Cauchemar a Acapulco 02

Informations sur Récit
La mère et sa fille sont les victimes d'un gang.
1.7k mots
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3
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/08/2021
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Ricardo était le réceptionniste du « Costa del Sol », l'hôtel le plus en vue d'Acapulco. Il avait deux qualitées essentielles pour être réceptionniste dans cet hôtel quatre Etoiles : la discrétion et la rigueur. Son regard se promena sur le hall rempli de touristes de toutes les nationalitées. Il regardait surtout les femmes. Ricardo avec sa petite moustache, ses cheveux coiffés en arrière et son regard de braise avait déjà fait fondre plusieurs étrangères, mariées ou non, de tout âges, et les avaient baisés dans leurs chambres de luxe, leur laissant un souvenir impérrissable de leurs séjours au Mexique. Le frère de Ricardo, Diego, est fonctionnaire des Douanes à Mexico. Il lui a raconté comment il a soumis une française et sa fille à leurs arrivées à l'aéroport.

Son frère l'a prevenu car en fouillant la valise de Myriam, il a trouvé une réservation au « Costa del Sol » pour un séjour de quinze jours.

Heureux hasard et malheureux destin pour Myriam et sa fille....

Madame Myriam Sainclair se regarda dans la glace murale de sa chambre. Elle portait un caraco blanc qui laissait entrevoir la naissance de ses seins et une jupe longue qui aurait pu être sage si elle n'avait été fendu sur le devant dévoilant ses cuisses à chaque pas qu'elle faisait. Elle avait prévu d'aller faire du shopping dans les rues d'Acapulco et ensuite farniente à la plage juste en face de l'hôtel. Le « Costa del Sol » était bien situé.

Myriam et sa fille Anais sortirent de l'ascenseur faisant claquer les talons de leurs mules sur le marbre du hall de l'hôtel. et se dirigèrent vers la réception pour y déposer leur clès. Elles étaient arrivées depuis trois jours et la beauté de l'hôtel leur avait fait oublier leur mésaventure à l'aéroport. Bien qu'Anais, le soir, dans sa chambre, se masturbe en y repensant...

Madame Sainclair, elle, avait appelé son mari tout en regardant l'océan Pacifique de son balcon. Elle n'a rien dit de leur agression par ces douaniers pervers. Hubert Sainclair lui a dit qu'il devrait arriver demain avec sa mère. La belle-mère de Myriam, Annie Sainclair s'entendait très bien avec sa belle-fille cela ne dérangeait en aucun cas Myriam.

Ricardo bavait littéralement en voyant ces deux superbes salopes. Son frère lui avait raconté comment elles avaient eu plusieurs orgasmes pendant leurs « agressions ». La petite française, Anais, portait un robe ultra courte et ultra moulante. Avec les talons de ses mules elle était de la même taille que sa mère. Les deux jeunes femmes ignoraient que Ricardo et son compère Alejandro, qui était le chef cuisinier de l'hôtel, s'étaient cachés un soir alors que le crépuscule commençait à tomber et avaient maté madame Sainclair et sa fille, en bikini, allongées sur leurs transats au bord de la piscine de l'hôtel profitant des dernier rayons du soleil et d'une fraicheur toute relative. Les deux hommes avaient fantasmés sur les deux françaises s'imaginant déjà les baiser comme des chiennes.....

Anais et sa mère déambulaient dans les rues d'Acapulco faisant du lèche-vitrine. Elles portent déjà plusieurs sacs rempli d'achats, des fringues principalement. Elles passèrent devant un groupe de quatre jeunes qui les sifflèrent matant leurs jambes et leurs culs. Elles haussèrent les épaules et continuèrent leur chemin. Ignorantes de la convoitise qu'elles suscitaient.

Ces jeunes font tous parti d'un gang. Nombreux au Mexique. Ils travaillent aussi pour un Cartel pour arrondirent leur fin de mois. La Policia Federal les traquent mais sans parvenir vraiment à stopper leurs activitées. La corruption chez les flics mexicains c'est presque une tradition...

Des exclamations fusèrent en direction des deux françaises.

- Hola, bonita ! Como Esta ?

Les ignorant superbement, Myriam et sa fille continuèrent leur shopping.....Ne remarquant pas que les jeunes les suivaient.....

Anais la première émis l'hypothèse qu'elle pourrait se reposer un peu. La température n'arrêtait pas de monter et elle commençait à avoir mal au pieds.

Myriam et elle rentrèrent dans un bar et commandèrent des boissons fraiches au patron, un gros bonhomme lidibineux qui regarda sans aucune gène dans le décolleté du caraco de Myriam.

Les quatres jeunes entrèrent dans le bar se mettant dans le fond à coté d'un flipper antédiluvien. Les deux françaises ne les remarquèrent même pas...

Les quatre membres du gang, Juan, Miguel, Luis et Eduardo discutaient entre eux en espagnol. Leurs regards lorgnaient en direction des jambes croisées très haut de Myriam et sa fille. Les pans de la jupe longue de la maman c'était rabattu ne cachant plus rien de ses cuisses quasiment jusqu'à l'aine et la micro-robe de sa fille chèrie remontait tellement haut qu'on voyait presque la couleur de son string.

Derrière son comptoir, Arturo, le patron, n'en perdait pas une miette non plus.

Le chef du gang, Miguel, s'approcha du patron et se mir a lui parler à voix basse. Arturo déplaça sa graisse vers la porte de son établisssement et la ferma discrétement à clé mettant le panneau CERRAR (fermé) sur la porte.

Il lança un sourire bien servile à Myriam et sa fille leur assurant qu'il avait fermer la porte pour qu'elle puisse profiter pleinement de la fraicheur de la clim. Les deux jeunes femmes le remercièrent.

Décidant qu'il fallait rentrer à l'hôtel si elles voulaient profiter de la plage, Myriam demanda l'addition. Anais se leva.

- Attends maman, je voudrais aller aux toilettes.

Anais se dirigea vers le fond du bar.

Suivi par Luis et Juan.

Anais ayant terminé, rabatit sa robe et sortit des toilettes. Elle s'approcha du lavabo pour se laver les mains. A ce moment, Luis et Juan entrèrent.

Elle sursauta en les voyant et elle blémit en les reconnaissant.

- Hola Bonita, tu te souviens de nous ? Lança Juan en ricanant.

Anais voulut sortir mais Juan et Luis lui bloquèrent le passage. Les mains des deux membres du gang en profitèrent pour palper sans vergognes Anais. Les mains s'infiltrent partout ou elles le peuvent. Dans le décolleté de la robe malaxant les seins d'Anais. Passant sous la robe, écartant le string et titillant le clitoris. Echevelée, haletante, les cheveux en bataille, Anais rugit et supplie mais rien n'y fait, les deux hommes profitent pleinement de la situation. Elle fut poussé contre le lavabo. Juan retroussa la robe, écarta le string blanc et farfouilla sans ménagement dans la fente d'Anais qui poussa un petit cri.

Dans le bar, la maman d'Anais n'est pas mieux lotti. Elle a était levée de force et courbée en avant sur la table. Debout sur les talons de ses mules, elle sent les doigts de Miguel et Eduardo lui fouiller la chatte après avoir relever sa jupe et descendut son string rose sur ses cuisses. Arturo manuélise un sexe impressionnant en matant la scène. Ne pouvant plus résister, il enfourna sa bite dans la bouche de Madame Sainclair lui provoquant un haut le cœur, l'étouffant à moitiè. Des larmes lui montèrent aux yeux.

Anais, agenouillée devant Luis, lui pompe la bite. Il la tient par les cheveux et il fait coulisser sa queue dans sa bouche. Savourant sa fellation. Pendant ce temps, Juan filme en gros plan Anais avec son portable. Pour montrer aux copains du gang....

A quatre patte au milieu du bar, la jupe enroulée autour de la taille, les seins dégagés du caraco, Myriam Sainclair suçait le membre de Miguel en grognant. Derrière elle, Eduardo lui enfonce des bouteilles de toutes dimensions dans la chatte. Arturo en dessous, suce la pointe des seins de madame Sainclair, les mordillant et tirant desus arrachant des plaintes étouffées à Myriam.

Luis et Juan débarquèrent en tenant la pauvre Anais par les cheveux. Celle ci avance à quatre pattes, la robe troussée, le cul à l'air, les seins dégagés, gigotant.

Elle fut positionnée face à sa mère qui dut arrêter sa fellation. De la bave coule sur son menton. Les yeux exorbités, elle subit l'intromission des bouteilles dans sa chatte. Devant elle, sa fille ouvre la bouche et gémit. Juan a réussit, un doigt après l'autre, à lui enfoncer sa main entière dans sa chatte et il la fait coulisser dans la fente d'Anais qui ondule du bassin.

Les gémissements etouffée de la mère et la fille à genoux sur le sol résonnent dans le bar. Myriam à la mâchoire déformée par les deux bites, celles de Miguel et Luis, qu'elle tente désesperement de faire éjaculer pour en finir. Pendant que sa fille pompe, avec dégout, la bite du gros patron du bar et qu'elle masturbe de sa petite main fine le membre d'Eduardo.

Allongées sur deux tables du bar, Myriam et Anais secouent la tête dans tous les sens en se mordant les lèvres. Miguel et Arturo leur lêches le clitoris avec application et science leurs faisant pousser de longs gémissements. Entre deux plaintes elles sucent les queues d'Eduardo et Luis.

Côte à côte, en équilibre sur les talons de leurs mules, les seins gigotants sous les coups de boutoirs et se tenant la main pour se donner du courage, Anais et Myriam, courbées en avant sur le flipper, se faisaient défoncer par Arturo et Eduardo. Le gros ventre flasque du patron de bar vient claquer contre les fesses de Myriam qui haléte sous les coups de pines. Sa fille gémit sans discontinuer. Eduardo la tient aux hanches et il la pilonne violemment....

De nouveau allongée sur l'une des tables du bar, Anais,ses jambes relevées à la verticale posées sur les épaules de Miguel, tournait la tête dans tous les sens en gemissant et en se mordant les lèvres. Miguel faisait des allers-retour dans sa chatte trempée en ricanant.

- Puta ! Lança t'il à ses comparses.

- Si ! Répondit Luis occupé à baiser la mère d'Anais.

Madame Sainclair, accoudée au comptoir se faisait ramoner, En sueur, haletante, les cheveux dans les yeux.

Myriam, empalée sur la bite d'Eduardo, ondule du bassin, ses seins gigotants dans tous les sens. Miguel s'approcha par derrière et enfonça sa queue dans les fesses de madame Sainclair qui poussa un hurlement.

Anais, à quatre pattes, se fait enculer par Arturo pendant qu'elle suce la bite de Luis. Elle salive dessus, lui titillant le gland avec sa langue, lui léchant les couilles, remontant sur la hampe.

Cela dura des heures. Myriam et sa fille furent baisées une bonne partie de l'après-midi. Leurs tourmenteurs étaient infatiguables. Elles eurent plusieurs orgasmes qui les laissa extenuées sur le sol du bar.

Les cinq homme se masturbent au dessus d'elles. Ils éjaculèrent presque tous en même temps les aspergeant de leurs foutres.

Les membres du gang les abandonnèrent en prenant les achats qu'elles avaient faits ainsi que leurs bijoux pour les offrirent à leurs copines respectives.....

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