Damia? Vous avez dit Damia... 05

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Souvenirs de Vacances Tunisiennes.
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DAMIEN V

J'ouvre la bouche et commence à sucer cette bite que je ne connais pas. Je suce en plein jour sur ce bateau. Le gland est très gros et j'ouvre les mâchoires au maximum de mes possibilités. J'ai la bouche pleine. Rachid tient fermement ma tête qu'il presse contre son bas ventre. Impossible de prendre la totalité de son sexe au goût salé. Le gland qui cogne au fond de ma gorge me donne envie de vomir. Mon visage touche la toison pubienne. La bite va de plus en plus loin dans mon palais en lâchant de temps en temps un peu de liquide au goût âcre.

Le capitaine prononce quelques paroles. Rachid tombe à genoux sans lâcher ma tête, ce qui m'oblige à me mettre à quatre pattes. Sa queue ne quitte pas mon palais. Je comprends vite la suite des événements quand je suis obligé de bien écarter mes jambes. Tahar est derrière moi entre elles. Je sens ses jambes poilues contre les miennes et son bassin se frotte contre mes fesses cambrées.

- Montre au capitaine ce que tu sais faire avec ton cul.

Un liquide froid dans ma raie et immédiatement une légère douleur a l'anus. Je me cambre encore plus pour échapper au gland qui pousse contre ma corolle.

- T'as rien à craindre, il est moins gros que l'épi de maïs.

Rachid me bloque la tête et Tahar me tient par la taille. Une barre dure et chaude pousse sur ma rondelle pendant qu'on me tire en arrière par la taille. Mon trou s'ouvre lentement sous la pression. Un rire juvénile. Le gland très dur ouvre le passage et mon anus se dilate et cède.

Je ne peux pas gémir quand le sexe tendu s'enfonce d'un coup dans mes entrailles. Tahar pousse de plus en plus fort et sa queue ouvre mon conduit anal. Le pieu très dur progresse rapidement dans mon ventre.

- Alors le français, tu dois être content. Une dans le cul et une dans la bouche, tous les trous bouchés. Tu vas voir ils vont bien s'occuper de toi mes potes. Le capitaine, il adore regarder ce genre de spectacle. Tu vas être une bonne pute maintenant bien obéissante.

Ma bouche et mon cul ne sont plus que des trous chauds et humides au service de ces deux bites inconnues qui m'ouvrent les mâchoires et l'anus.

- Regardez, même quand il bande, il a un petit kiki.

Rachid et Tahar me liment rapidement. Ils me semblent forts et invulnérables et leurs sexes sont comme de l'acier brûlant. Mon anus s'ouvre de plus en plus sous les coups de boutoir du marin qui me nique sans fioritures et en m'écartant bien les fesses pour que le capitaine voit sa queue s'enfoncer dans mon ventre.

Rachid utilise ma bouche de la même façon en poussant de plus en plus loin son gland au fond de ma gorge. Ce sont eux qui me tiennent sinon je m'écroulerais sur le pont. En plein jour, devant des spectateurs, je redeviens la larve bandante.

Le sexe dans ma bouche m'étouffe et celui qui est dans mon cul brûle mon sphincter dilaté. Les marins deviennent de plus en plus brutaux. Rachid me tape sur les fesses en m'injuriant.

- Dommage que Sylvie ne peut pas te voir le cul et la bouche pleine. Le capitaine, c'est un ami et je lui ai promis un beau spectacle.

Rachid et Tahar me niquent de plus en plus vite. Ils sont infatigables et accélèrent encore en montrant bien au capitaine ce qu'ils sont en train de me faire. Ils se donnent en spectacle devant leur chef. Je n'en peut plus et la douleur revient. Je me laisse malmener jusqu'à ce que la bite dans ma bouche libère son venin. Rachid presse mon visage contre son pubis m'obligeant à tout avaler. Tahar jouit aussi. Je sens mon ventre se remplir. Ils déchargent en moi à longs jets chauds et cela dure longtemps. Je bois toute la semence au goût très fort pendant que mon trou dégorge le trop plein de foutre.

Dès qu'ils ont finis de jouir, ils se retirent et je m'écroule complètement épuisé. Je reste sans bouger au milieu d'eux. Rachid et Tahar remonte leurs maillots. J'ai le cul qui coule et je garde en bouche le goût âcre et tenace du sperme que je viens de boire.

Ils se désintéressent de moi. Mourad s'approche.

- Allez lève-toi.

Je me relève en titubant. J'ai la tête qui tourne un peu. Je veux me rhabiller. Mes vêtements ne sont plus là.

- Tu restes tout nu jusqu'à notre retour, pour rester à notre disposition jusqu'à demain soir. Tu vas être une bonne femelle soumise et obéissante. T'es fait pour cela.

Il fouille dans mon sac, sort le paquet de tampons périodique. Il en prend un et le sort de son étui de protection pour le balancer devant mes yeux au bout d'une ficelle. Il parle en arabe aux deux jeunes marins qui sautent sur moi. Je me débats. Ils me penchent. Je crie et supplie. Ils ouvrent mes fesses.

- Ton cul coule comme la chatte d'une femelle indisposée. On va arranger ça.

Il me fourre le tampon dans l'anus. Seule la ficelle dépasse. On me lâche. Je suis leur femelle.

- Tu restes avec... A poil.

La ficelle pend entre mes jambes. Le travail reprend. J'ai envie de disparaître. Le capitaine ne fait plus attention à moi et range le produit de la pêche. J'ai les fesses glissantes. Je comprends qu'elles sont enduites d'huile d'olives. Je reste nu assis à l'arrière en attendant la fin de la pêche. La ficelle me gêne et le tampon gonfle.

Les jeunes rejoignent le bord et nous levons l'encre pour quitter le coin. Le bateau se dirige vers le large sur une mer d'huile. Les deux jeunes marins sont couchés sur le pont et semblent dormir. Le capitaine est à la barre et Mourad regarde la mer. Je n'arrive pas à me débarrasser du goût du sperme et j'ai l'impression que mon cul est toujours ouvert. Le tampon prend de plus en plus de place.

Je revois les deux bites qui viennent de me pourfendre. En repensant à ce qui s'est passé tout à l'heure, je sens mon sexe frémir. Je bande légèrement et j'ai envie de me branler. Mais cela m'est impossible car Mourad ne me quitte pas des yeux.

Au cours de l'après-midi, Mourad est venu à cote de moi. Il s'est mis face à la mer pour pisser devant moi. Son jet puissant tombait dans l'eau de mer en myriade de gouttelettes d'un jaune pâle. Il tenait sa bite bien droite sur la gauche de mon visage. Je ne pouvais détacher mon regard de son engin et des couilles lourdes qui pendent entre ses cuisses musclées.

Quand il a finis, il tourne son bassin vers moi, en tenant toujours son sexe. Il me le tendait sans rien dire. Il y avait encore une goutte d'urine sur le méat.

- Nettoie.

Je savais que les autres nous regardaient et qu'il faisait cela pour bien leur montrer que j'étais son esclave. J'ai sorti ma langue pour lécher la goutte de pisse qui sortait de son méat. J'avais envie de cette queue. De toute manière, de grès ou de force, je serai obligé de le faire.

- C'est bien. Prends bien ton biberon. Vas-y débrouilles toi tout seul comme un grand. Tu sais bien sucer maintenant, je suis sûr que tu suces mieux que Sylvie.

Je le suçais avec application en le tenant sous les fesses. Je plongeais mon visage dans sa toison pubienne en humant ses senteurs intimes et me délectais du goût de son sexe et de la douceur de la peau chaude. J'arrivais même à sentir les grosses veines qui couraient le long de sa hampe et palpitaient au rythme de ma fellation.

Mourad se laissait faire et a un moment, il a tourné son torse vers les autres pour leur dire quelque chose à la cantonade. J'ai entendu des rires et des mots en arabe. Au bout d'un moment, il m'a plaqué la tête contre son ventre m'obligeant à le prendre presque entièrement en bouche. Son mandrin a craché sa purée chaude et âcre directement dans ma gorge m'obligeant à avaler goulûment les giclées puissantes. J'ai tout bu jusqu'à la dernière goutte avant qu'il ne me libère et s'en retourne avec les autres.

Le bateau à stoppé les deux jeunes sont repartis a la pêches. Je suis resté dans mon coin une bonne partie de l'après-midi. Cela ne me faisait plus rien d'être à poil au milieu d'eux. Ni de me balader avec cette ficelle pendouillant entre mes cuisses.

Les deux pêcheurs continuaient de récolter divers coquillages. Ils semblaient infatigables, plongeant et remontant des dizaines de fois. Personne ne faisait attention a moi. J'étais une quantité négligeable a leur yeux.

Je restais assis à poil, le bas ventre recouvert d'un vieux bout de toile et attendant la suite des événements. Mourad et le patron rangeaient la récolte et parlaient peu. Le soleil commençait à descendre vers l'horizon. D'ici deux heures, la nuit commencerait à tomber et j'attendais cela avec une pointe d'appréhension.

Mourad m'a demandé de préparer du thé. Toujours à poil, Je l'ai fait, allant même jusqu'à les servir. Ils me regardaient à peine, se contentant de me tendre leur tasse avec indifférence quand ils en voulaient à nouveau.

Puis la pêches a repris jusqu'à presque sept heure du soir. Après une dernière plongée, Rachid et Tahar se sont aspergés d'eau douces pour se débarrasser du sel qui collait à leurs peaux mates et très brunes. Puis ils se sont débarrassé de leurs short de bain pour revêtir des djellabas noires à motifs doré. Ils ne portaient rien en dessous.

Le patron a allumé un poste radio. De la musique arabe a envahi le pont. La nuit arrivait. J'avais un peu froid et la chair de poule. Mourad s'en est aperçu. Il leur a parlé.

- Allez viens, on va au chaud, la nuit ne fait que commencer.

Nous sommes tous descendus dans la cambuse, une toute petite pièce occupée par une table et deux bancs. Il y faisait une chaleur suffocante et l'odeur de mazout n'arrangeait rien. J'ai failli me sentir mal. Pourtant les deux hublots étaient ouverts et le bruit de l'eau contre la coque nous parvenait très nettement.

Dans cette promiscuité, Mourad m'a demandé de dresser la table. J'ai pris la nourriture que je trouvais dans un tout petit réfrigérateur.

A un moment, un des jeunes m'a mis la main aux fesses et je n'ai rien fait pour y échapper. Il m'a caressé lentement en empoignant mes lobes a pleines mains et en mettant un de ses doigts dans ma raie.

- Il dit que tu as un très joli cul et qu'il aimerait bien que sa fiancée ai le même cul que le tient.

oooOOooo

L'atmosphère était à couper au couteau. Tahar a tiré sur la ficelle. Le tampon a bougé dans mon ventre. Tahar a tiré plus fort et le tampon a commencé à sortir lentement. J'ai pété. Cela les a dégouttés surtout quand le marin a montré le tampon bien gonflé, de couleur marron. J'ai dû aller le jeter à la mer avant de les servir. Et bien me laver la raie sur le pont.

Il y avait un bol d'huile sur la table. Tahar y a trempé deux doigts pour m'en badigeonner la raie. J'ai serré les fesses, mais les doigts sont entrés sans difficulté. Tous ont vu qu'ils se sont vrillés dans mon fondement.

- Il dit que c'est mieux quand ça glisse bien. Tout à l'heure, il a eu un peu mal. C'est mieux quand tu es bien ouvert.

Je me suis laissé faire vaincu et humilié. Les autres ne perdaient rien du spectacle que nous leur donnions. Les doigts ont fait plusieurs allers retours entre le bol d'huile d'olive et mon trou de mieux en mieux lubrifié. Les ongles cassés ont écorché la peau de ma corolle. Je sentais ma pastille se dilater et s'assouplir autour des doigts qui me fouillaient l'anus. Cela a duré un bon moment avant qu'il ne s'arrête

- Tu vas nous servir..... On a faim

Mes fesses glissaient l'une contre l'autre quand je marchais pour faire le service. Ils mangeaient lentement en prenant leur temps. Chaque fois que je passais à côté de l'un d'eux pour le servir, il me caressait le cul à l'exception du patron qui ne m'avait jamais touché depuis mon arrivée sur son bateau. Mourad n'était pas en reste.

- Je leur raconte comment on t'a niqué la première fois avec Khaled.

J'ai entendu prononcer le nom de Sylvie. Mourad devenait intarissable. Mais je ne comprenais rien. A un moment ils ont souri.

- Ils aiment bien l'épisode du maïs que je t'es mis dans le cul. Ils ont du mal à y croire.

Le capitaine a prononcé quelques mots. Mourad s'est tu. Ils se sont regardaient en silence. Un des jeunes s'est levé et pour franchir une petite porte à l'opposé de la porte qui donne sur le pont.

- Ils connaissent bien Khaled et ils comprennent parfaitement que ta copine préfère sa grosse quequette à la tienne. Le patron a eu une bonne idée. Tu vas voir, tu vas beaucoup aimer.

J'avais peur de connaître cette idée. Je devinais que ce serait sûrement une humiliation de plus. Rachid a débarrassé les restes du repas à l'exception du bol d'huile qu'il a placé sur le petit réfrigérateur.

- Le patron, il a dit qu'avec les femmes tu sais être un homme, mais qu'avec les hommes tu es une femme obéissante et soumise.

On ne pouvait pas mieux analyser mon comportement. En une phrase ce vieil arabe avait tout dit et avait deviné des choses que je ne savais pas moi-même avant de venir dans ce pays. Mourad a repris.

- D'après lui tu es comme cela et tu aimes être traité comme une roulure même si tu ne le sais pas encore. T'es pas le premier étranger à passer une nuit avec nous. Ils le veulent tous et surtout les femmes. Certains hommes aussi d'ailleurs. Ils ont d'abord peur de nous, mais après ils en redemandent et ne veulent plus quitter le bateau... Et certains payent très cher le voyage. La semaine dernière, c'était une grosse allemande, une vraie chienne toute blonde. Le soir elle nous a fait un strip-tease extra, elle s'est mise à danser la danse du ventre et on l'a niquée toute la nuit par tous les trous. Tu aurais dû voir comme elle en redemandait cette pute, avec sa grosse bouche et son gros cul tout blanc. Elle avait les nichons aussi gros que ses fesses. Des vraies outres bien pleines. Elle était déchaînée et on lui a tous passé dessus plusieurs fois. Elle était tellement contente qu'elle nous a donné tout son fric et même ses vêtements. Je l'ai raccompagnée à son hôtel avec juste une djellaba sur le corps et j'ai tout raconté au patron de l'hôtel. A l'heure qu'il est, si elle n'est pas partie, elle doit se faire niquer par toute l'équipe de l'hôtel du club.

Le patron a interrompu brusquement Mourad pour lui dire quelque chose. Mourad a hoché la tête et m'a saisi le bras

- Viens on monte sur le pont. Le patron a une envie

Tahar n'est toujours pas revenu et Rachid nous accompagne. Sur le pont, je dois me pencher face à la mer. Eux, restent derrière moi.

- Baisses toi t'es pas à la bonne hauteur.

Je n'ai pas le courage de refuser et je fléchis les jambes. Deux mains écartent largement mes fesses pour mettre mon anus huilé à nu. Il fait presque nuit. La mer est très calme. La lune doit éclairer mon cul offert. J'attends qu'on m'encule sans aucune révolte. Les mains tirent largement sur mes fesses. Mon sexe tout mou ballotte entre mes jambes ouvertes. Je sens l'air marin balayer mes couilles. Complètement soumis, j'attends en fermant les yeux.

Je ne comprends pas pourquoi mon enculeur met autant de temps à me sodomiser. Brusquement un liquide chaud frappe ma raie et mon anus. Je ne réalise pas tout de suite ce qui se passe. Le liquide m'asperge le trou et coule sur mes couilles et le long de mes cuisses avant de s'écraser sur le pont. Quand je saisi ce qu'ils sont en train de faire, j'ai envie de pleurer de honte. Je tente de bouger. Un des types me frappe sur la nuque.

- Tu bouges pas salope, tu attends gentiment. Le capitaine n'a pas finis de pisser.

Mes fesses, mes jambes et ma raie sont toutes mouillées. Le liquide coule un peu sur mon dos. Le jet chaud se tarit après des nombreuses giclées. Je n'arrive pas à contenir mes larmes. Cet arabe qui me pisse dessus me ravale au rang de larve. Il s'est soulagé sur moi. Il m'a inondé de son urine, comme un animal qui marque son territoire. Des larmes silencieuses roulent sur mes joues avant de s'écraser dans les flaques à mes pieds.

Un autre jet encore plus dru sur mon anus et mes couilles qui pendent lamentablement entre mes cuisses souillées. J'aurai préféré qu'ils m'enculent. Ce qu'ils me font me semble insupportable. Ils me rabaissent et m'humilient encore d'avantage. Je leur dit d'arrêter.

- Ta gueule si tu veux pas qu'on te pisse dans la bouche.

Je n'arrive pas à contrôler mes pleurs et mes larmes brouillent ma vue. Pourtant j'accepte ce qui se passe. Ma queue frémi et se redresse.

Ils se soulagent à tour de rôle sur mes fesses tendues. Il y a une grande flaque de pisse entre mes jambes et mes pieds baignent dedans. L'urine coule lentement vers un des bastingages. Je me laisse pisser dessus sans rien faire. Ils me dominent complètement et je sais que dorénavant plus rien ne m'atteindra. Il y a un grand vide en moi qui me transforme en marionnette.

Brusquement je sursaute. Ils m'ont lancé un grand saut d'eau froide sur les fesses et les jambes.

- C'est comme ça qu'on calme les chiennes, le patron il veut pas que tu salisses la cambuse.

Encore un seau d'eau sur mon postérieur.

- Sèche toi

Je le fait sans oser les regarder. Ils remarquent mes larmes mais ils s'en foutent. J'ai froid et je claque des dents. Je n'arrive pas à contrôler mes mâchoires. J'ai les jambes qui tremblent. Je m'essuie maladroitement le visage.

Nous redescendons dans la cambuse. La table et les deux bancs sont contre les murs de bois. Le centre de la pièce est libre. Il y a un matelas de crin sur le sol. Le plafonds est trop bas et nous oblige à nous déplacer penché. Mon sac ouvert est sur la table à côté du bol d'huile. Tahar est en train d'en inventorier le contenu. Tahar me tend le flacon d'huile solaire après l'avoir débouché et senti.

- Il aime bien l'odeur. Il veut que tu en mettes.

J'en verse quelques gouttes et me badigeonne lentement le torse et le ventre.

- Plus bas aussi.... Encore plus bas

Ma main est sur mon pubis. Mon sexe pend tout flétris. Ils regardent sans un mot. Je rajoute de l'huile solaire. Ma main saisie ma verge. je me branle lentement. Cela glisse parfaitement bien. Je m'attarde sur ma verge. Je ne ressens rien. Aucune excitation. Aucun effet. Je me branle devant eux. Mon gland ne sort même pas du prépuce.

- T'arrive même pas à bander. Vas-y un petit effort. Montre-nous que tu es un homme, Un vrai. Pas une femme.

Je me branle en serrant ma tige de plus en plus fort. Rien à faire. Mon sexe refuse obstinément de se redresser. J'ai honte de ne pas pouvoir bander. Pourtant je suis excité. J'ai envie de leur montrer que je peux. Je m'escrime en vrai sur ma verge flasque et pendante. Je rougi comme un gamin.

- Comment tu fais pour baiser ta femme? T'es pas un mâle toi. Pas grave c'est une femelle qu'on veut. Mets-toi de l'huile sur les fesses. Allez vas-y!

Mes mains passent sur mes fesses. Encore de l'huile. Je me caresse et me cambre pour bien en mettre partout. Mes mains pénètrent ma raie sans qu'ils ne me le demandent et je mets de l'huile sur ma raie et mon trou.

Je deviens une vraie salope qui se donne en spectacle. Je n'éprouve aucune honte à me comporter ainsi. Je suis devenu très obéissant. J'étais comme dans un autre monde au milieu de ces étrangers dans un bateau en pleine Méditerranée.

Rachid s'est approché de moi. Il a juste relevé le devant de sa djellaba découvrant son sexe brun avec un gros gland.

- Caresse-le.

Je verse de l'huile solaire dans le creux de ma main. Sans aucun mouvement de révolte, je saisi son sexe à pleine main. Il est brûlant et très dur. Je commence lentement à le masturber devant les autres. Le pieu chaud de tend de plus en plus. J'accentue mes mouvement et vais de la racine jusqu'au méat. Il me laisse faire. Ma main enduite de crème solaire glisse facilement le long du pieu qui grossi au fur et à mesure de mes caresses.

La bite est maintenant à son apogée. Très large à la base avec un gland comme un champignon. On aurait dit un obus. Elle fait au moins deux fois la largeur de ma main. Les couilles sont très grosses. La peau très douce. Je le branle mécaniquement. Je sens les grosses veines bleues contre ma paume.

Les trois autres regardaient assis sur le plancher. Rachid s'est assis sur le banc face aux spectateurs, jambes allongées et jointes. Son sexe tendu vers le plafond brillait. Il a parlé à Mourad qui à traduit.

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