De Maître à Esclave Ch. 02

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Je m'enfonce tout seul pour mon malheur
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/27/2022
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Elle me donnait rendez-vous pour la nuit prochaine, j’allais être épuisé moi qui avait besoin de mes 9 heures de sommeil! Et exigeait que je lui envoie une copie de ma carte d’identité d’ici là. Son ordre ne souffrait pas de discussion et depuis le début je ne faisais que répondre à ses questions sans jamais en poser, sentant qu’il n’y aurait de toute façon aucune réponse. Mais là cela me fit réfléchir, c’était un cap, une étape, et surtout une sortie de l’anonymat qui ne correspondait pas trop aux us et coutumes de ce genre d’échange.

J’hésitais à lui exprimer cela, j’avais peur de la perdre. Personne ne s’était autant intéressé à moi et à mon histoire de ma vie, je me sentais totalement connecté avec elle, et je perdais un peu de vue tout contrôle. Je lui souhaitais une belle nuit, me disant que j’avais le temps d’y réfléchir. Certain de ne pas le faire en me couchant à côté d’Isabelle endormie. Du moins je la croyais endormie, elle ruminait sa colère ainsi que quelque chose de nouveau en elle, une pointe d’excitation qu’elle découvrait, de prendre un certain contrôle, et de maîtriser la situation. Je mis du temps à m’endormir, très excité moi aussi par la situation, tout en me demandant comment j’allais pouvoir faire pour progresser dans cette relation avec la question de la carte d’identité en suspens. C’était très risqué mais en même temps l’adrénaline était amusante.

Isabelle était toute aussi nerveuse et pensive. Elle ne savait pas si elle espérait que je n’envoie pas ma carte d’identité et du coup mette fin à la relation, ou bien que je continue et pouvoir voir ce que j’avais vraiment dans le ventre. Elle savait simplement que plus rien ne pourrait être comme avant, se demandant si elle aurait la force de repartir à zéro dans une nouvelle relation. En même temps elle en avait plus que marre des hommes et ne se voyait pas recommencer, ni non plus prendre une vie vanille qui était mortifère pour elle.

Le changement d’attitude que j’avais était une évidence, et elle fut vraiment surprise de sentir que je n’étais plus du tout dominant pendant la journée qui suivit avec elle. J’étais tellement ailleurs, perdu dans mes pensées, mes réflexions, mais aussi épuisé par cet échange. Cela confirma à Isabelle que c’était une bonne idée de me fatiguer, je perdrais ainsi toute lucidité. Et finalement j’arrivais très bien à peu dormir quand il y avait une bonne raison. En me regardant, elle réalisa d’un coup qu’elle ne m’aimait plus, mais alors plus du tout. Pas tant qu’elle voyait un étranger, au contraire, elle me sentait encore plus que jamais. Elle avait certes de l’affection ; beaucoup, mais plus jamais son cœur ne pourrait battre la chamade, cela était une illusion qui s’était dissipée ces 24 dernières heures.

Cela aurait du l’attrister, mais curieusement elle se sentit libérée, d’une emprise qu’elle avait tant désirée, mais qui aujourd’hui ne lui était plus utile. Elle aussi était épuisée, mais sentit une profonde joie émerger de sa déception et de sa désillusion. Elle relu pendant la journée les différentes histoires que je lisais récemment, s’imprégnant de ces récits et de ces émotions, neuves pour elle, se remplissant d’une certaine violence en repensant à tout ce qu’elle avait pu m’offrir pendant sa soumission, et finalement ne doutant plus que j’enverrai le document demandé. Elle se caressa sur un récit d’un mari cocufié par sa femme et réduit à l’état de larbin, dans un orgasme qui la laissa dévastée et surprise. Jamais lire un tel récit ne lui serait venue à l’idée et le thème lui aurait semblé incongru. Pourtant cela avait été ravageur, et elle sentit son corps faire des bonds comme jamais.

J’étais bien entendu au rendez-vous à 23h, ayant envoyé ma carte d’identité bien plus tôt dans l’après-midi. Je me sentais vulnérable, à la fois par cette carte mais aussi par la fatigue. Je remarquais tout de suite un changement de taille, mon interlocutrice se mit à me tutoyer et à exiger des majuscules quand je faisais référence à Elle. Les ordres étaient secs, c’était net et sans bavure. C’était excitant. Pendant la première heure, elle me fit décrire ce que j’aimais et recherchais, me faisant distinguer l’excitation du plaisir. J’étais en effet excité d’être battu mais sans y prendre du plaisir. C’est la première fois que je comprenais et touchais du doigt ce distinguo.

Je lui avouais ainsi mon fantasme de vivre enculé en permanence, avec des plugs de plus en plus imposants, d’être battu et maltraité, de manger comme un chien, de dormir aux pieds de ma Maîtresse, de lui servir de toilette, y compris pendant ses menstrues. Elle me trouva immonde de désirer cela, non par plaisir car j’étais dégoûté, mais par excitation et une humiliation extrême. Elle me demanda si j’étais prêt à porter des marques permanentes et visibles de mon état. Dans l’excitation, mon sexe dur comme de l’acier, j’acquiesçais. J’étais comblé par ses demandes.

Elle me demanda pour la première fois si j’avais des questions, m’en autorisant une seule. J’hésitais longuement, puis je lui demandais si elle pensait sérieusement qu’elle pourrait m’accepter comme esclave? Isabelle fut surprise de cette question, qui allait bien au-delà du fantasme. Je semblais terriblement fébrile d’un coup et surtout très sérieux. Elle perçu très clairement que j’avais basculé bien plus vite que moi je ne le sentis, que le jeu m’échappait et qu’elle avait toutes les cartes en main. Elle voulut d’abord répondre simplement oui pour continuer à me tester, mais, perversement, préféra me mettre sous pression en répondant qu’elle n’était pas encore convaincue, que je ressemblais à un souminateur qui a juste envie de se faire plaisir, et que le fait que j’ai une soumise comme femme rendait les choses impossibles à son humble avis.

En tant que Maîtresse, elle ne souhaitait pas s’embarrasser de ma soumise, ni que ce soit une contrainte. Me demandant alors ce que je pensais faire de cette relation. La fatigue, l’excitation également me firent commettre une erreur funeste. Je répondis que c’est vrai que c’était contraignant, mais que ce qu’elle recherchait comme esclave correspondait à ce que je rêvais depuis toujours et que je ferais en sorte de me donner les moyens de le vivre. Interloquée Isabelle me demanda si c’était jusqu’à quitter ma soumise et mes filles. Je répondis oui. Isabelle pleura de rage en lisant ma réponse. Même si elle avait beaucoup évolué ces derniers jours à échanger ainsi avec moi, me lire ainsi était insupportable. Se référant à maintes histoires que je lisais, elle comprit qu’il fallait qu’elle renverse la situation et prenne le contrôle. J’étais un minable et ne méritait aucun respect ni considération. Elle mit du temps à répondre, prenant soin de son message :

« Esclave,

A partir de maintenant considère que tu es en test pour venir ramper à mes pieds et vivre la vie misérable que tu mérites. J’avoue n’avoir que dégoût pour tout ce que tu as pu faire de ta vie, toutes ces personnes que tu as trompées. Tout comme ton physique qui est tout rempli de fatuité et de suffisance, et de gras. Si je te prends, ce sera pour venger toutes ces femmes, sache alors que ta vie ne sera que contrainte et souffrance, ce que tu cherches me dis tu? Tu n’auras aucun contrôle et tu perdras tout, y compris ton identité. Tu ne mérites aucune pitié, et tu le sais parfaitement.

Je veux que dorénavant tu m’envoies un message au moins toutes les heures, jour et nuit, me parlant de toi, de tes pensées, de ton excitation, de ton désir. Interdiction de te toucher le sexe, mais j’avoue ne pas avoir confiance en toi pour cela. Tu iras sur le site de la cage de chasteté et tu t’en commandes une en métal, modèle chili. La longueur réduite de 2 cm, et toutes les autres mesures au plus juste. Tu prends les pointes de discipline. Tu te débrouille comme tu veux, la commande doit partir dans la journée, tu m’en feras une copie, et tu dois la recevoir d’ici une semaine. Propose de payer ce qu’il faut pour cela, pour passer devant la liste d’attente. Inutile de te dire que la moindre désobéissance me fera disparaître, mais aussi envoyer une copie de tous tes mails à ta soumise. Laisse-moi d’ailleurs tes différents mots de passe mail ou sur les chats. N’oublie rien d’important, je serais intraitable. Si tu me résistes je te détruirai.

Pour demain soir 23h, je veux que tu m’envoies une photo de tes cuisses marquées chacune de 10 traces de badine. Je veux pouvoir les compter sur la photo. Pas de photoshop, mais de vrais et grands coups. Je ne sais pas comment tu vas te débrouiller, et je m’en moque.

Je vais me coucher, mais pas toi. Tu vas faire la photo demandée, et je veux que tu m’envoies un message toutes les 10 minutes jusqu’à 4 heures du matin, puis un toutes les heures comme tu devras le faire. Le moindre manquement provoquera une punition.

Noir Désir »

Instant de panique, elle est rentrée dans le vif du sujet. Ce que je lis me glace d’effroi, je me demande comment je vais faire. Pas du tout si je vais le faire, c’est une évidence. Un message toutes les 10 minutes, cela ne me laisse pas le temps de faire quoi que ce soit. Je tremble de fébrilité, d’envie, de peur, je suis perdu, épuisé déjà.

Je rentre à pas de loup dans notre chambre, Isabelle dort, enfin elle me donne cette impression, et je prends la canne dans notre coffre à rangement, pour me faire les marques. Je ne me suis jamais battu moi-même, c’est assez bizarre. Je n’ai que le temps de sortir de la chambre pour envoyer un nouveau message à Noir Désir. Puis je me précipite dans la salle de bain, je suis déjà nu. Je prends la canne et me frappe violemment la cuisse, sachant qu’il faut viser au-delà de la chair pour que le coup porte. La douleur est terrible, je manque hurler, je pense que la marque sera belle. Cela aurait du me rendre ma lucidité, mais au contraire cela ne fait qu’allumer mon masochisme. Je me fais un honneur de frapper aussi fort les 19 autres coups, espérant que la photo rendra bien compte de mes chairs gonflés.

Je ne réalise qu’après que je suis toujours en slip ou nu dans la maison et qu’Isabelle ne pourra manquer de voir mes marques! Il me faudra absolument penser à mettre un pantalon pendant quelques jours. C’est humiliant, pourtant mon sexe est dur comme l’acier, je prends bien soin de ne pas le toucher. Nouveau message pour lui décrire mon état d’esprit, l’expression de mon masochisme, ma hâte d’être bien encagé et ainsi à sa disposition. J’envoie les photos, elles sont très réussies, je suis bêtement fier de moi. Il est deux heures du matin, il me reste encore deux heures pour essayer d’avoir un peu de sommeil ensuite.

Quand je me lève à 9 heures, je suis un zombie, Isabelle me fait remarquer mes yeux rouges et me demande si tout va bien. Je la sens inquiète, je la rassure, reste au lit malgré mon envie d’uriner, ne voulant pas prendre le risque qu’elle voit les marques. Toutes les heures j’envoie un message, qui m’ancre chaque fois un peu plus dans mon désir d’extrême, je mets des mots que je regretterai plus tard, sur mon désir d’un dressage de folie, d’une vie de contraintes et souffrances continues.

L’achat de la cage de chasteté se révèle plus ardu que prévu. Si je trouve bien le modèle et me débrouille pour prendre mes mesures, je passe ma commande en suivant les exigences, soit une cage très ajustée mais trop courte avec des pointes de discipline. La difficulté c’est que le délai annoncé est de 6 semaines. Il me faut discuter longuement avec le responsable qui est inflexible, et j’en suis réduit à lui payer une cage 5 fois son prix normal pour qu’il accepte de me la faire rapidement. Il me dit qu’il va la faire là et me l’enverra demain. Je tiens bien entendu mon interlocutrice au courant et la fatigue me maintient dans un état de fébrilité extrême, attendant 23h avec plein de désirs mais aussi plein de peurs : est-ce que je tiendrai les prochaines étapes?

Jamais je n’ai été aussi impitoyable avec une soumise! A 23h j’ai l’agréable surprise de trouver un email de sa part. Mon sourire niais se fige quand je réalise qu’il s’agit d’une photo de mes cuisses, retravaillées avec un cadrage strict. Je remarque tout de suite que le mail m’a été envoyé mais aussi à Isabelle en copie! Le sang monte à ma tête, je suis dans un état de panique. Je me dis que ce n’est pas possible. Comment pourrait-elle connaître son adresse, elle ne connaît que son prénom. Enfin je crois. La fatigue me fait divaguer, ai-je commis une erreur? J’angoisse et mes doigts tremblant je lui envoie un simple message pourquoi? La réponse arrive instantanément. Je dois dorénavant construire mes messages avec un en-tête, Madame, un corps et une signature. Et l’appeler Madame à toutes les phrases. Je reformule mon message comme demandé, lui demandant pourquoi elle a envoyé un email à ma soumise?

« Je t’ai dit que je ne tolérai aucun manquement. Là c’est juste un avertissement, elle pourrait ne pas deviner que ce sont tes cuisses, même si ce mail va beaucoup l’intriguer.

Je t’avais demandé tous tes mots de passe, et je n’ai rien reçu.

Tu as une heure esclave »

C’est la totale panique. Si je lui donne tous les mots de passe alors je serais incroyablement vulnérable, elle aura accès à tout de ma vie, et un pouvoir de destruction sans merci. Le plus simple est de réveiller Isabelle et de tout lui raconter. Et d’arrêter cette aventure. Qui m’excite tant. Et je dois l’avouer que c’est ce que je désire depuis mon plus jeune âge. Je risque d’être broyé, mais qu’importe au fond.

J’envoie mes informations principales, surtout mes mails personnels. J’hésite pour les choses plus sensibles comme mes comptes en banque, c’est vraiment trop risqué, en même temps ils sont pas mal protégés. Je me décide à les mettre. Je prends un gros risque mais je suis certain que ce n’est pas très impactant. Impossible de les vider comme cela, il faut que ce soit moi qui le fasse, ou alors cela prendrait beaucoup de temps. Je lui mets aussi mes numéros de carte bancaire, j’en ai trois. Bien entendu mes codes pour les messageries. L’heure est presque passée, une dernière hésitation, j’envoie le message. Et je le regrette déjà. Rien ne se passe. Je me demande si je vais sur mes comptes changer rapidement tous les mots de passe quand une réponse arrive :

« Ma petite chienne,

Je suis impressionnée, tu dis donc vrai, tu es cette merde que tu décris.

Réalises-tu que je te tiens au creux de ma main, que tu ne peux plus rien faire?

Si un seul mot de passe est modifié par ta faute, alors non seulement la relation s’arrête là, mais tout ton carnet d’adresse reçoit les photos que tu m’as envoyées ainsi que tes textes et tes récits.

Si tu désobéis, certains éléments pourraient être publiés qui seraient très gênant pour toi. Tu ne peux plus sortir de cette relation, c’est terminé. Je vais te broyer et en plus tu me remercieras.

Merci pour les chaussures, j’ai commandé deux paires chez Louboutin avec ta carte, c’est ton premier cadeau!

Toujours un mail toutes les heures, je reviendrai vers toi d’ici quelques jours

Madame»

Je n’étais certainement pas moi-même car la seule phrase qui me fit réagir et paniquer fut la dernière. Comment allais je pouvoir tenir sans ce fil? J’avais besoin de cette tension. En plus ces messages toutes les heures m’épuisaient. Par la suite les autres informations du mail nourrirent toutes mes angoisses. Je surveillais mes comptes, mais seul le débit de 2 000 € quand même des chaussures ne vint les impacter. J’étais du coup complètement rassuré sur mon interlocutrice, et encore plus en manque. Mes messages horaires étaient de plus en plus extrêmes dans mes promesses, mes désirs, mes délires.

Isabelle pour sa part avait complètement basculé après cette terrible déconvenue d’apprendre que j’étais prêt à la sacrifier. Il ne pouvait plus y avoir de doutes, après avoir communiqué à une inconnue toutes ces informations, elle n’en revenait pas, surtout me connaissant. N’étant pas vénale, l’ouverture de mes comptes étaient surtout un moyen de pression sur moi. Mais se faire un petit plaisir avec des chaussures, sa passion, était une juste rémunération.

Pour commencer. Elle réalisait au travers de ces récits qu’il lui faudrait prendre le contrôle aussi de ma fortune. Cela l’angoissait un peu, c’était beaucoup d’argent et de responsabilité, mais je ne devais rien avoir à moi, plus un compte, plus un euro, plus même un appartement. Sans s’en rendre vraiment compte, le plan de sa vie future prenait vie, comme si je les lui avais servi avec mes récits si fous et délirants. Sans doute allais-je le regretter, mais elle non, elle se le jura.

Méthodique, elle prit un cahier pour rédiger toutes ses réflexions. Une page était consacrée à l’isolement financier, une autre à l’isolement familial et social, une au conditionnement, une aux règles qu’elle imaginait. Elle passa les prochains jours à remplir le cahier de ses réflexions, se nourrissant aussi beaucoup de ce livre que j’avais acheté, de mes écrits et de mes lectures. Elle aurait aimé élaborer cela avec un alter ego, mais j’aurais été le seul qu’elle aurait pu accepter, et bien entendu, c’était du passé.

Ses orgasmes étaient de plus en plus profonds et rapides. L’idée que je n’aurais plus jamais le droit de jouir la faisait partir comme jamais, lui donnant envie de m’écraser plus encore. Dommage que je ne sois plus tout jeune, l’idée de me prostituer n’était pas très crédible, cela aurait pu être excitant aussi. Chaque fantasme qu’elle avait était consigné, elle avait besoin de mettre tout cela noir sur blanc pour élaborer la vision de la vie qu’elle voulait mener. Et c’est au bout d’une semaine de cette effervescence, rythmée par des messages de plus en plus fous de ma part qu’elle accepta enfin d’écrire la vie qu’elle voulait vivre.

L’écrire lui provoqua un orgasme qui, s’il n’était pas le plus foudroyant, resta le seul de sa vie où elle ne s’était pas même touchée. Il était temps de passer au concret, elle me voyait dépérir et devenir de plus en plus agressif. Ce qui faisait un vrai contraste avec elle, de plus en plus sereine, acceptant cette facette de sa personnalité, que, par timidité, elle n’avait jamais exprimé. C’est avec une certaine anxiété qu’elle abordait la suite de ce jeu qui était devenu très réel.

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1 Commentaires
ZachariasvarZachariasvaril y a presque 2 ans

Je suis très impatient de lire la suite

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