Dans Le Bus Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Je crois vraiment ce que je dis, je ne le dirai jamais à personne. Mais cette proposition est accueillie par des rires. Paul éclate de rire et ses amis se joignent à lui.

- Oh, et finir de nous amuser? Se moque-t-il.

Toujours en riant, il se déplace pour être derrière moi. J'essaie de le suivre du regard pour voir ce qu'il va faire, mais bientôt je ne le vois plus. Est-ce qu'il va me donner une fessée? Me fouetter? Me baiser?

- Maintenant tu vas être une bonne fille... et tu vas regarder mes amis pendant que je te baise. Dit Paul à mon oreille.

Le reste du groupe ricane alors que je rougis. Instantanément des émotions puissantes et déroutantes m'envahissent. Je voudrais lui dire « non » ou lui dire que je vis crier, mais une autre partie de moi veut savoir ce que ça fait. Ce que ça fait d'être baisée comme ç, alors que je suis impuissante.

- Ou alors, nous pourrons voir à quoi ressemble ton cul après que nous l'aurons fouetté à tout de rôle avec nos ceintures. Ajoute Paul en me révélant la seule autre option qui s'offre à moi.

Les picotements de soumission reviennent et envahissent mon corps alors que je me dis que je n'ai pas le choix.

- Attendez! Dit Jessica comme si elle avait oublié quelque chose.

Tout le monde la regarde, même Paul qui se met sur le côté. Jessica pose mon sac à dos et l'ouvre.

- J'ai oublié une chose... J'ai regardé dans le sac de l'intello et j'ai vu quelque chose qui sera parfait! Dit-elle en fouillant dans mes affaires.

Elle sort deux rapports que je transportais pour pouvoir les retravailler si j'avais eu du temps de libre. Que diable veut-elle en faire? Et je comprends. Chaque paquet de feuilles est maintenu par une grosse pince en métal. Elle les enlève et remet les papiers dans mon sac en les bourrant pour qu'ils soient froissés.

Puis elle avance rapidement vers moi tout en tenant les pinces à relier. Comme elle est plus grande que moi, je la regarde en levant les yeux et je fais « non » de la tête pour qu'elle ne fasse pas ce qu'elle veut faire.

Mais elle fait un bruit idiot d'avion qui vole en levant ses deux mains. Dans chacune d'elles se trouve une pince qu'elle garde ouverte. Puis elle les pose sur mes tétons et les lâche.

Je pousse un glapissement quand les pinces mordent mes tétons déjà durs. Voilà à quoi ressemble une morsure ; J'ai l'impression que quelqu'un cherche à m'arracher les tétons. Tandis que la douleur m'envahit, je me débats contre les menottes en faisant beaucoup de bruit. Puis j'arrive à faire face à cette douleur. Elle ne disparaît pas, mais elle est moins forte qu'avant. Je baisse les yeux et je vois les pinces accrochées à mes pauvres mamelons.

Sentant l'humiliation m'envahir, Paul me pousse doucement entre les omoplates pour me faire comprendre que je dois me pencher. J'obéis et Jessica s'éloigne. Elle regagne le groupe qui regarde mes seins pendre. Je ne peux pas beaucoup me pencher, car je reste menottée à la barre au-dessus de moi, mais ça semble suffisant pour mon agresseur. Je sens Paul utiliser son pied pour écarter mon pied droit, puis mon pied gauche jusqu'à ce que mes jambes soient écartées.

Ensuite on entend le bruit qu'il fait en défaisant son pantalon. Je vois le groupe ricaner et me regarder dans l'attente de ce qui va suivre. Alors que je les regarde, je sens mes yeux se remplir de larmes, car le niveau d'humiliation que je ressens est si fort. Ils me voient soumise, ils voient mon vrai moi. Ils vont voir comment je vais réagir.

- Oh! Gémis-je en fermant les yeux quand je sens que Paul pose sa virilité contre ma chatte.

Bien que j'aie été baisée tant de fois aujourd'hui, la sensation d'une bite bien dure sur ma chatte est très bonne. Lorsqu'il s'enfonce à l'intérieur, je gémis doucement et rouvre les yeux pour continuer à regarder le groupe devant moi. Ça me donne l'impression d'être une actrice de porno. Mais ce qui rend la situation encore plus embarrassante, c'est le regard des deux filles qui savent bien ce que je dois ressentir. Il s'agit de sensations qui se vivent en privé et non en public.

Quand Paul est complètement à l'intérieur, il se retire puis entre à nouveau. Il est d'une douceur surprenante. Il commence à pousser sa queue dans et hors de ma chatte sans être brutal comme avant. En regardant le groupe pendant qu'il me baise, j'essaie de ne pas gémir et de ne pas retourner le regard. La sensation est différente de celle d'avant, car il est plus lent. C'est toujours aussi agréable.

Puis il commence à accélérer... Et devient plus violent. En fin de compte, même si j'essaie de les retenir, des gémissements s'échappent de mes lèvres. Et ils deviennent plus forts alors que mes seins commencent à se balancer furieusement sous ses coups de rein. Mon corps tout entier se balance. J'ai l'impression que mes mains vont être arrachées par les menottes tant il est brutal. Ce salaud me baise comme une bête sauvage.

- Dis-leur... De regarder comment... Tes seins... se balancent! Dit Paul en gardant sa main sur mon dos comme pour me forcer à me pencher davantage, même si c'est impossible.

Je ne peux pas prétendre que je n'aime pas ça. Les bruits de succion qui s'échappent de ma chatte montrent à quel point je suis excitée, même si je déteste ça. C'est peut-être pour ça qu'ils m'ont fait boire. Ils savaient que j'allais aimer.

- Regardez mes mamelles se balancer! Dis-je sur un ton de folie.

Sur ces mots mon visage devient tout rouge et brûlant alors que je sens mes seins se balancer sauvagement et frapper presque mon estomac sous les coups de boutoirs de mon violeur.

- Regardez-les se balancer et rebondir quand il me baise! Continué-je à dire, l'alcool me faisant agir comme quelqu'un d'autre.

Dans ma tête je pense à une actrice porno que j'ai vue dans une vidéo. Alors qu'elle était prise par-derrière, elle criait sauvagement pour qu'on continue à la baiser. Elle ressemblait à un animal en chaleur.

- Qu'est-ce... Que je baise? Quelle... partie? Demande Paul en semblant essoufflé.

Le bruit des applaudissements de ses amis me revient en écho alors qu'il garde un rythme rapide et brutal.

- Il baise ma chatte! Dis-je au groupe, ce qui les fait rire.

Je suis alors surprise quand un orgasme me frappe. Des vagues de plaisir m'envahissent et me parcourent le corps pendant que je gémis comme une pute. J'essaie de regarder le groupe, mais mes yeux roulent dans leurs orbites. Paul continue à me baiser vigoureusement. La force et la rudesse de ses coups de boutoirs font que les ondes de plaisir semblent rebondir en moi. Je gémis encore plus fort.

- Nous y voilà... Nous y voilà.... Chantonne Paul tout en ralentissant.

Bientôt il ne bouge plus, sa queue enterrée en moi. Je sens pourquoi, il jouit. Je sens qu'il expulse son sperme dans mon ventre et la chaleur se répand en moi. Et même si je déteste l'admettre, je gémis à cette sensation. Je gémis alors qu'il marque une fois de plus son territoire.

- Qu'est-ce qu'il se passe l'intello? Qu'est-ce qu'il a fait? Demande Lynn.

Nous savons bien tous ce qui vient de se passer, mais elle veut m'entendre le dire à voix haute. Elle veut que je m'humilie encore plus.

- Il a giclé son sperme dans ma chatte! Dis-je d'une voix honteuse.

Paul se retire. Je baisse la tête et je laisse couler quelques larmes. Encore ivre, j'ai honte d'avoir joui comme ça devant quelqu'un. Mais je pourrais encore apprécier cela. Les larmes continuent à couler alors que je pense ça et je me sens si honteuse.

Soudain je sens une autre bite à l'entrée de ma chatte. Instantanément ma tête se lève, car je ne comprends pas. Je regarde devant moi et je vois quatre personnes dont Paul. Je réalise alors qu'un des autres garçons a changé de place. Il se trouve derrière moi pour me baiser.

- Att... Attendez! S'il vous plaît... Nonn...

Je supplie vainement, car celui qui est derrière moi fait pénétrer sa queue entièrement en moi. Je halète quand je me sens à nouveau remplie. Puis il commence à me baiser. Sa bite entre et sort en coulissant sur les parois de ma chatte.

Pendant qu'il me baise avec joie, on m'ordonne de continuer de regarder le groupe dans les yeux. J'obéis et je dois les regarder rire et se moquer de moi. Mais cette fois, on me fait dire des choses plus ignobles. Comme Paul n'est pas celui qui me baise, il est capable d'imaginer des propos horribles que je dois répéter, des mots auxquels je n'aurais jamais pensé, des mots qui les font tous rire. Je dois dire « C'est comme ça que j'aime être baisée » ou « j'espère que mes mamelles vont me frapper le visage, ou encore le pire « J'aimerais que mes amis et ma famille puissent me voir ainsi ».

Le garçon qui me baise dure la moitié du temps de Paul avant de jouir. Il éjacule en moi lui aussi, mais il s'allonge sur mon dos pendant un moment comme s'il était trop épuisé pour continuer. Je manque de lui faire un commentaire sur sa virilité, mais je sais que ça ne fera qu'aggraver les choses, alors je me tais.

Une fois qu'il s'est retiré, le troisième gars passe derrière moi. Il défait son pantalon et je sens qu'il enfonce sa bite dans ma pauvre chatte. Le processus recommence. Je suis une nouvelle fois baisée.

Ma chatte est à vif et mon dos me fait mal, car on me maintient dans cette position penchée. Bien sûr, comme avant, on m'oblige à dire des choses stupides et vicieuses comme « Baise ma chatte d'intello », « je suis intelligente te j'aime qu'on me baise » ou « j'espère que mes professeurs puissent voir ça ». ce qui rend les choses pires c'est de devoir le dire en regardant quelqu'un dans les yeux.

Ce mec me baise plus longtemps que les deux autres et il atteint un point où mes gémissements sont continus, car je ne peux plus les retenir. Il va même jusqu'à m'attraper les cheveux et me tire la tête en arrière juste pour m'entendre crier de douleur. Puis il jouit en moi sans se soucier du fait que je risque de tomber enceinte après tout ça.

Une fois qu'il s'est retiré, je m'accroche aux menottes, épuisée. Mon pauvre corps est vermoulu et couvert de sueur. Je regarde le sol en essayant de ne pas pleurer. Mon corps est à la fois brûlant et si froid que j'en tremble.

- S'il vous plaît... Laissez-moi partir... Vous vous êtes bien assez amusés. Supplié-je.

Je ne leur dis pas de me libérer, je ne leur demande pas, mais je les supplie. Je les supplie comme la petite salope soumise que je suis devenue.

- Pourquoi? Demande alors Paul.

Mais son ton, au lieu d'être méchant ou moqueur, est sérieux. Il me demande vraiment pourquoi ils devraient me laisser partir. Pour une raison quelconque ça me touche. Pas parce que je n'ai pas de réponse, mais parce qu'il a une vraiment faible opinion de moi. Il pense que je suis une telle ringarde qu'il ne comprend pas pourquoi il devrait me libérer. Il faut que je trouve une bonne raison pour qu'ils ne me fassent rien de plus.

- Je... Je... Commencé-je, troublée par cette situation.

Paul continue de me regarder, les sourcils levés en attendant une réponse. Mais plus je le regarde et plus je suis troublée, et rien ne sort.

- Attrapez ses pieds! Ordonne Paul qui a fini d'attendre.

C'est alors que maintenant que je suis capable de dire :

- Attendez!

Mais ça n'a plus d'importance. Les deux autres gars viennent vers moi, s'agenouillent et enlèvent leur ceinture. Pendant une seconde j'ai peur qu'ils commencent à me fouetter, mais au lieu de ça, ils enroulent leur ceinture autour de ma cheville. Puis ils tirent dessus pour me forcer à écarter davantage les jambes. Ils continuent à tirer alors que je me débats pour garder les jambes rapprochées. Mais ils sont trop forts. Bientôt mes pieds touchent les poteaux en bois de chaque côté de moi. Ils entourent alors leur ceinture autour de ces poteaux, rendant maintenant impossible la fermeture de mes jambes.

Je tire sur mes pieds dans l'espoir de faire craquer les ceintures, mais c'est inutile, je ne suis pas assez forte. Puis quelque chose est poussé contre ma figure. c'est gros, ça recouvre complètement mon visage. On le relâche et je vois un gros tas de terre et de feuilles tomber devant moi. Je tousse et je crache des petits morceaux de terre devant moi.

Jessica s'effondre de rire devant moi. C'est elle qui vient de presser une poignée de terre et de feuille contre ma figure. Lynn arrive, en riant elle aussi et elle déverse deux poignées de terre sur ma tête et mes épaules. Les filles continuent ce jeu pendant un moment. Elles rient tellement qu'elles doivent bientôt s'arrêter.

Après quelques instants, Jessica revient avec deux poignées de terre. Mais au lieu de les faire couler sur ma tête, elle frotte mon sein gauche avec les saletés tout en évitant la pince. Lynn se joint à elle et s'occupe de mon sein droit, l'enduisant de terre en disant :

- Sale mamelle!

Puis elles continuent leur jeu jusqu'à ce que ma poitrine soit enduite de terre. Cela fait elles s'occupent des autres parties de mon corps. Elles m'enduisent de terre, en s'assurant de n'oublier aucun endroit... A part mon entrejambe. Mais mon visage, mes bras, mes jambes , mon corps est couvert de terre. Ces garces s'amusent même à en mettre entre mes orteils.

- C'est mieux comme ça, tu ne crois pas? Demande Paul qui s'est approché de moi et s'est placé juste devant.

Encore une fois, je le regarde, incrédule. Il agit comme si je l'avais voulu. Que c'est moi qui l'ai demandé ou quelque chose comme ça. Que cette humiliation est une chose dont nous avons discuté et que j'ai accepté.

- Bon voilà, nous allons devoir partir bientôt, mais il y a une chose que j'ai toujours voulu faire! Dit-il sur un ton qui suggère que nous sommes devenus des amis.

Il passe alors derrière moi.

- s'il vous plaît non! Laissez-moi partir! Supplié-je.

Je ne peux rien faire d'autre que supplier. Je ne peux plus bouger mes jambes. Je suis enduite de terre et mes seins sont attachés et pincés. Que peuvent-ils vraiment faire de plus?

Une fois de plus je l'entends se défaire de son pantalon. Ça fait bien quinze minutes qu'il m'a baisée, donc je crains qu'il ne soit prêt à recommencer. D'une certaine manière, je suis excitée par ça, mais je me sens si fatiguée.

- NON! Crié-je, mon énergie étant revenue, alors que je sens sa bite qui cette fois-ci n'est pas sur ma chatte.

Il pose sa bite entre mes fesses et elle appuie sur mon petit trou. Il rigole de mon cri et la seule chose que je puisse faire est de tendre mon corps sale dans mes liens.

- S'il vous plaît, non! Dis-je alors qu'il commence à forcer sa bite sur mon cul.

Un tout petit peu entre à l'intérieur, mais c'est une situation horriblement humiliante. C'est un endroit qui n'est pas conçu pour ça. Il n'est pas destiné à être envahi par une bite.

Mais maintenant, je sens sa queue raide y entre lentement en écartant les murs de chair. Je gémis de douleur et d'humiliation. Quelqu'un enfonce une bite dans mon cul. Je sens une bite dans mon cul.

Paul se penche un peu pour pouvoir faire entrer son membre.

- Allez! Allez! Baise ce cul d'intello! Chantonne-t-il alors que mon corps commence à se détendre, ce qui rend les choses plus faciles pour lui. La tension se relâche, car je ne peux plus lutter et il pousse sa queue beaucoup plus rapidement. Je ne sais pas pourquoi ça se produit, si c'est l'alcool ou une partie de moi qui le veux, mais j'arrête de serrer les dents.

Je laisse échapper un cri lorsqu'il parvient à pousser sa queue au fond de mon cul. Il la laisse là un moment et je l'entends haleter aussi fort que moi. Il a poussé sa bite aussi loin qu'elle puisse aller.

Je n'ai jamais rien ressenti de tel auparavant. c'est extrêmement violent, mais d'un autre côté la sensation est enivrante. C'est la sensation que c'est une chose qui ne devrait pas être fait, une chose qu'aucune jeune fille de bonne famille ne laisserait se produire.

- Dis-le! Dis ce que tu as dans le cul, ringarde! Grogne Paul alors qu'il ne bouge plus.

Il respire difficilement, car il doit être, lui aussi, submergé par des sentiments contradictoires.

- C'est ta bite... Ta bite est dans mon cul... Dis-je, la tête inclinée sur le côté pour essayer de le voir.

Mais avec sa main il m'oblige à regarder le groupe devant moi. Les deux filles et les deux garçons ont des sourires en coin, mais ils ont l'air surpris et même choqués. Comme s'ils ne savaient pas que ça irait si loin.

- Sa bite est dans mon cul! Dis-je sans que Paul ait besoin de me le rappeler.

C'est alors qu'il commence. Il se retire lentement puis pousse en avant très vite. A ce moment-là, je pousse un glapissement, car la douleur et le plaisir se mélangent. Il recommence à me donner des coups de rein, sauf que contrairement à la fois d'avant où il essayait juste de jouir, son but est différent. C'est comme s'il voulait que je comprenne au plus profond de mon âme qu'il a le contrôle, qu'il peut baiser toutes les parties de moi qu'il veut.

- Il... m'en... cule! Dis à chaque coup de rein.

Il me pilonne en me donnant l'impression qu'il déchire mon cul. Il continue de me sodomiser encore et encore. Et cette fois, comme je ne suis plus penchée vers l'avant, à chaque poussée, mes seins rebondissent vers le haut. Je n'ai jamais ressenti ça avant. j'ai l'impression que mes seins vont me frapper le visage.

- Je... Jouis... d'être... Enculée... Crié-je alors que les vagues de plaisir m'envahissent.

L'orgasme est violent et me fait pousser mes hanches vers l'arrière alors qu'il pousse en avant. Nos deux corps s'entrechoquent. Je ne me rends pas compte que je fais ça, c'est mon corps qui bouge tout seul.

Paul m'attrape alors les cheveux et tire ma tête en arrière. Il pilonne furieusement mon cul, enfonçant sa bite encore et encore aussi vite qu'il le peut. Je gémis constamment de douleur et de plaisir. Je sais que je dois crier fort, car j'entends l'écho de ma voix. Mais s'il continue comme ça, j'ai peur qu'il me casse.

Puis il s'arrête soudainement. Ou plutôt il s'effondre. Il laisse échapper un cri et il se presse contre moi comme pour se reposer. Il reste comme ça un moment, sans bouger un cil. Je suis tellement choquée et abasourdie que je ne dis rien, même pas « tu peux lâcher mes cheveux s'il te plaît! ». Je reste comme ça, sentant toujours sa bite dans mon cul.

Après de longs instants, il se retire lentement. Ce n'est qu'alors que je ressens les effets de cette sodomie et la chaleur de son foutre dans mon cul. Non seulement il a baisé mon cul, mais il a éjaculé à l'intérieur, marquant ainsi son territoire. Je peux sentir le liquide descendre lentement et s'écouler de mon trou du cul élargi.

Paul recule et je l'entends remonter son pantalon. Je reste exposée aux regards de ses amis. Ils m'ont baisée par tous les trous possibles. On s'est même branlé entre mes seins. Il n'y a rien qu'il ne m'ait pas fait ces animaux.

Ils ne disent plus rien. Normalement ils se moquent de moi. Mais là, ils restent silencieux en me regardant. Ils ont brisé la ringarde.

- Je... Je suis la première de l'université. Dis-je sans raison.

J'aurais voulu le dire avec fierté, pour leur faire comprendre à quel point je suis mieux qu'eux, à quel point ils sont pitoyables. Mais je n'ai pas d'énergie et les mots ne sortent pas comme je le voudrais. J'entends ma propre voix et combien elle me semble pathétique.

- Oui tu l'es ma chérie! Dit Jessica.

Après cela le silence s'installe jusqu'à ce que j'entende Paul rejoindre ses amis. Il me regarde droit dans les yeux et dit :

- Regardez la fille la plus intelligente de l'école! La fille la plus intelligente, nue, baisée et abusée, couverte de terre. La fille la plus intelligente qui s'est laissée faire. La fille la plus intelligente avec les mamelles attachées.

- Tiens! Dit un des garçons à Paul en lui lançant ce qui semble être mon chemisier.

Le chef de la bande le prend et s'avance vers moi. Je vois s'afficher sur son visage un sourire méchant.