Correction Une Jeune Professeure

• Oui tu as raison Rachel, ils sont mieux là qu'à traîner dans la rue. Tiens, tu vois que la gare est assez proche de ce logement.Tu comptes le prendre, j'espère?

• Oui, je pense même que si il est assez coûteux, c'est le plus propre que l'on ait visité, tu ne trouves pas?

• Oui, je crois que c'est un bon choix, je préfère celui-là aussi. Une fois près de mon hôtel, on prendra un verre dans un bar et je téléphonerai au propriétaire.

Assise face à face dans le RER, je vois ma mère fouiller dans son sac.

• Tiens, prend un chewing-gum Rachel, ta bouche empeste vraiment trop!

• Merci maman.

• J'ai trouvé drôle qu'ils te disent mademoiselle, ils ne savent pas que tu es mariée.

• Le premier jour de cours, je me suis présentée comme madame. Et puis, je porte mon alliance, il doivent bien la remarquer. Et je ne vais pas non plus leur raconter ma vie.

• Je me posais juste la question, après avoir vu le temps que votre discussion a pris. Ils doivent savoir quand même certaines choses sur toi, même si ce dont vous avez discuté ne me concerne pas.

• Tu as peut-être raison maman, je devrais leur préciser que je suis mariée, pour le reste c'est mon problème et tu n'as pas à savoir ce dont on a parlé, cela reste entre eux et moi!

Ma mère me tend le chewing-gum, d'un air détaché, tout en me parlant. Je commence alors à me poser des questions. A-t-elle senti l'odeur du sperme que j'ai avalé et dont j'ai encore le goût dans la bouche? A-t-elle entendu ou pire a-t-elle ouvert la porte et tout vu? Mais elle ne semble pas préoccupée donc je chasse ces idées de ma tête.

Je venais de m'offrir à cinq hommes et je sais qu'ils continueront à présent à me prendre, à m'utiliser, à m'humilier et à se servir de moi car désormais ils savent que je ne suis qu'une salope qui acceptera sans problème et à la moindre sollicitation de leur part, de servir de trou à bites. Et cette pensée m'excite.

Une fois dans le bar, on commande des boissons. Je prends un double whisky. Ma mère me dit que cela lui fait plaisir d'être avec moi car on n'a que rarement eu l'occasion de se retrouver seule à seule puis prenant son téléphone en mettant le haut-parleur pour que je puisse entendre, elle dit :

• Bonjour monsieur Abdou. Nous sommes passés cet après-midi avec ma fille pour votre appartement.

• Oui bien sûr madame.

• Voilà, elle serait très intéressée, mais trouve le prix un peu cher. Si vous pouviez faire un effort, vous savez, elle est jeune enseignante et son salaire n'est pas très élevé.

• Je pense que l'on peut s'arranger madame, votre fille est charmante et je pense ne pas avoir de problème pour percevoir le lo

• Une chose de régler, autre chose, comme il lui faudra des meubles, je compte lui en acheter mais je ne pourrais pas venir pour les réceptionner. Si vous pouviez l'aider? Cela nous arrangerait...!

• Pas de problème madame, si je ne suis pas là je demanderai à Bouba, je crois que vous avez fait sa connaissance après votre visite, il travaille pour moi et lui dirais d'être là. Et de mon côté, je vous envoie les index des différents compteurs pour que vous puissiez les mettre à son nom.

• Mr Abdou! Vous parlez d'un de ses grands gaillards que nous avons croisé en sortant, ils se sont montrer charmant d'ailleurs.

• Oui c'est bien cela madame!

• Alors encore merci monsieur, je vous rappellerai demain, bonsoir!

Après avoir raccroché, elle me dit alors avec un grand sourire aux lèvres.

• Voilà, ton problème de logement est réglé. Et ton nouveau propriétaire a l'air très sympathique.

• Oui maman.

• Je pense que tu seras très bien là-bas, je vais essayer de te trouver un peu de vaisselle et ce qu'il faut pour meubler ton appartement sans trop dépenser. J'irai demain chez Emmaüs, tu me rembourseras petit à petit.

• Merci maman!

• Je vais appeler ton père pour le prévenir et le rassurer.

Elle fait un signe de la main pour dire au serveur de nous resservir la même chose et appelle mon père.

• Bonsoir, c'est moi. Je t'appelle pour te dire que le problème de logement de ta fille est réglé.

• J'allais justement partir dîner chez Jacob et je crois qu'Aaron sera là. Je lui annoncerai la nouvelle.

• Oui. Et dis- lui qu'on l'a choisi ensemble. C'est un logement pas trop cher et le propriétaire a l'air sympathique et conciliant.

• Tu as trouvé cela dans un quartier assez calme? Je pense que son mari sera heureux de le savoir. Je sais que cela l'inquiétait un peu que sa femme soit loger dans un hôtel.

• Tu peux le rassurer. On a également croisé des élèves à elle, assez timides. Ils n'ont même pas voulu discuter avec elle en ma présence, j'ai dû m'isoler un peu... Sinon j'ai aussi rencontré les fournisseurs dont tu m'avais parlé, je t'en parlerai à mon retour.

D'accord, je te laisse pour aller dîner. Nous, on va prendre un dernier verre et aller dîner aussi, je t'embrasse.

Ma mère raccroche et lève le bras pour recommander. Aussitôt le serveur nous apporte deux verres. Trinquons à ton nouveau logement ma fille et je viendrais même peu être loger chez toi lorsque je viendrais à Paris pour rencontrer nos fournisseurs. Je vais être à mon troisième double whisky alors que ma mère ne prend que du martini.

Je me pose des questions, car cela n'a jamais été son habitude de me proposer de boire, bien que je ne m'étais encore jamais retrouvée seule avec elle dans un bar. Ensuite, on trouve un restaurant tout près. Puis encore un double whisky de plus pour moi. Et pendant le repas, elle remplit toujours mon verre. J'ai bien dû boire les trois quarts de la bouteille de vin. Quelques bip me signalent l'arrivée de SMS sur mon téléphone que je décide de lire plus tard, après le repas, un peu pompette.

On se quitte, je reprends le métro et le RER jusqu'à mon hôtel tandis que ma mère retourne au sien qui était tout proche. Pendant le trajet du retour, je regarde mes SMS. Un de mon mari qui se réjouit que j'aie enfin un appartement et un d'un numéro que je ne connais pas. Il s'agit de Mamadou!

En voici le contenu :

« Salope, demain, je veux que tu viennes au lycée sans ton truc que tu utilises comme soutien-gorge, un tee-shirt bien serré et une jupe ultra courte. »

Je lui réponds, négligeant de faire une réponse à mon mari Aaron.

• Là, je rentre à l'hôtel Mamadou! Je t'envoie une photo de ce je que peux porter, tu choisiras.

Et je regarde la vidéo faite par Mamadou, bien sûr avec des écouteurs. Je peux voir la manière dont je me suis offerte aux cinq mecs, de la façon la plus humiliante et dégradante mais surtout écouter mes paroles dans lesquelles je pus m'entendre demander à être défoncée et à me faire élargir le cul avec leur bites...M'entendre aussi demander de jouir dans ma bouche qui ne servait que de poubelle à sperme. Quiconque regarderait cette vidéo pourra constater ma soumission au sexe, et saura qu'il peut m'utiliser à sa guise comme objet sexuel et je savais que désormais tant que je resterai dans ce lycée et surtout dans ce logement, je servirai de trous à bites. Je n'ai par contre pas compris la réaction de ma mère...Accepter de rester dans cette pièce sordide, sans réagir et ce pendant plus d'une heure. Ceci n'est pas son style!

Je suis presque sûre qu'elle a entendu ou vu ce qui s'est passé. Mais dans ce cas, son manque de réaction n'était pas normal. Tout comme sa manière de me dire que ma bouche empestait en me tendant un chewing-gum. Et d'ailleurs, pourquoi avait-elle appelé mon père devant moi, elle qui ne parle jamais au téléphone devant qui que ce soit? Si elle avait tout vu et tout entendu elle devait avoir compris que moi sa fille n'était qu'une salope de la pire espèce et cela apparemment ne la dérangeait pas plus que ça!!!

Puis nouveau bip sur mon téléphone venant de Mamadou mentionnant seulement « OK ».

Une fois à l'hôtel, je fouille dans mes affaires, sort deux mini jupes pour ensuite les poser sur le lit, ainsi qu'un débardeur très étroit pour les assortir. Je fais une photo que j'envoie immédiatement à Mamadou, par Messenger. Il me recontacte par un appel vidéo.

• Salut salope, on ne voit pas bien sur ta photo, mets les sur toi que je vois mieux!

Je lui réponds alors :

• D'accord tout de suite.

Je pose le téléphone, tout en le plaçant pour qu'il puisse me voir. Je me mets nue...Enfile la plus courte des mini-jupes puis le débardeur qui me fait comme une seconde peau. Sans soutien-gorge, on distingue clairement mes mamelons et mes tétons.

Je précise à Mamadou :

• C'est ce que j'ai de plus serré et fin, ainsi que la jupe la plus courte.

Il me dit :

• Tourne le téléphone que je vois mieux.

Je m'exécute, bougeant le téléphone pour qu'il puisse me voir sous différents angles.

• Bien, ça ira salope, on voit bien tes petites mamelles, tu mets ça demain et sans rien dessous, même pas un string. Compris?

Sidérée...Je lui répond :

• Mais si les autres profs et le proviseur me voient comme ça, je risque d'avoir un problème.

Mamadou me précise :

• Tu as qu'à mettre une veste ou un truc au-dessus quand tu n'es pas en cours, mais dès que tu es devant les élèves, je veux que tu sois comme ça

• Mais je n'ai pas que ta classe en cours demain.

• Tu as compris salope? Dès que tu es en cours! Et je n'ai pas dit que devant les élèves de ma classe, mais de toutes. Si tu ne le fais pas, je leur montre les vidéos.

• Je t'obéirai et le ferai.

• À demain salope et bonne nuit.

Je me déshabille et m'allonge sur mon lit, repensant encore à cette journée. Je viens d'accepter de mettre une tenue qu'une pute pourrait mettre pour aguicher son client, et ce, en cours, devant plus d'une centaine d'élèves, car le jeudi était ma journée le plus chargée avec quatre heures de cours, je savais que désormais j'allais devoir obéir aux ordres d'un de mes élèves.

Mais cette perversion et mon humiliation m'excitent. Je sais que je vais être obligée de me dépraver devant mes élèves en espérant même qu'il m'oblige à le faire de la façon la plus humiliante et dégradante possible. Je glisse ma main entre mes cuisses et commence à me doigter en enfonçant mes doigts en moi. Mais il m'en fallait davantage. Je prends alors une de mes bouteilles de parfum en choisissant celle qui a le plus gros diamètre et force mon cul de salope sans problème, celui-ci étant encore ouvert suite à ce qu'il avait pris cet après midi...Elle est rentrée entièrement dans mon anus malgré son diamètre et sa longueur. Avec tout l'alcool que j'avais bu cet après-midi, je m'endors rapidement avec la bouteille de parfum enfoncée dans mon cul de salope.