trop durement, trop violemment. Jess que j'ai toujours protégée, vient de brutalement découvrir ce que l'espèce humaine peut avoir de plus sombre. Une intuition se fait jour dans sa tête, son innocence envolée et sa joie de vivre soufflée, elle a désormais la conviction terrible que sa vie sera un enfer à partir de ce jour. Jess, ma fille chérie ne sait pas encore à quel point elle se trompe.

Quand je reviens dans la chambre, Jess est toujours couchée en chien de fusil, son anus toujours ouvert, laisse encore échapper mon sperme. Je rebande immédiatement en la voyant. Jess qui gémit toujours de douleur. Ma fille ne m'a pas entendu rentrer, elle tourne le dos à la porte. Son corps est encore secoué des spasmes provoqué par le viol que j'ai commis. Le fait que ce soit moi, son père, est encore plus traumatisant pour elle. Je m'approche du lit, tend le bras. Quand je lui touche l'épaule, Jess sursaute.

- Pitié, pas encore.

Jess a à peine murmurée, parlant dans un souffle, entre deux sanglots et deux gémissements. Je grimpe sur le lit, je la tourne sur le dos. Jess n'a pas la force de me regarder, ses yeux se détournent de moi, regardant sur le côté. Je lui écarte les cuisses, je me couche sur elle. Jess semble alors revenir à elle, tentant de se débattre, me suppliant.

- Pas ça papa, pitié, je suis vierge!

- Plus pour longtemps, je vais faire de toi une femme et jouir en toi...

- Nooooon!!! Je ne prends pas la pilule!

Jess tente de nouveau de se débattre, mais elle a du mal à cause de la douleur provenant de son anus. Je lui rabat les poignets au-dessus de la tête, les maintenant d'une main. J'appuie mon pénis contre l'entrée de son vagin.