Dans Le Bus Ch. 03

Informations sur Récit
Yesnia est violée et jouit.
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2

Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 12/28/2022
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Traduction d'un texte de creativeboyinspring

*****

Je regarde fixement devant moi alors que je suis un peu étourdie. Mon nom est Yesnia. J'ai 19 ans. Ma moyenne à l'université est plus que parfaite. Je suis bonne en cours depuis que je suis enfant. Dans quelques semaines, lors de la remise des diplômes je serai sûrement la major de l'université. Cette année mon projet scientifique a remporté la troisième place au niveau national et me permet d'avoir plusieurs propositions de bourses pour éviter d'avoir à payer mes études.

Je suis très intelligente, plus que la moyenne. Je suis aussi très douce. Alors pourquoi suis-je dans cette situation?

Je suis pratiquement nue, assise à l'arrière d'un bus scolaire, avec comme seul vêtement un chemisier qui a été remonté de façon à couvrir mon visage comme un masque. Au cours de la dernière heure, un groupe de gothique m'a harcelé et forcé contre ma volonté à faire des choses sexuelles horribles. Et j'ai peur d'avoir aimé certaines d'entre elles.

Ils m'ont fait monter dans ce bus qui fait partie d'un voyage scolaire auquel je n'étais pas inscrit. Il va à la capitale de l'État pour que les étudiants puissent visiter des monuments. Il est prévu que le trajet dure six heures.

Les gothiques m'ont menottée au siège du fond et ils m'ont déshabillée pour voir et se moquer de mes seins bien trop gros et de ma chatte rasée. Ils ont même jeté mes vêtements par la fenêtre du bus en marche.

Après cela, ils ont utilisé le cordon USB de mon téléphone pour attacher chacun de mes seins bien serrés. Ils m'ont fait faire une fellation (c'était la première fois que je le faisais). L'un d'eux s'est branlé entre mes seins et une fille m'a léché la chatte. Le pire c'est que c'est la première fois qu'on me le faisait et qu'elle était vraiment douée, au point que j'ai eu l'orgasme le plus puissant de toute ma vie.

Maintenant je suis toujours assise et menottée, avec l'impression que j'ai perdu dignité et respect pendant qu'ils se moquent de moi. Je sais qu'ils prennent des photos, car j'entends le déclic continu de leurs téléphones. Je me dis qu'ils ont dû faire aussi beaucoup de vidéos pendant cet horrible voyage. Je sais que je dois avoir l'air sale, car celui qui s'est branlé entre mes seins a joui sur ma poitrine. Je ne peux rien faite d'autre que les laisser faire, car mes mains sont attachées aux côtés du cadre du siège.

- Puisque que c'est toi qui l'a sali, c'est à toi de nettoyer la ringarde! Ordonne Paul qui se montre le chef du groupe.

- Mais ça valait le coup! Dit le gars fièrement.

J'entends une fille lui répondre affirmativement. Ils se mettent tous à rire.

Je sursaute lorsque je sens de l'eau froide se déverser sur ma poitrine. C'est très froid et je ne m'y attendais pas, ce qui me crispe. Je me demande bien où ils ont pu trouver l'eau, mais je sais que l'université est tenue de prévoir des bouteilles d'eau lors de voyage durant plus d'une heure. Donc il doit y avoir dans le bus une glacière avec des bouteilles.

L'eau se déverse sur mes seins. Comme je suis assise sur le siège, elle coule directement sur ma chatte et s'accumule là. Je sens une petite flaque entre mes jambes, là où je ressens une sensation étrange. C'est encore quelque chose que je n'arrive pas à comprendre.

Un moment plus tard, je sens quelque chose comme un chiffon ou une chemise que l'on passe sur mes seins. Le gars les essuie rudement pour enlever le sperme. Encore un peu d'eau est versée et il reprend son nettoyage. Mais de nouveau il veut m'humilier, car mes seins nettoyés, il commence à verser de l'eau sur moi, de mes cheveux à mes épaules, et partout. Je réagis en gémissant, car l'eau est froide et je reste humide. Ils ne me sèchent pas.

Le pire dans tout ce qu'ils font, c'est qu'ils s'attendent à ce que je me taise et que j'encaisse. Je devrais crier à l'aide, mais ils savent que je ne le ferais pas. Au début je ne l'ai pas fait, car j'avais remarqué qu'ils étaient sous l'emprise de la drogue et j'avais peur. En y pensant maintenant, je me dis que je suis stupide, car fumer de l'herbe n'a jamais rendu agressif.

Et maintenant, je pense qu'il s'est passé trop de choses pour que je puisse faire quoi que ce soit. J'ai l'impression de m'être résignée à cette situation pour une raison étrange. Que toute chance que j'avais d'obtenir de l'aide a disparu et que je suis obligée de les laisser faire ce qu'ils veulent. Les seuls mots que j'ai le droit de dire sont des grossièretés et des choses humiliantes qu'ils m'obligent à dire, comme « Regardez mes mamelles ». C'est le nom qu'ils ont donné à mes seins.

- Allez! Montre-nous!

J'entends Jessica parler sur un ton sévère de professeur. Je sais qu'elle s'adresse à moi, même si à travers le chemisier je ne peux pas vraiment bien voir.

- Salope de ringarde, garde tes jambes écartées! Tu as gardé ta chatte d'intello cachée si longtemps qu'elle a besoin de prendre l'air et d'être vue! Commente-t-elle vicieusement.

Les autres rient. Je sais que le seul but est de m'humilier davantage. Je doute qu'elle ait vraiment envie de voir cette partie de mon anatomie, surtout avec ce qu'elle a fait plus tôt. Je pense qu'elle veut que je me sente encore plus soumise et possédée.

Mon visage rougit sous le chemisier et je sens une montée d'excitation qui devient si habituelle alors que je fais ce qu'elle dit. J'écarte les jambes comme elles étaient il y a quelques minutes, aussi écartées que possible. Ma chatte rasée est maintenant entièrement exposée. La sensation que je ressens est l'excitation, mais aussi l'addiction. Je déteste et j'aime à la fois. Surtout quand ça vient d'une autre fille.

- Maintenant, comme punition, secoue ces grosses mamelles! Dit un garçon.

Après un soupir, je fais rouler mes épaules tout en gardant les jambes écartées. Comme ils me l'ont fait faire tant de fois aujourd'hui, je sens mes seins noués se trémousser, se balancer et rebondir violemment. Bien sûr j'entends à nouveau qu'ils prennent des photos.

Alors que je secoue mes seins, je commence à réaliser quelque chose, quelque chose d'horrible, seulement... c'est à propos de moi. L'idée de comment m'en sortir me vient à l'esprit, il faut que je commence à crier. Crier fort pour que le chauffeur et tous les passagers du bus me sauvent. Mais au moment où je pense à ça, je sens une partie de moi me dire de rien faire. Cette partie de mon esprit ne veut pas que je le fasse, parce que j'aime ça. Je suis heureuse d'être traité ainsi...

Un gémissement s'échappe de mes lèvres alors que je pense à quel point je suis une perverse dérangée qui aime ça. Et en admettant que j'aime être traitée ainsi, je sais instantanément pourquoi. Parce que je me sens soumise et possédée. Dans ma vie il a toujours été question de tout planifier. Mes parents, les enseignants, les conseillers essaient de planifier ma vie. Alors je me tiens à ce plan et je force ma vie à le suivre. Mais aujourd'hui je suis impuissante et je ne contrôle plus rien. Et ça fait tellement du bien.

- Bon, je pense que c'est le moment! Dit Paul.

Je ne sais pas s'il me parle ou s'il le dit à quelqu'un d'autre. j'ai toujours pensé qu'il était un adolescent débile s'habillant bizarrement, le genre qui vénère Satan, le leader de son groupe. Maintenant je commence à me demander s'il est vraiment mauvais.

- Lynn, va devant et vois si tu peux pas trouver quelqu'un pour mettre de la musique. Je crois qu'il y a des gars de l'équipe de basket et généralement ils aiment bien mettre leur musique de merde très forte. Dit Paul.

La fille ne dit rien, mais je suppose qu'elle le fait, car j'entends du bruit dans les sièges et des pas qui s'éloignent.

- Vous trois, mettez-vous sur le siège devant elle et levez-vous. Je veux que vous empêchiez quiconque de voir ce qui se passe ici. Que l'on me cherche pas! Ordonne-t-il.

A ce moment je déglutis, car je n'aime pas ce que j'entends. De nouveau, il y a du mouvement et des bavardages excités. Je pense que les autres veulent savoir ce qu'il est sur le point de faire, tout comme moi. On dirait que quoi que ce soit, Paul le prévoit depuis longtemps. Et je pense que ça l'excite.

- Debout l'intello! Commande-t-il.

Ça me surprend, car je pensais que la dernière chose qu'il voulait me voir faire, c'est de me lever, car on pourrait me voir. Et la première chose que l'on verrait c'est ma tête couverte de mon chemisier, puis on s'apercevrait que je suis torse nu. Mais finalement je réalise que personne ne va me voir si les trois personnes sur le siège devant sont debout. Ils vont former un mur.

Sans rien dire, je ferme mes jambes et je me mets debout. Mes jambes tremblent au début, mais ma force revient et je me stabilise. Je ne peux pas vraiment me tenir complètement debout, car mes mains sont toujours attachées au siège. Mais je fais de mon mieux et me retrouve un peu penchée.

Mon cœur commence à battre la chamade quand je sens Paul s'approcher. Il s'installe sur le siège juste derrière moi. Je sens ses jambes glisser derrière les miennes. Il s'assoit sur mon siège... Dans mon dos.

La musique démarre. La plupart des étudiants dans le bus applaudissent. La musique est plutôt forte avec beaucoup de basses. Des étudiants se mettent à chanter, mais je ne reconnais pas la chanson. Tandis que le bruit s'intensifie dans le bus, j'entends faiblement le son d'une ceinture que l'on défait.

- Tu savais que ça allait arriver, ringarde! Me dit Paul comme un avertissement.

Je sens ses mains saisir mes hanches. J'ai des frissons. Il m'attrape fort, ses ongles s'enfoncent dans ma chair, ce qui me fait glapir de douleur. Maintenant je sens qu'il me tire vers le bas.

- Doucement et lentement. Ouais, comme ça la ringarde! Dit-il en me guidant alors que je commence à m'asseoir.

Je gémis alors que mon cul se déplace lentement vers le bas. Je devine ce qui va se passer. C'est juste que je n'y crois pas. Ça ne peut pas m'arriver?

Et puis je le sens... je sens sa bite. J'ai le souffle coupé lorsqu'elle touche mon vagin. Il a du bien viser pendant que je descendais. Je sens glisser sa queue entre les lèvres de ma chatte.

- Oh mon Dieu! Dis-je dans un murmure essoufflé alors qu'il me force lentement à m'empaler sur sa bite. Petit à petit il me pénètre en écartant les parois de mon intimité, ce qui me fait gémir. Comme une humiliation de plus, je découvre que je suis extrêmement humide et qu'il n'a aucun problème pour me pénétrer. Il glisse à l'intérieur sans aucun problème.

Je descends encore et encore et bientôt je suis empalée sur sa bite. Je la sens profondément en moi. Dans un instant de folie, je m'imagine qu'elle me transperce complètement et qu'elle sort de ma bouche. Je n'ai jamais fait cela auparavant et c'est une expérience surréaliste.

Je laisse échapper un gémissement très clair en m'asseyant sur lui, sa queue dans ma chatte. Là, je sens que mes muscles vaginaux s'agrippent à son membre et donnent l'impression que j'ai besoin de ça depuis longtemps. Comme si ma chatte attendait ça que quelqu'un me fasse enfin ça.

Nous restons assis comme ça pendant un moment, sans que personne ne dise rien. Je savoure cette sensation, car je n'ai jamais fait l'amour das cette position. Paul ne bouge pas et moi non plus, car j'aime le sentir en moi. C'est alors que je comprends pourquoi il ne bouge pas. Il veut que je sente bien sa bite en moi tout en sachant que je ne peux rien y faire. C'est une autre façon de me montrer qu'il commande alors que je suis menottée au siège.

- Allez! Dit-il.

Je sens qu'il soulève mes hanches vers le haut. Il est costaud, presque capable de me soulever tout seul. Mais je l'aide avec mes jambes. Je continue à remonter, j'ai l'impression qu'il veut que je me détache de lui. Je me soulève, sentant sa bite presque sortir de ma chatte jusqu'au moment où il me tire violemment pour m'empaler à nouveau.

Je gémis à la sensation soudaine de sa bite qui s'engouffre en moi. Mis je n'ai pas le temps de savourer, car je suis obligée de me relever pour être prête de nouveau à être perforée. La sensation de friction de la chair s'intensifie et je sens qu'il va plus loin en moi.

Sachant ce qu'il veut, je répète encore et encore cette action, me soulevant pour qu'il puisse me forcer à m'empaler sur sa queue. Au bout d'un moment, alors qu'il me fait descendre, il donne un coup de rein vers le haut et il enfonce encore plu sa bite en moi.

Je suis incapable de m'empêcher de gémir quand il me fait ça, quand il me baise moi, la fille prude. Je me fais baiser à l'arrière du bus comme une actrice de porno. Le sentiment incroyable que cela me procure est amplifié alors que mes seins ligotés rebondissent et que nous commençons à avoir un rythme rapide et régulier.

Cette sensation de sa bite à l'intérieur de mon ventre, entrant et sortant, poussant les parois de mon vagin, est de loin la meilleure expérience sexuelle que j'ai jamais eue. Ça n'a pas de sens, mais j'ai l'impression d'avoir une vraie séance de sexe plutôt que les petites expériences que j'ai eu auparavant. Je me rends compte que mes premières aventures sexuelles étaient décevantes.

Bientôt, je sens que je vais avoir un orgasme. Il se construit lentement, mais sûrement. Il se rapproche. Pour la première fois je crois que je vais vraiment jouir en baisant.

- Putain, regardez ces mamelles rebondir de partout! Dit un des garçons pendant que je rebondis sur la bite.

Chaque fois que je monte et descends, je sens ma poitrine se soulever, retomber et trembler. Tout comme j'entends le métal des menottes tinter contre le siège.

Pendant un moment, j'oublie le groupe de gothiques qui me regardent. Tout est flou et j'oublie où je suis. Le monde réel à disparu et je ne ressens que mon plaisir.

Le son de mes fesses tapant ses cuisses devient de plus en plus fort. En même temps, à chaque fois qu'il enfonce sa bite en moi, je laisse échapper un gémissement et je ne peux l'empêcher. C'est trop bon et mon corps ne peut s'empêcher de réagir.

- Baise ma bite, ringarde! Murmure Paul en me faisant sauter sur lui.

Je ne crois pas qu'il me le dise à moi. Je pense que c'est plus une façon pour accélérer les choses.

- Je... Je... Je suis sur... Le point de... Jouiiir...

Je me surprends à dire ces mots à voix haute. Encore une fois, je n'avais pas l'intention de le faire, mais ça sort tout seul, comme une réaction naturelle de mon corps. Puis ça arrive, je jouis.

Ma bouche s'ouvre et je sais que je ne pourrais pas arrêter le gémissement ou le cri qui s'annonce. Mais soudain quelqu'un force sa main sous mon chemisier sur mon visage. Il me fourre plusieurs doigts dans la bouche pour me bâillonner. Les doigts s'enfoncent loin et quand mon gémissement arrive, il est étouffé.

En chevauchant la bite de Paul comme une pute, je jouis fort. Mon corps se tend tandis qu'il continue de me baiser et de me faire rebondir sur son sexe. En plus, les doigts dans ma bouche commencent à bouger dans un mouvement de va-et-vient. En réaction je ferme mes lèvres dessus en pensant que ça pourrait être une autre bite.

Les vagues de plaisir qui démarrent entre mes jambes montent et descendent le long de mes membres. Ces vagues sont si fortes et si puissantes que je les sens jusqu'au bout de mes doigts. C'est comme si chaque vague de plaisir était une bombe qui explosait entre mes jambes avec une onde de choc qui se propage partout.

En ressentant cette sensation incroyable, je commence à bouger plus vite. Je fais exprès de me pencher un peu pour mieux me contrôler, puis je me jette sur sa queue aussi fort que je peux, encore et encore. Mon orgasme devient plus intense et le bruit de martèlement plus fort.

Mais ma jouissance commence à s'estomper. À ce moment-là je me crispe, car je veux m'accrocher à ce plaisir. Cet orgasme est celui que je voulais la première fois que j'ai fait l'amour. Il est clair, féroce et intense.

Paul continue à me baiser, même si je ne bouge presque plus de mon côté. Puis soudainement, il pousse très fort tout en me tirant par les hanches. Il est tellement violent que je suis sûre que j'aurai des bleus à cet endroit, car il ne me lâche pas.

Puis je ressens quelque chose que je n'ai jamais connue quand il jouit en moi. Je sens de la chaleur dans mon ventre alors qu'il éjacule encore et encore, sa bite tressaillant à chaque fois. Il me tient fermement en place pendant qu'il laisse son sexe répandre son foutre au plus profond de moi. J'ai l'impression qu'il marque sa propriété. Tout ce que je peux faire, c'est de rester assise sur lui et le sentir jouir en moi.

- Tu aimes ça, ringarde? Demande Lynn d'un ton moqueur en retirant ses doigts de ma bouche.

Je sens ma salive et ma bave sortir avec, ce qui me fait me sentir encore plus sale. Maintenant que l'action est terminée, les autres se joignent à elle pour me noyer sous les commentaires moqueurs alors qu'ils me voient toujours empalée sur la bite de Paul.

- Je parie que c'est la première bite d'un vrai homme qu'elle prend dans sa chatte! Dit Jessica pour faire en sorte que je sois encore plus humiliée.

Pour m'humilier encore plus, l'un d'eux avance la main et touche mon clito.

- NO... NONN.. S'il vous plaît! Supplié-je.

J'essaie de reculer, mais ce n'est pas comme si j'étais capable de bouger. Comme j'ai les jambes bien écartées, ils commencent à s'amuser avec mon clitoris. Ils l'effleurent, le caressent, le titillent et ils tirent même dessus. À chaque fois je sursaute et réagis, mais je suis incapable de bouger avec la bite toujours en moi.

Une fois qu'il est reposé, Paul me soulève et me fait comprendre qu'il veut que je bouge. Je le fais lentement et sa bite sort de ma chatte. Je perds mon souffle, car mon sexe avait vraiment serré sa bite. Je me tiens sur mes jambes flageolantes tandis qu'il remet son pantalon puis glisse hors du siège. Je soupire alors et je suis reconnaissante qu'ils aient arrêté de toucher mon clitoris.

Dès que Paul est sorti du siège, je m'effondre dessus, fatiguée. Mon corps est en miettes et je suis couverte de sueur. Même mes jambes me brûlent à cause de la vigueur avec laquelle je les ai utilisées.

J'écarte les jambes, car je sais qu'on me l'ordonnera de toute façon. Je les écarte largement pour qu'on puisse voir ma chatte baisée. En fait, j'écarte tellement que mes pieds touchent les pieds du siège.

Assise ainsi, je sens ma féminité palpiter à cause de la séance de baise que je viens d'avoir. Ma chatte est un peu à vif, mais elle en veut plus. Jamais je n'ai été comme ça.

Un bout de temps s'écoule sans que personne ne dise rien ou ne fasse quoi que ce soit. La musique dans le bus est toujours aussi forte, et les gens parlent fort aussi. Je réalise que quels que soient les bruits que nous avons faits, personne n'a rien entendu.

- Hé Paul, tu penses que tu pourrais déplacer cette menotte? Demande un des gars.

Un moment plus tard, je sens que ma main gauche est tirée par la menotte alors que Paul soulève un peu le siège. Celui-ci est fixé à un cadre à certains endroits, mais il est capable de le soulever et de faire passer la menotte le long d'une tige dessous.

- Super! Tu peux rassembler les deux menottes? Demande le gars, très excité.

Je sens Paul près de moi. Il continue de soulever le siège pour que son autre main fasse avancer la menotte. Je soulève mes jambes sans que l'on me dise pour qu'il puisse passer. La menotte glisse et me force à me tourner dans le siège pour que mon bras suive.

Je me retrouve bientôt face au côté du bus, même si je ne peux pas le voir à cause de mon chemisier. Mes deux poignets se retrouvent sur le côté droit du cadre. Je ne sais pas vraiment ce qu'ils cherchent à faire, car je suis dans une position étrange, assis sur le siège, mais le haut de mon corps tourné sur ma droite.

- D'accord l'intello, mets-toi à genoux! Dit le gars excité alors que Paul retourne sur son siège.

Encore un peu confuse et humiliée, je place mes genoux sous moi. Avec mes mains menottées comme elles le sont, c'est un peu comme si je me prosternais à genoux tout en étant courbé.

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