Damia? Vous avez dit Damia... 04

BÊTA PUBLIQUE

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oooOOooo

Il était temps que je prenne le chemin de mon lieu de rendez-vous. J'ai fini mon café turc et me suis dirigé vers le port. Je savais qu'il y avait une bonne vingtaine de minutes de marche. Assez de temps pour revivre la fin de mes aventures en Tunisie.

Quelques jours après la séance de la fantasia, il y a eu le hammam ou j'ai vu ma copine avec Khaled. C'est après cette séance que tout a véritablement changé entre nous.

Avant de quitter la pièce, Khaled et elle ont échangé devant nous un long baiser passionné et à la voir coller sa tête contre le torse musclé de Khaled et ne pas lui en vouloir du tout de la sodomisation par surprise, j'ai compris qu'elle était vraiment amoureuse de lui. J'en fus presque soulagé car il fallait reconnaître objectivement que j'éprouvais de moins en moins de sentiments pour elle. C'était devenu sans que je m'en aperçoive une bonne amie. Mais rien de plus.

Dès lors, les choses sont devenues plus claires car elle a passé la majeure partie de ces journées avec Khaled, me laissant seul avec Mourad.

Khaled non plus ne venait plus me voir. Avec Sylvie, ils trouvaient toujours des prétextes pour s'éclipser. Je laissais faire sans demander d'explication. Elle a compris que j'avais compris et c'était très bien comme cela.

Par contre il m'a semblé que Mourad était un peu jaloux même si son admiration pour Khaled le poussait à accepter l'idylle. Lui m'avait à sa disposition, et bien sûr, se vengeait sur moi.

J'en retiens beaucoup d'autres souvenirs dont un dernier très cuisant, car la dernière semaine de vacance, Khaled et Sylvie avaient décidé de partir pour deux jours dans le sud du pays. Khaled voulait lui montrer le village où il était né, ça allait de mieux en mieux entre les deux. Ils sont partis assez tôt et vers le milieu de la matinée Mourad est venu me chercher directement chez moi.

- Allez viens avec moi.

- Ou?

- En Bateau

Devant mon incompréhension, il m'a précisé que nous aussi nous allions partir deux jours avec des pêcheurs d'étoiles de mer. Nous allions passer quarante-huit heures en pleine mer. J'étais assez inquiet mais je n'ai bien sûr pas pu refuser. J'ai voulu prendre des vêtements de rechanges.

- Pas la peine tu peux rester comme t'es. Mais tu mets de bonnes chaussures.

Je portais uniquement un polo et un short sur mon maillot de bain. J'ai enfilé mes gros tennis. Mourad a pris mon sac de plage qu'il a vidé sur le lit. Il y avait une serviette de bain, un slip de rechange, un flacon d'huile solaire, un blouson de protection contre la pluie et mes cigarettes. Mais, il y avait aussi un paquet de tampons périodiques. Je les avais complètement oubliés. Bien sûr, ils étaient à Sylvie en cas de besoin.

- Tu vois on a raison de t'appeler Damia.

J'ai été assez con pour lui répondre que c'était à Sylvie. Il a tout remis dans le sac. Assis sur le lit, il me regardait d'une façon que je connaissais bien maintenant. J'ai reconnu ce regard, dominateur et moqueur, sur de son pouvoir sur moi.

- Montres moi ce que tu portes sous ton short.

J'ai un tout petit peu hésité avant d'ouvrir les boutons et le zip. Mon short est tombé autour de mes chevilles sur mes baskets, découvrant mon maillot de bain noir.

- Enlèves ton maillot et met le dans ton sac. Allez fais ce que je te dis, je veux que ton cul soit à ma disposition.

J'ai eu du mal à me défaire du short et du maillot à cause de mes grosses chaussures. Je suis resté à moitié nu, m'attendant à ce qu'il me demande de satisfaire une de ses envies. Mais il n'a pas bougé, se contentant de tourner dans la pièce à la recherche de je ne sais quoi.

- T'as toujours les fesses aussi blanches, on voit très bien la marque de ton maillot. C'est vrai que t'as pas un gros zob... Elle a raison Sylvie d'aller avec Khaled, lui au moins, il sait bien la remplir. Il m'a dit que ta copine a un très joli slip rouge tout en dentelle. Khaled aime beaucoup quand elle vient le voir avec ce slip et le soutif assorti.

Je savais qu'il me racontait cela pour me faire du mal et effectivement, j'avais un pincement au cœur en l'entendant se foutre de mon sexe ou faire allusion aux relations de Khaled et Sylvie, mais je ne voyais pas pourquoi il me parlait de ses sous-vêtements.

- T'as quand même un joli cul pour un mec, surtout bien rasé. Bientôt tu vas retourner dans ton pays et tu penseras à nous chaque fois que tu iras faire caca. Je suis sûr que tu regretteras très vite nos gros zobs. T'as vraiment un joli pt'i cul tout blanc, je suis sûr que le slip te ta copine t'iras très bien.

J'ai blêmis. Ainsi donc, il voulait que je mette ce slip que je connaissais moi aussi très bien pour avoir beaucoup aimé l'enlever à Sylvie.

- Tu sais où il est?

- Non... Non...

- Pas grave, je vais le trouver moi.

Il connaissait la chambre par cœur et s'est tout de suite dirigé vers le coin de la penderie. Il a ouvert le sac de linge de Sylvie pour fouiller dedans. Constatant l'échec de cette recherche, il est parti vers le coin douche pour fouiller dans le sac de linge sale. Il l'a trouvé et l'a porté à ses narines. Il a profondément respiré le tissu plaqué contre son nez et sa bouche.

- Ca sent bon la femelle en chaleur.

Il me l'a jeté au visage. Je reconnu les odeurs intimes de mon amie. Le tissu était très doux. Beaucoup de dentelle.

- Mets-le... Vas-y mets, je veux voir ton cul dans ce slip.

Je l'ai enfilé lentement. Il m'allait assez bien et moulait parfaitement mes fesses. Par contre, il était difficile de faire tenir mon sexe dedans. Heureusement il n'y avait aucune glace assez grande dans la chambre pour que je puisse me voir. Ainsi vêtu, j'attendais le bon vouloir de Mourad.

- Remets ton short. On y va...

- Avec ce slip???

- Bien sûr avec ce slip. Personne ne le verra sous ton short. Il n'y a que moi qui sais. N'écarte pas trop les jambes quand tu t'assois. Comme une vraie fatma... Allez viens.

Nous étions à la fin du mois d'août. Les touristes étaient très nombreux, la chaleur étouffante et les rue bruyantes. Le port de pêche était assez loin du centre-ville.

Le slip me gênait pour marcher. Le tissu soyeux glissait sur mes fesses et entre mes jambes, et mon pénis ne trouvait pas sa place.

L'odeur de poisson pourri a commencé à envahir les rues pour devenir pratiquement insupportable sur les quais. J'en avais la nausée. Mourad n'était pas du tout dérangé. Il devait avoir l'habitude. Sur les jetées, il y avait plein de vieux cordages, des cageots à moitié éventrés, et des restes de poissons.

Au bout de l'une d'elle un petit bateau de couleur blanche avec des bandes horizontales bleues. Un grand mât sans voile, un poste de pilotage, un fatras pas possible sur le pont, cordages enroulés, casiers vides, masques, tubas, filets.

Nous montons à bord. Il y a trois hommes sur le pont. Ils nous saluent et nous souhaitent la bienvenue. Mourad leur rend leur salut en leur souhaitant une bonne journée et en me présentant. Les hommes me regardent, curieux et intrigués.

Ils nous attendaient et abrègent les salutations d'usage car ils semblent pressés de prendre la mer. Mourad et moi allons à l'arrière du bateau. Assis sur un tas de vieux cordages, nous regardons les marins bouger rapidement le long des ponts.

Le bateau se décolle lentement du mur et le bruit du moteur augmente. Des halètements poussifs de plus en plus rapides et de la fumée nauséabonde. Nous prenons le cap de la pleine mer.

Une fois la mise en route faite, le plus vieux qui semble être aussi le patron, se met à discuter en arabe avec Mourad en me jetant de fréquents coups d'oeil. Il parle peu et hoche souvent la tête.

Nous quittons lentement le port. Les odeurs disparaissent pour être remplacées par celles des embruns et de l'iode. Il fait un temps sublime. Je me laisse bercer par le tangage. Les marins s'affairent toujours à des tâches de maintenance. Ils préparent leur matériel et ne font plus attention à nous. Une légère brise nous caresse et diminue l'intensité du soleil sur nos corps.

Une bonne heure s'écoule. La côte est loin maintenant et l'embarcation me semble bien frêle sur cette mer d'un bleue très sombre. C'est l'heure de la pose et le capitaine nous invite à nous joindre à son équipe pour boire un thé à la menthe. Un des marins nous sert en silence. Nous buvons. Le thé est délicieux. Le marin nous sert à nouveau. La palabre reprend entre le capitaine et Mourad. Les deux autres écoutent sans intervenir.

Ils doivent avoir sensiblement mon âge. Ils sont assez grands, vêtus des pieds à la tête malgré la chaleur. Je réalise alors que je suis le seul à porter un short. Eux portent tous des pantalons de toile sur des polos marins. Ils sont costauds, les cheveux très courts, les dents blanches. Ils me sourient. Du sourire que l'on fait généralement à n'importe quel touriste susceptible de donner de l'argent. Je serre bien les jambes pour que personne ne voit quel genre de slip je porte.

Après la pose, le travail reprend. La navigation dure encore une bonne heure avant que nous stoppions entre plusieurs rochers qui émergent de la surface lisse de l'eau.

Il y a peu de profondeur et on peut voir le fonds de l'eau. Les deux jeunes, se mettent en maillot de bain, des caleçons noirs assez larges. Ils sont très musclés, sans un gramme de graisse, le corps très bronzé. Ils prennent chacun leur masque ainsi qu'un tuba qu'ils ajustent sur leurs visages. Ils plongent du bateau et s'enfoncent dans les eaux claires à la recherche d'étoiles de mer.

Ils font des allers-retours incessants pour remonter diverses choses susceptibles d'être vendues aux touristes. Les casiers se remplissent d'étoiles de mer, de coraux, de gros coquillages. Je les regarde travailler. Ils semblent infatigables et continuent inlassablement à plonger. Le capitaine range les produits dans des casiers.

Il fait de plus en plus chaud. Je suis mal à l'aise avec mes grosses baskets. Au bout d'un moment, je m'en débarrasse. J'aurai aimé aussi ôter mon short mais cela m'était impossible. Par contre, je garde ma chemise qui protège mon torse des ardeurs du soleil.

La pêche a duré deux bonnes heures. Les deux plongeurs s'arrêtent afin et rejoignent définitivement le bord, à peine essoufflés. Leurs caleçons collent contre leurs corps mouillés. Cela me trouble de voir leurs fesses moulées dans le tissu et surtout les bosses de devant. Deux grosses bosses noires.

Je les dévisage discrètement. Des muscles partout, les torses imberbes et des jambes au contraire, couvertes de poils noirs frisés. Cela forme un contraste étonnant. Ils restent en maillot pour sécher au soleil.

Il est déjà midi. Pas âme qui vive autour de nous. Nous sommes la seule embarcation à des kilomètres aux alentours et seuls sur cette immensité. C'est l'heure du repas. Les deux jeunes plongeurs font le service et amènent à manger sur le pont. Des fruits, des fromages, des salades de tomates et de poivrons, du pains, du lait, de l'eau, des dattes. Un repas frugal que nous mangeons assez rapidement.

Ils parlent entre eux, ou plutôt, c'est Mourad qui parle. Je reconnais les prénoms de Khaled, Sylvie, Damien et même Damia. Je comprends vite qu'il leur raconte mes aventures avec eux. Je me sens rougir quand les marins me regardent. La conversation s'anime et à voir leurs regards, ou entendre leur exclamations, ils ne semblent pas croire ce que raconte Mourad.

Bien entendu, je suis complètement exclus de cette discussion dans leur langue. Je devine que les deux jeunes marins se nomment Rachid et Tahar. Je n'ai pas ouvert la bouche depuis mon arrivée sur ce bateau et personne ne m'a adressé la parole.

A la fin du repas, les jeunes se lèvent pour débarrasser. Leurs peaux sont sèches, mais les caleçons de bain encore humides, collent toujours contre leurs bas-ventre et leurs fesses.

- Damia aide les

Je lève la tête vers Mourad avant de réaliser qu'il a employé le prénom féminin. Le patron comprend le français mais s'adresse à Mourad en arabe. Les deux jeunes aussi. Tout le monde parle le français dans ce pays.

Mourad se remet à parler. Une longue diatribe. De nouveau le mot fatma, les prénoms de Sylvie et Khaled, et plusieurs fois le mien féminisé. Tous me regardent et je rougis de plus belle en baissant les yeux.

Les deux jeunes finissent de ranger le restant du repas et nous servent à nouveau du thé brûlant et odorant que nous buvons à toutes petites gorgées.

Le patron dit quelque chose à Mourad. Une phrase brève et sèche. Mourad souri d'un air entendu. Les deux jeunes marins en font autant. Le bateau tangue doucement au grès de la houle. Je me sens prisonnier. Sentiment oppressant de solitude.

- Le chef, il aimerait voir ta petite culotte.

- Non, Mourad. Non Pas ça.

Ma voix est toute cassée, à peine audible. Je le regarde apeuré et ne trouve pas la force d'en dire plus. Il ne m'en laisse pas le temps.

- Pourquoi t'es venu tu crois? Ne fais pas ta mijaurée, je leur ai tout raconté, ils ont l'habitude. On est en pleine mer et on est quatre, t'as aucune chance. Lève-toi, montre leur que tu es une vraie tapette. Lève-toi je te dis sinon gare à toi!

Il se lève en même temps que moi. Je reste debout les bras ballants et la tête basse. Mourad passe derrière moi. Les autres le regardent ouvrir mon short et le baisser. Le tissu tombe autour de mes chevilles dévoilant le slip rouge en dentelle. L'angoisse noue mes tripes et ma gorge, mais comme d'habitude, il m'est impossible de me révolter. Je n'avais jamais subit ce genre de chose en plein jour. Et cette nouvelle étape m'enfonçait encore plus dans la soumission vis à vis de cet arabe.

Des exclamations, des rires gras, des moqueries. Les pans de ma chemise cachent partiellement la culotte de dentelle rouge.

- Montre ton derrière

Il me retourne brutalement pour que les marins voient mon postérieur emprisonné dans la culotte de dentelles.

- Enlève ton short complètement, t'en a plus besoin maintenant, le capitaine veut que tu restes comme ça. Et sur ce bateau, c'est lui le chef.

J'obéis. Les rires et les insultes me vrillent les oreilles. Les exclamations augmentent de plus belle quand Mourad défait mes cheveux qui tombent sur mes épaules et qu'il découvre que je suis épilé. Les trois marins assis sur des caisses en bois ne perdent rien du spectacle.

- Il faut leur montrer la marchandise.

Mourad relève l'arrière de ma chemise, m'en couvre la tête, puis tire les pan de tissu vers le bas, m'obligeant à lever légèrement les bras et à me pencher. J'ai le torse entièrement nus et la tête complètement enveloppée dans ma chemise. Je ne vois que des ombres à travers le tissu.

- Penche-toi et écarte tes guibolles.

Il me claque les fesses pour que j'obéisse plus vite. Je prends appuis sur la rambarde assez basse. Des mains se posent sur mon postérieur tendu.

- Montre ton petit cul de français

Les mains tirent sur le tissu du slip et le font entrer dans ma raie. J'ai les globes complètement dénudés. Mourad remonte le slip le plus haut possible. J'ai le cul complètement à l'air. La brise caresse mon derrière et me donne la chair de poule malgré la chaleur. Je reste sans bouger dans cette position. Je les entends parler, échanges rapides de mots arabes entrecoupés de rires et d'exclamations.

- Ils veulent voir ton zob la taille de ton zob.

Mourad baisse le slip et passe sa main sous mon entre-jambe. Il saisit mon sexe et le tire en arrière, puis il remonte le slip de dentelle le plus haut possible en faisant passer l'arrière du slip devant ma bite qui se trouve retournée et coincée entre mes jambes. Mon gland calotté pointe vers mon anus et écrase mes couilles. Je suis obligé de resté plié pour ne pas avoir mal. Je ne peux plus me redresser.

Dans cette position, visage dissimulé sous la chemise, slip de dentelle remonté et sexe retourné entre mes cuisses, je leur offre toutes les parties de mon intimité y compris mon anus. Je suis comme un animal que l'on exhibe à des acheteurs. Je deviens un objet. Je reste dans cette position fesses nues et offertes et bite retournée.

- Ils trouvent ton zob minuscule mais mignon. Je leur ai dit que tu adorais quand on te bourre le cul. Ils veulent voir ton trou du cul.

Il m'écarte les fesses, tire le fond du slip et leur dévoile ma raie humide de sueur et mon anus fripé. Il tire sur ma corolle pour bien dégager mon trou. Je me sens comme un animal de cirque. Pourtant malgré ce que je suis en train de subir, je me laisse faire, complètement docile aux caprices de Mourad qui tire de part et d'autre de mon anus tout en continuant de leur faire l'article.

Je reconnais la voix du capitaine qui lui répond et les deux jeunes marins s'en mêlent aussi.

- Au taf! Faut payer la traversée!...

Tout va très vite. Ils se saisissent de moi et je me retrouve nu, à genoux sur des vieux bouts de tissus, à moins d'un mètre du capitaine toujours assis en train de siroter son thé.

Rachid est devant moi et Tahar derrière. Le maillot de bain noir est déformé par la bosse devant mes yeux. Rachid le baisse à mi-cuisse. Son sexe jaillit devant mes yeux. Le gland cherche mes lèvres.

- Le capitaine veut voir comment tu suces.

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