Chroniques Du Cheptel - Ch. 09

Avertissement de l'auteur :

Le récit que vous allez lire se situe dans un univers médiéval fantastique issu de Donjons & Dragons. Il relate l'histoire tournant autour d'un personnage maléfique (Sonny) que je joue depuis 1989. Il contient au fil de ses chapitres de nombreuses scènes de violences, de contrôle mental, d'esclavage, de prostitution, d'humiliations, de perversions, de relations interraciales (gobelins, orcs, autres démons et parfois zoophilie). Si vous n'aimez pas les histoires de contraintes et dominations de femmes, je vous conseille vivement de ne pas continuer. Tous les personnages de mes histoires ayant une activité sexuelle sont majeurs.

Les dates indiquées dans ce récit appartiennent à la chronologie de ce monde fantastique et n'ont rien à voir avec notre monde moderne. Aussi toute comparaison n'aurait aucun sens.

Je fais à mes heures perdues, un peu d'image de synthèses et vous pourrez trouver des illustrations de mes personnages faites par mes soins dans la section française artwork de literotica.

Pour une lecture plus agréable et une meilleure compréhension de l'intrigue et des (nombreux) personnages, je vous recommande de commencer par le chapitre 01, ou de lire au moins le chapitre précédent.

Voici un (pas si bref que ça) résumé de qui est qui :

Sonny est le chef d'un empire tentaculaire considéré comme maléfique. Son pouvoir est basé sur la sorcellerie, l'esclavage, la piraterie, la contrebande, les trafics en tous genres. Il vénère l'archidiable Kormios. Pervers notoire, il aime dresser, corrompre, réduire en esclavage et à la prostitution les femmes. Sa capitale est une île forteresse nommée Sinistrevent, ses hommes l'appellent « le patron ». Il est actuellement absent, parti en expédition avec une partie de ses hommes.

Théodolinda est la première démone à être rentrée au service de Sonny, elle est aussi son bras droit et gère ses affaires privées quand il n'est pas là. Stick est son diablotin attitré.

Hynys est la gérante de la Cave-du-fort, un fort de défense de Sinistrevent reconverti en taverne-bordel par Sonny. C'est une demi-elfe d'origine noble devenue l'esclave de Sonny, mais une esclave avec du pouvoir et réputée dangereuse. Elle est actuellement l'une des femmes les plus influentes de Sinistrevent. Cette très jolie brune aux yeux bleus, à la réputation sulfureuse, est connue pour ses (nombreux) amants.

Irissia est une autre des esclaves personnelles de Sonny. C'est une elfette blonde pleine de charme. Amie et confidente d'Hynys, elle tient le comptoir de la Cave-du-fort.

Estelle est depuis trois ans la favorite de Sonny, elle jouit de nombreux privilèges liés à son rang dont un bel appartement à la Cave-du-fort. C'est une belle jeune femme de vingt-quatre ans, châtain, aux formes avenantes. Chanteuse de talent, elle profite d'une jolie notoriété sur Sinistrevent.

En tant que favorite, son seul devoir était de rester fidèle à son maître Sonny, sous peine de disgrâce et de répudiation, ce qui signifie au pire la mort, au mieux l'esclavage dans un bordel. Ce dernier encourage cependant les relations saphiques, elle couche avec Sélanor dont elle est sous l'emprise.

Récemment violée par le sergent Gusmer, sa petite vie parfaite ainsi que sa réputation ont volées en éclat. Les gens l'appellent Estelle-la-pute depuis qu'elle s'est faite tripotée en public par le démon Pizarda et surtout depuis qu'elle s'est fait sauter toujours en public par des pirates.

A la merci de sa rivale Clotilde et de son entourage, elle est maintenant obligée de se prostituer et de satisfaire sexuellement les gardes de la Cave à commencer par Vasseur. Elle espère que sa docilité sera récompensée et que Clotilde tiendra parole en lui obtenant le pardon de Sonny.

Clotilde est la rivale historique d'Estelle, elle la déteste et complote contre elle depuis toujours. Devenue esclave par amour pour Sonny, elle rêve de devenir sa favorite et profite d'une relation privilégiée avec lui. Cette jolie fille aux cheveux auburn, travaille à l'atelier de couture comme styliste et s'occupe de la création des tenues des esclaves de plaisir. Sonny lassé de sa favorite, a financé Clotilde pour corrompre Estelle et organiser son dressage avec l'aide de Théodolinda. Grace à Victor, elle vient de faire d'Estelle son souffre-douleur docile. Clotilde couche depuis peu avec Victor dont elle est peut-être tombée amoureuse.

Sélanor est une rare beauté elfique blonde. Devenue l'esclave de Sonny, elle a bénéficié de sa protection. Charismatique, manipulatrice et joueuse, elle s'est imposée à la Cave-du-fort. Elle est responsable des esclaves de plaisir de l'établissement sous l'autorité d'Hynys. Elle a conclu une alliance avec Clotilde, puis embauché Victor afin d'hypnotiser la favorite. Séduire Estelle et lui révéler son tempérament de soumise n'a été ensuite qu'une formalité. Elle est déterminée à profiter le plus possible de la déchéance de la favorite pour augmenter sa notoriété et élargir son réseau d'influence. Elle a également Clotilde en ligne de mire.

Hasten ou Victor Hastenpoulos de son vrai nom, est un mage hypnotiseur. Repéré et embauché par Sélanor pour pervertir sexuellement Estelle. Il a accepté à la fois pour se venger de la favorite qu'il déteste, mais aussi parce que c'est un salopard qui a de l'expérience dans ce genre de choses. Il espère se faire remarquer par Sonny en faisant de la favorite le plus gros garage à bites de tout Sinistrevent. Le conditionnement qu'il a mis en place sur Estelle a définitivement modifié la personnalité de la jeune femme. Il a également mis en place le mot de commande « inhibition » qui la soumet sexuellement à celui qui le prononce sans qu'elle n'en garde le moindre souvenir. Il manipule également Clotilde à son insu pour son plaisir.

Mord-fesses, Krash & Smordif sont trois diablotins au service de Sonny. Le premier a un don de prescience, il est donc souvent au bon endroit au bon moment. Le dernier est censé être au service d'Estelle. Les trois petits diables sont bien décidés à tirer le maximum de faveurs sexuelles de la déchéance d'Estelle.

Horpheu & Pizarda sont des démons guerriers proches de Sonny affectés régulièrement à la protection de la Cave-du-fort et de ses résidents.

Vasseur est l'un des gardes de la Cave-du-fort, réputé sadique, il a été le premier garde à se taper la favorite sous inhibition. Sélanor lui avait fait croire qu'Estelle était une nymphomane en manque de sexe. Il a vite compris ce qu'il se tramait vraiment et depuis travaille pour Sélanor et Clotilde à l'avilissement d'Estelle.

Anton Gusmer est un sergent des gardes noirs (troupe d'élite) en poste au palais de Sinistrevent, il participe au dressage d'Estelle sous les ordres de Théodolinda. C'est un homme autoritaire et violent si nécessaire.

Jonday & Dickers sont les deux musiciens qui accompagnent Estelle respectivement au banjo et au Luth.

La Cave-du-fort est un ancien fort de défense reconverti en taverne-bordel par Sonny. Les établissements de Sonny sont réputés pour proposer les plus belles filles, une dizaine de catins qui y travaillent. Il s'agit de captives, réduites en esclavage et prostituées ; marquée au fer rouge sur la hanche ou à l'épaule, elles portent un collier d'esclave ainsi que des vêtements affriolants en étoffe rose ou rouge symbole de leur statut. (Les filles en roses sont des prostituées classiques, celles en rouge, plus rares sont particulièrement prisées, ne refusent aucune pratique dégradante.) Hynys en est la gérante.

La plupart des esclaves de Sonny bénéficient d'un rituel de régénération corporelle.

Il s'active pendant le sommeil pour guérir toutes les blessures mineures. Ainsi toutes les griffures, morsures et autres traces de coups sont guéries après une bonne nuit de sommeil. Ce rituel, élaboré à l'origine pour permettre aux prostituées humaines, d'avoir des relations sexuelles répétées avec des clients violents, des orcs, ou même des démons, c'est avéré avoir des vertus contre le vieillissement, en réparant jour après jour les outrages du temps. Le corps reste tonique, les seins ne s'affaissent plus sous l'action de la gravité et les filles qui en bénéficient deviennent plus résistantes aux maladies.

Ce rituel est particulièrement utile au quotidien mais il est impuissant pour réparer les dégâts plus importants comme des fractures ou des plaies ouvertes qui requièrent alors les soins d'un prêtre de Kormios.

Voilà je crois que c'est tout, si vous avez des questions, j'y répondrais volontiers.

Il vous faudra un peu plus de 2 heures pour lire ce chapitre.

Bonne lecture.

Chroniques du cheptel

Chapitre 09 : Deux putains pour Victor.

Clotilde avait des remords. Elle détestait cette pute d'Estelle, sa rivale depuis toujours. La déchéance amplement mérité de cette salope la comblait de joie, mais cette joie et le plaisir malsain qu'elle prenait à la punir lui faisait peur.

Elle ne voulait pas devenir une femme hargneuse et vindicative, elle valait mieux que ça, elle était une fille bien. Maintenant qu'elle avait eu sa vengeance, elle n'était plus sure de vouloir continuer. Et puis sa vie avait changée, elle pensait tout le temps à Victor, elle voulait passer plus de temps avec lui, faire l'amour... Elle se sentait redevenir adolescente, amoureuse.

Elle en avait parlé à Sélanor qui, en bonne amie, l'avait écoutée d'une oreille toujours aussi attentive. Elle s'en était ouverte à Victor, il comprenait et voulait bien la baiser plus souvent comme il disait en plaisantant.

Ils avaient tous convenu ensemble, qu'il valait mieux confier la punition matinale de la favorite à Victor ou à Vasseur, selon leurs disponibilités. Sélanor qui avait plus l'habitude, aiderait Clotilde à gérer l'emploi du temps d'Estelle-la-pute. Pour le reste, ils aviseraient au fur et à mesure...

Vendredi 23 mars 1519 (21 ^ème jour après l'hypnose de la favorite.)

Appartements de Clotilde - Cave du Fort :

Victor se prélassait paresseusement dans le lit confortable de Clotilde, feuilletant avec intérêt le 'Petit manuel de dressage illustré' offert par Théodolinda à la jeune femme. Ce manuscrit était une mine d'informations sur la psychologie féminine de la soumission, bourré de bonnes idées et d'exemples de dressages. Nul doute que dans sa prochaine édition, un chapitre sera consacré à Estelle, pensa-t-il avec une joie sournoise. Il baissa la tête pour regarder la tête bouclée de Clotilde s'activer sur son pénis. Il savourait la fellation que lui prodiguait son amante, Clotilde le pompait depuis déjà de longues minutes et elle devenait meilleure de jours en jours. Victor lâcha un soupir d'aise et retourna à sa lecture et à ses pensées.

Le rapt de la favorite par Pizarda, avait finalement été une bonne chose à plus d'un titre. L'absence d'Estelle lui avait laissé le champ libre pour travailler et renforcer son emprise sur Clotilde. Cette dernière avait une force de caractère supérieure à celle d'Estelle, mais rien d'insurmontable pour un hypnotiseur de son talent. Il avait mis à profit cette semaine pour s'afficher avec elle comme son amant officiel, égratignant au passage la réputation bien trop sage la jeune femme. Clotilde avait toujours affirmé haut et fort qu'elle ne prendrait jamais d'autre homme que Sonny dans son lit et maintenant elle s'affichait comme sa petite amie.

Pizarda n'avait ramené la favorite à la Cave-du-Fort que le mardi matin. Après trois jours et quatre nuits de séquestration, elle était revenue vêtue de haillons, couverte de griffures, sale et affamée. Et surtout, plus soumise que jamais, elle portait un lourd collier d'esclave en métal noirci, symbole de sa nouvelle condition. Clotilde avait ordonné de ne pas lui retirer le collier. Après avoir mangé quelques restes de la veille trouvés dans une poubelle, la favorite s'était effondrée dans son lit pour dormir toute la journée. Voir Estelle dans cet état avait plongé Clotilde dans un état de débauche telle qu'elle avait passé la journée au lit avec Victor à baiser comme des lapins.

Le mercredi matin, un prêtre-guérisseur envoyé par le temple était venu pour ausculter la favorite. Victor et Clotilde avaient bien évidement assistés à la consultation. Propre et parfumée, Estelle attendait le prêtre dans le plus simple appareil. L'homme, un maigrichon au physique banal, avait été surpris de découvrir la nudité de sa patiente. Il avait trouvé Estelle en bonne santé, sa régénération corporelle avait fait le travail, toute trace de griffure disparue, elle ne nécessitait aucun soins particulier. Elle-même disait qu'elle se sentait bien, elle avait juste peur d'être punie par Clotilde pour son absence et surtout elle avait peur de ce que penseraient les gens d'elle quand ils apprendraient qu'elle s'était faite sautée par un démon.

Victor avait noté avec satisfaction qu'Estelle avait dit au prêtre « sautée » et non pas « violée ». Son esprit confus et corrompu avait parfaitement intégré qu'une moins-que-rien comme elle ne pouvait pas être violée, qu'elle méritait ce qu'il lui arrivait.

Le guérisseur était un habitué de la Cave, il venait chaque semaine ausculter les filles. Il avait palpé le corps offert de la favorite, en particulier ses seins qu'il avait l'air d'apprécier, lui avait posé tout un tas de questions sur ce que lui avait fait subir Pizarda. Estelle lui avait raconté tout ce dont elle se souvenait, le prêtre manifestement excité avait eu du mal à cacher son érection. Sous prétexte de trouver des dommages internes, il lui avait fait un long et profond toucher vaginal pendant qu'elle lui donnait des détails de plus en plus sordides sur les nombreux abus qu'elle avait subis. Victor avait même eu la certitude que la favorite, sous ses airs de chienne battue, ne cherchait qu'à enflammer les sens du prêtre.

Sa consultation terminée, il avait conclu qu'Estelle-la-pute pouvait se prostituer sans délai et continuer à coucher avec des démons, si ça lui chantait. Victor l'avait remercié et proposé une passe avec la fille en guise de paiement pour ses services. Naturellement l'homme s'était empressé d'accepter.

Une fois le prêtre parti, les gardes du bordel étaient venus rendre visite à la favorite pour la sauter, un par un, en commençant par Vasseur. Clotilde, toute émoustillée par ce qu'elle venait de voir, s'était faite aguicheuse et avait entrainé Victor dans sa chambre. La jeune femme adorait faire l'amour en entendant les cris de baise d'Estelle à travers les murs.

Une routine s'était rapidement installée, Estelle baisait donc avec les gardes le matin, avant de se faire copieusement cravacher par Vasseur pour expier ses fautes. La malheureuse ne s'habituait toujours pas à la souffrance infligée par la redoutable cravache de dressage au cuir rouge. Si Vasseur frappait plus fort que Clotilde, il était aussi plus méthodique. Pathétique, la favorite suppliait, pleurait, gémissait, se tortillait en récitant les mots dégradants qui désignaient désormais les différentes parties de son anatomie. Elle sortait de ces séances brisée, promettant tout et n'importe quoi à Vasseur qui se faisait un plaisir de la baiser ensuite.

En théorie Estelle avait quartier libre l'après-midi, mais en pratique, Victor avait convaincu Clotilde de laisser Sélanor prostituer la favorite à une poignée de notables de Sinistrevent. Avec une hypnose de plus, il l'avait convaincue de lui laisser aussi pour la soirée. Ainsi Sélanor organisait les rendez-vous et récoltait seule les lauriers de la déchéance d'Estelle auprès des gens influent de l'île.

Victor profitait de ses soirées libres pour sortir avec Clotilde, s'afficher avec elle en public et la baiser dès qu'il en avait l'occasion. Négligée par Sonny qui lui préférait souvent Estelle ou une autre fille, il avait découvert une jeune femme à la fois tendre et forte, sensuelle, terriblement en manque d'affection et surtout en manque de sexe. Mais plus que tout, Clotilde était extrêmement reconnaissante du service qu'il lui avait rendu, en lui permettant d'exercer sa vengeance contre cette pute de favorite. Elle lui avait donné sa confiance sans réserve.

Dommage qu'à ses yeux, elle n'était plus qu'une chatte bonne à baiser comme une autre. Non pire qu'une autre, il la haïssait d'avoir provoqué en lui quelque chose qui aurait pu passer pour de l'admiration ou de l'affection. Après Amandine, il ne voulait plus ressentir ça pour aucune autre femme. Maintenant qu'il avait baisée Clotilde, ce moment de faiblesse était bel et bien passé. Il lui avait soigneusement caché le changement de ce qu'il ressentait pour elle et il était temps qu'elle apprenne où était sa place dans ce monde cruel. Il l'imagina avec ses beaux et gros nichons à l'air, obligée d'arpenter les trottoirs des quartiers chauds, racolant les passants pour lui rapporter quelques pièces d'argent.

Cette pensée l'amena à l'orgasme, il rejeta le manuscrit qu'il tenait encore en main, pour crocher ses doigts dans les cheveux bouclés de Clotilde, plaquant le visage de la belle contre son pubis pendant qu'il éjaculait au fond de sa gorge.

— « Vas-y ! Bouffe mon foutre salope ! » Eructa le mage perdant le contrôle de ses émotions... C'était juste trop bon de juter dans la bouche de cette idiote, de la traiter comme une merde !

Clotilde n'en croyait pas ses oreilles, c'était la première fois qu'il la traitait de salope. Elle eut un mouvement de recul, mais il maintint fermement sa tête pendant qu'il se libérait en elle, inondant sa gorge de sa semence, dans un gargouillis obscène.

Le visage satisfait et rougit, Victor libéra finalement Clotilde de son étreinte après un dernier râle de plaisir. Choquée elle se recula, s'essuyant la bouche d'un revers de la main.

— « Bon sang qu'est-ce qu'il t'a pris !? » Protesta-t-elle en toussant. « Je ne suis pas l'autre pute alors ne recommence jamais ça ! » Rajouta-t-elle en lui lançant un regard noir, attrapant ses sous-vêtements et son chemisier.

Victor regardait Clotilde se rhabiller rapidement sans rien dire. Il arborait un petit sourire inquiétant en reluquant la jeune femme, elle avait vraiment un beau cul.

Clotilde affichait un air renfrogné tout en boutonnant rapidement son chemisier sur le soutien-gorge qu'elle avait enfilé à la hâte, cachant les jolies courbes de ses seins fermes. Il commença à détendre ses doigts par de petits gestes discrets.

— « Tu es encore plus belle quand tu es en colère. » Constata-t-il d'un ton narquois.

— « Il est tard, j'ai du travail, je dois me rendre à l'atelier, déposer mes dernier croquis pour les nouvelles tenues de la pute. » Répondit-elle sans même le regarder, cherchant son pantalon qu'elle trouva par terre.

— « Non. » Annonça très calmement Victor.

— « Quoi non? » Rétorqua sèchement Clotilde, interloquée par l'attitude inhabituelle du mage.

Victor se lança dans une gestuelle élaborée et lança une incantation rapide devant une Clotilde incrédule. Alors que son cœur se mettait à battre plus vite, une sorte de brume jaunâtre environna la jeune femme. En quelques fractions de seconde, la brume fantomatique se condensa autour d'elle en quelque chose de plus tangible. Des mains venaient de naitre de la brume pour venir ramper sur son corps, pas loin d'une dizaine.

— « Que...? » Réussie-t-elle à articuler avant qu'une main jaunie ne se plaque sur sa bouche, la réduisant au silence.