Damia? Vous avez dit Damia... 04

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Souvenirs de Vacances Tunisiennes.
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DAMIEN IV

oooOOooo

Le spectacle de tous ses chevaux caracolant sur la place était splendide. Mais je n'y faisais pas attention.

- Allez viens... Suis-moi....

Nous avons fendu la foule toujours aussi enthousiaste avec beaucoup de difficultés. Les deux autres arabes nous ont emboîté le pas. Nous avons réussi à quitter la place.

De nombreuses ruelles. Pas d'éclairage. Un bon quart d'heure de marche. C'est un des deux inconnus qui nous guide. On stoppe devant une porte très étroite dans une venelle étroite et très sombre. L'inconnu l'ouvre et parle a Khaled. Nous entrons. Le mec ferme à clef derrière nous.

Un escalier étroit éclairé par une seule lampe. On voit à peine les marches. Khaled me fait passer devant eux. Un des mecs prononce de brèves paroles. Khaled rigole.

- Mon ami dit qu'il a pas bien vu ton cul tout à l'heure Damia, tu vas faire ce qu'il te demande.

Ils parlent entre eux. Longue palabre en arabe. Ils m'ignorent superbement. Ils sourient les trois.

- Laisse ton pantalon et ton slip ici, ils ont envie de voir ton pt'i cul de jeune fille monter l'escalier, tu récupéreras tes affaires au retour.

Je mets du temps à réaliser ce qu'il me demande, et c'est un des deux inconnus qui me baisse rapidement les vêtements autour des chevilles. Mon pantalon et mon slip reste sur la première marche.

Nu à partir de la taille, je monte les marches devant eux. L'escalier est interminable, sans aucun palier. De temps en temps on me pousse ou me caresse les fesses. J'arrive enfin devant une porte. C'est celui qui nous ouvert en bas qui ouvre encore. Nous entrons.

C'est une petite pièce avec des grandes ouvertures dans les murs crépis. Sur le mur opposé à celui de la porte d'entrée, il y a une autre porte. La presque totalité du sol est jonché de linge en ballots. Des grands draps en tas aux quatre coins de la pièce. Des montagnes de linge. Jamais je n'en avais vu autant. Une vraie blanchisserie.

- On va être tranquille ici, c'est dans cette pièce que tous les habitants de l'immeuble mettent leur linge sale avant de le laver et l'étendre sur la terrasse derrière cette porte.

Les grandes fenêtres sont sans aucune protection et les lumières de la ville nous éclairent. On entend les lointaines clameurs de la fantasia.

Les deux mecs sont venus m'entourer. Ils parlent à Khaled. Me palpent, les cuisses, les fesses, la taille et bien sur la raie.

- Allez-y mes amis, allez-y... Il est à vous.

Khaled s'est assis sur un tas de linge. Les deux arabes biens plus vieux que nous semblaient impatients et voulaient profiter de l'aubaine rapidement. Ils portaient des alliances. Leur mains impatientes couraient sur mon corps. Ils m'ont débarrassé de mon dernier vêtement, et m'ont poussé vers le sol.

Je me suis retrouvé en levrette, uniquement vêtu de mes chaussures, sur un tas de linge qui sentait la sueur et la crasse. Un des mecs a tiré mes cheveux vers le haut, m'obligeant à lever la tête. J'ai compris ce qu'il voulait et j'ai ouvert la bouche sans aucun mouvement de révolte.

- T'aimes vraiment être traité comme une pute toi.

La bite qui s'est plantée dans ma bouche ouverte sentait très fort la sueur et la pisse. J'ai eu un haut-le-cœur de dégoût. Le type a tiré mes cheveux vers sa chemise. Le pieu chaud s'est planté dans ma bouche.

- Allez Damia, montre à mon ami comme tu suces bien.

L'autre m'a palpé le derrière. J'ai les fesses écartées. Un peu de salive. Un sexe dans ma raie à la recherche du passage. Des mains sur mes hanches. Un gland contre mon trou. Mon cul s'ouvre maintenant sans difficulté. Le sexe s'enfile en souplesse dans mon intimité. L'arabe pousse son engin au fond de mes entrailles. Mon cul avale la totalité du morceau sans aucun problème.

- Allez Damia au turf ma petite pute. Fais bien plaisir à nos deux amis.

Je me suis laissé utiliser par mes deux trous devant Khaled. C'était la première fois que je me faisais limer par deux parfaits inconnus. J'avais une bite dans la bouche et l'autre plantée dans mon cul. J'imaginais Khaled en train de regarder la scène et savourant son emprise sur moi. Je suis sûr qu'il devait bien bander en voyant son ami le français se transformer en pute.

- T'es une bonne tapette, dommage que Sylvie n'est pas là.

Les deux arabes ne disaient rien, se contentant de me bloquer la bouche et le cul. Donnant des coups de reins vigoureux qui envoyaient leurs sexes au fond de mon être. J'avais du mal à garder la position sur ce ballot de linge. C'est eux qui me tenaient. Ils haletaient en crachant des interjections dans leur langue. Ils me traitaient comme une chose, un objet. Ils m'utilisaient pour leur plaisir.

- Ils disent que t'es qu'une putain à qui ils vont éclater le cul et la bouche.

Les mecs ont ralenti la cadence. Ils faisaient coulisser leurs centimètres de chairs brunes doucement.

- Ils veulent profiter à fond d'une bonne salope comme toi. Avec leurs femmes, ils ne peuvent pas faire ce genre de trucs. Nos femmes sont trop pudiques pour accepter ce genre de chose.

Au bout d'un moment les bites m'ont libéré. Je me suis affalé sur le sac de linge sale. Mais ils ne m'ont laissé aucun répit et m'ont retourné à plat ventre. Ils n'avaient même pas ôté leurs pantalons qui tire-bouchonnaient sur leurs chaussures de ville impeccablement cirées. Les pans de leurs chemises blanches cachaient leurs fesses et leurs bas-ventres. Leurs sexes bruns et circoncis pointaient fièrement. Ils avaient même gardé leurs cravates. Les bites dures et luisantes qui sortaient des pans de leurs chemises, ressemblaient à des armes. La lune éclairait bien la pièce. Le linge sentait fort malgré l'aération.

Un des mecs s'est mis à genoux au-dessus de ma tête, m'emprisonnant le crâne entre ses cuisses musclées. Il était très poilu. Il s'est baissé et ses couilles se sont posées sur mes lèvres. Il était presque assis sur mon visage et frottait ses fesses velues contre ma face. Mon nez plongeait dans sa raie. Il s'est mis a frotter son cul sur ma bouche. L'odeur de merde et de sueur était suffocante. J'avais du mal à respirer.

- Sa femme lui a toujours refusé ça. Tu vas lui faire plaisir et lui bouffer le cul comme une professionnelle.

L'autre m'a levé les jambes à la verticale. Le mec assis sur moi m'a saisi les chevilles pour tirer mes jambes vers lui, faisant passer mes mollets derrière lui et les bloquant derrière ses bras. J'étais cassé et plié en deux. J'avais un mal fou à respirer. La position qu'ils m'avaient fait prendre dégageait complètement ma raie. J'avais l'anus offert. Mon visage était soudé contre la raie très poilue. L'odeur était insoutenable. Ils ont parlé en arabe.

- C'est dommage que tu n'arrives pas à te voir dans cette position. Avec le cul en l'air et le trou bien offert. En plus tu bandes bien mon salaud. Ils veulent voir la taille de ton trou.

Je ne pouvais ni parler ni crier. L'anus du type était contre ma bouche. C'était très chaud, doux et avec une odeur poivrée très forte.

- On va voir si tu as le fion aussi souple que le corps.

Un sexe a forcé le passage de ma corolle. Le mec m'a pris par les cuisses et m'a tiré vers lui. Sa bite s'est enfoncée en moi sans aucun problème. Je sentais mon muscle se dilater.

- Il veut que tu lui lèches le cul. Dommage que Sylvie ne peut pas te voir.

Ma langue s'est mise à nettoyer la rosace plissée. Les poils étaient rugueux et collés entre eux. Je m'habituais à l'odeur épicée et au goût sucré de la peau.

Une brusque douleur qui m'a fait sursauter. Mon enculeur donnait de violents coups de reins en me tirant en même temps vers lui. Sa bite tapait durement au fonds de mon ventre.J'avais l'impression que mon cul aller éclater à chaque fois que le sexe coulissait en moi. Je ne pouvais pas bouger et ma bouche ouverte gémissait contre l'anus d'un de mes tourmenteurs.

- Il dit que tu as le cul bien ouvert, il ressemble à la chatte de sa femme. Dommage que tu ne mouilles pas autant qu'elle.

Pendant un bon quart d'heure, j'ai cru que j'allais mourir d'étouffement ou d'un déchirement. J'avais l'impression que mon cul était béant. J'étais complètement ouvert et offert à ces deux arabes qui me traitaient de la pire des manières.

J'étais leur chose, et ils faisaient ce qu'ils souhaitaient de mon corps, avec la bénédiction de Khaled qui nous regardait sagement assis dans son coin. Ils ont plusieurs fois échangé leur place et je léchais des bites souillées. Mon cul les recevait sans aucun problème et restait ouvert entre leur relais. Les deux arabes ont mis du temps avant de jouir. Ils se servaient de ma bouche et de mon cul sans aucun ménagement. J'étais assez surpris de pouvoir supporter un tel traitement.

Quand ils m'ont lâché, j'avais l'impression d'être complètement disloqué. Je n'ai même pas senti les bites qui se sont déversées à tour de rôle dans mes entrailles.

Je me suis écroulé sur le ballot de linge. Les autres ont allumés des cigarettes. Ils parlaient à Khaled. J'avais du mal à retrouver mes esprits. J'avais des poils dans la bouche et leurs odeurs tenaces étaient encore dans mes narines. J'avais un peu froid. J'avais le visage contre le linge sale. Ils ont éteint leurs clopes. J'ai vu leurs chaussures revenir.

- Tu leur fais de l'effet ma petite Damia, ils ont encore envie de toi. On a encore le temps, la fantasia n'est pas finie, ils veulent faire comme les cavaliers et continuer à te monter.

Ils m'ont sodomisé à plusieurs reprises, et n'ont pas eu besoin de rajouter de la salive. J'avais avalé leurs sexes et léché leurs culs sales. J'étais complètement cassé moralement et physiquement. Ils ont chacun jouis plusieurs fois dans ma bouche et dans mon cul. J'ai bu leurs spermes jusqu'à la dernière goutte. Chose inconcevable aujourd'hui avec le sida.

Quand ils ont fini de prendre leur plaisir, j'avais l'impression que mon trou ne se refermerait plus. Je le sentais boursouflé et douloureux. Je me suis relevé, le visage rouge, les yeux hagards desquels perlaient quelques larmes. J'avais du mal à me rhabiller et encore plus à marcher. Nu et le cul inondé, je suis redescendu toujours devant eux. J'ai remis mes affaires après m'être essuyé avec mon slip.

- T'as intérêt à bien serrer les fesses si tu veux pas tacher ton beau pantalon de courtisane. T'imagine la tête de Sylvie si elle voyait le fond de ton pantalon tout taché de semence.

Les deux autres ont ri à la remarque de Khaled, me prouvant s'il en était besoin, qu'ils comprenaient parfaitement le français.

Le spectacle était fini et la foule envahissait les rues. Je marchais comme un somnambule à côté de Khaled. Les deux autres nous avaient quitté. Nous nous sommes arrêtés devant une fontaine publique

- Nettoies toi sinon Sylvie ne va pas comprendre

Je me suis aspergé le visage. C'est tout ce que je pouvais laver. J'avais mal au ventre et aux mâchoires. Je serrais les fesses pour que le sperme ne tache pas mon pantalon. Khaled m'a montré plusieurs billets de cents dinars

- Ils ont été très généreux

J'étais abasourdi. Ainsi donc, il m'avait vendu à ces deux parfaits inconnus! C'était donc vrai que j'étais sa pute!

Le pire c'est que nous avons retrouvé Sylvie et Mourad attablés à une terrasse de café et j'ai retrouvé ma forme coutumière. Ils ont parlé un moment en arabe pendant que Sylvie s'extasiait du spectacle auquel elle avait assisté.

C'est Khaled qui nous a offert la tournée et les repas avec l'argent que je venais de gagner avec mon cul et ma bouche. Sylvie l'a remercié très chaleureusement.

oooOOooo

Deux ou trois jours après la fantasia, la première fissure entre moi et Sylvie. Toute la nuit, elle avait refusé mes avances, d'abord avec douceur, puis avec exaspération. Le matin elle m'a annoncé qu'elle passera la journée avec Khaled. Elle devait certainement s'attendre à ce que je lui demande des comptes. Mais je n'ai rien dit. Je savais déjà ce qui se passait. Je me suis contenté de lui poser un baiser sur le front avant d'aller prendre ma douche en lui souhaitant de passer une bonne journée.

Je pense que c'est à cet instant précis que notre séparation s'est faite. Même si aucun de nous ne l'a annoncé.

J'ai passé la journée à marcher dans la ville. Je voulais retourner en France. Tout de suite. Laisser ce pays, tout abandonner et retrouver ma vie d'antan et mes joies d'avant. J'en avais marre. Vers le milieu de l'après-midi, je suis retourné à la plage. Les jeunes jouaient au foot devant les bungalows.

Tous les jours, ils étaient là et jouaient inlassablement. Le petit marchand de maïs était avec eux. Ils se lançaient le ballon pour tenter de marquer. Dans les buts, il y avait Mourad. Lui aussi avait été largué pour la journée. Comme moi.

Il m'a fait un signe de la main. Les jeunes m'ont encerclé. Je n'avais pas envie de jouer au ballon. Mourad m'a demandé si la fantasia m'avait plus. Aux intonations de sa voix, j'ai compris que j'allais payer pour Sylvie. Je m'en foutais.

- Alors, il parait que maintenant tu te fais payer?

Les jeunes se sont calmés. Je ne savais pas s'ils comprenaient le français. Mourad a parlé au vendeur de maïs. J'ai vu la clef changer de mains. Les jeunes se sont esclaffés en me tournant autour. Ils ont rompu le cercle devant la porte bleue. Tête baissée, je suis entré dans le bungalow sous leurs quolibets.

Mourad m'a donné une bourrade sur les omoplates. Je connaissais le chemin. Il ne m'a rien demandé. Complètement soumis, j'ai ôté ma chemisette, mes espadrilles et mon pantalon. J'avais les mains sur l'élastique de mon maillot de bain.

- Garde-le. Penche toi et prend appuis sur le lit... Ecarte les jambes. Encore plus. Comme ça, garde la pose.

Je ne comprenais pas ce qu'il cherchait. Il est resté immobile derrière moi sans se déshabiller.

- Ne bouge pas, je reviens.

La porte qui s'ouvre. Il sort un instant et revient. J'entends des bruits de pas. Des chuchotements, des rires nerveux, des piétinements. Mourad est à nouveau là. Il prend mes cheveux et les tire en arrière. M'obligeant à lever la tête vers le mur décrépis.

- Tu vas répéter ce que je dis.

Il prononce une courte phrase en arabe.

- Répète ce que je viens de dire.

Je prononce les mots incompréhensibles. Une autre phrase que je répète. Puis d'autres. Les chuchotements continuent dans l'autre coin de la pièce. Ils sont entrecoupés de rires. Des silences quand je parle.

- Maintenant tu baisses ton slip lentement... Plus lentement que ça... Enlève le complètement et reste les jambes bien écartées.

Des claques sur mes fesses. Le bruit résonne dans toute la pièce couvrant les voies basses. Je sursaute de surprise plus que de douleur.

- Bouge et tourne ton cul. Allez fais danser ton derrière de femelle.

Les coups tombent sèchement. Je gémis en me cambrant pour y échapper. Je tortille mes fesses dans tous les sens. Les chuchotements deviennent plus forts.

- Maintenant tu t'écartes les fesses. Encore plus, je veux voir ton trou de pute. Dévoile bien te raie.

Puis il passe à l'arabe. Je suis obligé de répéter trois fois la même phrase. Je ne sais pas ce que je dis. Des crachats s'écrasent sur ma raie ouverte. Les murmures sont jeunes. Je sais que nous ne sommes pas seuls et qu'il est en train de me donner en spectacle. Mais en même temps, je refuse de reconnaître les faits.

- Couche toi sur le lit ma salope. Ecarte bien tes cuisses. Laisse pendre tes jambes de chaque côté du lit.

Il dit quelque chose en arabe. Un mouvement furtif dans la pièce. Des raclements sur le sol puis près du lit. J'ai le visage plaqué contre le grabat, je ne peux rien voir. De toute manière, je refuse de voir.

Un corps sur le mien. Pas celui de Mourad. Bien plus léger. Plus vif. Tout de suite une queue impatiente qui cherche l'entrée. Un gland qui se pose contre mon anus. Une poussée. Maintenant mon cul se dilate sans problème. La bite de l'inconnu entre sans problème. Il s'agite sur moi. A peine une minute avant de me remplir. Il se lève en riant d'une voix juvénile.

- Reste comme ça. C'est pas fini.

Un autre me couvre. Cherche la voie. La trouve rapidement et me plante son sexe en couinant de joie.

- Tu sais ce que tu leur as dit tout à l'heure. Tu leur as dit que tu étais une pute. Une chienne qui adorait se faire niquer. Tu leur a demandé de te baiser à la chaîne. Tu leur as dit que c'était gratuit et que tu voulais leurs queues. Chez à partir de treize ans on est majeur. On commande les femmes. Alors tu dois leur obéir. C'est un honneur pour une chienne comme toi de leur faire découvrir leur future vie sexuelle avec des femmes.

J'ai serré les dents quand le troisième m'a sodomisé. Sa bite était plus grosse que les deux précédentes. Il a mis plus longtemps à jouir. Des flots épais ont remplis mon ventre. J'avais mal. J'ai crié quand un quatrième s'est couché sur moi et m'a enculé violemment.

- Tu peux crier. Ils s'en foutent, ça les excitent de t'entendre gémir comme une fatma. C'est dommage que tu ne peux pas les voir. Ils sont plein de sève. Les premiers qui t'ont niqué rebandent déjà.

Je sentais mon cul endolori recracher le sperme. Je pétais et ils riaient. Je ne sais pas combien de fois ils m'ont niqué. Ni combien ils étaient. Cela m'a paru interminable et je ne sentais plus mon cul. Je ne savais pas pourquoi les larmes coulaient qu'ils jouissaient dans mes intestins. Une odeur de merde flottait dans la pièce. Je n'avais plus conscience du temps. Je serrais les dents à chaque intromission. Les sexes qui pourfendaient mes intestins me semblaient de plus en plus gros. Mes mains agrippaient les bords du lit de toutes mes forces. Je crois qu'à un moment, je me suis évanoui.

Puis plus personne ne s'est couché sur moi. Je n'avais pas la force de me lever. J'avais envie de vomir. Malgré mon état, je savais qu'il y avait encore du monde dans la pièce. Mais personne ne parlait. Juste des soupirs et des bruits de respirations.

Mourad a pris un gros épi de maïs dans le stock et a retourné les feuilles de protection et les filaments. Il a tiré mes cheveux m'obligeant à lever la tête. Il a bien vu que j'avais pleuré. Il a placé le légume devant ma bouche.

- Suce-le. Suce le bien...

Les autres étaient toujours dans la pièce. Je léchais le légume sur toute sa longueur. Je le suçais comme on suce une bite. Je savais parfaitement sucer maintenant. Bien sûr, je pouvais à peine prendre la moitié du légume dans ma bouche.

- C'est bien, on va leur montrer les capacités de ton trou du cul.

Mourad a positionné l'épi entre mes fesses. Je l'ai suppliais de ne pas faire ça. Mais il voyait bien que je bandais. Avec eux, je bandais toujours. Plus ils m'humiliaient, et plus je bandais. J'entendais les exclamations de surprise des mômes. Mourad a poussé le légume. J'ai encore supplié d'une voix rauque.

- Tu ferais mieux de te taire. Branle toi et tu auras moins mal. Montres leur que tu aimes ce qu'on te fait. Serre les dents salope.

Mourad m'a planté la presque totalité du légume dans mon fion qui l'a engloutit sans problème. J'étais sidéré de la facilité avec laquelle le gros légume s'est enfoncé en moi. J'avais mal, mais la douleur était tout à fait supportable.

- Attends, y en a encore.

Mourad l'a poussé jusqu'aux feuilles. Mon anus s'est refermé sur le légume. Seules les feuilles dépassaient. L'épi ne pouvait plus ressortir. Drôle de sensation de dilatation. Peur aussi qu'il ne puisse plus ressortir.

- T'es comme une poule farcie..... Branle-toi.

Je me suis branlé. J'ai dû sucer son sexe tendu en gardant l'épi planté au fin fond de mon ventre. Il m'a aspergé le visage de son foutre chaud et gluant.

J'ai gémis comme une pute. Une bite devant ma bouche. Elle est fine et longue. Des couilles imberbes que je lèche. Un gland très doux que je tète et du sperme que j'avale. Une très grande quantité de sperme que je bois jusqu'à la dernière goutte. Pas le même goût que celui de Mourad. Des voix d'adolescents. C'est le vendeur de maïs. J'ai joui comme un fou devant eux. Les spasmes de jouissance étaient tellement violents, que ma tête tournait.

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