Correction Une Jeune Professeure

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Début de la dépravation d'une jeune professeur.
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texte que j'ai essayer de corriger

Je m'appelle Rachel, je suis une jeune professeur d'Anglais 22 ans venant d'être affectée dans un lycée technique de Seine Saint Denis auprès de classes de CAP et BEP.

Du fait des matières que j'enseigne, je n'ai que très peu d'heures de cours à donner à ces élèves et de plus, mes cours ne les intéressent pas vraiment. Je vais à présent vous parler de moi et de la façon dont je me suis retrouvé là!

Je suis la cadette d'une famille de quatre enfants, j'ai deux frères et une sœur, tous les trois déjà mariés. Ayant toutefois été une élève assez moyenne par rapport à eux, mais j'ai malgré tout réussi à obtenir mon baccalauréat à un plus de 16 ans, à valider ensuite mon cursus universitaire, puis enfin mon concours afin de devenir professeur. J'ai toujours vécu près de Toulouse, où mon père d'origine juive, comme toute notre famille, possède une société de commerce dans le textile.

À mes 18 ans, mes parents m'ont présenté un garçon un peu plus âgé que moi avec qui je me suis mariée depuis peu de temps.

Coté sexe, étant assez docile et timide, il m'est déjà arrivé de me faire partouzer par des garçons, et ce même à plusieurs reprises. En effet, même si je n'ai pas un physique très sexy, je mesure 1m57 pour à peine 50 kg. les cheveux châtain assez courts arrivant à peine aux épaules, des yeux gris vert, une bouche assez large et j'ai des micro-seins où l'on peut surtout apercevoir facilement mes mamelons et mes tétons gonflés, ainsi que des hanches assez larges. En résumé, j'avais principalement l'air d'une joggeuse sans l'être réellement car je ne suis pas du tout sportive.

La première fois où cela a eu lieu, c'était lors d'une soirée très arrosée où j'avais été invitée pour fêter notre réussite au baccalauréat. Mes parents m'avaient octroyé une permission exceptionnelle pour y aller. La seconde fois c'était lors de la soirée d'intégration à l'université.

D'autres soirées une de ce type une foi a la FAC ont suivi, toutes très arrosées car sponsorisées par des marques d'alcools. Je connaissais bien le déroulement de ces soirées ou après quelques verres, les mecs plus moins ivres offrent un joint aux filles, les boissons étant gratuites et cherche à en profiter pour baiser le plus salopes. Quant à moi, qui n'était pas naïve, je savais parfaitement cela et j'appréciais beaucoup y aller car j'aime me montrer docile et me faire défoncer la chatte et le cul, mais également sucer des bites et avaler leur jus, tout en me laissant insulter et humilier et n'être qu'un trou a bites et un sac à foutre comme les participants aimaient à le dire.

Bien sûr, ni mon fiancé et ni ma famille n'étaient au courant de cela. Je me suis donc mariée après avoir été reçue au concours pour devenir enseignante. J'étais toutefois classée vers la fin des reçus, ce qui me laissait peu de choix sur l'affectation. Avant notre nuit de noces, je préviens malgré tout mon fiancé que je n'étais plus vierge. Il me dit que lui non plus, mais qu'il n'était pas très porté sur le sexe.

Je lui ai répondu qu'à 28 ans, il était normal qu'il ait déjà couché avec des filles. Nos vacances d'été se passaient bien malgré le fait que mon mari et moi, nous nous connaissions très peu. Lui passait son temps dans des livres alors que moi je préférais bronzer, ce qui m'a permit de constater malheureusement son manque d'attrait pour le sexe car nos ébats étaient plutôt bref! En effet, quand il me baisait, c'était assez rapide, il éjaculait très vite en moi et ne sollicitait jamais une fellation.

Puis notre relation s'est compliquée car mon mari, professeur de mathématiques à Toulouse et moi, dans l'attente de ma première affectation et puis un jour, le document de l'éducation nationale arrive et m'apprend que suis affectée dans un lycée en zone d'éducation prioritaire en Seine Saint Denis. Mes parents et beaux-parents, de riches bourgeois influents, ont tenté en vain de changer cette affectation pour une plus proche. J'avais la possibilité de refuser, mais cela signifiait que je resterais femme au foyer et à m'ennuyer toute ma vie.Je me décidais donc à accepter le poste car je voulais vraiment enseigner.

Notre mariage, étant plus un mariage arrangé entre nos deux familles qu'un mariage d'amour, nous avons décidé avec mon mari qu'il était inutile que je fasse le trajet toutes les semaines pour revenir le week-end à Toulouse. Nous avons convenu que je ne reviendrais que lors des vacances, soit environ toutes les sept semaines. Une fois arrivée en région parisienne je loue une chambre dans un hôtel pas cher, assez près du lycée, le temps de trouver un logement,

Le jour de la pré-rentrée, je me suis aperçue qu'il y avait énormément de jeunes professeurs qui n'avaient pas choisi cette affectation. La plupart était là depuis déjà au moins deux ans. J'étais la seule nouvelle. Le proviseur souhaitait s'entretenir avec moi. Son discours était très clair : « Vos cours ne vont intéresser aucun de vos élèves. Ils se fichent de parler anglais. La seule chose que je vous demande est de réussir à les tenir pour éviter l'anarchie dans la classe ». Moi qui avais choisi ce métier pour la passion de l'enseignement ... J'allais finalement devoir faire de la garderie.

Moi qui avait choisi ce métier pour la passion de la transmission... J'allais finalement devoir faire de la garderie. Pourtant, mes premiers cours se déroulent sans heurts. Ils étaient plutôt disciplinés même si le proviseur n'avait pas menti, les cours de langues ne les intéressaient absolument pas. Les discussions entre eux se faisaient dans le calme. Certains étaient sur leur téléphone mais au moins, ce n'était pas le souk.

La plupart des élèves avaient redoublé plusieurs fois en cycle normal avant de se retrouver là et étaient donc majeurs et d'autres même en France que depuis quelques années et il n'y avait pas de filles dans ce lycée vu les métiers enseignés.

J'ai pour habitude de m'habiller très régulièrement en mini-jupe surtout que venant du sud c'est principalement ce que j'avais apporté dans mes valises et je voyais bien que cela n'en laissait pas indifférents certains élèves...Je dois bien avouer que j'aimais jouer avec cela et j'y trouvais une certaine excitation.

Mes cours se déroulent sans heurts, je constate que la grande majorité des élèves était originaire d'Afrique (noirs et maghrébins), et qu'à peine deux ou trois élèves par classe adhérent à mes cours. Même si certains discutent entre eux dans le calme, et que d'autres font leur devoirs, je ne rencontre pas de problèmes de chahut. Je peux cependant remarquer leur regard sur moi du fait que je ne porte que des minijupes.

Je pouvais apercevoir les regards de beaucoup qui discutaient entre eux, alors que je portais toujours l'étoile de David que mon père m'avait offerte mais cela ne semblaient pas les intéressés,leurs regards étaient plus bas car ils avaient une vue imprenable sur mon entrecuisse n'ayant pour bureau qu'une table. Alors que moi pour le plaisir de voir leurs réactions, il m'arrivait d'écarter les cuisses pour qu'ils puissent bien voir le triangle de mon string,je pouvais alors observer sur moi les mêmes regards qu'avaient les garçons qui me baisaient en partouzes ce qui m'excitait terriblement...

Mais mon principal souci est de me trouver un appartement, je demandais des conseils à mes collègues pour trouver des endroits qui ne craignaient pas trop. Visiblement, vu leurs réactions, c'était plutôt rare. Et puis, n'ayant pas un salaire faramineux, je ne pouvais malheureusement que me tourner vers des zones plutôt mal fréquentées. Un soir, discutant de tout cela avec mes parents au téléphone, ma mère s'est proposée de venir à Paris pour m'aider dans mes recherches. Ce fut avec plaisir que j'ai accepté!

Une fois arrivée, elle fait des recherches sur internet et m'explique qu'elle a trouvé plusieurs adresses de logement à louer pas loin de mon lycée, et qu'elle a même pris des rendez-vous pour les visiter. En réalité, j'avais exclu de mes recherches ce secteur car je le trouvais mal fréquenté mais je n'osais pas le lui signaler.

Le mercredi après midi, n'aillant pas de cours, nous avons fait les visites et découvert que c'était tous des appartements plutôt en mauvais état.

Il nous reste le dernier de la liste, le plus cher bien que dans mes prix car il vient d'être rénové. Le propriétaire un grand noir dans la quarantaine nous le fait visiter. Il s'agit d'un F1 avec une chambre assez grande, un joli salon avec cuisine ouverte et une salle de bains avec une douche à l'italienne.

Lors de la discussion je lui demande si la rue est assez calme car j'avais remarqué deux bars dans la rue dont un presque en face de l'immeuble. Le propriétaire me répond qu'il habite le quartier depuis son enfance, et que si j'avais un problème avec quelqu'un, il s'en occuperait personnellement car il connaît tout le monde. Nous lui disons qu'une réflexion s'impose.

Pendant que nous amorçons la descente, lui, monte à l'étage ou il a son appartement. Dans le hall nous sommes abordés par cinq jeunes d'une vingtaine d'années, trois Noirs et deux Maghrébins. Il me semble en reconnaître quatre comme étant des élèves de mes classes.

• Bonjour Mademoiselle, qu'est ce qui vous amène ici?

Pas le temps de répondre que ma mère leur dit :

• Poussez-vous, laissez-nous passer s'il vous plaît!

• Ce n'est pas à toi que je parle la vieille, c'est à Mademoiselle Rachel!

Rétorque un des jeunes!

• Mamadou si je ne me trompe pas, laissez-nous passer, si vous voulez me parler, on pourra le faire au lycée.

Ma mère me demande alors :

• Qui sont ces jeunes, tu les connais?

• Oui ce sont des élèves que j'ai en classe au lycée.

• On ne vous veut pas de mal, juste discuter un peu avec vous mademoiselle.

• Là je suis avec ma mère, et on n'a pas trop de temps!

• On a bien cinq minutes Rachel, c'est le dernier appartement que l'on avait à visiter, et si ce sont des élèves que tu as en classe tu peux bien prendre le temps de les écouter.

• Votre mère est d'accord, allez venez dans ce local on sera plus à l'aise pour discuter, dit Bouba.

• Bon d'accord!

Bouba est le plus âgé, environ 25 ans, le seul qui n'est pas un de mes élèves (j'apprendrais par la suite qu'il en a 26 ans), ouvre la porte. Une forte odeur de fumée de cannabis me prend le nez. Les jeunes devaient juste sortir de cet endroit après avoir fumé. Ce jour-là je n'étais pas en jupe comme souvent, mais je portais un legging avec un tee-shirt assez long qui arrivait en haut de mes cuisses. Mes élèves étaient gênés et ne savaient pas trop comment s'y prendre pour me parler, surtout devant ma mère!!!

Quant à moi, je commence à être excitée. Je ne sais pas si cela provient de l'odeur de cannabis qui me rappelle les partouzes de l'université, si c'est la présence de ces cinq hommes musclés tous plus grands que moi, ou peut être par mon manque de sexe. Mamadou se lance alors.

• Vous savez mademoiselle Rachel, on aime bien aller en cours avec vous, mais on a pas trop l'occasion de vous parler vous savez on vous aime bien, ainsi que votre façon de vous habiller, vous savez que vous êtes très excitante, et beaucoup ont très envie de.......

• Non, arrêtez, cela me gêne, ne parlez pas de ça devant ma mère.

• Elle pourrait aller dans la pièce à côté le temps que l'on finisse notre discussion? - S'il vous plaît madame.

• Oui, maman, s'il te plaît, fait comme il demande, va à côté, c'est mieux que je reste seul avec eux, c'est des choses à régler entre eux et moi en privé.

Ma mère me regarde et dit :

• D'accord, mais ne mettez pas une heure à en discuter.

Un jeune lui répond :

• Il y a une chaise et un lit. Bon, pas très propre, mais vous pourrez vous asseoir madame.

• Oui merci, et il sent moins mauvais dans cette pièce!

Je me trouve désormais seule debout entre ces cinq hommes dont le plus petit fait 25 cm de plus que moi. Et voyant leurs regards je sais qu'ils veulent me baiser, j'en suis toute excitée, commençant même à mouiller.

• Vous savez que vous êtes très excitante, mademoiselle.

• Bon on est entre nous alors vous pouvez le dire, vous avez envie de me baiser, c'est bien ça alors on n'a pas de temps à perdre en discussion.

Ébahis, ils répondent :

• Heu oui mademoiselle!

Sans même attendre leur réponse, je me suis reculée puis me suis placé près d'un vieux lit métallique. Posant mon sac à main sur le vieux matelas juste recouvert par une housse pleines de taches, qui je suppose doivent être du sperme, je retire mon tee shirt en disant fièrement :

• Vous savez moi aussi j'ai envie de me faire baiser.

• Je vous l'avais bien dit, je savais bien que c'est une salope, à sa façon d'écarter ses cuisses assises derrière son bureau.

• Oui, tu as raison Mamadou, je suis une salope et j'ai envie que vous me baisiez.

• Même si tu n'est qu'une planche à repasser nous ce qui nous intéresse ce sont tes trous pour nos bites.

En entendant cela, mon soutien-gorge Décathlon en tissu élastique sans fermeture rejoint mon sac à main et mon tee-shirt. Puis posant mes mains sur ma poitrine plate, je saisis mes tétons entre le pouce et la pulpe de l'index, en les étirant.

• Mes petits nichons ne vous plaisent pas?

• Non salope continue, c'est ta chatte de pute qu'on veut voir.

Dis-nous que tu n'es qu'une salope et que tu as envie de nos bites dans ta chatte.

• Oui, je suis une salope, j'aime me laisser prendre par tous les trous, et vous m'excitez, j'ai envie de vos bites en moi

• Déjà fou toi à poil salope.

A entendre cela, je n'hésite pas et baisse mon legging ainsi que mon string, enlève mes baskets et pose le tout sur le lit.

• Montre-nous ta chatte de pute, écarte les cuisses, salope, montre-nous que tu as envie de nos queues.

Je m'exécute, en mettant un pied sur le lit pour qu'il puisse bien voir mon trou, mettant une main pour bien écarter les lèvres assez pendantes de mon sexe, ce qui a pour conséquence d'ouvrir davantage mon trou et de faire apparaître davantage mon clitoris qui gonfle rapidement. Avec mon autre main, je me glisse deux doigts profondément dans la chatte.

Un des jeunes fait remarquer... :

• Elle a vraiment une chatte de pute, bien épilée, faite pour recevoir des bites.

• Oui, elle a même déjà dû s'en prendre des kilomètres cette salope vous croyez pas.

Je rétorque alors d'un ton sec :

• Vous attendez quoi pour venir me baiser, regardez ma chatte comme elle est ouverte, elle n'attend que vos bites, et regardez mon cul de salope.

Je me tourne, j'écarte une de mes fesses pour qu'il puisse bien voir mon petit trou alors que de l'autre main, j'y glisse les deux doigts qui sortent de ma chatte pour bien me l'ouvrir. C'est seulement à ce moment-là que je remarque que Oumar et Rachid, deux de mes élèves, ont sorti leur portable pour me filmer. Je me trouve piégée mais de toute façon bien trop excitée pour vraiment protester. Mon excitation est à son comble. Je vois aussi qu'il ont tous baissé leur jogging et caressent leur bites qui me paraissent toutes les cinq énormes, ce qui accroît encore davantage mon excitation. Je ne pense plus qu'à me faire baiser et à avoir le cul défoncé. Plus rien ne m'intéresse, ni même le fait que ma mère puisse nous entendre de la pièce à côté, ou pire qu'elle s'impatiente et ouvre la porte entre les deux pièces, j'ai trop envie de ces grosses bites en moi et je leur déclare :

• Vous n'êtes que des salops à me filmer, venez me défoncer plutôt que d'attendre là bêtement en me filmant, mettez vos grosses bites dans mon cul de salope. Et toi Oumar, approches toi! Tu pourras filmer en gros plan mon cul de salope défoncé par les bites de tes amis, j'espère que tu flouteras mon visage si tu mets les vidéos sur le net!

• Allez-y les gars, défoncez-lui le cul à cette salope, vous voyez bien qu'elle n'attend que ça!

Ils me prennent alors me mettent à quatre pattes sur le lit et je sent la première bite pénétrer mon cul sans ménagement...Ils se relayaient dans mon cul même si certains me l'ont mis dans ma chatte en feu alors que je gémissais de plaisir.

• T'aime cas, te prendre une grosse queue.

• Vous attendez quoi pour me prendre par les deux trous, allez y défoncez moi!!!

Je venais de dire cela tout en sachant qu'ils me filmaient mais je me moquais des conséquences...Ils me soulevèrent, l'un d'eux se mettant sous moi pour m'empaler la chatte et lorsque un second pénètre mon cul, je ressenti une douleur qui déclencha mon premier orgasme.

Ils échangeaient souvent leur place, ceux qui n'étaient pas en moi filmaient la scène, alors que deux d'entre défoncent mes trous sans tenir compte du rythme. Alors qu'il allait changer et que Bouba, avec sa bite de plus de 25 centimètres, prenait place sous moi pour prendre ma chatte je lui dis :

• Mets- la dans mon cul de salope, je veux deux bites dans mon cul, allez y élargissez mon cul avec vos bites.

Je m'empale de moi-même sur La grosse bite de Bouba et me retourne pour encourager un autre à mettre sa bite avec celle de Bouba en moi, aussitôt je vois Mamadou qui se positionne derrière moi et m'empale, je jouis à nouveau sous la douleur de la pénétration, je l'entendit malgré tout dire.

• La salope, elle a l'air de bien prendre son pied. J'ai jamais vu une salope pareille qui demande d'elle même qu'on lui mette deux bites dans le cul, c'est vraiment qu'une chienne de feuj et je crois qu'elle a pas fini de se faire ramoner par nos bites.

A ces mots j'ajoute:

• Oui je ne suis qu'une chienne de juive, et j'aime cas être bien ramoner par des bites de blacks et d'arabes. Je veux que vous vous vidiez dans ma bouche de salope, je veux avaler votre jus, j'ai envie d'avoir l'estomac remplie de jus de bites.

Ils continueront à me défoncer en se relayant dans mes trous pendant près d'une heure avant de finalement jouir dans ma bouche alors que moi, j'avais eu plusieurs orgasmes! Je me dit que ces salops savaient désormais qu'ils allaient pouvoir m'utiliser comme vide couilles et que je me laisserais baiser sans la moindre demande de leur part.

Une fois fini, je me rhabille, prend mon sac pour en sortir des mouchoirs en papier pour le mettre au fond de mon string afin que ma cyprine ne tache pas mon legging...J'essuie également mon menton et la commissure de mes lèvres encore baveuse de mes orgasmes. C'est alors que je remarque que mon téléphone a disparu!

• Qui a piqué mon téléphone?

• Moi!

Dit Mamadou en me le tendant.

• T'inquiète le voilà, on n'est pas des voleurs, je m'en suis juste servi pour te faire un petit film souvenir pour toi...Bien sûr, je me le suis envoyé, comme ça j'ai ton numéro!

Une fois rhabillé, Bouba me demanda après que j'ai remis de l'ordre dans ma tenue s'il pouvait faire revenir ma mère et ouvre la porte.

• Vous pouvez venir madame, on a fini, désormais les choses seront claires entre votre fille et nous.

• Dites donc, vous avez pris tout votre temps.

• Maman, il y avait pas mal de choses à régler, mais maintenant, il n'y a plus de problème, ils savent comment ils doivent se comporter avec moi.

• Bon, si les choses sont à présent plus claires entre vous et que vos relations se passent mieux!

• Oui madame, désormais on connaît mieux votre fille, et tout devrait mieux se passer entre nous et elle .

• Bon, alors au revoir messieurs.

Puis nous partons, ma mère et moi, vers la gare RER.

Sur le trajet ma mère me dit :

• Tu sais, il vaut mieux que tu ai eu une discussion claire avec ces garçons, même si cela a pris du temps.

• Oui maman, je crois qu'ils ont compris, dorénavant ils savent comment ils doivent se comporter avec moi.

• Je les trouve assez âgés pour être encore au lycée, ils doivent presque avoir ton âge?

• Tu sais, ce sont des élèves qui ont été en échec scolaire, souvent avec des parents parlant à peine le français, et se retrouvent dans ce lycée technique pour apprendre un métier.

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