Chroniques Du Cheptel - Ch. 09

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Il pressa ses amis d'en finir rapidement, en virant son pantalon. Quelques minutes plus tard, il mettait la pute à quatre pattes, dos à lui. Il avait adoré l'enculer la première fois et il allait recommencer l'expérience. Il ne put s'empêcher d'admirer le cul parfait de la favorite en plaçant son sexe tendu contre l'œillet de son anus. Il s'enfonça sans trop d'efforts dans le fourreau accueillant de son rectum et la pénétra lentement, d'une seule poussée. Putain qu'elle était bonne ! Il savourait pleinement le sentiment de domination que lui inspirait Estelle-la-pute, il était de plus en plus évident qu'elle aimait se faire dominer et lui aimait dominer cette chienne.

— « C'est de ta faute, si je me suis engueulé avec ma fiancée, sale pute ! » Lui lâcha-t-il rageusement, avant de commencer à lui baiser le cul.

De là où il était, il pouvait voir sa chatte luisante de divers fluides corporels. Entrebâillée, elle ressemblait exactement à ce qu'elle était : la chatte d'une putain fraichement baisée.

Instinctivement, Estelle se cambra pour lui faciliter la tâche. Elle avait toujours un peu honte de son comportement et du plaisir qu'elle ressentait à se faire maltraiter. Mais quelque part au fond d'elle, elle était fière qu'il l'ait préférée elle à sa greluche de fiancée.

Au pied de l'échelle, une petite file d'attente était en train de former. La nuit allait encore être longue pour Estelle...

*****

Appartements de Clotilde - Cave-du-fort :

Victor ne s'attendait pas à voir ça quand il entra dans la chambre de sa petite amie. Clotilde était totalement nue, à genou sur le parquet. Elle était au milieu d'un cercle de grosses bougies allumées, posées à même le sol. Bâillonnée par ce qui ressemblait à un torchon souillé, ses bras étaient attachés dans son dos par des cordes. Les cuisses ouvertes, le corps poisseux et luisant de transpiration, elle se faisait prendre en sandwich par deux diablotins.

Derrière elle, le mage reconnu Mord-fesses. Le petit diable enculait gaillardement la belle, pendant qu'un autre diablotin qu'il ne connaissait pas était couché entre ses cuisses, sa queue profondément enfoncée dans la chatte rougie de la fille. Elle se faisait proprement tringler par ces deux-là pendant que trois autres étaient affalés dans la chambre.

Smordif, le diablotin qui était censé veiller sur Estelle, était sur le lit, sa bite à demie mole à l'air était encore luisante de mouille, il fumait nonchalamment un joint de mariké. Il salua de sa petite main le mage. Les deux autres trainaient sur le parquet, au milieu de bouteilles de vin vides. L'air de la chambre empestait le sexe !

— « Vu que tu ne t'en servais pas, on s'est permis ! » Annonça Mord-fesses sur un ton exagérément joyeux.

Victor ne répondit rien en se rapprochant de sa petite-amie pour la voir de plus près. Clotilde avait le regard vitreux, ses cheveux étaient poisseux de sperme, son maquillage avait coulé. Elle avait l'air épuisée et défaite pourtant elle donnait encore de petits coups de reins pour venir s'empaler un peu plus sur les bites des diablotins qui la baisaient de bon cœur.

Le mage accepta sans rien dire le joint que lui tendit Smordif et tira une longue taffe. Il renvoya la fumée en plein dans le visage de Clotilde avant de le faire tourner. Il remarqua alors la cravache rouge derrière l'un des diablotins, il jeta un regard interrogateur à Mord-fesses.

— « Comme tu n'étais pas là, elle a protesté quand elle a compris ce qu'on attendait d'elle, on a dû la remettre à sa place. » Expliqua le diablotin.

— « Vous avez bien fait. » Répondit simplement Victor.

Il était vaguement contrarié de ne pas pouvoir profiter des charmes de sa petite amie cette nuit, comme il l'avait prévu. D'un autre côté, il était content de la voir dans cet état. Le spectacle de défaite érotique qu'elle lui offrait était inoubliable. Il sentit son sexe grossir dans son pantalon.

— « Je vais vous laisser profiter de cette garce cette nuit, moi j'ai d'autres plans. Ne faites rien de public avec elle ! » Ordonna le mage en repartant sans un regard pour Clotilde.

Il venait de prendre un verre avec Berthine à la taverne et il savait qu'elle était libre... La nuit n'était pas terminée pour lui, quant à Clotilde, il s'en fichait, les diablotins pouvaient la baiser comme bon leur semblait !

*****

Suite de Théodolinda - Palais de Sinistrevent :

Théodolinda se prélassait nue sur sa couche luxueuse, ses yeux de chat bleus azur fixaient avec malice son ami Razel. L'incube lui apparaissait dans son éclatante nudité, les muscles finement dessinés, il chevauchait au milieu des coussins l'esclave qu'elle avait mis à sa disposition, celle qu'il aimait bien, la blonde venue d'un harem des terres de l'ouest. La peau rouge du démon contrastait délicieusement avec la pâleur de la blonde.

La démone tendit la main pour se saisir de son verre de myrte pour en prendre une gorgée qu'elle avala avec une satisfaction non dissimulée. Son autre main était posée sur la chevelure bouclée de l'esclave qui s'affairait entre ses cuisses. Elle savourait ce moment, la fille savait y faire, elle connaissait par cœur les détails de l'anatomie de sa maîtresse et s'appliquait à lui faire plaisir avec une dévotion quasi religieuse.

De son côté, Razel s'apprêtait à faire jouir l'esclave blonde pour la troisième fois, mais cette fois-ci, il éjacula en elle, grognant de plaisir. Il s'affala sur le côté, un large sourire aux lèvres, avant de s'emparer de son verre qui trainait sur un guéridon pour le vider d'un trait.

Stick était, comme à son habitude, pelotonné devant la cheminée. Le diablotin ne quittait pas des yeux la blonde, elle reprenait son souffle dans les coussins.

— « J'ai des nouvelles pour toi, ça concerne Clotilde... » Commença la démone sur un ton mystérieux. Elle savait que Razel avait un faible pour cette fille depuis qu'il avait eu l'occasion de la sauter, il y a quelques mois de cela, à la faveur d'une intrigue initiée par la favorite.

L'incube se redressa sur ses coudes. « Tu as toute mon attention. » Dit-il sans quitter des yeux les seins de la blonde, ils se soulevaient au rythme de sa respiration, ses mamelons roses gonflés du plaisir qu'il venait de lui donner. Son regard remonta jusqu'au collier de cuir noir qu'elle portait autour de son cou délicat. Symbole de son appartenance à sa maîtresse Théodolinda, les flammes du foyer de la cheminée, se reflétaient sur le T en acier riveté incrusté dans son cuir. Ses lèvres délicates entrouvertes et ses beaux yeux de biche noisette. Cette esclave était une invitation au plaisir, une véritable friandise sexuelle.

— « Victor s'est procuré le dossier de Clotilde, il l'a modifié... » Annonça tranquillement la démone.

— « Voilà qui est inhabituel ! Et qu'a-t-il modifié? » Questionna l'incube en embrassant la blonde sur la bouche.

— « Oh, il a juste changé un passage pour indiquer que Clotilde se prostituait bien avant de rencontrer Sonny. »

Razel se redressa : « Il a fait quoi? » Dit-il incrédule.

— « Apparemment Victor c'est attaqué à Clotilde après s'être occupé d'Estelle. Il a fait une alliance avec Mord-fesses, le diablotin de Sonny, pour la dresser avec l'idée d'en faire apparemment une putain à son service. D'après Stick, Victor compte demander Clotilde à Sonny en récompense de son travail sur la favorite. »

Théodolinda marqua une pause pour que son ami intègre bien l'information, avant de continuer.

— « Modifier son dossier et faire d'elle une catin est plutôt intelligent. Tout le monde méprise les putains et si les choses tournent mal pour Victor, il aura l'excuse que Clotilde n'était en définitive que ça : une fille de petite vertu, qui ne mérite pas d'être sauvée et qui peut facilement changer de main. »

— « Si Mord-fesses est dans le coup, cela veut dire que Sonny aussi ! »

— « Je ne pense pas, le lien entre eux est interrompu depuis que Sonny est en expédition. Possible que Mord-fesses agisse de son propre chef. Son pouvoir de prescience lui donne une longueur d'avance sur tout le monde... Il veut sans doute mettre le patron devant le fait accompli et profiter de toutes les faveurs sexuelles qu'il peut grappiller. Et puis si Sonny avait voulu pervertir Clotilde, il m'aurait mise au courant. » Expliqua la démone en frémissant, l'esclave entre ses cuisses s'attaquait avec passion à son clitoris.

— « Clotilde est corrompue jusqu'à quel point? » S'enquit Razel.

— « Apparemment, elle est complètement sous l'emprise de Victor. Elle couche déjà avec les diablotins et j'ai cru comprendre que Victor l'avait offerte à des inconnus de passage. »

— « Merde, j'étais sur le point de la séduire à nouveau ! »

— « Laisse-moi deviner, tu comptais sur sa gratitude pour le rôle que tu avais joué dans la déchéance de la favorite et elle t'aurais récompensé en t'offrant son corps? » Répondit sarcastiquement la démone pendant que son ami se renfrognait imperceptiblement.

— « Dis comme ça évidement... Mais je te rappelle que pour des démons comme nous, séduire une humaine est d'une facilité déconcertante. J'aime les défis ainsi que les jeux de séduction. Je m'étais fait un point d'honneur à ne pas utiliser mes pouvoirs pour m'emparer de son cœur, pour mieux le briser par la suite. Le fait qu'elle me déteste est un plus pour moi et le fait est que je m'étais bien rapproché d'elle ces derniers jours, elle s'était même mise à flirter avec moi. »

— « Mon pauvre Razel, tu te berce d'illusions. Elle te détestera toujours d'avoir abusé jadis de sa crédulité pour parvenir à tes fins. Si tu as pu flirter avec elle ses derniers jours, c'est parce que Victor avait déjà commencé à faire d'elle une chaudasse et pas à cause de ton charme naturel. »

Razel marqua un temps de réflexion. « ... Oui, tu as sans doute raison, comme toujours... Tu comptes faire quoi maintenant? »

— « C'est une bonne question. Victor pense avoir agis dans notre dos, c'est mal connaître la nature des diablotins. Quant à Clotilde, elle s'est manifestement montrée très imprudente, elle s'est compromise et mérite une bonne leçon. Aussi, je vais laisser Victor s'amuser encore un peu avec elle, mais s'il dépasse les bornes, je vais devoir l'arrêter en attendant que Sonny tranche sur leurs sorts. Je veux que tu tiennes à l'œil ces deux-là ! Et rien ne t'empêche d'enlever la petite culotte de cette idiote, si tu en as toujours envie et si elle en porte toujours une, évidement... »

— « Avec grand plaisir ma chère. » Répondit l'incube en levant son verre en direction de la démone comme s'il portait un toast.

— « Qu'est-ce que tu en penses? » Demanda la démone en empoignant les cheveux bouclés de son esclave pour lui redresser la tête, l'interrompant dans son labeur.

— « Clotilde ne mérite plus la protection de Sonny, elle mérite ce qui lui arrive maîtresse. Laissez-moi vous la ramener, qu'elle se prosterne devant vous et vous lèche les pieds en guise de soumission. » Répondit la jolie brune aux yeux verts avec un regard extatique, son menton et sa bouche luisant de la mouille de sa maîtresse.

— « Brave petite... » Répondit simplement Théodolinda en la laissant retourner à son travail entre ses cuisses.

*****

Quelques part dans les rues - Quartier sud de Sinistrevent :

Maud serra instinctivement son manteau plus fort contre elle et accéléra le pas. Dans les rues désertes de ce quartier endormi, on entendait que le son du talon de ses bottines claquer et résonner contre le pavé de la rue. Elle maugréait, pestant et maudissant son connard de fiancé qui l'avait abandonnée préférant aller baiser avec ses amis cette pute de favorite. Elle ruminait son humiliation, imaginant la tête que ferait Tilian quand son père lui tomberait dessus. Son père était l'un des maîtres forgerons de la ville, une force de la nature qui avait toujours aimé et protégé sa fille unique, nul doute qu'il allait mettre une raclée à son imbécile de fiancé. Dire que son mariage avec Tilian était prévu dans trois mois, soupira-t-elle. Non mais quel connard !

Elle était un petit peu ivre, ce tord boyau qu'on lui avait donné avait vraiment un goût de merde. En plus, elle n'avait pas l'habitude de boire ce genre d'alcool. Elle n'avait accepté le bocal que lui tendait ce type, que pour se calmer les nerfs après la trahison de son fiancé. Elle avait hâte de rentrer chez elle pour retrouver le confort douillet de son lit. Dommage pour Tilian, elle se sentait d'humeur à faire l'amour cette nuit.

Alertée par un bruit suspect, Maud jeta un coup d'œil derrière elle et blêmie. Toute à ses sombres pensées, elle n'avait pas remarqué les deux hommes qui la suivaient de près, ils marchaient silencieusement. Leurs visages à la mine patibulaire n'étaient éclairés que par la lumière de la lune et les torchères de la ville. Torchères qui renvoyaient des ombres fantomatiques inquiétantes dans les rues, donnant à ses hommes un air encore plus terrifiants. Elle faillit défaillir quand elle remarqua que l'un d'entre eux avait une dague à la main. Des coupe-jarrets et ils en avaient après elle !

— « Regarde ce que nous avons trouvé Jack, si c'est pas mignon ça ! » Ricana le bandit à la dague en saisissant le col du manteau de la fille.

Effrayée, Maud cria, elle regarda autour d'elle, cherchant de l'aide ou un endroit pour fuir ; personne, les rues étaient désespérément désertes...

— « Si tu cries encore, mon ami ici présent te coupe la langue ! C'est bien compris ma belle? » Demanda le prénommé Jack alors que son compère appuyait vicieusement la pointe de sa dague sous le menton de la jeune fille, la forçant à garder la tête haute.

— « Non, non d'accord, je ne vais pas crier, prenez ma bourse, ne me faites pas de mal... » Répondit Maud en panique. L'homme qui la tenait arborait un méchant rictus sur son visage, ces deux-là ne plaisantaient pas !

Elle n'était qu'à deux cents mètres de la forge de son père. Elle était rapide mais les deux bandits, la repoussait vers une ruelle, sans doute pour la dépouiller avant de la tuer. Elle évaluait ses chances de s'enfuir, elles étaient minces.

Son dos heurta le mur d'une maison, la dague menaçante, se déplaçait maintenant sur son visage, passant sur sa bouche, remontant vers son nez. Elle sentait l'haleine chargée de vinasse du bandit collé contre elle, remarqua la pilosité douteuse de son visage. Paralysée par la peur, elle se reprocha de faire attention à de tels détails au lieu de chercher à s'enfuir, mais ses jambes refusaient de bouger. Maud se mit à pleurer réalisant qu'elle allait sans doute mourir cette nuit.

Elle sentit les mains des coupe-jarrets sur elle, la fouiller. En en tour de main, elle fut délesté de sa bourse et de son joli bracelet en argent. Mais les deux hommes n'en avaient pas terminé avec elle.

L'homme à l'haleine fétide s'amusait à faire lentement sauter les boutons de son manteau avec sa dague. L'un après l'autre les gros boutons de bois tombaient sur le pavé, en une cascade de petits bruits mat. « Voyons ce que tu nous caches encore ma jolie... » Lui susurra-il en tranchant le fil du dernier bouton.

Le prénommé Jack regardait son compère ouvrir le manteau de la fille et le jeter à terre. A bien y regarder, elle avait un joli visage aux traits fins, pas désagréable à regarder. Si le reste était du même acabit, ils n'auraient pas perdu leur nuit...

Maud ferma les yeux et frissonna quand il s'attaqua à sa robe jaune, la déchirant de haut en bas avec sa dague, sa culotte et son soutien-gorge suivirent rapidement. Le bandit écarta de sa dague les pans de sa robe déchirée pour révéler son corps au clair de lune. Tout cela lui semblait irréel, l'alcool embrumait encore ses pensées.

Jack siffla d'admiration, la fille était plus jolie qu'il ne le pensait, ses seins bien qu'un peu petits étaient bien ronds. Ils pointaient à cause du froid. Sans attendre son complice rengaina sa dague et prit en bouche le mamelon gauche de la fille pour l'aspirer et sucer son téton le faisant durcir un peu plus.

Les yeux toujours fermé, Maud sentit avec dégoût l'homme se presser contre elle. La jeune fille sentait son érection à travers son pantalon contre son corps dénudé, ses mains qu'elle imaginait crasseuses sur elle. Elle senti qu'il débouclait son ceinturon, son pantalon glissa par terre.

L'instant d'après, il lui écartait les cuisses, elle sentit son sexe durci venir frotter contre sa vulve. Puis la brulure, il venait de la pénétrer. L'homme grogna, pendant qu'il s'enfonçait dans son vagin non préparé lui arrachant une plainte, puis il commença à la limer. Sa bite était de bonne taille, sans doute un peu plus grande que celle de Tilian. Malgré l'horreur de sa situation, elle ne pouvait s'empêcher de faire des comparaisons.

La douleur et l'humiliation étaient horrible, elle pleurait en silence, essayait de rester digne. Le pire était la certitude qu'ils allaient la tuer, qu'elle ne fêterait pas son vingtième anniversaire dans deux semaines. Parfois des filles comme elle disparaissaient sans laisser de trace, on ne les revoyait jamais. Peut-être que si elle leur donnait ce qu'ils attendaient d'elle, ils la laisseraient vivre. Elle regrettait amèrement de s'être engueulée avec Tilian, après tout, il était parti baiser une pute, tous les hommes faisaient ça. Si elle avait été moins orgueilleuse, elle n'en serait pas là. Et même si elle s'en sortait, peut-être que son fiancé ne voudrait plus d'elle après ce terrible déshonneur...

Heureusement pour elle, son vagin malmené s'habituait à l'intrusion et la douleur devenait bien plus supportable pour finir par s'estomper complétement alors qu'il la limait. Maud rouvrit les yeux et s'accrocha aux vêtements de son violeur pour soulager son dos qui frottait contre le mur rêche de la maison. Le bandit qui la baisait prit ce geste malencontreux pour une invitation.

— « T'aime ça ma salope ! » Eructa-il en redoublant d'efforts, la baisant à couilles rabattues, arrachant quelques gémissements à la fille.

Il était endurant mais fini par éjaculer en elle, il devait avoir les couilles pleines parce qu'il ne s'arrêtait pas de l'inonder. Il fit encore quelques allers-retours en elle avant de céder la place à Jack.

— « Je ferais tout ce que vous voudrez, mais ne me tuez pas, s'il vous plait... » Supplia Maud le regard implorant.

La seule réaction de Jack fut de ricaner d'un air mauvais, pendant qu'il la débarrassait des derniers lambeaux de sa robe. Elle était intégralement nue quand il s'installa entre ses cuisses. Son sexe était à peu près de la même taille que l'autre bandit. Maud remarqua tout de suite qu'il était moins brutal et son vagin appréciait lui aussi. Elle soupira... Elle n'allait quand même pas y prendre du plaisir en plus !

— « Regarde-moi petite ! » Ordonna Jack d'un ton sec.

Maud releva la tête, le bandit la regarda dans les yeux pendant qu'il la baisait. Elle sentait confusément qu'il se passait quelque chose, la bouche entrouverte, elle respirait plus fort. L'homme rapprocha son visage du sien et l'embrassa. Son haleine à lui sentait un mélange de la même vinasse que son compère mélangée à du tabac froid, c'était franchement ignoble, mais elle s'en fichait. Elle sentait monter au creux de ses reins les prémices d'un orgasme qui montait. Elle allait jouir ici dans cette rue, violée à deux cents mètres de chez elle.

Jack avait compris ce qu'il se passait en elle, il l'embrassa encore, cette fois-ci plus longuement, en profondeur.

— « Tu as raison, elle aime ça cette salope ! On a tiré le gros lot ! Putain qu'elle est bonne ! » Dit Jack entre deux baisers fougueux.

Il accéléra la cadence pour le grand final. Elle gémit plus fort, elle y était presque. Concentrée sur ses émotions, elle ne prêta pas attention au drôle de bruit sourd qu'elle entendit derrière son violeur. L'orgasme était là, elle gémit plus fort puis l'expression de Jack se figeât en une sorte d'incrédulité. Maud senti le corps de son violeur se relâcher puis il glissa pour tomber par terre, immobile, laissant une sensation de vide terrible dans son vagin affolée.