Dans Le Bus Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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- Je sais que tu as aimé ce que l'on t'a fait. Alors on t'offre un cadeau pour te remercier.

J'entends les autres rire. Leurs rires commencent doucement, mais s'amplifient. Bientôt leurs rires sarcastiques résonnent dans la nuit alors que Paul me montre que mon chemisier a été déchiré en une longue bande.

Il commence à l'enrouler autour de ma tête et il la noue à l'arrière. Il recouvre complètement mes yeux. Je ne vois plus que des contours flous. Mais il fait un tour de plus et je ne vois plus rien.

- Dis AAAHHHH! Ordonne-t-il.

En fait il n'attend pas que j'obéisse et il me saisit le menton avec force. Ma bouche s'ouvre et il pousse le tissu à l'intérieur, pas qu'un petit bout, mais beaucoup. Je comprends qu'il enfonce le reste de mon chemisier jusqu'au fond de ma gorge. Il bourre tellement que je ne peux plus bouger la langue ou fermer la bouche. Un bout de tissu flotte sur mon menton comme pour indiquer que je suis bien bâillonnée.

- C'était amusant, ringarde! Dit Paul.

Les autres acquiescent en faisant d'autres commentaires. Mais leurs paroles semblent s'éloigner.

- On se reverra, grosses mamelles! Dit l'un d'eux.

- Ta chatte est bien bonne! Crie un autre.

Mais il est clair qu'ils s'éloignent. Ils partent et ils me laissent comme ça.

J'essaie de crier, mais je ne peux pas. Rien ne sort de ma bouche. j'essaie alors de bouger mes jambes, mais je ne peux pas non plus. Pareil pour mes bras, je peux les bouger d'un côté et de l'autre, mais je ne peux pas enlever les menottes, elles sont bien trop solides. Le mieux que je puisse faire, c'est de les faire tinter sur la barre métallique.

Ils m'ont laissée ici. Ils m'ont laissée, nue, couverte de terre, les yeux masqués, les jambes écartelées et bien baisée. Comment ont-ils pu? Comment ont-ils pu me faire ça? Comment ont-ils pu m'abandonner?

Et puis je sens la raison... Le sombre picotement revient ainsi que la peur d'avoir été laissée ici sans défense. Je suis encore excitée. Pire encore, je mouille. Même si je crains pour ma vie, je ne me suis jamais sentie aussi excitée. Je n'ai jamais vécu une telle aventure. Les gothiques savaient ce que je n'arrive toujours pas à accepter : J'aime ça... et j'en veux plus.

- Regardez-moi ça! Dit une voix bourrue au bout de vingt minutes.

J'entends beaucoup de bruits, ce qui me fait penser qu'un groupe de personnes se dirige vers moi.

En les entendant, je commence à paniquer, mais je me détends aussi rapidement. Je me dis que c'est ce que je veux. C'est ce dont j'ai besoin. Alors je ne me donne même pas la peine de bouger ou d'essayer de crier. Je reste immobile en acceptant que des étrangers me voient comme je suis... Nue. Ils voient tout, mes nichons d'intello, ma chatte et mon cul bien baisés.

- Putain, cette salope doit être vraiment chaude pour jouer comme ça. Et regardez ces gros nichons! Dit un homme.

Alors je sens des mains sur ma poitrine. Elles me tripotent durement. Elles essaient de tenir mes nichons, mais comme ils sont trop gros, elles se contentent de les tripoter en me faisant ressentir douleur et plaisir. Ensuite on s'amuse avec les pinces sur mes tétons. On les tire, on les défait et on les remet.

Puis je sens un homme qui se presse derrière moi. Un moment plus tard, je sens ce qui doit sûrement être sa bite se présenter à l'entrée de ma chatte. Il la positionne en respirant de plus en plus fort, puis il la pousse à l'intérieur de ma chatte chaude et humide. Nous gémissons de concert. Mon dos se cambre à la sensation de la bite d'un étranger dans ma chatte.

- Être sans abri a quelques avantages, n'est-ce pas les gars? On a toujours les meilleurs restes! Dit le gars derrière moi.

J'entends d'autres hommes rire. J'en compte au moins six. Et tandis que l'un d'eux tripote mes sains sans pitié, celui qui est derrière moi commence à me baiser. Horrifiée par le fait que je suis violée par un groupe de SDF, je ne suis pas loin de jouir.

Plus tard, j'ouvre les yeux. Je n vois rien d'autre que l'obscurité et la confusion règne dans ma tête alors que je ressens encore les effets de l'alcool. Je sens que je ne suis plus debout, ni attachée dans le parc. Je suis allongée sur ce que je pense être un matelas. Je suis toujours nue et ma chatte et mon cul me font mal. C'est douloureux comme jamais auparavant.

Des bribes de souvenirs me reviennent alors. Ces sans-abris qui m'ont trouvé dans le parc m'ont utilisée encore et encore. Puis ils m'ont enlevé le bâillon et ils m'on fait boire ce que je pense être de la vodka. Ils m'en ont fait beaucoup boire.

Puis ils m'ont encore baisée, se relayant sur chacun de mes trous. Ils m'ont même prise en double en restant debout. Je crois même que l'un est monté sur le dos d'un autre pour essayer de mettre sa bite dans ma bouche. Du moins c'est ce que je pense me souvenir.

Et je suis presque sûre qu'ils ont appelé des amis, je me souviens de beaucoup de gars qui m'ont baisée. C'était comme une fête. Pour moi tout était flou sûrement à cause de l'alcool.

Je me souviens avoir adoré ça. Je me souviens même avoir ri à un moment donné. Je me suis jointe à la fête et j'ai ri. Même quand l'un d'eux a commencé à gifler mes seins. Je l'ai laissé faire et j'ai adoré. Je me souviens du sentiment de se sentir bien. Les gothiques avaient commencé à me le faire ressentir, mais les sans-abris ont fini. J'ai eu peur, je me suis sentie possédée et j'ai joui comme jamais auparavant.

En clignant des yeux, je réalise que j'ai toujours le bandeau. J'essaie alors de bouger une main pour l'enlever, mais je ne peux pas. Je ne sens plus les menottes, mais je sens le frottement d'une corde. Je crois que je suis attachée, étendue sur le matelas.

D'autres souvenirs me reviennent alors que je me demande comment je suis arrivée là. Tout est si étrange. J'ai l'impression d'être droguée, car mon cerveau a du mal à traiter toutes les informations.

Ça y est, je me souviens maintenant. Quand les sans-abris en ont eu assez, ils ont enlevé mon bâillon et ils m'ont demandé pourquoi je faisais ça. C'est là que je leur ai tout raconté : Comment les gothiques m'avaient kidnappée et malmenée dans le bus, comment ils m'avaient déshabillée et violée pendant des heures. Et comment ils m'avaient laissée attachée après m'avoir sodomisée.

Mon histoire atout changé. L'un des sans-abri a dit qu'il savait comment enlever mes menottes, ce qu'il a fait. Les autres ont défait les ceintures. Ils ont enlevé le bandeau et ils m'ont libérée complètement.

Je me rappelle m'être assise avec eux dans le parc, tandis qu'ils me demandaient si j'allais bien. J'ai répondu que oui et ils m'ont donné une couverture pour me couvrir ainsi que de la vodka pour me calmer. Ils m'ont dit qu'ils pensaient que c'étaient un jeu pervers et qu'ils regrettaient d'avoir participé, qu'ils ne voulaient pas me faire de mal ou quelque chose contre ma volonté. En les entendant parler j'ai vu qu'ils se sentaient mal. Je me souviens que certains d'entre eux m'ont demandé si j'avais besoin d'aide, un téléphone ou autre chose, si je voulais appeler la police. C'étaient des gens bien. Ils avaient vraiment l'air de se soucier de moi.

Et je me souviens de ce que j'ai fait alors. Mon estomac se creuse un peu à ce souvenir. Mais dans l'ensemble j'accepte ce que j'ai fait et j'accepte ce qui s'est passé.

Tandis que j'étais assise au milieu du groupe et qu'ils s'inquiétaient pour moi, je savais que j'avais changé. Quelque chose en moi était différent et je savais que je ne pouvais pas revenir en arrière.

Alors je leur ai demandé s'ils avaient aimé de me voir pendue comme ça. Je leur ai demandé d'être honnêtes. De me dire réellement s'ils avaient aimé me baiser alors que j'étais attachée et sans défense. S'ils avaient apprécié mes glapissements de douleur et mes gémissements de plaisir et de jouissance. Bien sûr, ils m'ont répondu que oui, et l'un d'entre eux a même dit que c'était la chose la plus vicieuse qu'il ait jamais faite.

C'est alors que je leur ai dit que je voulais plus. Je voulais qu'ils me fassent encore plus de choses. Je leur ai dit qu'ils étaient libres de me faire ce qu'ils voulaient tant qu'ils me traitaient comme la femme qu'ils avaient vue en arrivant.

Ils ont changé instantanément de comportement quand ils ont compris que j'étais sérieuse. Ils m'ont arraché la couverture et ils m'ont attaché les mains derrière le dos. Ils m'ont fait même me cambrer en attachant mes bras. Ils ont ensuite attaché mes chevilles avec une corde tout en me laissant une latitude pour que je puisse avancer sans pouvoir m'enfuir.

Ensuite, je les ai joyeusement suivis jusqu'à leur camp, tandis qu'ils ne se gênaient pas pour me claquer les fesses. L'un d'eux avait attaché une corde autour de mon cou et s'en servait comme d'une laisse pour me faire avancer. Les sans-abris se moquaient de moi et me disaient toutes les façons dont ils allaient me baiser. En plus, comme je faisais des petits pas, mes seins n'arrêtaient pas de bouger et de rebondir. Ça les faisait rire et ils ne se gênaient pas pour les gifler.

Quand nous sommes arrivés à leur camp, ils m'ont amené ici, sur ce matelas, où j'ai insisté pour être attachée dessus. Ils l'ont fait et ils ont remis le bandeau et le bâillon, me rendant de nouveau complètement impuissante.

Je sens que l'on m'enlève le bâillon. Je prends quelques grandes respirations en me demandant ce qui va se passer. Je sens alors un goulot de bouteille sur mes lèvres. Levant un peu la tête, je me prépare à boire. On me verse de la vodka dans la bouche que j'avale avidement. Après avoir versé quelques gorgées supplémentaires, la personne remet le bâillon et laisse l'alcool faire son effet.

De temps en temps, quelqu'un que je ne peux pas voir vient et me baise d'une manière ou d'une autre. On baise parfois ma chatte, d'autres fois mon cul, souvent ma bouche. Et on se branle entre mes seins en les pressant ensemble. Des fois, on me détache pour m'attacher dans une autre position afin qu'ils me baisent encore. Les uns après les autres, ils abusent de moi encore et encore. Je jouis quasiment avec chacun d'eux, car je suis toujours dans un état d'excitation. De temps en temps on me donne à manger ou à boire de la vodka, mais sinon je suis toujours bâillonnée. Je suis une esclave sexuelle maintenant, une esclave sexuelle dans un campement de sans-abris.

Avant qu'ils ne m'attachent au matelas, je me souviens avoir plaisanté avec eux. Je me souviens leur avoir dit qu'ils devaient indiquer où je me trouvais pour les autres, une pancarte indiquant où se trouvait l'esclave sexuelle du camp. Ils m'ont répondu qu'ils ne savaient pas trop quoi mettre.

Je leur ai dit d'écrire : « La première de l'université »

A suivre...

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