Elodie Réalise Ses Fantasmes 01

Elodie est nue, à genoux, assise sur les talons au milieu du salon, un bandeau sur les yeux en position de soumise, les cuisses largement écartées, cambrée pour offrir ses seins. Deux seins lourds légèrement tombants aux pointes dressées, sexe humide et gonflé de désir. Elodie sent son Maître tourner autour d'elle, sans le voir, l'effleurant de sa cravache pour augmenter son inquiétude. A chaque effleurement ou petit coup de cravache, elle sursaute. Son Maître sait que cette cravache ne l'inquiète pas, bien au contraire, elle l'excite. Cette fois ci, la cravache court le long de ses cuisses largement ouvertes pour donner l'accès à sa fente intime. Son Maître sonde sa fente du bout de la cravache, et comme il s'y attend, elle ressort mouillée des sécrétions de sa soumise.

- Tu es une chienne perpétuellement en chaleur, ma cravache est trempée! Ouvre la bouche pour la nettoyer, avant d'être punie. Tu t'excites sans ma permission, je vais encore être obligé de te punir, petite chienne lubrique. Tu vas devoir porter ta ceinture de chasteté pendant toute la semaine et aller travailler à poil sous ta jupe.

Qui pourrait se douter de la transformation en quelques mois de cette jeune femme de 35 ans, assistante commerciale dans une PME connue en France et à l'étranger, célibataire, réservée, intelligente, et appréciée de tous ses voisins.

Que penseraient ils d'elle si ils soupçonnaient sa nouvelle vie?

Tout a démarré par hasard six mois auparavant. Marie, sa mère, une de mes voisines, avec qui j'avais et j'ai toujours d'excellents rapports, bien qu'elle soit à l'autre bout de la rue, vient sonner un matin pour me demander un service.

- Je dois m'absenter une semaine en province et comme vous le savez, ma fille Elodie, est actuellement en difficulté. Avec son accident, elle a encore les deux poignets bandés. Impossible pour elle de faire ses courses et même d'effectuer parfois certaines tâches ménagères.

- Aucun problème, Marie, ne vous inquiétez pas, j'ai du temps libre, je viens de passer en retraite et vous rendre service, ce sera avec plaisir.

Je connais Elodie qui habite à quelques rues de là. Je l'ai croisé plusieurs fois chez sa mère et j'ai parfois engagé la conversation avec elle, mais rien de plus. Nous avons parfois plaisanté, me donnant l'image d'une jeune femme sociable et agréable. Habillée classiquement mais toujours avec gout, brune aux cheveux courts et avec de très jolis yeux bleus, je me suis toujours demandé si elle était vraiment célibataire, comme sa mère le disait. Avec cette demande de sa mère, il semble que cela soit la réalité.

Avant de partir, sa mère me demande si cela ne me dérange pas de faire une lessive pour

sa fille, n'ayant pas eu le temps de la faire.

Sans attendre, j'ouvre le sac, et je trie pour préparer la machine. Rien de particulier, un mélange de linge de maison et de vêtements classiques, mais au fond du sac, un autre petit sac que sa mère n'a pas du remarquer avant de me le donner. Dans ce petit sac, un bel échantillon de lingerie intime, petites culottes en dentelles dont certaines minimales, quelques string, et même un soutien gorge laissant découvert trois quart de la poitrine, l tétons compris. Surprenant, par rapport à son allure classique.

Je ne peux m'empêcher de humer l'odeur intime de ces petites culottes coquines. Mon sexe réagit immédiatement à cette senteur féminine.

Je décide de laver manuellement cette lingerie pour ne pas risquer de l'abimer. Lavée ou pas, je ne pourrai pas lui cacher que je l'ai vu trouvée fond du sac.

Quand Elodie, prévenue de ma visite par sa mère, m'accueille après avoir sonné, c'est avec un grand sourire.

- Merci de venir m'aider, me dit elle en me montrant ses deux poignets. Je suis désolée de vous ennuyer, mais je suis vraiment handicapée après cette chute stupide.

- Aucun souci, Elodie, J'ai tout mon temps, et vous aider c'est vraiment avec plaisir.

Une fois rentré, je pose le sac de linge propre, et je vois immédiatement un trouble dans ses yeux.

- Votre mère n'a pas eu le temps de laver votre linge et m'a demandé de le faire. J'ai fait au mieux, n'étant surement pas aussi doué qu'elle.

Elodie rougit immédiatement, se rendant compte que j'ai eu accès à une partie intime de sa vie.

- Elodie, ne soyez pas gênée, même si je vis seul désormais, quand je passe devant un magasin de lingerie, je ne me cache pas les yeux, bien au contraire.

- Vous connaissez mes petits secrets maintenant, me dit Elodie en éclatant de rire

- Si j'osais, je vous dirais que vous avez très bon goût, Elodie.

La conversation intime s'arrête là. Je ne m'attendais pas à trouver une jeune femme aussi libre, au vu de son apparence si réservée chez sa mère.

Quand je lui apporte le lendemain les courses alimentaires qu'elle m'a demandées, j'ai bien l'intention de continuer cette conversation, si l'occasion se présente.

Une fois encore, c'est elle qui va me surprendre, et ce n'est que le début.

Quand Elodie m'ouvre la porte, toujours avec un grand sourire, elle porte une jupe au dessus du genou, près du corps, qui met en valeur une très belle paire de fesses, des cuisses parfaites, et un chemisier, dont les deux boutons du haut sont ouverts, qui met en valeur cette poitrine ronde cachée par un soutien gorge en dentelle de couleur.

Ma surprise se voit sur mon visage, ce qui la fait rire.

- Tu es superbe, Elodie! Si je peux me permettre de te tutoyer.

- Tu en doutais? Me rétorque Elodie en guise de provocation. Toi qui connais un de mes petits secrets, je peux t'en révéler d'autres. J'aime m'habiller un peu plus sexy qu'hier, même si je dois rester classique, au moins quand je viens voir ma mère.

- Je sais garder un secret, Elodie. Il n'y a pas de problème.

Elodie me propose de boire un verre, assis tous les deux dans le salon.

Une conversation s'engage où chacun raconte sa vie actuelle. Elle n'est pas dupe quand je lui dis mon étonnement de savoir qu'elle vit seule.

- Je suppose que c'est un choix de vie, un peu comme moi, car à ton âge, belle et sexy comme tu es aujourd'hui, les prétendants ne doivent pas manquer.

- J'ai vécu en couple, me dit elle, plus ou moins 2 ou 3 fois, mais à chaque fois mon compagnon ne m'a pas apporté ce que j'attendais de lui. Alors je suis partie, et les rencontres d'un soir ne m'ont jamais satisfaite.

- C'est vrai, c'est compliqué de trouver un compagnon ou une compagne avec qui on partage la vie de tous les jours mais pas que ...

- Oui, me répond Elodie, surtout si on a des envies qui sortent parfois de l'ordinaire, ou disons des standards.

Elodie se rendant compte qu'elle en a peut être un peu trop dit change de conversation. Depuis le début de cette conversation un peu plus intime, Elodie assise en face de moi, a croisé plusieurs fois les jambes, et sa jupe étroite est remontée sans qu'elle ne ressente le besoin de tirer dessus. Je me demande quelle petite culotte elle porte. Est ce l'une de celles que j'ai lavé à la main et porté à mes narines? Peut être un string en dentelle de la même couleur que son soutien gorge? J'essaye de chasser cette pensée de ma tête, je sens qu'une bosse grossit à mon entre jambes et je ne voudrais pas qu'elle s'en aperçoive, au moins aujourd'hui.

Sorti dans la rue, effectivement je vois que la bosse est bien visible. L'a t elle vue?

Les fois suivantes, je me rends compte qu'Elodie joue avec moi. Une robe différente, un peu plus courte, ou un chemisier un peu plus ouvert qui laisse voir sa dentelle et le foncé de ses aréoles.

Elodie me propose de venir prendre l'apéritif après m'avoir demandé de l'aider en fin de journée. Toujours sexy, nous nous asseyons au salon. Plusieurs livres sont posés sur la console, et celui du dessus est un livre écrit par une femme écrivain, connue pour ses récits de soumission. Commençant à la connaître, ce n'est pas un hasard. Est ce que c'est ça que ses compagnons et amants n'ont pas su lui apporter?

Quand elle revient avec le plateau de l'apéritif, j'ai le livre dans les mains et je parcours les pages que je connais déjà.

- Tu as aimé ses récits? C'est ça que tes compagnons n'ont pas su t'apporter?

Elodie baisse les yeux et rougit, même si c'est ce qu'elle attendait.

- Oui, me répond Elodie d'une voix quasi inaudible.

- Continue, Elodie

- J'ai un fantasme de soumission depuis plusieurs années, sans trouver le compagnon de mon âge qui réponde à mes attentes, me dit elle.

Je lui coupe la parole

- Mets toi à genoux devant le fauteuil, pour me répondre.

Elodie obéit et répond à chacune de mes questions.

- Je n'ai jamais osé leur dire. Et pratiquer une soumission réelle, je n'ai jamais osé non plus. Je ne suis pas satisfaite de ma vie actuelle, quelque chose me manque et suis frustrée.

- Tu sais qu'un Maître va te demander de t'abandonner et de mettre ta pudeur de côté, de lui révéler tes secrets, même les plus intimes, qu'il va te faire souffrir psychologiquement et peut être aussi physiquement sans violence, qu'il va t'imposer des tenues, .... Tu as déjà été fessée comme une gamine?

- Non jamais.

- Désormais, ce sera « non Maître » et tu ne me parleras que si tu y es autorisée. C'est compris?

- Oui Maitre

Sans lui demander, j'ouvre son chemisier et je sors ses seins de son soutien gorge rouge en dentelle (j'ai ma réponse sur la couleur). Je palpe ses deux pamplemousses, puis lui applique quelques petites claques sur les seins avant de prendre ses tétons entre pouce et index et de les travailler jusqu'à la faire geindre. Les deux tétons sont durs et dressés par l'excitation

- Ton Maître t'a autorisé à geindre? Tu vas être punie pour désobéissance. Ta culotte est mouillée, soumise?

- Oui Maître, ma culotte est mouillée, répond Elodie rougissante

- Garde toujours les yeux baissés devant ton Maître, et descends ta culotte pour me la donner.

Quand Elodie me tend sa culotte, elle est écarlate. Sa culotte en dentelle rouge est trempée. Devant elle, je la porte à mes narines.

- Tu sens bon, soumise. Ta culotte est trempée. Tu es une vicieuse. Lèche tes saletés.

Elodie lèche sans hésiter son fond de culotte.

- Tu as déjà gouté à tes liqueurs?

- Oui Maitre, mais pas comme ça. Juste avec un doigt

J'entraine Elodie jusque sur le canapé pour qu'elle s'y mette à genoux les mains sur le haut du dossier. J'attends plusieurs minutes avant de la toucher.

- Tu vas devoir attendre désormais le bon vouloir de ton Maître. C'est Lui qui décide et pas toi

Je remonte sa robe pour dégager ses fesses et lui demande d'écarter ses cuisses et de toujours garder les cuisses un minimum écartées.

- Tu as de très belles fesses. Tu vas demander à ton Maître de te fesser.

Tu as un beau cul. Il ne demande qu'à être rougi pour le plaisir de ton Maître. Ton cul sera aussi zébré et marqué au martinet. Vicieuse comme tu es, tu vas y prendre du plaisir et bientôt c'est toi qui me supplieras de te fesser. Demain, tu iras voir ton esthéticienne pour une épilation intégrale à moins que tu préfères y aller quand tes fesses seront marquées. Tu dois être fière d'être soumise et fière d'avoir un Maître. Je ne veux pas t'entendre pendant la fessée. Tu seras récompensée après.

Sans lui laisser le temps de réfléchir, après avoir entendu sa demande, je lui mets en boule sa petite culotte dans la bouche, et la fessée commence. Une claque à droite, une à gauche, ... Les deux hémisphères prennent une belle couleur. J'attends sa première plainte pour arrêter. Pas question d'aller trop loin.

- C'est bien, soumise! Tu fais honneur à ton Maître. Ne bouge pas.

Je reviens avec un linge mouillé pour lui apaiser la chaleur sur les fesses.

Pour la récompenser, je caresse sa fente avec un puis deux doigts. Aucun mal, à enfoncer les deux doigts dans sa chatte, ouverte, et trempée.

- Tu aimes ça, la fessée, petite vicieuse, tu es trempée.

Tout en caressant son intérieur avec deux doigts, mon pouce teste son œillet bien fermé. Je caresse son clitoris avec l'autre main jusqu'à sentir sa jouissance arriver, mais je stoppe ces caresses, ce qui la fait feuler de frustration.

- Quel dommage, soumise Elodie. Ton maître n'a pas envie de te faire jouir ce soir. Tu vas attendre demain et interdiction de te caresser ce soir.

Tu ne dois jamais mentir ou cacher une erreur à ton Maître. Question de confiance entre nous. C'est bien compris?

- Oui Maître, je vous le promets.

- Ce soir, avant de te coucher, tu m'écriras ce que tu as ressenti et tu commenceras à me confier tes pensées tes plus intimes et tes fantasmes. Nous en parlerons ensemble la prochaine fois

Le soir même, Elodie écrit à son Maître pour lui révéler ses sensations pendant leur première rencontre, lui disant combien elle a compris ce qui lui manquait pour être heureuse, mais aussi sa crainte de ne pas être à la hauteur, sa volonté de lui plaire.

et d'accepter d'être dressée sévèrement, d'abandonner toute pudeur, de lui offrir son corps et son mental, d'accepter la douleur jusqu'au plaisir, d'enfreindre les règles de son éducation, de lui obéir.

Elle lui avoue avoir plus de mal encore à lui révéler ses fantasmes les plus intimes, mais lui avoue avoir le souhait de perdre toute pudeur, d'être exhibée, de devoir obéir aux ordres de son Maître, de respecter toutes les contraintes de vie qui lui imposera, d'être punie sévèrement en cas de désobéissance, d'être offerte sexuellement à son Maître mais aussi à ceux et celles que son Maître lui désignera, et d'autres pratiques qu'elle n'ose pas écrire, sachant que son Maître la punira pour ses oublis.

A la lecture de cette lettre, je ne suis pas surpris puisque ce sont des fantasmes, et que comme tout fantasme, c'est extrême, sans se rendre réellement compte des contraintes de vie qu'elle va rencontrer.