Changements de vie pour Jessica 10

BÊTA PUBLIQUE

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Cette fois je ne peux pas m'empêcher d'objecter. J'attrape son bras et je le supplie. Je me moque même si la vendeuse du salon m'entend parler avec soumission au jeune latino.

- S'il vous plaît Monsieur pas ça! C'est trop! J'ai choisi un bronzage artificiel, pas des tatouages.

Puis, afin d'essayer de le convaincre, je roucoule :

- Vous ne voulez pas que votre petit animal soit mignon pour vous? Joli et immaculé?

Daniel ne répond pas à mes supplications. Il passe simplement sa main sous ma mini-jupe et effleure ma petite fente avec ses doigts. Instantanément mes jambes se mettre à trembler.

- Ooohhhhh.... Mmmmm ... Gémis-je à son toucher.

C'est tellement bon. Je crois que je pourrais jouir sur place. Les secousses de plaisir qui explosent dans ma chatte font des ravages en moi. Peu m'importe que la vendeuse du salon de bronzage me voir ainsi.

Daniel me chuchote alors à l'oreille :

- Tu veux quelque chose de moi? Bien salope, supplie-moi pour avoir un autre tatouage en bronzage!

Après ces mots, ses doigts disparaissent de ma chatte. Je gémis de déception. Je veux plus! J'ai besoin de sa grosse bite! J'ai besoin qu'il me baise et qu'il me laisse sucer sa grosse queue.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, laissez-moi avoir ce tatouage. Marquez-moi comme la pute de votre gang. Je suis fière de pouvoir porter la marque de votre gang.

Je rougis. Je suis pathétique et stupide, mais j'ai besoin de son sexe.

- Qui peut objecter à ça! Juste au-dessus de ta chatte, ça t'ira très bien! Répond Daniel, moqueur.

Une fois encore il passe sa main sous ma jupe et pose ses doigts sur ma fente.

- Ouuuiiiii! Dis-je en gémissant pour lui répondre.

Comment puis-je le croire? Daniel est sur le point de me marquer comme la pute de son gang. Du moins pour le reste de son stage. Je sombre dans l'humiliation et la gêne. Je crois que je ne peux pas être plus excitée qu'à ce moment.

Tout au long de notre échange, la vendeuse du salon de bronzage observe mon humiliation. Mais ça n'a pas d'importance. Une partie de moi-même veut que Daniel m'attrape, me retourne, me penche sur le comptoir et baise ma chatte devant elle pour qu'elle puisse me regarder avec dégoût et me traiter de pute facile. Bon sang! Mon excitation me monte à la tête.

Je me mords les lèvres et je regarde comment la vendeuse fabrique le motif, les trois lettres « LGZ » en vieux caractères anglais. Ensuite elle me conduit dans une cabine qui ressemble à une douche et me lance un regard suffisant en me regardant me déshabiller. Être totalement nue devant cette femme tout habillée me fait sentir sale et sans valeur. Je la laisse applique le premier motif dans mon dos. Il s'agit d'une sorte d'arc inversé. Puis elle applique le signe du gang au-dessus de mon entrejambe. Je grimace à chaque fois qu'elle pose un des pochoirs sur ma peau et je halète lorsque ma chatte me picote au même moment.

Je me sens complètement vulnérable quand finalement elle prend son pistolet et pulvérise mon corps. Elle répète l'opération trois fois, et à chaque fois, ma peau prend une teinte plus foncée. En sortant de la cabine, je me regarde dans le miroir. Daniel a choisi un niveau de couleur qui ne fait ni trop orange ni faux. Au lieu de ça, ma peau brille d'un bronzage artificiel qui a l'air vraiment bien.

En me retournant pourtant, je perds mon souffle. Au moment où je vois l'image d'un gros nœud pâle en ruban sur le bas de mon dos, je dois lutter pour garder mon calme. Le milieu du nœud est juste au-dessus de ma raie des fesses. Les boucles atteignent presque mes hanches. Et les bouts de ruban recouvrent la moitié supérieure de mes fesses. Comme mon haut blanc est trop court, le nœud devient visible à chaque mouvement.

Quoi que je porte les semaines suivantes, ce motif sera visible à chaque fois qu'il y aura un écart entre mon haut et ma jupe. Je devrais fait attention à chaque mouvement de ma part. Le signe du gang au-dessus de mon entrejambe ne me fait pas sentir beaucoup mieux. Au moins, à première vue, il n'est pas visible. Pourtant, il me suffit de baisser ma jupe de quelques centimètres pour le révéler.

Même si ces tatouages de bronzage ont l'air assez vulgaire et me donne l'impression d'être une pute, ils me provoquent une autre sensation étrange. La domination de Daniel a atteint un nouveau niveau. Il m'a officiellement qualifiée de pute du gang « LGZ » pour le reste de son stage maintenant. D'une certaine façon ça m'oblige à respecter mes obligations. Et puis, toute salope a bien une marque non?

Les trois « améliorations » choisies me semblent être des concessions mineures. Pourtant, ces petits changements ont un effet dramatique. Les longs faux ongles, les bijoux beaucoup trop claquants, le bronzage et les marques sur mon corps ne me font pas seulement ressembler à une bimbo écervelée, mais me font également sentir que je suis une vraie putain.

Tous ces achats me laissent sur les nerfs et complètement excitée. C'est si vicieux, mais aussi si radicalement différent de mes habitudes de faire les magasins que ça me plonge dans une frénésie sensuelle. Dans le feu de l'action, je suis presque sur le point de demander une autre « amélioration ».

Une fois nos achats terminés, Daniel se dirige vers la sortie de centre commercial. Ma peau bronzée brille, contrastant avec mon tatouage dans le dos, mes faux ongles blancs et mes hauts talons cliquetant sur le sol carrelé. Je n'aurais pas pu ressembler davantage à une salope de bimbo. A cette pensée, je cambre mon dos et je pousse volontairement ma poitrine en avant.

De retour à la voiture de Daniel, je suis pressée. Il est temps de rentrer chez moi et de me faire baiser la chatte. Cette pensée me fait presque baver.

Étonnamment, le latino me fait conduire sa vieille voiture rouillée. Mais l'esprit brouillé par l'excitation, je n'y fais pas vraiment attention. Mon cerveau a cessé de fonctionner, laissant la place à une envie effrénée de sexe. Mais bientôt, je découvrirai la raison pour laquelle il me laisse conduire. Pourquoi ne pas profiter du moment et laisser Daniel s'occuper des détails.

A suivre...

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

je connaissais l'histoire en anglais, mais bien traduite c'est un nouveau plaisir.

et ... c'est très sympa de mentionner l'auteur et le titre d'origine

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