Changements de vie pour Jessica 09

Informations sur Récit
Encore et encore soumise sur mon lieu de travail.
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Partie 9 de la série de 25 pièces

Actualisé 01/08/2024
Créé 07/28/2021
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Je remercie Cathartico de m'avoir permis se traduire son histoire "Jessica's Change Management" que vous pouvez trouver sur la partie anglophone de ce site.

*******

Encore et encore soumise sur mon lieu de travail

*** Semaine 2 *** Mercredi ***

Le lendemain matin je reçois un SMS de Daniel pendant que je m'habille.

« Tu ne veux pas que j'abîme une deuxième tenue? Alors tu ne mets pas de soutien-gorge. Et tu montres ton décolleté comme il convient à une pute de bureau. »

Je m'étouffe et j'ai du mal à reprendre ma respiration après la lecture du message. N'est-ce pas suffisant qu'il utilise sa supérieure comme une salope au travail? Doit-il être aussi vicieux? Jusqu'où va-t-il aller?

Malgré mes réticences, je sens l'effet du message autoritaire sur moi. Ça enclenche ma nature soumise, ce qui me rend folle furieuse. J'ai l'impression de me trahir. Il ne faut pas que je tombe dedans une fois de plus. Je dois rester forte cette fois.

Donc, malgré mon esprit en ébullition, j'obéis à Daniel. Je ne suis pas enthousiaste à l'idée de ne pas respecter la règle numéro 1 une autre fois. Alors j'oublie l'idée de porter un soutien-gorge ou une culotte. Au lieu de ça, je mets un chemisier soyeux noir, une jupe crayon brune m'arrivant aux genoux, une paire de bas assortis et une élégante paire de chaussures couleur caramel avec bouts ouverts et talons de dix centimètres.

Je me tourne devant mon miroir pour m'assurer que ma tenue soit suffisamment décente pour le bureau tout en respectant le règlement de mon tourmenteur. Comme il me l'a ordonné, je laisse les deux boutons supérieurs de mon chemisier ouverts. Le tissu n'est pas transparent donc, à première vue, on ne peut voir que je n'ai pas de soutien-gorge. A vrai dire, ma tenue est très ajustée mais reste élégante.

Cependant, je me sens à peine habillée. Le chemisier est ouvert et offre un beau décolleté à chaque fois que je me penche un peu. A chaque mouvement de ma part, mes seins bougent et me rappellent que je ne porte pas de soutien-gorge. Je me sens vraiment comme la Pute de Bureau que Daniel veut que je devienne.

Pendant tout le chemin du travail, mon cœur bat si fort dans ma poitrine que je sens mes nichons se tendre contre le chemisier noir soyeux. Je redoute de rencontrer mes subordonnés. Vont-ils remarquer le soutien-gorge manquant? Je crois que je ferais mieux de ne pas y penser.

En arrivant au bureau, je passe d'abord prendre un café. Le claquement de mes talons sur le sol m'accompagne dans le couloir, un son auquel je me suis habituée maintenant. Bien sûr je ne passe pas inaperçue. Une fois de plus, tous les stagiaires me détaillent quand je passe devant leur bureau. Je vois que Daniel est là aussi et je sais qu'il va vouloir inspecter ma tenue.

Sans penser à rien d'autre, j'entre dans l'espace des stagiaires après avoir pris mon café. Mieux vaut terminer cette inspection au plus tôt n'est-ce pas? Inconsciemment, je commence à bouger mes hanches tandis que je me dirige vers le bureau de Daniel. J'ai l'impression de faire de la publicité pour mon corps. Pendant tout le trajet, je sens les yeux des autres stagiaires posés sur moi, me déshabillant du regard.

Je m'arrête devant Daniel. Heureusement les cloisons me protègent du regard des autres stagiaires. Je me penche en avant pour ouvrir mon décolleté et laisser le latino me regarder de la tête aux pieds. Ensuite, je pose mon pied gauche sur sa chaise, juste entre ses jambes, et je relève ma jupe. De cette façon, il a une vue dégagée sur ma chatte imberbe sans culotte.

Daniel passe la main le long de mes bas noirs. Il est presque sur le point d'atteindre ma chatte. Il est déjà palpitant d'excitation. Dire que la journée vient juste de commencer. Je ferme les yeux pour me préparer à ce contact que je désire ardemment. Mais ça n'arrive pas.

Quand il atteint le haut de mon bas droit, ce macho passe simplement la main sur mon bas gauche. Il évite complètement ma chatte et fait glisser sa main sur ma cuisse gauche. Je suis sur le point de soupirer bruyamment, je suis tellement déçue. Mais heureusement je ne le fais pas. Je ne veux pas savoir comment les autres stagiaires pourraient réagir.

Étonnamment, je ne vois pas Daniel le reste de la matinée de travail. Je suis totalement confuse. Qu'en est-il du défi quotidien au bureau? A-t-il oublié? Je ne crois pas, quelle idée ridicule! Est-ce qu'il en a marre de son animal de compagnie? Ça serait une chance inespérée! Cette idée idiote me cause malgré moi une pincée de tristesse. A-t-il révélé notre secret de bureau à quelqu'un? Bon sang, quelle pensée! Ça me fait presque m'évanouir de peur.

De seconde en seconde, je deviens de plus en plus nerveuse. Et finalement, je suis si anxieuse que je prends mon téléphone pour appeler le bureau des stagiaires et demander que Daniel monte dans mon bureau. Mais la partie rationnelle de mon esprit m'arrête avant que je le fasse. J'ai envie de me gifler. Quelle sorte de salope soumise suis-je devenue?

Je ne vais pas ramper devant Daniel pour qu'il abuse de moi! Sois respectueuse envers toi ma fille!

Puis vient l'heure du déjeuner et je n'ai toujours pas vu le latino. J'ai du mal à rester assise. Mon regard se dirige maintes fois vers le bracelet en argent avec la petite règle. A chaque fois que je me surprends à regarder ce symbole de ma douleur et de mon plaisir, je me rabroue. Reprends-toi ma fille!

Cependant je ne peux pas m'en empêcher. Mon esprit se remémore l'utilisation de ma règle de bureau qui a abouti à un furieux orgasme. Plus j'essaie d'oublier cet instant, plus je me sens excitée. Ce symbole de ma soumission me rend folle.

Toc Toc!

Quelqu'un frappe à ma porte et me tire de mes pensées. Je sursaute et tombe presque de ma chaise. Mon Dieu, J'ai rêvassé tout en regardant mon bracelet et je me suis caressée les mamelons à travers mon chemisier. Celui-ci est tout de travers. Qu'est-ce que j'ai foutu?

Peut-être qu'il s'agit enfin de Daniel? Peut-être est-ce le moment du défi au bureau? Une fois encore je me maudis d'espérer que ce soit mon tourmenteur. Et puis Daniel n'a jamais frappé à ma porte. Ce n'est sûrement pas lui.

Et si c'est une des secrétaires comme Michelle KEELAN? Et si elle remarque que je ne porte pas de soutien-gorge? Les commérages vont se répandre à la vitesse de l'éclair. Et s'il s'agit d'un de mes employés? Il perdra tout respect pour sa patronne. Et si c'est O'BANNON le directeur général de la société? Il va reconsidérer mon ambition de devenir son successeur. De toute façon toutes les possibilités sont mauvaises. J'en viens à prier que ce soit Daniel malgré mes résolutions.

Le coup sur la porte semblait urgent et indiquait que la personne était sur le point d'entrer dans mon bureau d'une seconde à l'autre. A la hâte, j'ouvre des dossiers sur mon bureau pour paraître occupée et j'ajuste mon chemisier du mieux que je le peux. Je ne peux rien faire de mieux car il est trop tard. La porte s'ouvre et Damon, l'un de mes subordonnés entre.

- Bonjour! Je peux vous interrompre? Me demande-t-il gaiement en voyant que je ne lui parle pas.

Ouf! Je viens de réussir à éviter le scandale. Je n'ose pas imaginer la réaction de mon subordonné s'il m'avait vu me caresser les seins.

Mais ma tenue semble l'intéresser. Son regard se pose immédiatement sur mon chemisier et il voit mes tétons essayer de transpercer le tissu soyeux noir. Il n'y a pas moyen que je cache que je ne porte pas de soutien-gorge. C'est évident et je suis gênée. Je ne sais pas comment faire pour le cacher et je rougis de honte.

Mon subalterne fait de son mieux pour ne rien laisser paraître. Rapidement il me parle de l'avancement de son projet et me pose des questions sur des problèmes en suspens. Je lui réponds le plus rapidement possible. Toutefois il nous faut du temps pour trouver des solutions appropriées aux problèmes. Il s'assoit de l'autre côté de mon bureau pour me montrer le travail qu'il a déjà accompli. Je sens bien qu'il n'arrête pas de lorgner ma poitrine. Et sans m'en douter, je lui donne toutes les chances de voir mon décolleté.

Damon me demande de vérifier certaines choses. Mais au lieu de me donner les documents, il les place de son côté du bureau. Automatiquement je me penche pour les voir. C'est alors que je m'aperçois que cette position, penchée en avant, a presque fait sortir mes gros seins sans soutien-gorge de mon chemisier. Damon a droit à la vue complète de ma grosse poitrine.

Et merde, mes subordonnés sont exactement le même genre de salaud que Daniel.

Je suis sur le point de lui crier dessus. Je suis sur le point de décharger toute ma frustration sur lui. Mais je me calme à la dernière seconde. Ça ne ferait qu'attirer plus d'attention. Et on se poserait des questions sur ma tenue. Je dois subir ses regards lubriques comme si je ne m'en rendais pas compte.

Damon pose question après question. Il est clair qu'il cherche à gagner du temps pour continuer à lorgner mes seins. Et cette attention n'améliore pas l'état de mes mamelons. Au lieu de ça, ils continuent à pointer sous mon chemisier devant le regard de l'homme. Je suis sur des charbons ardents.

Enfin, Damon est à court de questions et je peux lui demander de partir. Je soupire profondément de soulagement quand il a quitté le bureau. Bon sang, j'ai besoin d'un café bien fort maintenant. Je regarde l'horloge et je me rends compte que la journée est presque terminée. Je n'arrive pas à y croire. Je n'ai pas réussi à faire le moindre travail dans la journée. Et Daniel n'est même pas venu pour me soumettre le défi du jour.

Cependant les choses vont changer. Avant que je puisse essayer de travailler, ma porte s'est à nouveau ouverte. Et cette fois on n'a pas frappé. Bien sûr, il s'agit de Daniel.

- Héhé! Tu as vraiment excité ton collègue n'est-ce pas?

Il se moque de moi en guise de salutation.

- Mais je comprends! Tu fais juste ton travail de Pute de Bureau n'est-ce pas?

Furieusement je lui lance un regard acéré, mais je ne dis pas un mot. Il n'y a rien à dire. Quoi qu'il en soit, c'est mieux que ce soit Daniel qui entre dans mon bureau plutôt qu'un des employés de la société. C'est déjà assez grave que l'un deux se soit rendu compte que je ne porte pas de soutien-gorge.

Mon me demande en rigolant :

- Tu attends ton défi journalier? Montre-moi ta chatte!

Avec un soupir agacé, je me lève et je m'arrête devant le latino. Une fois de plus je me retrouve à retrousser ma jupe caramel sur mes hanches et à lui présenter ma chatte nue.

- Votre animal de compagnie est prête pour le défi Monsieur Daniel. Dis-je en serrant les dents et en forçant sur le Monsieur Daniel.

Dans cette posture de soumission, je ressens immédiatement le besoin de tomber sous le charme dominant du garçon. Mais je résiste. Je ne céderai pas! Pas cette fois!

- Tu mouilles déjà comme une vraie salope non? Ajoute-t-il en s'approchant de moi.

Mes joues deviennent rouges de colère. Je ne veux pas qu'il ait raison mais c'est vrai. Je n'ai pas pu me concentrer sur quoi que ce soit lié à mon travail en attente de ce moment et mon excitation s'est amplifiée.

Bien que sa présence dominatrice m'enveloppe, je soutiens son regard. Daniel réagit en mettant sa main entre mes jambes. Forçant pour écarter mes cuisses, il passe sa main sur ma fente et sonde ma chatte avec un doigt.

- Exactement comme je l'ai dit! Une vraie salope! S'exclame-t-il en tenant son doigt humide devant mon visage.

Je ferme les yeux devant cette preuve. Non, non, non, je ne suis pas une salope! Je suis une femme d'affaires respectée prise dans un chantage par un stagiaire. Cependant, que cela me plaise ou non, l'attention de mon subalterne avait rendu mes mamelons bien durs et mon entrejambe humide.

Quand j'ouvre les yeux, Daniel est devant moi, la règle en bois à la main. Un frisson de froid me parcoure la colonne vertébrale, autant par peur de recevoir une autre raclée sur le cul que par l'anticipation de me faire frotter le clitoris. Le garçon ne perd pas de temps et pousse la règle entre mes jambes pour la poser sur ma fente.

- Ooooooohhhhh... Gémis-je.

Je ne peux pas m'en empêcher. La longue attente durant cette journée de travail, l'attention que m'a porté Damon mon employé, la domination de Daniel m'embrouille mes pensées. Je ne peux plus le supporter. Au moment où la règle en bois touche ma chatte, ma volonté de résister est brisée. La femme d'affaire respectable est partie. Je ne peux que me mordre les lèvres pour réprimer mes gémissements et profiter du plaisir.

Je commence à bouger mes hanches d'avant en arrière pour me frotter sur la règle. Ma tête est remplie de la seule idée d'avoir du plaisir. Je suis tellement excitée que mes jambes tremblent.

- Veux-tu jouir petite pute de Bureau? Dis-moi à quel point tu as envie de jouir mon petit animal de compagnie! Supplie-moi!

Daniel me taquine méchamment. Mais je suis au-delà de la raison. Peu importe que je sois dans mon bureau ou non. Peu importe que ce soit un stagiaire. Un interrupteur a basculé en moi, me transformant en salope totale. Debout dans mon bureau, ma jupe retroussée à la taille, les jambes écartées, je me frotte sans vergogne sur une règle en bois. Pour le moment j'ai trop besoin de jouir pour me sentir gênée.

- Mmmmm... Ouiii... Amusez-vous avec votre bimbo Monsieur! Oooohhh... Merci! Monsieur, faites jouir votre animal de compagnie! Ooohhh... Ouiii..

C'est tout ce que j'arrive à dire. J'ai tellement le vertige que j'arrive à peine à tenir debout.

CLAC!

La règle en bois atterrit sur ma fesse droite avec un violent claquement.

- Tu dois gagner ton orgasme salope! C'est trop tôt maintenant! Grogne Daniel.

En réponse je sanglote, plus frustrée par le refus soudain que par le coup qui me brûle encore la fesse. La règle n'est plus sur mon clitoris. Alors j'agis sur un coup de tête, sans réfléchir, et je tends la main droite pour toucher mon petit bouton.

CLAC.

Un autre coup sévère tombe sur mon cul, rougissant ma fesse gauche. Puis Daniel me frappe la main et me regarde d'un air ennuyé et désapprobateur.

- Tsssss! Et l'obéissance Miss Pute de Bureau!

Il me gronde comme une écolière.

- Si tu continues tu ne seras pas autorisée à jouir. Tu es ici pour me servir avant tout. Si je ne suis pas satisfait de toi, je ne te laisserais pas jouir.

- Oui Monsieur! Merci monsieur! Répondis-je la tête pendante.

J'ai honte du fait que je ne peux pas jouir avant d'avoir servi ce macho arrogant. Il me fait comprendre une fois pour toute que je suis bien son animal de compagnie.

- Es-tu prête pour ton défi, petite salope de bureau? Demande-t-il avec son sourire prétentieux.

Et il ajoute :

- mais ta tenue est encore trop stricte pour une pute de Bureau.

Mon cœur manque s'arrêter quand il fait référence à mon habillement. L'excitation est remplacée par de la nervosité. Je ne porte ni soutien-gorge ni culotte déjà. Il me semble que je fais assez salope non?

- Tu ne montres pas assez de chair pour une Pute de Bureau. Ce décolleté nécessite plus de boutons ouverts que fermés. Déclare-t-il sur un ton neutre.

Je baisse la tête pour me regarder et j'avale ma salive. Mon chemisier soyeux noir a cinq boutons au total. Les deux supérieurs sont déjà ouverts et je me sens déjà à peine habillée. Le troisième bouton est au niveau de mes tétons. Quand je le défais avec mes doigts tremblants, le tissu soyeux s'écarte instantanément. Mon Dieu, mes nichons sans soutien-gorge sont sur le point de tomber. Mon chemisier ouvert révèle un décolleté vertigineux, mes mamelons étant presque visibles. De cette façon j'affiche sans vergogne ma poitrine à tout le monde.

- une Pute de Bureau devrait toujours porter une jupe de bimbo tu ne penses pas?

Avec un petit rire, il continue :

- Tu sais bien, Une bonne jupe de bimbo arrive seulement a mi-cuisse au maximum. Tu ne crois pas?

Oh non! Pas ça aussi! Je voudrais protester. Je me sens déjà comme une salope à moitié nue. Le décolleté actuel est complètement inapproprié au travail. Cependant je me suis jurée de ne pas supplier. Je ne donnerai pas cette satisfaction à mon stagiaire.

Pendant quelques secondes nous nous sommes regardés dans les yeux, les miens lançant des éclairs. Je ne fuis pas son regard, même si je sens une vague de soumission me traverser. Finalement, j'attrape l'ourlet de ma jupe caramel et je la relève jusqu'à couvrir à peine la moitié de mes cuisses. J'utilise quelques épingles de bureau pour fixer l'ourlet dans cette position tout en fixant Daniel. Mon Dieu, je n'ai jamais porté une jupe aussi courte au bureau.

J'avais perdu toute raison quand ce voyou avait frotté mon clitoris avec la règle. Mais maintenant j'ai retrouvé mon calme. Je veux lui faire savoir qu'il ne m'a pas encore totalement soumise. Cependant Daniel ne semble pas impressionné. Il sort de sa poche deux sacs en plastique transparent et s'exclame :

- Regarde ça! J'ai préparé un petit quelque chose que tu vas aimer. Et tu vas avoir le choix salope.

Mon regard change de l'obstination à la confusion alors que mes yeux passent du sourire arrogant aux sacs en plastique. Il y a des papiers pliés à l'intérieur. Mais je n'ai absolument aucune idée de ce que mon stagiaire prépare,

- Le défi d'aujourd'hui est basé sur une loterie. Tu vas choisir où ça va se passer. M'explique Daniel.

Puis il me donne les détails :

- Peut-être que ce sera ton bureau. Peut-être que ce sera les toilettes. Peut-être la salle de photocopieuse ou la salle de pause. Çà dépend de toi. Peut-être vas-tu t'en sortir avec une simple fellation, une baise de ta chatte, ou alors un enculage bien violent. Nous allons voir.

Comprendre sa loterie de salope me coupe le souffle. Jusqu'où veut-il aller?

La salle de photocopieuse?

Elle est à l'étage en dessous, juste à côté du bureau de stagiaires qui est bien occupé.

Les toilettes?

Il s'agit d'un lieu où il y a un va-et-vient constant de tous les employés de la société.

La salle de pause?

C'est une pièce sale et minable au sous-sol qui n'est utilisée que par les stagiaires.

Nous ne serons en sécurité dans aucun de ces endroits. N'importe qui pourra nous surprendre et nous voir. Est-ce qu'il devient fou? Ou veut-il seulement me faire peur? Ça ne lui a pas suffi que nous nous fassions presque prendre hier? Doit-il pousser notre chance plus loin?

- Tirage au sort salope!

Le jeune latino martèle son ordre avec impatience, insistant bien sur chaque mot.

Mes doigts tremblent follement pendant que je glisse la main dans le premier sac en plastique et que j'y prends un papier plié. Sortant ma main, je remets le mot à Daniel. Il le déplie en exagérant bien ses mouvements pour me narguer.

- Et le choix est... Une pipe! Tu vas avoir la tâche facile Miss Pute de Bureau.

Honnêtement, je ne peux que partager son opinion. Une fellation sera rapide et facile. Au moins j'ai encore un peu de chance. Je mets ma main dans l'autre sac et j'en sors un autre papier plié.

- Taddadada... ce sont....

Daniel fait une pause pour augmenter ma nervosité.

- Les toilettes!

Non, non, non! Merde! Fini ma chance! Bien entendu, le meilleur choix devait être suivi du plus mauvais. Tandis que je maudis ma malchance? Daniel a un grand sourire qui va d'une oreille à l'autre. De toute évidence c'est le tirage qu'il voulait.

- Allons-y! Suis-moi Miss Pute de bureau! Demande-t-il avec impatience.

Avant que je ne comprenne ce qui se passe, il est sorti de mon bureau et m'attend dans le couloir. Je dois me préparer à y aller. Je n'arrive pas à m'imaginer de sucer mon jeune stagiaire dans les toilettes. C'est tellement vicieux comme idée.

Mais au moins, les réunions sont terminées pour aujourd'hui. Comme seuls, O'BANNON, ORTEGA et moi avons des bureaux à cet étage, les toilettes doivent être désertes à cette heure de la journée. Secouant la tête avec résignation, je suis finalement Daniel hors de mon bureau.

trouchard
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