Cauchemar a Acapulco 03

Informations sur Récit
le dressage commence pour Anais et sa maman.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/08/2021
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Ricardo, le réceptionniste de l'hôtel « Costa del Sol » faillit avoir un infarctus quand il vit débarquer dans le hall de l'hôtel Miguel accompagné de deux femmes. Ricardo connaissait Miguel. Il savait que c'était un petit voyou à la tête d'un gang des rues mais surtout qu'il travaillait plus ou moins pour El Jefe, le chef du Cartel de Ciudad Juarez. Qui lui était vraiment dangereux....

Les deux femmes n'étaient pas du standing des clientes habituelles de l'hôtel. Leurs minijupes en cuir s'arrétaient à mi-cuisses dévoilant des jambes gainées des bas résilles. Les talons en acier de leurs escarpins les grandissaient. L'une d'elle porte un sac.

Miguel s'approcha de la réception.

- Tu as deux françaises dans ton hôtel. Leurs chambres ?

- Pourquoi tu veux le savoir ? Demanda Ricardo méfiant.

Miguel le prit à part et lui montra sur son portable la vidéo tournée la veille dans le bar ou il reconnu la distinguée madame Sainclair et sa fille se faire baisées comme des chiennes par Miguel et ses amis.

Ricardo en resta suffoqué.

- J'ai envoyé la vidéo à El Jefe. Il veut qu'elles lui appartiennent.

Et quand El Jefe demandait quelque chose......

- On est venu commencer le dressage. Continua Miguel en désignant les deux putes qui l'accompagnait. File nous un passe.

- Je ne peux pas faire ca croassa Ricardo. Je risque ma place.

Miguel sortit une liasse de plusieurs centaines de pesos.

- Tu sais qu'El Jefe est généreux avec ceux qui l'aide....

Comment refuser ? Ricardo s'exécuta de mauvaise grâce et regarda Miguel et les deux putes se diriger vers les ascenseurs...

Anais Sainclair allongée nue sur son lit se masturbait en repensant aux évenements de la veille. Elle faisait coulisser son index et son majeur dans sa fente provoquant des clapotis qui l'excitait encore plus. Elle se tordait les seins par moment, tirant sur la pointe de ses mamelons ce qui la faisait gémir...

Dans sa chambre, madame Myriam Sainclair se préparait pout aller prendre le déjeuner au restaurant de l'hôtel. Elle termina de fermer la bride de son escarpin à talons hauts. Elle lissa la jupe à volant qui s'arrêtait aux genoux.

Elle se dirigea vers la porte communicante avec la chambre de sa fille.

Elle lui sembla entendre des gémissements et elle s'arrêta net. Tendant l'oreille.

Anais était elle souffrante ? Inquiète, elle entrebailla la porte. Le spectacle qu'elle découvrit la laissa bouche bée. Anais, plusieurs doigts enfoncées dans sa chatte se branlait rapidement. En plein délire, sa fille chérie ondulait du bassin semblant vouloir s'empaler sur ses doigts. Elle gémissait sans discontinuer. Le visage rouge, haletante, sa poitrine se soulevait rapidement.

Suffoquée, Myriam observait discrétement la scène. A son corps défendant, elle sentit que son bas-ventre commençait à se reveiller. Presque malgré elle, sa main souleva sa jupe à volant écartant son string. Ses doigts trouvèrent son clitoris qu'elle commença à titiller rapidement lui arrachant des plaintes qu'elle tenta d'étouffer pour ne pas prévenir sa fille de sa présence.

Le corps de sa fille s'arqua et elle poussa un cri bref jouissant sans retenue.

Voyant cela, sa mère accéléra sa masturbation et elle eut un orgasme qui la laissa essouflée et honteuse.....

Miguel inséra le passe magnétique qui permettait de débloquer la serrure électronique de la porte de la chambre de madame Sainclair. Il y eu un déclic et la porte s'ouvrit. Suivi des deux putes, il entra. Myriam Sainclair et sa fille poussèrent un hurlement. Les deux putes se précipitèrent vers leurs proies. Elles agrippèrent leurs cheveux les forçant à se mettre à genoux sur la moquette. Elles réussirent non sans mal, à les baillonner en leurs enfonçant une boule en latex dans la bouche maintenue par une lannière en cuir. Les hurlements des deux femmes terrorisées se transformèrent en gargouillis. Les yeux exorbitées, elles regardent leurs tortionnaires.

Miguel savoura le spectacle. Ces deux bourgeoises à genoux devant lui totalement à sa merci.

- Carmen, Guadalupe, ordonna t'il, occupez vous de ces deux salopes !

Carmen leva madame Sainclair en la tirant par les cheveux. Elle arracha le chemisier que portait Myriam, faisant sauter les boutons, découvrant le soutient-gorges. Carmen baissa les balconnets exhibant les seins qu'elle se mit à triturer sans douceur, léchant les tétons et les mordillant faisant couiner Myriam.

Guadalupe a baissé le short d'Anais et elle lui claque les fesses avec violence faisant rougir son cul. Enfonçant ses doigts dans la fente humide de la jeune fille arrachant des cris étouffés à Anais.

Miguel a sortit son sexe et il se branle en regardant Myriam Sainclair se faire baiser par Carmen.

La française courbée en avant sur la table du salon, en équilibre sur ses talons aiguilles, se faisait défoncer par Carmen qui avait enfilé un gode-ceinture. La tenant aux hanches, la jeune mexicaine, qui detestait la « gringa » arrogante, la pilonnait violemment. Elle tourna la tête et eut un sourire bien pervers en voyant l'autre « puta » de française se faire ramoner par Guadalupe elle aussi équipée d'un gode-ceinture. Anais, a quatre pattes, gémit sous les coups de reins de la jeune pute.

Installées côte à côte dans le divan du salon, Anais et sa mère, empalées sur les bites en latex de leurs « dresseuses » agitent leurs bassins en grognants. Leurs seins gigotent dans tous les sens. Miguel se leva et sortit du sac deux vibromasseur qu'il mit en marche. Il les posa sur le clitoris des deux jeunes femmes. Elles ne tardèrent pas à hurler comme des possédées. Heureusement le baillon-boule étouffait leurs cris et leurs supplications. Les cheveux décoiffés, en sueur, les yeux roulant dans leurs orbites, elles jouissaient sans aucune retenues....

- Allez petites chiennes, continuez à vous branler ! Lança Carmen en sirotant un whisky prit dans le minibar.

Elle et Guadalupe ont décidés de se reposer un peu. Elles observent Myriam et Anais, allongées sur la moquette, agiter leurs sexes l'un contre l'autre. En « ciseaux ». Elles frottent leurs fentes en pousssant de longs gémissements, rouges de honte. Anais eut un orgasme qui la fit hurler de plaisir. Sa maman ne tarda pas à suivre. Son cri résonna dans toute la chambre.

La jeune Maria passait l'aspirateur dans le couloir quand plusieurs hurlements se firent entendre. Inquiète, elle préféra prevenir la réception de l'hôtel...

Ricardo déboula dans le couloir et se dirigea vers la chambre de madame Sainclair. Furieux. Si Miguel et ses copines n'étaient pas un peu plus discret, il allait finir par avoir des ennuis.

Il toca à la porte et Miguel lui ouvrit. Ce que Ricardo entrevit lui donna instantanement une trique d'enfer.

La très distinguée madame Sainclair, entièrement nue à part ses talons aiguilles à bride, léchait la chatte de Carmen pendant que sa fille se faisait doigter par Guadalupe. Carmen ondulait du bassin encourageant Myriam.

- Ouiii, Continue, mieux que ca, sale gringa.

Miguel fit rentrer Ricardo et referma la porte.

- Tu peux en profiter si tu veux.

Ricardo hésita une fraction de seconde. A ce moment précis, Carmen eut un orgasme qui la laissa pantelante.

Miguel claqua des doigts.

- Myriam vient sucer la bite de monsieur.

Totalement soumise, madame Sainclair avança à quatre pattes vers le receptioniste de l'hôtel.

D'elle même, elle dégagea le sexe bien dur et se jeta dessus. Elle lui lécha le gland avec de petits coups de langue, avalant le membre. Lui léchant les couilles.

Anais vint se joindre à elle et bientôt elles se disputèrent la queue de Ricardo.

Miguel arriva à son tour et il enfonça sa bite dans la bouche d'Anais. La jeune fille de bonne famille pompe la bite du mexicain comme la dernière des putes. Bavant dessus, avalant le membre jusqu'au bout la faisant hoqueter. Carmen et Guadalupe voulurent participer à l'orgie.

Les cris de Myriam et Anais emplissent le salon de la chambre de cet hôtel quatre Etoiles. Ricardo pilonne Myriam, à quatre pattes, les seins gigotant sous ses coups de pines pendant qu'elle doit lêcher la chatte de Guadalupe. Anais est empalée sur la bite de Miguel. Elle monte et descend en gémissant pendant que Carmen lui a posé le vibromasseur sur son clitoris. Lui arrachant des hurlements de démentes.

Ricardo ne résista pas longtemps et il éjacula sur le visage ravagé de madame Sainclair. Son sperme gicla allant s'écraser sur le front et le menton de Myriam.

Miguel aspergea également le visage d'Anais.

Ricardo sortit de la chambre de madame Sainclair. Miguel et les deux putes également suivis par madame Sainclair et sa fille rouge de honte. A grands renforts de claques sur le cul pour qu'elles obéissent Carmen et Guadalupe les ont obligées à s'habiller comme des putes. Madame Sainclair porte un top moulant extrémement décolleté laissant apparaître la naissance de ses seins. La minijupe en cuir qu'elle porte s'arrête aux tiers de ses cuisses. Elle a gardé les escarpins à brides qu'elle portait.

Anais avance titubant sur des escarpins vernis aux talons vertigineux. Elle n'a pas l'habitude d'en porter. Elle aussi porte un top ultra décolleté et une minijupe rouge en latex....Pour lui donner un air encore plus pervers, Guadalupe lui a fait des couettes.

Ricardo a passé un accord avec Miguel. Il a demandé si son copain Alejandro pouvait profiter aussi de ces deux bourgeoises salopes...

Alejandro, le chef cuisinier de l'hôtel « Costa del Sol » n'en revint pas quand il vit débarquer son copain Ricardo accompagnés de plusieurs personnes mais surtout de madame Sainclair et sa fille méconnaissables habillées en comme des putes. Cette même madame Sainclair sur qui il avait fantasmer en la regardant se faire bronzer à la piscine de l'hôtel quelques jours plus tôt....

Les cris de madame Sainclair et sa fille résonnent dans les cuisines. Myriam est accoudée au fourneau et se fait enculer par le chef cuisinier qui a voulu en profiter tout de suite sans même se faire suçer avant. Son ventre vient claquer contre les fesses de Myriam.

Anais est empalée sur la bite d'un autre cuisinier pendant qu'un serveur du restaurant encule la jeune fille. Elle voudrait hurler mais un autre employé de l'hotel lui a enfonçé sa bite dans la bouche et elle le suce avec avidité.

D'autres employés, prevenuent par SMS, continues d'arriver....

Il y a maintenant une dizaines de types dans les cuisines. Ils font la queue. Miguel a exigé une rétribution pour pouvoir profiter de ces deux salopes de françaises. Les employés de l'hôtel doivent lacher quelques pesos.

Debout sur ses talons aiguilles, en plein milieu de la cuisine, penchée en avant, Myriam pompe la bite d'un des mexicains. Horrifiée par la dimension de sa bite qu'elle a du mal à garder en bouche. Derrière elle, la tenant aux hanches, un gros bonhomme la pilonne.

Après avoir profité de la mère, le chef cuisinier veut la fille. Il encule sans ménagement Anais lui perforant l'anus. Anais halète, son corps secouée par les coups de pines d'Alejandro. Plusieurs employés de l'hotel se battent pout lui enfoncer leurs bites dans la bouche étouffant la pauvre Anais. La machoire déformée par l'épaisseur des bites, elle suffoque à moitiée.

Myriam Sainclair et sa fille gisent exténuées sur le sol de la cuisine. Haletantes, elles tentent de reprendre leur respiration. Elles ont été baisées pendant une heure. Dans toutes les positions. Cela a rapporté pas mal d'argent à Miguel qui devra tout remettre à El Jefe.

Les derniers partouzeurs lachent leurs foutres sur les visages de Myriam et Anais déjà recouvert de sperme.

Pendant ce temps, Guadalupe et Carmen explorent les téléphones portables de Myriam et Anais qu'elle ont pris soins d'emmener avec elles. Notamment les photos.

Elles font des commentaires en espagnol en regardant une photo.

Elles s'approchent de Miguel et a lieu un conciliabule.

Puis elles montrent la photo à Myriam qui c'est relever et tente, tant bien que mal, de reprendre figure humaine.

- C'est qui cette salope ? Demanda t'elle d'un ton autoritaire.

Elle lui montre la photo d'une femme d'un certain âge mais encore bien faite prise lors d'un cocktail. On la voit en robe de soirée, des jambes gainées de bas noirs émergant de la robe, perchée sur des talons aiguilles. Encore très appetissante...

C'est ma belle-mère, bafouilla horrifiée Myriam. Comprenant déjà ce qu'avait en tête Miguel et ses amies.

- Pas mal la belle-mère.

- Elle doit nous rejoindre demain avec mon mari. Lâcha Myriam.

Miguel eut un sourire qui n'augurait rien de bon pour la suite.....

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3 Commentaires
trouchardtrouchardil y a presque 3 ans

La vision de ces deux bourgeoises se faisant baiser dans les cuisines de l'hôtel par tous le personnel est génial.

Merci encore !

LucasDehiLucasDehiil y a presque 3 ans

Trop bon ! Une suite !

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

super en esperant des percing pour la belle mere

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