Chute d'une héritière Ch. 02

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La chaine.
3.3k mots
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4

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 04/03/2024
Créé 02/18/2024
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En premier lieu, j'ai pris note de vos remarques, et je tiens à remercier la personne qui s'est chargée de corriger ce deuxième chapitre.

N'hésitez pas laisser un commentaire, pour savoir si ce chapitre correspond à vos attentes ainsi que les points à améliorer.

Cette histoire n'est qu'une chimère, elle est simplement le fruit de mon imagination.

Chapitre 2

La chaîne.

Clara, descend l'escalier étroit, les chevilles entravées. Ils la laissent avancer à son rythme. Elle découvre un couloir au sol carrelé de carreaux mouchetés Terrazzo des année 70, une lumière blafarde, des murs couverts d'une peinture grise défraichie et écaillée. Le contraste est saisissant entre la partie luxueuse et feutrée du château lors de l'arrivée de Clara, de sa fille et ce long couloir lugubre qu'elle parcourt nue enchainée.

Le bruit métallique des chaînes résonne dans le couloir, dans sa tête et ne fait qu'accentuer son humiliation, sa déchéance.

De chaque côté par moment des portes métalliques grises.

L'homme s'arrête devant l'une d'elle, il l'ouvre, allume la lumière, tire sur la laisse et fait entrer Clara.

A la vue de la pièce, le cœur et la respiration de Clara s'accélèrent, elle a un mouvement de recul. Un coup de cravache sur ses fesses donnée par la femme la rappelle à l'ordre. L'homme tire sur la laisse, elle résiste, elle ne veut pas franchir le seuil de cette porte, mais cela est peine perdue.

Il l'oblige à se mettre au centre de la pièce.

Un sentiment de frayeur et d'angoisse l'envahie, l'onde d'un frisson remonte le long de sa colonne vertébrale.

- Non ! Qu'allez-vous me faire?

- Doucement ma belle, laisse-toi faire, tout va bien se passer !!!!!!, lui dit l'homme.

Lui dit l'homme.

La pièce est fortement éclairée par des néons, le sol est carrelé de blanc ainsi que tous les murs. Différents meubles en inox jalonnent les cloisons. En face sur un mur à mis hauteur une grande glace sur toute la largeur de la pièce renvoie l'image de Clara nue et enchainée. Au milieu de la pièce, accrochée au plafond, pend une sinistre chaîne avec un crochet. L'atmosphère de la pièce est glaciale.

L'homme fixe la laisse au crochet. Elle n'a aucune possibilité de s'échapper, la chaîne qui relie ses poignets à celle de ses chevilles l'empêche d'atteindre le crochet de ses mains, elle n'a aucune amplitude de mouvement.

La femme fouille dans une des armoires en inox. Elle revient avec dans les mains des pièces métalliques.

La femme se place face à elle.

- Ouvre la bouche !!!

Clara refuse.

L'homme lui donne un violent coup de cravache sur le sein.

- Aïe !!!

- Ouvre la bouche sinon, il t'en redonne un !!!!!

Clara entrouvre timidement la bouche.

Un deuxième coup de cravache vient violement zébrer sa poitrine qu'elle ne peut protéger.

- AAAAIIIIIIIIEEEEEEEE !!!!!!

- Ouvre la bouche en grand !!!!

Clara châtiée ne peut que s'exécuter, ouvre la bouche en grand.

La femme lui glisse une sorte de mord en métal en travers de sa bouche, elle le pousse jusqu'à la commissure de ses lèvres et même elle n'hésite pas à forcer dessus.

Clara surprise, essaye de se débattre de ses mains mais impossible la chaîne bloque ses mouvements. Elle essaye de repousser le mord qui traverse sa bouche avec sa langue, mais cela n'est que peine perdue. De chaque côté du mord une tige en métal, longe ses joues et ses oreilles.

La femme donne une autre pièce en métal à l'homme, Il la glisse dans les deux tiges métalliques qui passent de chaque côté son visage, et pousse la barre contre l'arrière du crâne de Clara. Il bloque le tout à l'aide de deux vis papillons.

Clara sent la pression de la barre derrière son crâne. Impossible de se débarrasser de ce carcan qui déforme sa bouche, et la défigure. La vitre en face lui renvoie son image.

Aucun de ses salariés n'auraient imaginés il y a 24h, que leur patronne serait enchainée nue et défigurée par un mord en travers de la bouche.

L'homme à l'aide d'une télécommande fait descendre la chaîne jusqu'à sa bouche, sur le mord il y a un anneau fixe orienté vers l'extérieur, il le fixe le crochet.

Avec la télécommande, il commande par à-coup le treuil dans un bruit de moteur électrique et de claquements de relais la remontée de la chaine.

Clara est obligée de suivre l'élévation de la chaine, bascule son visage vers le haut, elle sent les à-coups de tractions sur ses vertèbres cervicales, elle pousse des râles de douleurs à chaque choc, l'homme commande la levée, jusqu'à la laisser suspendue sur la pointe des pieds.

Son seul champ de vision n'est plus que cette chaine qui remonte jusqu'au plafond. Elle entend ses deux gardes chiourme qui s'activent autour d'elle, mais impossible de savoir ce qu'ils font.

L'homme défait la laisse du crochet, il lui libère les poignets des menottes mais les refixe dans son dos.

La femme et l'homme discutent de banalités sans se soucier de Clara pendue au bout de sa chaîne nue et immobile.

L'homme vérifie la bonne tenue du mors, la bonne tension de la chaîne, fait glisser sa main le long de son échine et du galbe de son corps.

Tous les deux quittent la pièce en l'ignorant totalement et referment la porte. Elle entend les pas s'éloigner.

Clara, ne sait combien de temps elle va rester dans cette position très inconfortable, elle a du mal régurgiter. De la salive commence à couler le long de ses joues. Elle se retrouve seule, c'est le silence total.

La femme se présente dans le salon où attend la fille de Clara en train de lire une revue de mode. Elle l'invite à la suivre, elles parcourent un couloir avec de belles décorations, elle s'arrête devant une porte. Elle invite Manon à rentrer dans la pièce.

Manon est surprise par l'aménagement minimaliste de cette pièce, peinte en noire du sol au plafond, un éclairage blanc, au milieu une table, une chaise en plastique gris, une simple armoire. En face un rideau noir sur toute la largeur de la pièce.

- Asseyez-vous sur cette chaise, patientez 5 minutes, Monsieur va venir.

La femme quitte la pièce et referme la porte.

Manon ne comprend pas sa présence assise seule au milieu de cette pièce sinistre. Aucun bruit ne filtre.

Quelques minutes plus tard elle entend des pas de plusieurs personnes qui s'approchent. Deux hommes et une femme rentrent dans la pièce. Un est grand habillé avec élégance avec un gilet de costume, une femme et un homme habillés avec une sorte d'uniforme noir.

L'homme s'adresse à Manon tout en posant un dossier sur la table et une boite.

- Bonjour Mademoiselle, j'espère que nous ne vous avons pas fait trop attendre, nous vous avons fait venir dans cette salle car nous avons quelque chose à vous montrer.

Manon ne comprend pas où ils veulent en venir.

L'homme éteint la lumière, ils se retrouvent dans la pénombre, le rideau s'ouvre.

Ce que découvre Manon derrière la vitre lui glace le sang, elle veut se relever, mais l'homme en uniforme force sur ses épaules de ses mains pour l'obliger à rester assise.

Une salle blanche carrelée violement éclairée avec des meubles en inox et en son centre une chaîne descend du plafond, au bout pend la corp d'une femme nue anonyme immobile. Difficile de l'identifier, sa tête n'est pas visible, elle est inclinée en arrière, on voit juste son cou, sa poitrine exposée, ses cotes bien apparentes de part et d'autre de sa cage thoracique, par la position de traction, le ventre bien creux. La taille est fine le pubis bien bombé, recouvert de léger poil blond qui forme une ligne au centre et se déploie en éventail. Le bassin est large, les jambes bien formées, fuselées, immobiles, ses pieds ne touchent pas le sol. Ces mains ne sont pas apparentes elles doivent être entravées dans son dos.

La scène est barbare et bestiale, le corps de Clara n'a plus rien d'humain elle est transformée en un simple objet de chair.

En quelques seconde Manon à compris elle à reconnue sa mère.

- Qu'avez-vous fait à ma mère?

L'homme éteint la lumière de la salle où Clara est exposée, il commande la fermeture du rideau et allume la pièce.

De l'autre côté de la glace sans tain, Clara se retrouve d'un seul coup dans le noir en train de subir son calvaire, ses vertèbres cervicales commencent à être douloureuses, elle commence à sentir le froid et toujours aucun bruit. Elle ne peut imaginer le drame qui est en train de se jouer de l'autre côté de la vitre.

Manon est complètement apeurée et demande de sortir.

- Chut !!!!

Lui fait l'homme

- Tu vas vite comprendre.

Il lui explique avec des mots simples, le rachat de la société, les dettes, ainsi que l'activité de négoce de femme de la firme. A partir de ce jour elle et sa mère appartiennent à un groupe industriel.

- Si tu veux que ta mère souffre le moins possible, je te conseille de nous obéir de façon très rapide. Tu vas te mettre debout, te déshabiller, te mettre nue.

Sidérée, vaincue, après un temps de latence, elle obéit face au spectacle de sa mère nue et pendue au bout de sa chaine. Complètement perdue, son esprit s'embrouille, des larmes coulent le long de ses joues. Elle se demande si elle n'est pas en train de vivre un mauvais rêve.

Debout elle commence à défaire son chemisier blanc, bouton par bouton de ses doigts tremblants par la peur, elle le libère de ses épaules et le fait glisser le long de ses bras.

Le regard perdu, elle ne sait où le poser, l'homme lui indique la table.

Elle passe ses mains derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge, il finit lui aussi sur la table.

Elle a de jolis petits seins bien formés, qui comme sa mère défient les lois de la gravité. Ses tétons ne sont pas encore formés.

Elle se protège la poitrine de son bras, elle attend.

La femme récupère une cravache dans l'armoire, et lui donne une tape sur le bras.

- Aie !!!!!

- Aller enlève le bas, plus vite cela sera fait, plus vite on pourra libérer ta mère.

Elle se baisse pour enlever ses Converses et ses socquettes, ses seins pendent entre ses bras. Elle fait glisser son jean le long de ses fines jambes et le pose sur la table.

Elle attend complètement perdu au milieu de la pièce simplement habillée de sa petite culotte, pieds nues.

La femme lui donne rapidement et bien frappé, deux coups de cravache sur les fesses pour la faire activer.

- On a dit entièrement nue, pour la mise sous écrou !!!!

- AAAAAIIIIIIIEEEEE !!!!!

D'un mouvement de réflex elle se protège les fesses.

Sa culotte blanche en soie enveloppe bien ses fesses, sa vulve et son mont de venus.

Brisée, elle s'exécute, fait glisser le long de ses cuisses sa culotte, la dépose sur la table, elle sent une vague de fraicheur circuler à travers son entre-cuisse.

La femme lui redonne un coup de cravache sur ses fesses nues.

- AAAAIIIIIIEEEE !!!!!

- Bras croisés dans le dos, la tête haute et cuisses écartées.

Manon complètement inhibée exécute l'ordre.

La femme rectifie la pose en glissant sa cravache sous son menton pour la forcer à mieux lever la tête. Rajoute une tape sur le ventre.

- Le ventre mieux rentré.

Manon crispe ses abdos, affine sa taille.

Deux tapes sur l'intérieur des cuisses pour les maintenir plus écartées.

L'homme comme un maquignon tourne autour de Manon. Elle est plus fine que sa mère mais bien proportionnée. Ses poils pubiens sont également blonds, ils ont le même dessein que ceux de sa mère, les grandes lèvres charnues cachent les petites lèvres. Avec la cravache il teste la fermeté de ses chairs, une pointe sur chaque sein, le ventre, ses cuisses, ses fesses.

Manon apeurée subit.

Il se place face à elle.

- Ouvre la bouche.

Manon hypnotisée obéit.

De ses mains, il force sa bouche et dégage sa dentition. Il la scrute dans les moindres détails, sa langue, ses dents sont bien blanches, bien implantées, les gencives sont saines, pas de trace de carie ou de plombage.

Il descend sa main le long de son ventre, teste la résistance de ses poils pubiens.

Manon grimace de douleur, elle se soulève sur la pointe des pieds pour se soulager de la souffrance de la traction.

- AAAAAIIIIIEEEEEEE !!!!!

Il la relâche, il glisse sont index entre ses grandes lèvres, force le passage des petites lèvres. Il constate qu'elle est déjà, bien humide, débusque son clitoris, le pince, le fait rouler entre son pouce et son index.

Manon commence à perdre pieds, une chaleur sourde envahie son bas ventre. Elle ne contrôle plus son corps, c'est lui qui décide, il demande son plaisir, elle veut résister, mais hélas elle perd petit à petit le combat, elle ne peut empêcher et cacher se plaisir qui monte en elle.

L'homme abandonne son clitoris il fait glisser ses deux doigts et force le conduit étroit de son vagin.

Le plaisir envahit son corps, ses jambes s'affaissent, la femme la rappelle à l'ordre d'une claque sur les fesses.

- Tiens-toi droite !!!!

Manon soumise est perdu dans un début de plaisir avilissant rectifie sa position.

L'homme d'un seul coup retire ses doigts.

Elle reprend ses esprits, mais frustrée de ce plaisir immoral qui commençait à s'emparer d'elle. Manon était prête et vaincue à s'abandonner, à s'exhiber de façon indécente à l'orgasme devant ces trois individues qu'elle ne connait pas.

L'homme la regarde dans les yeux, il tend ses doigts devant ses lèvres. Avec renoncement elle ouvre sa bouche, il en prend possession, enfonce ses doigts jusqu'à sa luette. Elle a un haut-le-cœur, il la force à les sucer avec application, à avaler sa cyprine.

- Voilà qui est parfait.

Il n'en pense pas moins, cette donzelle va être un régal pour les séances de dressage.

- Approche de la table.

Manon obéit.

Il ouvre la boite devant elle. Surprise elle remarque les bijoux de sa mère, notamment la Rolex.

Pour Manon c'est l'impression que tout le passé aisé de sa mère se trouvant dans cette boite est devenue anonyme, alors qu'elle est juste derrière cette vitre sans tain, seule nue pendue au bout de sa chaine.

- Tes bijoux, tu les mets dans la boite.

Mano sent d'un seul coup sa gorge se nouer, elle se met à sangloter.

- Allons, allons, ma petite on repasse aux choses sérieuses, tes bijoux dans la boite !!!!!

Manon anéantie obéit, elle dégage sa nuque, commence à défaire de son cou sa chaine avec une médaille, les boucles d'oreilles, les bracelets, les bagues, la montre, tous ses bijoux comme ceux de sa mère termine dans la boite.

La femme d'un coup de cravache sur les fesses lui fait reprendre la position.

- Aïe !!!!!!!

L'homme en uniforme noir sort de l'armoire des chaînes et des menottes.

Il lui demande de présenter ses poignets.

Accablée elle se laisse menotter les poignets, puis les chevilles, une chaîne centrale relie le tout, l'empêche de lever les bras.

- Ouvre la bouche en grand.

Elle obéit.

Il lui glisse dans la bouche un baillion boule qui lui distant la mâchoire, les sangles se referment derrière sa tête légèrement secouée lors de la traction de serrage sur la boucle.

Il passe une laisse au niveau de la chaîne des menottes.

L'homme élégamment habillé s'adresse à Manon.

- Voilà qui est parfait, j'en ai fini avec toi, direction le centre de dressage et ta mise sous écrou pour toi et ta mère.

L'homme et la femme prennent congé de leur supérieur qui en même temps leur tend un dossier.

L'homme tire sur la laisse. Manon est obligée de le suivre, nue enchainée, mais elle ne peut faire de grand pas dû à la longueur de la chaîne. La femme suit derrière armée de sa cravache.

Ils sortent de la pièce, reprennent le couloir richement décoré et marqueté. Le contact de ses pieds nus sur le parquet est différant de quand elle est arrivée.

Ils arrivent jusqu'à une grande porte vitrée qu'ils franchissent et accèdent à un porche condamné à son extrémité par une immense porte cochère. Le centre est pavé et de chaque côté il y un trottoir, les murs sont peints couleur jaune crème, au plafond un lustre éclaire le passage.

L'homme accroche la laisse dans un mousqueton relié en hauteur à un anneau sceller au mur. Il l'abandonne, seule nue enchaînée dans ce hall, impossible de se détacher, la chaîne l'empêche de remonter ses bras à l'anneau pour essayer de se libérer.

L'espoir pour Manon est peut-être que quelqu'un la découvre, la libère, mais vue le contexte elle ne se fait plus trop d'illusion.

Clara, dans le noir, toujours pendue à sa chaîne, ses vertèbres cervicales lui font mal, elle entend des pas dans le couloir qui s'approchent. La porte s'ouvre, la pièce s'éclaire, elle est un instant éblouie, le temps que ses pupilles s'adaptent. C'est la femme et l'homme, elle les entend qui s'affairent autour d'elle, malgré son faible champ de vision, elle essaie du coin des yeux de comprendre ce qui se passe.

Ses joues et sa poitrine sont inondées de bave.

La femme défait ses poignets dans son dos, les refixe devant toujours avec les menottes. Elle relie la chaîne centrale de ses chevilles à celles de ses poignets.

L'homme commande la descente de la chaîne, petit à petit Clara reprend contact avec le sol, il la décroche, épuisée ses jambes l'abandonnent, elle s'affaisse sur le sol carrelé blanc et froid, en position de chien de fusil nue, le mord toujours en travers de sa bouche, elle sanglote. Les deux gardes chiourme la laissent reprendre doucement ses esprits.

Clara ne s'imagine pas le drame qui s'est joué de l'autre côté de la vitre sans tain.

Au bout de quelques minutes.

- Mets-toi sur le ventre !!!!

Clara enchaînée est impuissante pour se rebeller, obéit.

La femme pose la semelle de sa Rangers entre ses omoplates et l'écrase au sol de tout son poids comme un vulgaire insecte.

L'homme se baisse et commence à débloquer les écrous papillons qui bloquent son mord. Il lui libère la bouche.

- Garde la bouche ouverte !!!!

Surprise, elle n'a pas le temps de refermer sa bouche qu'elle a déjà un baillion-boule remplace son mord.

Clara pousse un râle de prostration mais il n'en a cure. Il saisit à pleine main sa chevelure et la force à se relever.

Elle proteste de douleur.

- AAAAAÏÏÏÏEEEEEE !!!

Il la laisse reprendre doucement ses esprits quelques secondes, puis d'une traction autoritaire sur sa longe ils quittent la pièce. Clara tenue en laisse, parcours le couloir sur quelques mètres à petits pas dû à la contrainte de ses chaînes. Ils franchissent une porte qui donne directement dans un couloir richement décoré d'un planché marqueté et de tableaux sur les murs. Ils passent une grande porte vitrée qui donne, sous un porche condamné à l'autre extrémité par une immense porte cochère.

Clara surprise découvre sa fille nue, un baillion-boule dans la bouche, enchaînée avec sa laisse attachée à un mousqueton fiché dans le mur.

A la vision de sa fille, elle a l'impression d'être tombée dans un piège, un monde machiavélique.

L'homme l'attache également à un mousqueton fiché dans le mur, mais à l'opposé sur l'autre trottoir d'en face.

Elle se regarde avec effroi mais ne peuvent échanger le moindre mot. A la vision de leur nudité exposée et forcée, elle mesure l'horreur de leurs déchéances.

La femme et l'homme les abandonnent là, sortent par la porte guichet qui donne à l'extérieur sans leur adresser la parole. Seules sous ce porche, sans savoir combien de temps elles vont rester là, nues immobiles debout sans la possibilité de s'assoir dû à la faible longueur de leur longe. Elles sont exposées aux regards des personnes qui peuvent passer.

Au bout d'une demi-heure qui leur parait une éternité, elles entendent le bruit d'un véhicule qui s'approche et s'arrête devant la porte cochère.

A suivre

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7 Commentaires
papeaupapeauil y a environ 1 mois

Quel delice, j'ai hate de lire le prochain épisode

CorentCorentil y a environ 1 mois

Plus qu' agréable il est captivant j'attends la suite avec beaucoup d'impatience

Merci a l'auteur et à son talent

AurailiensAurailiensil y a environ 1 mois

Toujours pris par l'histoire toujours aussi bien racontée mais je trouve quand même ce 2ème chapitre moins excitant. On bascule dans une prise en main froide, totalement maîtrisée ce que j'appelle de la domination de laboratoire. Même la prise en main de la fille se passe assez simplement... mais ce sont mes goûts personnels et nous allons découvrir les intentions de ces gens

ANDRERP95ANDRERP95il y a environ 1 mois

Moi j adore et je félicite!

APVapvAPVapvil y a environ 1 mois

Ce deuxième chapitre est tout à fait agréable. Plus douce sera la déchéance plus fort sera le plaisir.

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