Chroniques Du Cheptel - Ch. 09

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Elle avait jouit avec chacun des hommes qui l'avaient prise dans cette ruelle, comme une chienne. Tout ce qu'elle voulait c'était jouir une fois de plus. Elle passait certainement à leurs yeux pour la pire des trainées. Elle n'était pas différente d'Estelle.

*****

Antre des démons-gardiens - Sous-sols de la Cave-du-fort :

Estelle hoquetait, la bouche ouverte, à la recherche d'air. Debout, prise en sandwich entre les deux démons, ses pieds ne touchaient pas le sol, ils ballotaient au rythme de la monstrueuse copulation qu'elle subissait.

Les cuisses largement ouvertes et relevées, elle ne cherchait pas à résister, au contraire, elle s'accrochait au démon face à elle. Ses énormes mains incrustées dans la chair de ses cuisses, la soutenait comme si elle ne pesait rien. Elle sentait ses griffes appuyer contre sa peau délicate, laissant perler de fines gouttelettes de sang.

Le second démon, le sodomite, était collé contre son dos. Son chibre lui paraissait plus gros que celui de son compère, il lui dilatait complètement le rectum. Quand il ne lui martyrisait pas les seins, il s'amusait à lui tirer les cheveux, lui arrachant de petits cris de douleur.

Sa peau marquée de zébrures la brulait atrocement, le frottement du cuir de leur peau contre la sienne n'arrangeait rien. Ils s'étaient acharnés, fouettant ses seins, son dos et bien sur son cul. Mais aussi douloureuse soit-elle, cette sensation n'était pas comparable à celle de cette cravache démoniaque qu'elle devait endurer tous les matins. Le fouet, même s'il laissait des traces cuisantes, lui paraissait plus supportable. Et puis elle savait que son corps guérirait complétement après une nuit de sommeil, alors ça n'avait pas vraiment d'importance.

Estelle se concentra sur d'autres sensations. Maintenant qu'elle avait leur bites en elle, son appréhension s'était envolée, après tout, ces deux-là baisaient comme ils le voulaient les esclaves du cheptel de prostituée de Sonny, alors ils pouvaient bien la baiser elle. Et puis, leurs chibres avaient beau être imposants, ils étaient de taille plus modeste que ceux de Pizarda ou de Blek.

Profondément empalée sur leurs sexes, elle aimait de plus en plus cette sensation d'être remplie des deux côtés à la fois. Elle savourait secrètement ce sentiment d'abandon, de n'être qu'une poupée de chair entre leurs bras. La respiration saccadée d'Estelle s'accélérait imperceptiblement depuis quelques secondes, elle sentait les prémices du plaisir monter du creux de ses reins, pour irradier dans son corps meurtri. Elle se mit à feuler et gémir plus fort, incontrôlablement...

*****

Samedi 24 mars 1519 (22 ème jour après l'hypnose de la favorite.)

Appartements de la favorite - Cave-du-fort :

Estelle plongeât son corps endoloris dans l'eau froide de son bain, elle grimaça. Clotilde avait demandé à Hynys de lui supprimer une partie de ses privilèges en attendant sa destitution officielle, l'eau chaude en faisait partit. Mais pour l'heure, elle pensait qu'un peu d'eau froide lui ferait du bien et elle avait besoin de se laver. Le premier garde sera là dans une petite heure, elle devait être propre, parfumée, maquillée et coiffée pour le recevoir. Elle espérait secrètement qu'il s'agirait de Vasseur.

Elle s'allongeât dans sa baignoire, dans un soupir elle porta sa main sur le lourd collier d'esclave qu'elle portait autour de du cou, avant de la glisser entre ses cuisses pour masser doucement sa chatte échauffée. Du foutre frais s'en échappait...

Dès les premières lueurs de l'aube, son diablotin Smordif était venu dans sa chambre pour la sauter. Estelle s'était réveillée avec la bite du diablotin dans la chatte. Il avait dû la caresser dans son sommeil parce qu'elle était déjà bien lubrifiée. Une fois réveillée, Smordif l'avait sautée comme un porc, la traitant de pute-à-démons et d'autres noms d'oiseau avec sa voix de crécelle. Il s'était montré inhabituellement rageur, la mordillant et la griffant pour le plaisir. Il avait éjaculé en elle et sur elle, la faisant jouir au moins trois fois, elle n'était plus très certaine.

Mais du coup, elle n'avait dormi que deux heures, sans pouvoir récupérer de sa nuit avec les démons gardiens. Elle avait l'impression qu'une calèche lui était passée dessus. Elle frissonna, l'eau froide calmait ses muscles endoloris ainsi que le feu qui couvait dans son vagin malmené, mais elle avait froid. Elle se frictionna avec du savon pour faire disparaitre de son corps les dernières traces de foutre puis se lava les cheveux.

Estelle sorti rapidement de l'eau pour se sécher consciencieusement et enfiler son peignoir, ce qui la réchauffa un peu. De retour dans sa chambre, elle constata que le désordre et la poussière s'installait peu à peu chez elle, son lit était en bataille, des traces de sperme sur les draps. Plus aucune servante ne passait chez elle pour nettoyer, changer les draps ou s'occuper d'elle. Encore un privilège de perdu...

Elle s'assit devant sa commode pour scruter son visage dans le miroir. Elle devait se faire belle, si elle ne voulait pas être punie. Elle passa un peu de fond de teint sur ses pommettes, qu'elle rehaussa de discrètes paillettes dorées, pour rappeler les veines dorées de ses magnifiques yeux noisette.

Elle avait des cernes sous les yeux, mais elle était toujours la même jeune femme charmante, rien ne laissait deviner sur son visage les abus qu'elle subissait ; elle était devenue Estelle-la-pute, un garage à bites que tout le monde pouvait baiser quand ça lui chantait. Elle soupira continuant à se maquiller rapidement. Pour finir elle appliqua sur sa bouche pulpeuse, un rouge à lèvre rouge carmin. Devant son miroir, elle fit quelques effets de bouche pour tester la tenue de son rouge, satisfaite, elle sourit à son reflet, elle était juste sublime.

Elle s'empara de la petite fiole que lui avait donnée Soxxyex. Elle ne savait pas exactement ce qu'avait mis le sorcier dedans, mais elle en avait besoin pour calmer ses angoisses et accessoirement ses maux de gorges. Malheureusement la fiole était désespérément vide, il n'en restait même pas une petite goute. Elle soupira en reposant la fiole. Elle devait se débrouiller pour lui rendre une petite visite, ça devenait urgent.

Estelle avait encore un peu de temps, Elle ouvrit l'un des tiroirs de sa commode et posa la liste de ses amants devant elle. Elle prit soin de la relire consciencieusement deux fois puis trois fois pour bien s'en imprégner. Soixante-huit noms y étaient inscrits, quand elle ne connaissait pas le nom de la personne, une simple barre symbolisait l'homme qui l'avait baisée. Fascinée, elle ne pouvait en détacher les yeux, ce parchemin était la preuve de sa déchéance.

Maintenant qu'elle s'était réchauffée, l'effet de l'eau froide s'estompait, elle sentait peu à peu sa chatte reprendre vie et réclamer de l'attention. Maudit diablotin pensa-t-elle, glissant une main vers son entrejambe pour se masser doucement le sexe, qu'elle découvrit humide. Vaguement excitée, elle s'empara de sa plume et se remémora sa journée d'hier pour compléter sa liste.

Elle avait passé une partie de sa matinée à baiser avec les gardes de la Cave, puis Sélanor l'avait envoyée chez un client en ville. L'homme était un important marchand qui avait fait fortune dans le négoce du bois. Il fournissait aussi bien du bois de chauffage que le chantier naval. Il souhaitait déniaiser son fils qui venait tout juste d'atteindre la majorité.

Le garçon était un peu timide, elle avait passé du temps à discuter avec lui pour le mettre en confiance. Il s'était étonné du lourd collier d'esclave qu'elle portait, mais cela ne l'avait finalement pas dérangé. Ils s'étaient embrassés longuement avant qu'elle ne prenne l'initiative de déshabiller le jeune homme. Pour sa première fois, elle tenait à ce qu'il garde un bon souvenir d'elle. Après ça, elle s'était déshabillée à son tour et avait fait tout ce qu'on attendait d'une prostituée.

Le père souhaitait la voir après. C'était le genre d'homme que l'argent avait rendu gras et arrogant. Contrairement à son fils, il la connaissait bien, l'ayant déjà vu chanter à la Cave à de nombreuses reprises. Aussi quand il avait appris par des amis qu'elle ne prenait qu'une pièce d'argent la passe, il avait immédiatement contacté Sélanor. Plus expérimenté que le fils, le père l'avait baisée longtemps, utilisant tous ses orifices, lui faisant bien comprendre dans son attitude qu'elle n'était qu'une putain, une moins que rien. Une fois son affaire faite, il l'avait congédiée sans tarder. Estelle était presque certaine qu'elle le reverrait, elle marqua deux barres dans la rubrique Clients de sa liste, portant le total à 70.

Estelle continuait à se caresser d'une main paresseuse, partagée entre l'envie de jouir et celle de continuer sa tâche, elle résista à l'envie de se masturber plus énergiquement pour privilégier la seconde. Elle se reconcentra.

Après ça, son escorte l'avait ramenée à la Cave, où elle avait fait un brin de toilette avant de recevoir un client dans sa roulotte transformée en chambre de passe. Elle ne se souvenait pas très bien de l'homme en question, juste qu'il portait une moustache tombante et une petite bite. Elle fit une barre de plus. 71.

En soirée, Sélanor lui avait envoyé ses musiciens, toujours dans sa roulotte. Jonday et Dickers avaient un peu trop bu, ils l'avaient proprement défoncée, la prenant l'un après l'autre, prenant leur temps. Eux aussi la traitaient désormais comme une putain et maintenant qu'ils l'avaient sautée, ça ne risquait pas de s'arranger.

C'était normal de la part de Dickers, elle savait depuis longtemps que le joueur de luth la convoitait. Elle supportait depuis trois ans, ses allusions salaces, ses regards insistants et ses avances déplacées. En tant que favorite, elle avait dû le remettre à sa place plus d'une fois. Elle s'en était ouverte à Sonny, mais il refusait d'intervenir arguant du fait, qu'il ne voulait pas s'occuper de chaque homme qui la trouvait belle. Pire, Sonny l'embrassait et la tripotait plus que de raison, quand le musicien était dans les parages. Et elle avait joué le jeu, ne se privant pas d'allumer le pauvre bougre quand elle avait l'occasion.

A se souvenir la main qui caressait paresseusement sa chatte se fit un peu plus insistante, pénétrant de ses doigts son intimité humide. Elle ferma un bref moment les yeux, savourant la sensation d'abandon et de plaisir qui montait en elle. Après tout, elle pouvait bien se masturber un petit peu. Elle se remémora toutes les fois où elle avait était salope avec Dickers, prenant un malin plaisir à l'émoustiller avant de le rembarrer. Il avait bien gagné le droit de la baiser.

De son côté, Jonday avait toujours été prévenant avec elle, même si elle voyait parfois cette lueur d'admiration dans son regard quand ses yeux se posaient sur elle. Hier, l'alcool aidant, il l'avait copieusement insultée et baisée, comme s'il voulait la punir d'être devenue une putain. Elle aurait voulu lui dire que ce n'était pas sa faute, qu'elle avait été manipulée, mais elle ne pouvait pas, l'emprise de Victor était toujours là, solidement ancrée dans sa tête, l'empêchant de parler. Et puis le plaisir qu'elle avait pris dans leur bras, parlait pour elle. Elle n'était qu'une trainée...

Estelle inscrivit sur le parchemin les noms de Jonday et de Dickers à la suite des autres... Puis elle rajouta dans la rubrique correspondante les deux démons gardiens au teint jaunâtre. Le nouveau total était de 75. A ce rythme-là, elle allait atteindre dans quelques jours la centaine d'amants. Elle se demanda brièvement si elle devait faire quelque chose de spécial ou non pour son centième.

Elle n'eut pas le temps d'approfondir plus avant ses réflexions, la porte de son appartement venait de s'ouvrir. Elle se figeât, elle n'avait pas vu le temps passer et elle avait pris du retard. Elle retenait sa respiration, regardant à travers son miroir qui allait rentrer dans sa chambre. C'était Vasseur, il avait à sa ceinture la cravache rouge de Clotilde, soulagée et inquiète à la fois, Estelle le regardait approcher. Soudain, elle réalisa qu'elle portait encore son peignoir, c'était une faute. Elle dénoua sa ceinture puis, d'un geste sensuel de l'épaule, fit glisser son peignoir sur ses hanches, dénudant son buste.

— « Toi, tu cherches vraiment les emmerdes... A croire que tu aimes être punie. » Annonça Vasseur comme une évidence.

La favorite se leva de son luxueux tabouret pour lui faire face, elle ne chercha pas à soutenir son regard froid et se mit aussitôt a genou devant lui, baissant la tête dans une attitude de soumission. L'homme nota avec satisfaction les zébrures qui sillonnaient encore le corps de la belle.

— « Pardon monsieur Vasseur, les gardiens m'ont retenue tard cette nuit, je n'ai pas eu le temps de me préparer correctement... »

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, une méchante gifle venait de l'envoyer valdinguer.

— « Ce que tu fais de tes nuits ne me regarde pas ! Le matin du dois montrer du respect aux gardes en était nue et convenablement apprêtée pour les recevoir. Tu n'es ni coiffée, ni parfumée et tu portais un peignoir, alors que tu devrais être à poil prête à recevoir ta première bite de la journée ! »

Estelle se redressa en se massant la joue, à genou devant lui.

— « Pardon monsieur, Laissez-moi me rattraper en vous donnant du plaisir avec ma bouche. Je suis douée pour ça. » Implora-t-elle en se faisant séductrice.

— « Je sais que tu es douée, tu es née pour sucer des bites. Mais pour l'heure, tu vas recevoir ta punition matinale. Essaye de ne pas trop crier, les autres filles se plaignent de tes... vocalisations. Après tu auras le droit de me bouffer la bite et peut-être même que je te baiserais, sale petite cochonne ! Allez en position ma salope, tu vas recevoir 17 coups ! »

C'était deux de plus que la vieille, le prix de ses fautes. De toute façon, jour après jour, le nombre de coups qu'elle recevait ne faisait qu'augmenter et supplier ne servait à rien.

Soumise, Estelle posa la paume de ses mains contre le mur à côté de sa commode, elle se cambra au maximum présentant son cul au garde, cuisses écartées pour qu'il puisse frapper son sexe si l'envie lui prenait. Elle serra les dents se préparant à la suite. Elle entendit le petit sifflement qu'émettait la cravache fendant l'air avant de venir frapper son dos. Aussitôt une douleur fulgurante irradia tout autour de l'impact, atroce. Elle gémit, elle avait l'impression que des centaines de petites aiguilles brulantes lui perçaient la peau. Elle ne s'habituerait jamais à cette souffrance cuisante.

Les dix premiers coups étaient les plus durs à encaisser, en général elle craquait dès le quatrième ou le cinquième, à partir du onzième, un phénomène étrange opérait. Elle ne savait pas trop comment le décrire, les ondes électriques délivrées par la cravache s'attaquaient en même temps à ses centres du plaisir, entremêlant étroitement douleur et plaisir dans une même et terrible étreinte. Elle savait qu'au vingtième coup, elle serait terrassée par un gigantesque et douloureux orgasme. Dans trois jours, elle en ferait l'expérience...

Elle cria alors que la cravache s'abattait pour la troisième fois sur son cul offert, lui arrachant une larme, elle se mit à trembler et à supplier...

*****

Appartements de Clotilde - Cave-du-fort :

Victor rangeât son pendentif dans la poche de son veston, pleinement satisfait. Clotilde avait vraiment très bien réagit à sa dernière séance d'hypnose. Putain il adorait faire ça, depuis qu'il était mage, il aimait briser et pervertir des filles. Son vieux mentor lui manquait parfois, il aurait bien aimé partager cette conne avec lui. Comment diable avait-il pu se laisser séduire par cette fille? Peut-être était-ce son joli minois, son besoin de vengeance? C'était un mystère, mais ce moment de faiblesse était bel et bien terminé, il ne restait plus qu'une colère froide, l'envie de la rabaisser, de l'exhiber comme un trophée pour mieux la détruire...

A cette idée, il sentit son sexe reprendre vie, il avait envi de la violenter, de fourrer son con merveilleusement serré de salope. A contrecœur, il repoussa cette idée, il avait beaucoup de choses à faire aujourd'hui et la matinée était déjà bien avancée.

— « Arrête de rêvasser salope ! » Dit-il d'une voix cinglante.

Clotilde sursauta au sortir de sa transe, elle cligna des yeux, hébétée. Elle se souvenait avoir paressée nue dans son lit ce matin, elle avait dû finir par se rendormir.

— « Allez bouge-toi espèce de conne, tu as du travail et cette robe ne va pas se faire toute seule ! »

La jeune femme se passa la main dans ses beaux cheveux bouclés. Inquiète, elle hésitait, comme si elle ne savait pas comment formuler ce qu'elle voulait dire.

— « Victor... » Commença-t-elle d'une voix hésitante.

— « Quoi encore ! » Répondit le mage agacé.

Il ne pouvait s'empêcher de regarder les seins parfaits de Clotilde, il aimait la manière dont ils bougeaient, leur taille, leur fermeté... Tout ce temps que Clotilde avait perdu en cachant ces deux merveilles au monde, quel gâchis. Heureusement, ce temps était révolu maintenant qu'il était là. Il bandait vraiment dur et se sentait de plus en plus inconfortable dans son pantalon.

— « ...Qu'est-ce qu'il va se passer si quelqu'un m'a reconnue hier? » Réussi-t-elle à demander, le visage déformé par l'anxiété. Elle venait de remarquer la bosse caractéristique qui ornait de façon ostensible son pantalon, elle avait du mal à en détacher les yeux.

— « Eh bien, je suppose que ce quelqu'un saura que tu n'es qu'une putain, au pire une belle salope sous tes airs de fille prude. Tu pourras toujours acheter son silence en lui proposant une pipe ou ton cul. En parlant de pipe, il faut que tu t'entraines ! » Déclara Victor en baissant son pantalon, révélant fièrement sa longue bite en érection. Il avait trop besoin de faire redescendre la pression.

Clotilde fit la moue en s'approchant de Victor pour prendre en main sa verge avant de l'emboucher docilement. Protester ou se rebeller ne lui était même pas venu à l'esprit, il pouvait la maltraiter, seule comptait la satisfaction de son homme. Elle commença à le pomper, faisant des bruits mouillés. Quelques minutes plus tard, Victor éjaculait dans sa bouche. La jeune femme avala tout, avec une sorte de satisfaction veule.

— « Tu es vraiment minable comme bouffeuse de bites. Peut-être que je devrais te coller dans une ruelle du quartier chaud pour que tu t'entraines à tailler de bonnes pipes. » Asséna Victor. En fait Clotilde taillait des pipes tout à fait correctes, c'est juste qu'il aimait la rabaisser tout en la préparant pour la suite.

Elle frissonna à l'évocation de la menace de Victor, elle savait maintenant qu'il en était capable. « Pardon Victor, je vais m'améliorer, promis... »

— « Ta gueule salope ! » Dit-il en attrapant le manuscrit de Théodolinda, faisant mine d'ignorer Clotilde.

En relisant un chapitre de ce manuel de dressage, Victor se dit qu'il fallait que Clotilde oublie son contenu. Elle se souviendrait l'avoir lu, avoir été excitée par les exemples de filles dressées mais elle devait tout oublier des méthodes psychologiques ou magiques employées. Il pouvait lui faire croire qu'elle s'était masturbée en regardant les illustrations du manuscrit. Il pouvait même faire en sorte qu'elle ne se souvienne n'avoir regardé que les images...

— « Au fait, Vasseur est passé ce matin pour prendre la cravache, il s'est occupé de l'autre pute. » Annonça le mage.

— « Je le remercierais. » Répondit sincèrement Clotilde.

Depuis que la favorite était devenue, aux yeux de tous, une moins que rien, elle avait pu savourer sa revanche. Bien sur sa vengeance ne serait complète que quand Sonny la répudiera dès son retour, mais la destruction de la réputation de cette pute dégoutante lui suffisait pour l'instant. Parfois elle se disait qu'elle était allée trop loin avec elle. Néanmoins il fallait que cette trainée paye pour le mal et qu'elle avait fait, laisser le soin à d'autres de la persécuter était la bonne solution, Vasseur était parfait pour cela.

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