Changements de vie pour Jessica 10

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Courses au centre commercial.
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Partie 10 de la série de 25 pièces

Actualisé 01/08/2024
Créé 07/28/2021
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Je remercie Cathartico de m'avoir permis se traduire son histoire "Jessica's Change Management" que vous pouvez trouver sur la partie anglophone de ce site.

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Courses au centre commercial

*** Semaine 2 *** Samedi ***

Nous sommes samedi matin. La sonnerie de mon réveil vient de retentir. Ce n'est pas un week-end ordinaire, car je préfère faire la grasse matinée d'habitude. Et je suis certaine que ça ne va pas être un week-end ordinaire. Daniel doit venir pour m'emmener au centre commercial. Donc je dois me préparer. Il ne m'a pas dit ce que nous allons faire là-bas. Mais c'est sûr que je dois l'accompagner.

Tandis que l'eau chaude de la douche coule sur mon corps, je me remémore les faits de la semaine dernière. Après que Daniel m'ait transformée en Miss Pute de Bureau et m'ait soumise à deux défis, j'étais en déplacement le jeudi et le vendredi. Pour être honnête j'étais contente. Les histoires au bureau avec Daniel avaient été trop osées et m'avaient laissée épuisée émotionnellement. Je savais que je n'aurais pas pu continuer longtemps.

Malgré ma gêne et ma honte, j'avais continué à suivre les règles du jeune latino pendant mon absence. Toutes les trois heures je prenais une pause de cinq minutes. Je m'enfermais dans les toilettes et j'appelais mon stagiaire sur son téléphone portable, puis je jouais avec mon clitoris tout en gémissant sans vergogne dans mon mobile. Mais mon tourmenteur ne m'a jamais laissé jouir. Je suis toujours restée excitée et étourdie. C'était vraiment frustrant, car tous mes sens étaient exacerbés et chaque contact léger suffisait à m'exciter, rendant ma concentration sur mon travail très difficile.

Cette hypersensibilité est ce que je ressens à ce moment même sous la douche. Après deux jours d'excitation constante, je suis sur le point de supplier ce voyou macho de me laisser jouir. J'en ai tellement besoin, ma chatte me picote et me rend folle. Toutefois, je ne veux certainement pas donner à mon stagiaire la satisfaction de me voir mendier un orgasme.

Je viens à peine de sortir de la douche qu'on sonne à la porte. Seulement vêtue de mon peignoir blanc, j'ouvre la porte d'entrée. Daniel est debout sous mon porche. J'ai des difficultés à le reconnaître. Au lieu de sa belle chemise blanche et de son pantalon de costume noir, il porte un pantalon léger kaki et un débardeur blanc qui laisse apparaître ses tatouages. Il ne ressemble plus du tout à un stagiaire dans un grand cabinet de conseil, mais plutôt à un membre de gang de rue.

A ma grande surprise il n'est pas seul. A côté de lui se trouve son ami Garcia, le petit gars costaud que j'avais rencontré lors du lavage de voiture chez Daniel l'autre vendredi. Lui aussi porte un pantalon kaki et un débardeur blanc. Il a aussi une chemise en flanelle non boutonnée. Autour de sa tête il a noué un bandana noir. Il ressemble encore plus à un membre de gang que Daniel.

Juste devant ma porte mon stagiaire saisit mes gros seins et commence à les tripoter à travers le peignoir. Ça me hérisse de colère et mon visage devient rouge de honte, autant par sa brutalité que par la honte d'être vue par quelqu'un. Et si un voisin nous voyait? C'est déjà assez grave que l'on voit deux membres de gang latino se diriger vers ma maison.

Le conduisant rapidement à l'intérieur, je me retiens de lui taper sur les mains. Honnêtement, je n'y ai même pas pensé. Je suis trop contente que les deux hommes ne soient plus sous mon porche. Bon sang! Je les laisse entrer chez moi sans même remettre en question leur visite.

- Enlève le peignoir! Me demande Daniel après qu'ils soient tous les deux entrés dans la maison.

- Mes putes ne portent pas ce genre de choses. Mes putes sont toujours nues dans la maison.

Sans un mot, je laisse glisser mon peignoir blanc sur le sol et je me retrouve debout et nue à côté de la porte. Je suis tellement gênée. Après avoir envahi ma maison , ces deux voyous n'ont eu que quelques secondes pour me mettre nue et à leur service. Que c'est embarrassant!

Malgré tout, je n'arrive pas à résister à la présence dominatrice de Daniel. Et l'excitation accumulée depuis deux jours humidifie ma chatte et l'électrifie.

- Agenouille-toi sur le sol et attends que nous te choisissions une tenue, vieille salope! Me dit le jeune latino avec un sourire diabolique sur le visage.

En le regardant dans les yeux, j'obéis et je m'agenouille docilement. C'est aussi simple que ça! Un seul ordre et j'obéis. Daniel me fait un signe de tête pour me montrer qu'il est satisfait avant d'aller dans ma chambre avec Garcia à ses côtés. Une nouvelle vague de honte m'envahit alors que je suis à genoux par terre. J'ai l'impression d'être un meuble tandis qu'ils choisissent la bonne tenue pour moi. Mon humiliation me noue l'estomac et ma chatte palpite à l'anticipation de ce qui va se passer aujourd'hui.

J'entends les deux jeunes gars fouiller dans ma garde-robe et je les vois jeter divers vêtements sur mon lit. Je n'aime pas la façon dont ils traitent mes affaires, mais je ne dis rien. Il vaut mieux que je laisse faire Daniel pour ne pas l'énerver.

- Nous n'allons pas au bureau aujourd'hui. Donc aucun habit strict n'est nécessaire. Tu vas enfin pouvoir t'habiller selon ta vraie nature. Crie Daniel en inspectant les vêtements jetés sur mon lit.

Je n'aime pas ce que j'entends, mais je ne dis pas un mot. J'attends qu'il fasse son choix. Quand les deux hommes reviennent vers moi, Daniel jette deux vêtements par terre. Instantanément je sais que mes inquiétudes étaient fondées. Il a délibérément choisi des choses que je ne porte que lors de soirées.

- Tu veux sortir avec des habits de salope hein? Je parie que ça t'excite! Se moque Daniel.

Juste après ces mots, il se penche et passe ses doigts contre la fente de ma chatte. Je sursaute quand je sens ce contact brutal sur mon sexe hypersensible. Mon dieu, je suis déjà si excitée.

Avec un sourire moqueur, mon stagiaire amène sa main devant mon visage pour me montrer le jus qui couvre ses doigts. Je grimace en ayant le sentiment d'être une pute facile et bon marché. Malgré tout, sans qu'il ne me dise rien, j'ouvre la bouche avec soumission et je commence à sucer mon propre jus des doigts de mon tourmenteur.

Daniel me caresse la tête et dit :

- Bien petite chatte! Donc nous savons que tu veux désespérément porter des vêtements de salope. Qu'est-ce que tu vas faire pour nous convaincre de te le permettre Miss Allumeuse?

Je sais ce qu'il veut. La façon dont il parle est toujours terriblement dégradante pour moi. Il faut que j'obtienne la permission de porter cette tenue qui va faire de moi une salope. Quelle blague! Je n'ai aucune envie de supplier pour ça. Pourtant, ma chatte me démange encore plus. Alors, toujours agenouillée, je le regarde et je demande :

- S'il vous plaît Monsieur, puis-je sucer votre bite comme une bonne salope? Et puis-je avaler votre sperme pour gagner ma tenue?

Visiblement satisfait de mon discours, le voyou baisse son pantalon kaki et sort sa grosse queue. Il éclate de rire en voyant ma réaction. Mon Dieu, je dois vraiment avoir l'air d'être impatiente au plus haut point. Ça ne fait que deux jours, mais le fait de revoir sa grosse bite bien dure me fait presque baver. Je me maudis de me trahir de la sorte, mais seulement un instant, car toute pensée cohérente me quitte à la vue de cette magnifique bite veinée. Je vais pour saisir son membre dans ma main , mais Daniel l'enlève.

- Est-ce que je t'ai autorisé à la toucher avec les mains, petite chatte? Me réprimande-t-il.

Mon stagiaire prend sa queue dans sa main et l'agite d'un côté à l'autre. Il glousse quand je la suis avec ma tête. Puis il la relève contre son ventre et s'approche de moi. Je pense qu'il veut que je lui lèche les couilles. Mais au lieu de ça il laisse sa bite retomber. Ça me fouette le visage, me faisant sursauter de surprise. Les deux gars rigolent et se moquent de moi.

Puis Daniel et Garcia se relaient pour me gifler avec leur gourdin de chair sur mes joues et mes lèvres. Malgré ce traitement dégradant, j'offre librement mes douces lèvres pour me faire gifler par leur bite. J'ai du mal à respirer, je deviens trop excitée. Il faut que j'ai leur queue.

- S'il vous plaît, donnez-moi vos bites! Supplié-je finalement en désespoir de cause.

Daniel sourit devant ma totale soumission où je suis agenouillée devant ma porte, me faisant gifler par des bites et suppliant de pouvoir les sucer. Il ordonne alors :

- Embrasse d'abord nos queues Miss Allumeuse. Montre-nous à quel point tu veux les sucer! Montre-nous à quel point tu es une salope avide de bites!

Avec les deux gars debout sur chacun des côtés, je commence à embrasser leur bite. Je leur donne des bisous avec ferveur. Je n'en peux plus. Après avoir complètement recouvert leurs deux membres de baisers, j'ai pensé avoir leur permission. Saisissant chaque bite dans une main, je fourre le gros gland de Garcia dans ma bouche. Tout en gémissant involontairement, je me conduis en vraie salope.

Je me jette à tour de rôle sur les deux queues de latino. Je mets leur membre de chair profondément dans ma bouche et je me fais baiser le visage. Ils me font travailler dur pour que je les fasse éjaculer. C'est surtout Garcia qui aime jouer avec moi et me faire gémir de frustration. Il retire sans cesse sa queue de ma bouche et il la promène sur mes lèvres et mes joues, enduisant ma peau de ma propre bave tout se moquant :

- Tu aimes les queues de voyous n'est-ce pas? Tu es excitée par les bites de mecs que tu n'aimes pas côtoyer hein? Héhéhé, quelle salope!

Bon sang, je me maudis qu'il se rende compte de mon désir. Il a raison cependant. Plus j'ai de la rancœur envers ce genre de, personnes arrogantes, plus ça m'excite de me soumettre à elles. Je grogne de frustration de les laisser jouer avec moi aussi facilement, mais je suis plus excitée que jamais.

- Putain oui, je veux sucer votre queue tout le temps Monsieur. Je veux tellement être votre pute!

Ce nouveau niveau de soumission les amène tous les deux près de la jouissance. Ils enlèvent mes mains de leur bite et ils se relaient pour me baiser la bouche. Tout ce que je peux faire, c'est de garder la bouche ouverte et de serrer mes lèvres autour de leur engin pendant qu'ils me baisent.

Toutefois ça ne suffit pas à les faire jouir. Quand ils retirent leur queue de ma bouche, je miaule et fais une moue boudeuse. Je veux leur sperme! J'ai travaillé très dur pour le gagner n'est-ce pas?

Branlant leur bite devant mon visage, les deux machos se réjouissent de ma frustration. Tout ce que je peux faire c'est d'ouvrir la bouche et de tirer la langue comme une bonne chienne obéissante tout en regardant intensément leur engin bien dur.

Ils gémissent et grognent quand ils jouissent presque simultanément. Daniel dirige sa lance contre ma bouche ouverte et frappe ma langue avec son premier jet de sperme. Les giclées suivantes s'abattent dans ma bouche, m'étouffant presque. Par contre Garcia vise mon visage. Sa première décharge est si puissante qu'elle éclabousse mon front. Les jets suivants sont pulvérisés sur mes joues et mon nez. J'ai l'impression d'avoir un verre de sperme sur chaque centimètre de mon visage.

J'avale le foutre salé de Daniel avant de lécher les reste de sperme sur leur bite. Pendant que je nettoie consciencieusement leur queue, je sens la semence collante de Garcia couler lentement sur mon front. Je me sens encore plus une salope.

Une fois cette tache accomplie, Daniel m'envoie à la salle de bain pour me nettoyer. Ça me fait bouder encore plus. J'ai tellement envie de jouir. Ma tête est embuée par mon envie et la journée a à peine commencé.

Peut-on croire que ça fait à peine une demi-heure que je suis sortie de la douche? Dans ce court laps de temps, Daniel et son copain ont transformé mon visage en réceptacle de foutre. En prenant une douche rapide, je ne peux m'empêcher de frotter mon clitoris. Et pendant tout ce temps, je repense à ce qui vient de se produire. Je sens mes jambes trembler et les prémices d'un orgasme apparaissent, mais heureusement je me souviens de la règle de Daniel. Je n'ai pas le droit de jouir sans sa permission. Avec un gémissement de déception, j'arrête de caresser ma chatte. Malheureusement je suis encore plus excitée.

Quand je reviens vers les deux hommes, Daniel me fait mettre la tenue qu'il a choisie auparavant. Il me fait porte une min-jupe en jean avec une large ceinture blanche flashy et un haut moulant blanc. C'est tout, pas de soutien-gorge ni de culotte. Le haut est ajouré sur les côtés et sur le devant en V. Seule une petite lanière empêche le décolleté de s'ouvrir. Ce haut permet de voir facilement mon décolleté et ce style me transforme en spectacle ambulant avec mes deux gros nichons comme attraction principale. J'ai l'impression de m'exhiber. C'est un vêtement que j'avais acheté avec mon ancien copain pour pimenter notre vie sexuelle et que je n'avais jamais porté après. Le latino ajoute à mon accoutrement des sandales blanches ajourées avec des talons. Puis il me demande de bien me maquiller avec entre autres un rouge à lèvres rouge pâle.

Dans cette tenue, j'ai l'impression d'être une couguar à la recherche d'un jeune homme. Mon haut et ma jupe sont manifestement complètement inappropriés pour une femme adulte et respectée comme moi. Ça fait mal à ma fierté. Chaque fibre de mon corps résiste à l'idée de sortir de la maison habillée ainsi. Et si les voisins me voient? Et si nous rencontrons un de mes collègues au centre commercial? Je crois que je ferais mieux de ne pas y penser.

Encore une fois, la façon dont Daniel a su trouver une tenue si vulgaire dans ma garde-robe si conservatrice m'excite à l'extrême. La façon dont il m'habille comme une salope fait vibrer mon corps en demande de plaisir. Me promener dans le centre commercial dans cette tenue va encore renforcer mon besoin. Peu importe si ça va être humiliant, ça sera aussi électrisant, une sensation aussi agréable que déplaisante.

Le sourire arrogant de Daniel me montre qu'il est visiblement ravi du choix des vêtements. Nous sommes prêts à partir. Il ouvre la porte et sort de chez moi.

Quand je le suis, je me sens totalement exposée aux regards alors que le haut et la jupe recouvrent à peine ma peau. Je me trouve dans un quartier respectable avec un décolleté d'enfer, sans soutien-gorge ni culotte, affichant mes atouts à la vue de tous.

Heureusement, aucun de mes voisins n'est présent lorsque nous traversons la pelouse pour rejoindre la vieille voiture pourrie de Daniel. Ils ne m'ont donc pas vu dans ma tenue légère de salope. Et c'est une bonne chose. Je préfère ne pas faire l'objet de potins aux alentours.

Après un court trajet, nous arrivons au centre commercial. Heureusement il est assez proche du quartier où vit Daniel et assez éloigné des quartiers plus huppés où vivent mes collègues. C'est un vieux centre commercial minable qui a sûrement connu des jours meilleurs. Je n'aurai jamais l'idée de faire mes courses dans un endroit comme celui-ci.

Au moment où je sors de la voiture, je me fige sur le parking. Je suis incroyablement consciente de mon apparence. Quand quelques couples passent pour rejoindre leur voiture, ils s'arrêtent lorsque j'entre dans leur champ de vision. Les femmes me jettent un regard dégoûté alors que les hommes lorgnent mes atouts.

- N'oublie pas, pas de conversation d'affaire polie aujourd'hui. Ce ne sera que des conversations de salope. Me rappelle Daniel avant que nous entrions dans le centre commercial.

Heureusement il n'y a pas foule dans le centre. Pourtant je me suis sentie gênée et mon visage prend une profonde nuance de rouge. Ma seule tenue suffit à faire sensation. Une femme adulte vêtue en vraie salope avec deux membres de gang latino n'est pas vraiment courant. Je deviens rapidement le centre de l'attention.

J'ai toujours été une belle femme, mais je ne me suis jamais habillée d'une manière aussi provocante en public. Je me sens tellement gênée que je voudrais me cacher dans un endroit bien sombre. Toutefois, plus il y a de regards qui se posent sur moi, plus mon corps réagit à cette attention. Chaque coup d'œil sur mes seins ou mon cul fait picoter ma peau à l'endroit exact où il se pose et envoie une secousse dans ma chatte. Inconsciemment, je commence à cambrer le dos pour faire gonfler ma poitrine et attirer des regards encore plus lubriques.

Étonnamment me sentir être un régal pour les yeux me rend plus confiante que jamais. Je n'ai jamais compté sur mon apparence pour renforcer ma confiance en moi auparavant. Je suis intelligente et cultivée avec un poste et un statut élevés. J'ai toujours tiré ma confiance de cela.

C'est ridicule. Tous ces types qui me déshabillent du regard ne se soucient pas de savoir si je suis bien cultivée ou intelligente. Tout ce qui leur importe est d'apercevoir mes gros melons bien mûrs ou mon gros cul. Pourtant toute cette attention un peu louche a augmenté ma confiance en moi.

Évidemment, Daniel a un plan et sait où il veut faire ses courses. Saisissant ma main, il ouvre la voie avec Garcia de l'autre côté. Je marche dans le centre commercial en tenant par la main un membre de gang beaucoup plus jeune que moi. Ce qui fait que je ressemble à sa petite bimbo stupide, bien maquillée et habillée de vêtements moulants et révélateurs sur des talons hauts. Je me sens si idiote que je ne peux même pas l'exprimer avec des mots.

Les deux latinos me conduisent dans plusieurs magasins de vêtements. Ils parcourent les étagères et prennent des vêtements pour moi. Daniel me dit :

- Dans ta garde-robe je n'ai vu aucun vêtement convenant à une pute de gang. Je dois changer ça. Tu n'est pas d'accord, petite chatte?

Je me hérisse de révolte en entendant le nom qu'il me donne en public. Mais je me force à roucouler en utilisant des mots de salope.

- Oui bébé! Il faut que je sois bien habillée pour mon homme.

Mais les mots du latino m'ont noué l'estomac. Et de les voir faire me laisse une énorme boule dans la gorge. Les deux gars font vraiment ce qu'ils ont dit et choisissent tenue audacieuse après tenue audacieuse. Maintes fois, ils sortent un vêtement et le tiennent devant moi pour voir s'il va m'aller. Et même s'ils en remettent certains sur les rayons, ils suspendent la plupart à mon bras.

Et pendant tout ce temps, je dois rester à côté d'eux, ne pouvant choisir aucun vêtement moi-même. Encore une fois, je me sens totalement stupide et ne servant à rien. Je ne suis rien d'autre que leur poupée qu'ils habillent, tenue après tenue. Et non seulement je n'ai pas mon mot à dire sur les vêtements qu'ils choisissent, mais je dois tous les payer.

Je suis en train d'essayer une nouvelle tenue dans une cabine d'essayage quand je suis surprise par Daniel qui passe la tête à travers le rideau pour me dire :

- N'oublie pas les règles Miss allumeuse. Tu dois te caresser de temps en temps et je crois qu'il est temps maintenant.

Prise de court je le regarde. J'ai complètement oublié toutes ses règles stupides. Bon sang, nous sommes dans un magasin, dans un lieu public.

- Bien sûr bébé. Je suis stupide, j'ai oublié. Dis-je sans trop penser.

Malgré le ridicule de mes paroles, je sors consciencieusement mon téléphone portable de mon sac à main et je déclenche le chronomètre. Après avoir enfilé une mini-jupe rouge, je la retrousse aux hanches et j'écarte les jambes. Pendant tout ce temps, le latino ne bouge pas, la tête à travers le rideau.

Les cinq minutes suivantes, je frotte mon clitoris avec la main droite tout en poussant deux doigts de ma main gauche dans et hors de ma chatte. J'essaie de faire de mon mieux pour ne pas gémir.

J'entends des gens passer devant la cabine d'essayage. Deux femmes sont entrées dans les cabines de chaque côté, discutant des derniers potins sur leur lieu de travail. Leur discussion passe au-dessus de ma tête pendant que je me masturbe. C'est tellement dépravé. Mon cœur bat très fort alors que mes cuisses commencent à trembler et que ma chatte commence à dégouliner.

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