Florence de Femme Mariée à Callgirl 05

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Les servantes nous préparent à une après-midi de sexe.
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EMILIEDAN
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Françoise et moi, totalement nues sous nos voiles transparents, attendions l'ouverture de cette double porte.

Nous savions qu'elle nous plongerait dans une après-midi de luxure et de soumission au service du Maître des lieux.

Marc était à des kilomètres, bien loin de se douter que sa jolie femme et moi, étions à présent soumis aux désirs sexuels les plus fous du Maître de Sofiane.

LA DERNIÈRE TOUCHE DES SERVANTES

Il était 14 heures lorsque la sonnerie du téléphone nous faisait sursauter. L'une des femmes qui nous avaient massées, décrochait :

« Oui Maître je vous écoute. » ... « Très bien Maître je comprends, nous les préparons immédiatement. A peine raccrochée, elle s'adressait à nous

-- Mesdames, je vous prie de bien vouloir reprendre place sur les tables de massage.

Françoise lui demandait

-- Que se passe-t-il madame

-- Le Maître nous demande de vous préparer pour les relations.

-- Les relations ? De quoi parlez-vous

-- Madame s'il vous plait, ne me mettez pas dans l'embarras et obéissez. Vous et Florence Quittez vos robes voiles et allongez-vous. Tout va bien se passer.

Nous étions maintenant nues allongés sur les tables de massage.

Je tournais la tête vers Françoise au moment où ses deux masseuses se saisissaient de ses poignets, et les menottaient rapidement aux petits anneaux qui de part et d'autre de la têtière qui soutenait sa nuque.

Mes deux masseuses me gratifiaient du même privilège. Françoise gigotait ses jambes en hurlant après les deux jeunes femmes

-- Que faites-vous, vous êtes folles, détachez-nous immédiatement, c'est compris !

-- Madame Françoise, je vous conseille de nous laisser faire notre travail. Vous nous éviterez d'appeler les serviteurs pour vous calmer.

-- Françoise, calme toi. Tu sais très bien que ça ne sert à rien.

Je regardais à nouveau les masseuses de Françoise.

A présent, je savais que j'allais avoir droit en coordonnées et dans l'instant au même traitement de la part de mes masseuses.

Une musique sensuelle et délicate était à présent diffusée dans la pièce.

Les mains des jeunes femmes massaient les seins volumineux de Françoise. Elles se penchaient et lui suçaient les mamelons qui pointaient à présent vers les miroirs du plafond. Leurs mains caressaient de concert son ventre plat.

Leurs doigts caressaient à présent son entre-jambes. Il titillaient son clitoris et en même temps taquinaient son anus qui frémissait sous ces doigts experts.

Tout comme mon amie, subissant le même traitement, ma chatte s'humidifiait. Ma respiration s'accélérait et je délivrais de petits gémissements qui enchantaient mes masseuses.

Dix minutes plus tard nos chattes s'ouvraient aux doigts qui s'agitaient avec frénésies dans nos vagins. De la même manière, nos anus, réceptifs aux caresses diabolique de nos masseuses, s'ouvraient lentement.

Françoise haletait et j'entendais faiblement sa voix

-- « Comme c'est bon, c'est doux, c'est chaud » « Ces filles sont formidables ».

Nos expertes venaient de plier nos jambes amenant nos genoux sur nos seins.

Elles immobilisaient nos genoux à l'aide une longue lanière de satin qu'elles attachaient à nos menottes.

Elles avait tiré au maximum sur ce lien, ramenant nos genoux sous nos mentons et c'était autour de nos cuisses d'écraser nos seins.

Cette position avait pour effet d'avoir carrément décollé nos reins de la table. Et nos culs à présent étaient relevés au maximum vers le plafond.

Nos expertes nous glissait sous les reins un gros oreiller moelleux.

-- Florence, d'après toi, que vont-elles nous faire à présent ?

-- Je n'en sais rien Françoise.

LES OBJETS DE PLAISIRS

Les jeunes femmes souriaient. A présent, elles ouvraient le large tiroir d'un meuble chinois qui se situait derrière elles.

Nous entendions des bruits, des cliquetis, mais impossible de voir ce qu'elles manipulaient. Tout en continuant à nous tourner le dos la responsable nous interpellaient :

-- Maintenant mesdames que vous avez bien mouillées. Nous allons vous préparer, pour le plaisir des hommes qui vous attendent avec impatience.

-- Nous préparer pour les hommes ! Florence qu'est-ce que ça veut dire.

-- Je n'en sais rien Françoise mais détends-toi.

Nos masseuses à présent nous faisaient face. Dans la main droite elles tenaient un énorme plug anale. Dans la main gauche un long et gros sextoy imitant à la perfection un phallus.

Françoise à la vue de ces Olibos, se mettait à hurler

-- Non non non, pas ça, je vous en prie, ne faites pas ça. Vous ne pouvez pas faire ça

-- Si vous persistez, j'appelle les serviteurs. C'est ce que vous souhaitez !

-- Non pas eux, pas eux.

Les filles nous introduisaient lentement le plug anal.

Notre anus s'élargissait pour laisser passer la partie la plus enflée de l'objet.

A présent, il était totalement aspiré et se calait au plus profond de notre intimité anale.

C'était au tour de l'énorme phallus de pénétrer nos chattes. En moins de trois minutes nos masseuses faisaient disparaître ses vingt deux centimètres au fond du vagin en écartant les lèvres de nos chattes des quatre centimètres de diamètre de l'Olibos.

D'une main, les filles à présent, nous gratifiaient de petites claques sur les fesses.

De l'autre main, elles nous branlaient alternativement la chatte et le cul à l'aide de ces objets de plaisirs.

L'APPEL A NOS FANTASMES

Elles chuchotaient aux oreilles de Françoise

-- Madame, des dizaines d'hommes de leurs sexes vont te pénétrer la chatte, d'autres t'enculeront. Ils te pénétreront la gorge également.

-- Non pas ça c'est impossible, laissez-moi, pourquoi faites-vous ça.

-- Chut regarde comme ta chatte ruisselle, je te sens t'ouvrir à ce sextoy et tu frémis à chacun de mes mots. Imagine ces hommes qui poseront leurs glands sur le bout de tes seins.

À chaque mot de chaque phrase, ces masseuses diaboliques caressaient le bout de nos seins avec le gland humide du gode qu'elle sortait nos vagins ruisselants.

Nous gémissions, nous laissant parfois aller à crier le plaisir que nous ressentions.

Elles reprenaient alors leurs caresses et leurs murmures stimulaient nos fantasmes les plus secrets.

-- Françoise, écoute-moi, je sais que ce matin déjà tu as eu des orgasmes.

-- Non, taisez-vous, taisez-vous, je ne veux plus vous entendre.

-- Chut ma belle, au plus profond de toi, je sais que tu voudrais que ton mari te regarde faire jouir ces hommes.

-- Taisez-vous, c'est faux, ce n'est pas possible.

-- Si ma belle c'est vrai. Imagine montrer à Marc quelle femme tu es vraiment, comment il serait fier de te voir dominer ces dizaines de sexes. Les faire éjaculer dans ton anus, sur tes seins, remplir ton puits d'amour et ta douce bouche.

Tu sais que c'est vrai, au plus profond de toi tu le sais. Et tu jouis.

-- Non, je ne veux pas, non.

-- Mais si et ce moment arrive, il est là derrière cette porte et tu le sais. Des dizaines de queues bandent pour toi. Je sais que tu rêve de lécher leurs grosses couilles.

-- Non taisez-vous

-- Certains te feront lécher leurs anus et tu le feras, tu plongeras au plus profond de tes fantasmes.

Tu te régaleras de ces jeunes puceaux qui vont te baiser tout autant que de leurs pères ou leurs grands-pères. Tous te ferons jouir dans les positions les plus folles.

Nous étions pantelantes, nos tourmenteuses libéraient nos chattes et nos anus.

Nous ruisselions du plaisir qu'elles nous avaient prodigué.

Détachées, elles nous aidaient à remettre nos robes voiles, et nous invitaient à chausser nos escarpins.

Silencieuses, elles nous guidaient vers l'immense porte qui allait s'ouvrir sur un après-midi de luxure.

Cette après-midi allait bouleverser notre destin sexuel. Mais nous ne le savions pas encore.

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2 Commentaires
Franck35Franck35il y a 11 mois

A quand la suite contrat ou pas récit au top et bien écrit

AurailiensAurailiensil y a 11 mois

Prêts nous aussi pour commencer cet après-midi qui s'annonce sans limites

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