Changements de vie pour Jessica 10

BÊTA PUBLIQUE

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- Tout va bien?

J'entends une vendeuse poser la question à Daniel. Je commence à paniquer. Mon cœur s'emballe. Et si la vendeuse vient vérifier ce qu'il se passe dans la cabine? Ça serait vraiment trop embarrassant.

Heureusement le visage du latino disparaît tandis qu'il entame une conversation avec la vendeuse. Il lui raconte des conneries sur le fait que sa petite amie est indécise quant aux tenues à choisir. Pendant ce temps je continue consciencieusement à frotter mon clitoris et à baiser ma chatte envieuse avec mes doigts. C'est tellement bon! Malgré l'environnement, je mouille tellement que mes doigts sont complètement trempés de mon jus. Je sens que je vais jouir. Fermant les yeux, je penche ma tête en arrière et je laisse échapper un gémissement. Je n'ai pas pu l'empêcher.

Mes yeux s'ouvrent brusquement et mon visage rougit quand je réalise que j'ai gémi de façon flagrante dans le magasin. Et si la vendeuse m'a entendu? Et si les autres clients m'ont entendu? Pendant quelques instants j'écoute attentivement. Les deux femmes de chaque côté de ma cabine continuent à bavarder et la vendeuse est toujours en conversation avec Daniel comme si de rien n'était.

C'est à ce moment que l'alarme de mon téléphone se déclenche. Les cinq minutes sont écoulées. Cependant, je ne peux pas dire si je suis heureuse ou triste que ça se termine. Je suis très excitée et très près de jouir. Cette humiliation publique et mon apparence de salope me montent à la tête. Je veux tellement jouir, mais je sais que je ne peux pas le faire.

Après avoir acheté plusieurs tenues dans les magasins, les deux voyous m'ont emmené dans un magasin de chaussures. C'est encore plus dégradant tandis qu'une jeune vendeuse s'occupe de nous. Je ne peux même pas décrire les regards condescendants qu'elle me jette lorsque les deux latinos lui disent ce qu'ils veulent alors que moi je reste silencieuse. Mon visage doit vraiment être rouge de honte.

Les gars choisissent une paire de chaussures claire et ouverte à talons hauts. Ces chaussures peuvent être qualifiées de « casse-gueule ». Ce sont de vraies briseuses de chevilles avec des talons de quinze centimètres et une minuscule pointe. En marchant dans le magasin, instantanément je sens une crampe se former sur mes mollets. Pour être honnête, je titube plutôt que je marche. Et je m'écroule presque la tête en avant.

- Peut-être un peu difficile pour toi! Je pense que tu as besoin d'entraînement, petite chatte. Dit Daniel pour commenter ma démarche bancale.

Je me force à répondre :

- Que je suis maladroite! Désolé bébé, laisse-moi faire encore quelques tours pour que je m'habitue.

Je fronce les yeux devant le commentaire du jeune latino et je grimace encore plus quand je remarque la réaction de la vendeuse qui reste bouche bée. Ce jeune gars, membre de gang parle de façon condescendante à une femme mûre. Et non seulement la femme accepte ça, mais sa réponse la fait passer pour une vraie bimbo idiote.

Tout en essayant le plus possible d'éviter le regarde de la vendeuse, je parcours plusieurs fois le magasin jusqu'à ce que je sois bien stabilisée. Mais avant que cela n'arrive, je dois vraiment paraître ridicule, car plusieurs fois je manque tomber en avant. Mais enfin, je me pavane devant Daniel et Garcia, ou plutôt je me faufile dans le magasin de chaussures.

Les talons extrêmement hauts ont un effet immédiat. J'ai l'impression de me promener tout en disant « regardez-moi ». Mes hanches se balancent d'un côté à l'autre et mes gros seins lourds rebondissent. Je me sens vraiment salope. Mais j'ai confiance en moi. Je ne peux même pas m'empêcher de regarder la vendeuse avec un sourcil levé de manière provocante.

- Ces talons font parfaitement l'affaire petite chatte. Garde-les!

Je m'arrête net et je regarde Daniel bouche bée de surprise. Je ressemble déjà assez à une totale salope dans mes vêtements étriqués. Avec ces talons, je vais ressembler à la pire des bimbos. Je lui lance un regard noir qui se transforme rapidement en regard suppliant. Mais en vain. Quelques minutes plus tard, je sors du magasin de chaussures sur mes nouveaux talons de quinze centimètres et le rouge au visage.

- Bon, les bases sont là Miss allumeuse. C'est maintenant l'heure de quelques retouches. S'exclame Daniel devant le magasin.

Il me regarde est dit :

- Il est temps pour toi de faire un choix, petite chatte. Une vraie salope doit bien paraître pour son homme n'est-ce pas? Alors il y a six améliorations à t'apporter. Tu m'écoutes?

Je hoche la tête et il continue!

- D'abord il te faut des ongles plus longs, de faux ongles qui vont te faire ressembler à mon actrice porno préférée. Deuxièmement, il te faut de grosses boucles d'oreilles pour un style latino. Troisièmement, des piercings dans ta chatte pour me faire plaisir. Quatrièmement un faux bronzage que l'on peut faire avec un aérosol. Cinquièmement, je veux que tes cheveux soient blonds décolorés pour mieux être ma bimbo personnelle. Et sixièmement, il te faut un collier et une laisse pour que l'on sache que tu es mon petit animal de compagnie bien obéissant.

Il ne peut pas être sérieux. Il veut que je change complètement mon apparence et pas seulement mes tenues. Des faux ongles? Teinte en blonde décolorée? Je ne pourrai jamais cacher ça au bureau. Et je ne pourrai pas l'expliquer à mes collègues. Je ne peux pas faire ça!

Daniel a un petit rire et continue :

- Comme je te l'ai dit, tu as le choix petite chatte. Tu dois en choisir trois sur six.

Ouf, je me sens presque soulagée par ses dernières paroles. Néanmoins ce sont des obligations incroyablement méchantes. Je ne veux pas changer de look! Pas de manière aussi humiliante! Et pas de manière permanente!

Je remarque que les deux membres du gang latino me regarde avec impatience. Je sais aussi qu'il faut que je prenne une décision. Je sais aussi que je ne peux pas m'en sortir. Je voudrais discuter et supplier, mais je sais que Daniel ne cédera pas. Ça ne fera que l'énerver et il m'infligera une punition désagréable. Je veux éviter ça.

Debout au milieu du centre commercial, je me sens impuissante. Combinée à la perspective de faire des choses aussi dégradantes, ça m'excite énormément. Mon esprit est en ébullition, mon estomac est noué et ma chatte électrisée. Comme Daniel l'a dit avec tant d'arrogance, chaque amélioration est mauvaise à sa manière. Une dirigeante d'entreprise ne peut pas porter de grandes boucles d'oreille ou des ongles longs et artificiels. Ça serait gênant et ça alimenterait les rumeurs au travail. Mais je pourrais m'en tirer. D'un autre côté il n'est pas possible que mes cheveux soient décolorés pour ressembler à une bimbo idiote ou que ma chatte reçoive des piercings.

- je... je... choisis... Commencé-je à bafouiller.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, laissez votre salope avoir une belle manucure et une peau joliment bronzée pour être sexy avec vous.

Je laisse finalement ces mots sortir de ma bouche, ma chatte me picotant à chaque « amélioration » choisie. Et je continue :

- S'il te plaît bébé, laisse-moi acheter de grandes boucles d'oreilles pour que je ressemble à une vraie pute de gang pour toi.

Je n'aime pas les décisions que je viens de prendre. Mais je crois que ce sont les trois moins mauvaises de toutes.

- Ainsi soit-il! Répond simplement Daniel en se retournant et en partant dans l'allée du centre commercial.

Une fois encore, je ressens la pointe d'humiliation qui vient de ma participation active à ma dégradation. Je viens de prendre une décision et je dois vivre avec.

Sur le trajet qui conduit au salon de beauté, les deux latinos marchent de chaque côté de moi. Soudain je sens Garcia mettre sa main dans mon dos. Ce geste inattendu me fait tressaillir. C'est pire que de se tenir la main. Nous ressemblons à un couple d'amoureux, moi la dirigeant d'entreprise hautement qualifiée et lui, le membre brutal d'un gang latino. Toutefois je réalise que les autres personnes ont une image différente, une bimbo assez âgée avec un jeune latino.

Je sursaute quand je sens la main de Garcia glisser sur mes fesses. Il pose sa main sur mon cul. Je l'enlève rapidement et je regarde par-dessus mon épaule pour vérifier si quelqu'un l'a vu. Je vois un homme âgé, les cheveux gris, les yeux collés à mes fesses. Il n'arrête pas de regarder jusqu'à ce que sa femme le pousse et l'entraîne. Elle me jette un regard méchant.

- Quelle salope! Probablement sur le point de ses faire fourrer par ses voyous.

Je l'entends murmurer. Ça me coupe le souffle et rend mes joues cramoisies.

Toutefois, des que j'ai enlevé la main de Garcia , je sens celle de Daniel se poser sur mes fesses. Il les caresse lentement. Je tends la main pour enlever la sienne, mais je m'arrête dans mon geste. Je n'ai pas le courage de le faire. Au lieu de ça, je le regarde d'un air suppliant et j'obtiens en réponse un sourire narquois en réponse.

Puis je m'arrête net.

Je sens un courant d'air frais sur mon cul. Daniel a attrapé l'ourlet de ma mini-jupe en jean et l'a soulevé. Le sang m'envahit la tête lorsque je réalise que mes fesses sont exposées et que tout le monde peut les voir.

Prise de panique, je regarde partout. Je vois un gros bonhomme d'âge moyen laisser tomber son sac de course sous la surprise. Il ne le ramasse pas, me regardant à la place. Mon estomac est en ébullition et mes nerfs sont à vifs.

Daniel tient seulement ma jupe en l'air pendant environ une minute. Pourtant je peux compter jusqu'à quatre hommes qui me détaillent avec des regards lubriques et deux femmes qui me jettent des coups d'œil remplis de dégoût. Mon visage est brûlant de honte.

Il me faut du temps pour retrouver mon calme tandis que les deux latinos continuent à parcourir le centre commercial comme si de rien n'était. Et d'une façon ou une autre, je me retrouve à vouloir que plus de femmes me jettent des regards dégoûtés, se moquent de moi, me traitent de façon vulgaire ou m'insultent. Il y a une sensation de luxure qui chatouille ma chatte à ces idées. Je me rends compte que ça fait partie de mon plaisir. J'ai presque envie que Daniel m'expose à nouveau. Je les rejoins et je me faufile entre les deux voyous.

Enfin nous atteignons le salon de beauté. Mais les gars décident de fumer à l'extérieur plutôt que m'accompagner.

- Souviens-toi petite chatte. Tu vas devoir choisir la couleur. Essaie de ne pas me décevoir. Me dit Daniel avant de partir.

Une heure plus tard, je sors du salon de beauté en me sentant complètement différente. L'esthéticienne m'a emmené dans ma tenue de salope et m'a expliqué toute la procédure comme si j'étais une bimbo simple d'esprit. De toute façon je n'étais pas d'humeur pour la convaincre du contraire. Je la laissais garder son impression.

Avant de choisir une couleur et un motif particulier, j'avais regardé tout le catalogue et je ne savais que prendre. Qu'attendait Daniel? Il voulait quoi pour rendre plus salope son animal de compagnie?

Je ne pouvais exagérer sans mettre en danger ma position dans mon entreprise. Donc, à la recherche d'une solution intermédiaire, j'avais opté pour des ongles simples avec des pointes blanches. Ils étaient un peu plus longs que ce qui convient à une femme d'affaires. Et comme je voulais que Daniel soit content, je lui vais fait rajouter un petit motif brillant, une fleur de pavot.

Une fois la manucure terminée, je m'étais rendu compte que l'art sur les ongles était élégant et donnait aux ongles longs un aspect assez spectaculaire. Mais ça faisait beaucoup plus voyant et salope que ce que j'avais initialement prévu.

Les deux latinos m'attendent devant le magasin. Bien sûr, il faut que je leur présente mes nouveaux faux-ongles pour qu'il puisse les inspecter au milieu de l'allée. Encore une exhibition publique qui me fait sentir comme une salope bon marché et stupide.

- Hé, le petit pavot est digne d'une star de porno. Commente Garcia.

Daniel acquiesce.

Pour la deuxième amélioration, nous allons chez un bijoutier pour acheter des boucles d'oreilles. Une fois encore, Garcia passe son bras autour de ma taille et me rapproche de lui. Je ne résiste pas.

En chemin, Garcia s'arrête pour jeter un coup d'œil dans une vitrine. C'est à ce moment que Daniel atteint la petite lanière de mon haut. Il l'attrape rapidement et la défait. Il a été trop rapide pour que je puisse réagir. Avant même de me rendre compte de ce qui se passe, mon décolleté en v s'ouvre en grand et mes seins sans soutien-gorge veulent s'évader.

Mon Dieu, c'est obscène! Mes énormes nichons ne sont plus vraiment retenus par mon haut et ma chair déborde de partout. Le décolleté est tellement ouvert que mon mamelon gauche est sorti. Je crois que je vais mourir de honte sur place et j'espère que le sol va m'engloutir.

A la hâte, je lève mes mains pour couvrir mes seins, mais les deux latinos arrêtent mon mouvement. Ils ont saisi chacun un de mes bras et les tiennent jusqu'à ce que je les laisse retomber à mes côtés. Je reste complètement exposée sans possibilité de me cacher.

Un groupe de quatre jeunes skateboarder s'est arrêté devant moi. Ils se montrent ma poitrine et murmurent entre eux. Pendant ce temps, comme si de rien n'était, Garcia et Daniel continuent de faire du lèche-vitrine, ne me laissant pas d'autre choix que de rester à côté d'eux et de continuer mon exhibitionnisme.

Les jeunes commencent à siffler dans le centre commercial. Ils se mettent à discuter de mes « grosses mamelles de vache » comme dit l'un d'eux. Ils prennent même des paris pour savoir lequel d'entre eux a le plus de chance de me plaire.

Bien sûr, leur agitation a attiré l'attention d'autres acheteurs. Je perds le compte de tous les regards et les coups de tête dédaigneux que je reçois alors que je me force pour afficher un sourire sur mon visage.

Et merde, ma figure doit être rouge de honte. Mais je n'en suis pas sûre.

Au moins je comble mon avis d'avoir des regards révoltés et des ricanements dédaigneux de la part des femmes, pensé-je sarcastiquement alors que ma chatte me picote sans pitié à chaque nouvelle remarque vulgaire que les jeunes skateboarder disent sur moi.

Mon Dieu, pourquoi mon corps réagit-il ainsi?

Une fois de plus, Daniel m'expose en public avec mon énorme poitrine pendant quelques minutes. Ça me semble une éternité. Quand finalement il m'ordonne de me tourner vers la vitrine et de remettre la lanière de mon haut en place, je ne suis pas loin de jouir simplement à cause de cet exhibitionnisme.

Le reste du trajet jusqu'au bijoutier, je ne peux pas m'empêcher de serrer mes jambes et de balancer mon cul à chaque pas. Je suis tellement excitée. La façon dont mon stagiaire m'a exposée et jouée avec moi en public a fait ressortir ma nature exhibitionniste. Il pousse tous les boutons, me laissant toujours en vouloir plus.

Une fois de plus, Daniel prend le contrôle dans la bijouterie et décide quels bijoux je dois acheter. Cette domination continue à envoyer des décharges dans mon sexe. Je veux qu'il décide comment je dois être pour lui. Après tout mon but est de bien paraître pour mon homme et de ne prendre aucune décision non?

Il choisit plusieurs types de boucles d'oreilles. Une paire en argent avec des cerceaux extra-larges, une autre paire avec des faux diamants scintillants, une paire en argent en forme de cœur et une paire en or avec double cerceau. Il choisit également des colliers assortis et plusieurs bracelets en argent.

Comme il l'a fait dans le magasin de chaussures, mon stagiaire m'ordonne de garder certains nouveaux bijoux sur moi. Je dois garder la paire de bouche d'oreille en forme de cœur en argent ainsi que six bracelets en argent à chaque poignet. Ça me donne un air particulièrement salope. Bien sûr, il va s'en dire que je dois payer tous les bijoux.

Sur le chemin du salon de bronzage, les bracelets argentés tintent au rythme de mes talons cliquetant sur le sol. Non seulement je ressemble à une vraie bimbo salope, mais je sonne comme telle.

- Ooohhhhh! Crié-je soudainement alors qu'un talon part de travers et que je tombe.

Au lieu de me retenir, Daniel me pousse sur le côté. Perdant l'équilibre, je tombe au milieu d'un groupe de cinq hommes. Ils ressemblent à une bande d'étudiants informatiques de grandes écoles, la vingtaine, avec de grosses lunettes et des tee-shirts sur lesquels sont écrits des slogans idiots. Je me dis qu'ils n'ont sûrement pas touché de filles depuis longtemps.

Pour éviter de tomber, je m'accroche à l'épaule de l'un d'eux. Il se démarque des autres par une longue queue de cheval grasse et une chemise noire. Quand il se retourne surpris, mes seins à peine couverts touchent son torse. Trébuchant toujours sur mes talons vertigineux, je me penche et je laisse remonter ma mini-jupe en jean. Je sens un souffle d'air frais sur mes fesses nues.

En me heurtant contre lui, l'homme à la queue de cheval me prend par les épaules pour me rattraper. A ma grande surprise, il profite pleinement de la situation, pressant ma grosse poitrine tout contre lui? Je sens mes mamelons durs frotter contre son corps, ce qui me fait involontairement grogner. Bien que cet étudiant n'ait pas l'air trop propre, je ne bouge pas. Bon sang, c'est trop bien, enfin quelqu'un qui touche mon corps excité!

Malheureusement, cette position inconfortable offre à ses copains une vue idéale de mon cul nu. Bien sûr tout de suite, ils en profitent et discutent de moi avec des mots salaces. Je suppose que tous les hommes sont les mêmes, qu'ils soient voyous, étudiants ou ouvriers. Remarquant leurs regards concupiscents, je me stabilise vite. Je ne veux pas faire de scène. Je ne veux pas aggraver la situation.

Pendant tout ce temps, l'homme à la queue de cheval me tient dans la position semi-penchée. Avant que je ne puisse attraper ma mini-jupe pour la redescendre sur mon cul, ses quatre amis ont saisi leur chance et se sont déplacés dans mon dos. Chacun d'eux a discrètement effleuré mon cul et ma chatte en passant.

- Mmmmm... mmmm... mmmm... grogné-je quand je sens le contact de leurs mains.

Je fais de mon mieux pour réprimer mes gémissements, mais je ressens une vague d'indignation lorsque les étudiants remarquent la moiteur de ma chatte. En toute hâte, je me suis excusée sans même regarder celui à la queue de cheval et je me suis évadée du groupe.

Alors que je continue mon chemin dans le centre commercial avec Daniel et Garcia à mes côtés, j'entends le groupe de cinq étudiants rigoler et se taper dans la main. A ce moment je réalise que je me suis exhibée devant un groupe de latino de gang, des skateboarders et des étudiants informatiques. Je crois que je suis devenue une couguar salope pour tous les garçons plus jeunes n'est-ce pas?

Quand nous arrivons au salon de bronzage, Daniel et Garcia décident de m'accompagner à l'intérieur. En approchant de la femme qui tient le salon, Daniel prend les choses en main, me laissant silencieuse à côté de lui comme une bimbo obéissante.

Il explique ce qu'il veut et j'en perds presque mon souffle. Il ne veut pas un simple bronzage. Au lieu de ça il choisit des motifs de bronzage pour moi. Qu'est-ce qui peut faire plus salope que ça?

Ce macho choisit un dessin assez grand, mais qui me paraît minable. Il s'agit d'un gros nœud en ruban.

- c'est parfait comme marque pour une traînée n'est-ce pas? Demande-t-il à Garcia.

- Non ça ne l'est pas! Je veux crier, mais je ne laisse échapper qu'un grognement de frustration. Mon stagiaire est sur le point de me faire marquer par un bronzage artificiel. Il est en train de transformer mon corps en image de traînée bon marché.

Je veux protester, mais je ne peux pas. Après tout c'est moi qui aie choisi le bronzage artificiel. C'est moche , mais ce n'est pas permanent et ça sera dissimulé au bureau. Tout du moins, c'est comme ça que j'essaie de rationaliser.

Cependant j'ai une autre surprise. Daniel veut que je me fasse tatouer avec le bronzage une autre marque. Mais le salon n'a pas le modèle ou l'image voulue. Néanmoins, le latino peut facilement leur apporter son aide en montrant simplement un tatouage sur son bras musclé.