Cambriolage

BÊTA PUBLIQUE

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Je sens bientôt ma jouissance venir, je m'enfonçais alors encore plus dans les fesses de la bourge, lui arrachant un hurlement terrible avant de lui envoyer le premier sperme de sa vie.

Je ressorts mon sexe luisant de sperme et de sang du cul de la pute, qui reste prostrée sur le lit en pleurnichant, ne comprenant pas ce qu'il lui est arrivée, tout en nous regardant perdue.

Je dis à Christine, tout en lui mentant un peu, car jamais je n'ai pris autant de plaisir, pas même avec elle.

_ Putain j'ai jamais tant jouis sauf avec toi ma caille!

Y croyant, elle me répond en riant :

-- Je savais que tu ne résisterais pas!

-- C'est vrai que ton beau père te sautait?

-- Oui...

-- Tu m'en a jamais parlée...

-- C'est pas une chose dont j'aime parler.

-- Mais ça devait te faire très mal, non?

-- Oui c'est atroce comme tu peux pas imaginer, c'est pour ça que je voulais que cette petite bourgeoise sente ça dans son petit cul gâté.

Je regardes alors perversement ma complice, je lui dis :

-- Alors je vais te venger encore plus, écartes moi ses cuisses de petite pute je vais la dépuceler.

_ Je sais pas si tu peux elle me dit, devant elle est vraiment étroite!

Je rigole de sa phrase, maintenant je me moque des conséquences, je suis déjà allé trop loin. On va avoir tout les mafieux du coin au cul. Alors un peu plus ou un peu moins...

_ Si c'est rentré dans le cul, ça rentrera dans la moule! Puis c'est toi qui m'a chauffé pour la violer par derrière!

Mon sexe est redevenu dur comme du fer. Devant l'effarement de la jeune fille au pair, Christine allonge la petite oie blanche sur le dos, cuisses bien écartées, je me mets entre ses petites jambes.

Je crache sur son sexe, cela sera suffisant pour le lubrifier. Je présente mon gland devant ce petit et beau vagin, ce sera mon cadeau pour sa majorité récente. Les hurlements de la fille sont encore plus fort que pour son adorable petit cul mais rien n'y fait. Mon gros gland s'enfonce en elle sans qu'elle puisse l'empêcher.

Après une légère résistance que je prends pour l'hymen, ma bite s'enfonce de presque 10 centimètres dans le ventre de la belle blonde qui se débat de douleur, maintenue par Christine qui, avec délectation, ne loupe pas un instant de mon viol.

Je commence à limer la dorénavant ancienne vierge, lorsque la douleur trop forte la fait s'évanouir.

Je lime quelques instants cet adorable corps inerte, mais je dis a Christine.

_ Réveille-la, c'est nul de baiser comme ça!

Avec sadisme Christine assène plusieurs gifles à ma victime qui se réveille en se remettant a pleurer aussitôt. Je reprend mes mouvements lents et puissants dans le sexe de la malheureuse, lui arrachant des gémissements a chaque poussée.

Pris d'une excitation soudaine je commence a donner de grand coups de reins, ressortant presque mon sexe pour le renfoncer toujours plus loin dans son utérus. La belle petite ingénue hurle sous cette pénétration plus violente.

Mon sexe se tache de rouge sous les coups de butoir, au bout de quelques longues minutes, je m'arque a fond, puis j'envoie pour la deuxième fois mon sperme dans le corps de la blonde sanglotante.

Je me retire alors d'elle, tandis que ma semence teinté par le sang de son dépucelage commence à s'écouler du vagin que je viens de remplir. Je bande encore un peu, il me reste une cartouche. Je regarde alors la blonde puis la jeune fille au pair. Il reste un pucelage à la rousse. Elle ouvre de grands yeux paniqués quand je m'approche d'elle. Je la retourne sur le ventre, je me couche sur elle et entreprend de la sodomiser.

Je peux vous dire que la rousse à hurler dans son bâillon tout le long de mon enculage. Je la sodomise sauvagement pendant une grosse demi-heure, tandis que Christine se fait lécher par la blonde, devenue maintenant une ex-ingénue mais néo connaisseuse des choses du sexe. Ma compagne hurle son orgasme quelques secondes avant que je ne me vide dans les entrailles de la rousse. Je suis enfin repus. Juste par méchanceté, je m'enfonce dans la bouche de la blonde pour qu'elle me nettoie le sexe de sa langue. Je n'ai pas la force d'aller au bout, tant ces deux charmantes personnes m'ont vidées les couilles.

Avec Christine on se rhabillent. On décide d'emmener les deux chiennes avec nous. Pour nous tenir compagnie d'abord, puis pour financer notre fuite. Il va falloir que l'on quitte rapidement le coin avant d'avoir tout les mafieux de la ville sur le dos. Je les portent à l'arrière de notre van. Sans les rhabiller, elles auront sûrement besoin de beaucoup de choses, mais surtout pas de vêtements.

Je laisse un mot sur le lit, là où ma semence rougit par le sang des dépucelage des deux gourdes à coulée : 'Prêtes pour vos bordels', ce salaud de trafiquant saura ainsi ce que çà fait aux parents de l'est de voir leurs filles obligées d'aller se prostituer sur les trottoirs occidentaux.

On décide de quitter la France, j'active alors mes réseaux. On part une semaine plus tard, sur un cargo pour l'Amérique-du-Sud. Au passage, on enlèvent trois autres jeunes filles de dix-huit à vingt ans. Une black, une maghrébine et une européenne brune. Toutes des filles dont le père bosse dans la traite des blanches.

Cette histoire c'est passé il y a quatre ans. La rousse, d'origine anglaise, se prénomme Sandy, tandis que la blonde s'appelle Paulina. On vis tous au Nicaragua. Les cinq filles de trafiquants nous rapportent pas mal d'oseille. Il n'y a aucune autres européennes qui font les putes dans le coin. Avec Christine, on a un fils de quatre ans, qu'on élèvent confortablement. J'ai prévus de retourner en France dans deux semaines, je vais agrandir mon cheptel, en enlevant deux nouvelles filles de trafiquants, âgées de dix-huit et vingt ans. On est un peu les Dexter du viol, on ne frappe que les putains dont le père est un criminel.

À mon retour, avec Christine, on a prévu de mettre le deuxième bébé en route. On est amoureux, on a une belle vie ici. C'est le paradis. Pour Paulina, Sandy et les trois autres, je pense que c'est plutôt l'enfer. Tant pis pour elles, ces salopes n'avaient qu'à mieux choisir leurs père.

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  • COMMENTAIRES
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3 Commentaires
SalomeDSalomeDil y a plus de 3 ansAuteur
Merci.

Monsieur Touchard, merci qu'un auteur comme toi, que j'aime beaucoup, me laisse un tel commentaire. Je suis touchée.

trouchardtrouchardil y a plus de 3 ans
Noir

C'est d'une noirceur extrême, mais c'est très bien écrit et décrit.

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