Au Bois Galant (nouveau)

BÊTA PUBLIQUE

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Le spectacle est d'un tout autre niveau d'érotisme, si l'on peut parler d'érotisme.

A travers un parcours scénographié d'installations et de performances, le théâtre investit des lieux inattendus et propose aux spectateurs d'être acteur de sa soirée. Cela ressemble à des scènes d'immersion dans lequel le public peut expérimenter divers fantasmes. Le spectateur est invité à explorer l'inconnu, à basculer dans un univers où perception et imaginaire sont mis en ébullition. Entre tentation et perdition, ce cabaret propose toute une palette de nuances de plaisirs.

D'ailleurs, depuis dix minutes les quatre amis sont en apnée. Tournés vers la scène seulement éclairée par une bougie, la salle pratiquement plongée dans l'obscurité, ils observent un couple en tenue d'Eve, seulement revêtu d'un masque vénitien, mimant l'amour sur un canapé tantra. La tension dans la salle est perceptible, l'atmosphère électrique. Tout le monde rétien son souffle, on entend que les étoffes froissées car le couple expérimente plusieurs positions et ne fait pas que mimer. Tout le monde entend les soupirs, les gémissements, puis le plaisir sortir après un long cri retenu.

Lorsque la lumière revient dans la salle une jeune femme est derrière Stéphane lui demandant s'il veut la suivre. Il est surpris mais en même temps, il est tenté. Il regarde sa sœur et Paul pour demander en quelque sorte l'assentiment de sa sœur et l'encouragement de son copain. Paul l'encourage vivement quant à sa frangine elle ne peut que se montrer enthousiaste. Florence ne doit pas montrer ses sentiments face à ses amis surtout quand ils entendent une voix demander si une femme veut la rejoindre. Elle est un peu interrogative lorsque son Stéphane suit l'hôtesse mais elle est encore plus dubitative quand Paul se penche à l'oreille de sa femme et que celle-ci se lève pour aller vers les loges.

Tandis que la salle est à nouveau plongée dans la pénombre tout le monde se positionne vers le plateau. Et puis un projecteur envoie un faisceau de lumière rouge, éclairant un homme en chemise et pantalon assis sur une chaise au milieu de la scène. Chaque spectateur se tourne vers l'estrade et lorsqu'ils entendent des talons frapper les planches, tous les yeux se tournent vers la personne dans l'ombre. Arrivé dans le halo de lumière, tout le monde retient son souffle devant la beauté qui se campe dos au public, face à Stéphane. Florence regarde éberluée sa copine en escarpin seulement vêtue d'un minuscule string noir et d'un bustier de même couleur qui offre plutôt qu'il ne cache ses seins. Pendant tout le show de sa copine elle reste interdite sur sa chaise. Car s'est bien un show qu'effectue, et quel show!

Assise dans un premier temps sur Stéphane, le buste collé à son torse, bougeant langoureusement son bassin, elle attire sa tête au milieu de ses seins et la tien collée alors qu'elle lui ébouriffe les cheveux. Puis au bout de quelques minutes elle se relève, se tourne face au public et s'assoit lentement en se tenant sur les genoux écartés de Stéphane. Celui-ci n'a pas le droit de bouger ses mains sauf demande de sa partenaire aussi il souffre le martyr lorsque celle-ci bouge son fessier de bas en haut et de bas en haut, il souffle de manière erratique lorsqu'elle tourne son fessier sur son sexe en érection. Pendant plusieurs minutes elle incendie Stéphane puis se lève, fait le tour en lui collant sa poitrine sur la tête, défait les boutons de sa chemise, caresse et griffe légèrement ses pectoraux.

Sur une musique lascive et profondément érotique elle réitère plusieurs fois son manège et puis le projecteur baisse en intensité. Tout le monde pense que le spectacle est fini. En fait le faible trait de lumière qui éclaire la scène est le signe pour Jane de poursuivre son show, presque dans l'intimité. C'est comme cela qu'hallucinée, Florence distingue sa copine debout face au public, passer les bras dans son dos et décrocher son bustier. Ensuite elle la voit mettre ses doigts de chaque coté de ses cuisses, les insérer dans les ficelles du string. « Elle prend son temps pour baisser son string cette garce » fulmine-t-elle. En effet, courbée sans fléchir les jambes, Jane se tortille pendant un temps infini afin de donner une vue parfaite et détaillée à Stéphane. Celui-ci est au supplice. Tout son être voudrait se ruer dans cette femelle, la baiser comme un forcené, se vider et ne plus subir la douleur de son arbre tendu.

Totalement nue Jane s'assoit à nouveau sur Stéphane et recommence à se frotter sur lui. Normalement elle avait décidé d'arrêter le spectacle à ce moment-là, cependant ce fantasme qu'elle avait rêvé plusieurs fois et auquel Paul adhère, l'excite encore plus que ce qu'elle imaginait. Elle ne peut et ne veut plus s'arrêter. Elle se relève alors, penché les jambes tendues et ouvertes face au public ravi, elle ouvre la braguette de Stéphane et extirpe le pieu de sa cache. Elle est folle lorsqu'elle aperçoit le bâton veineux. Or elle se retient de le mettre dans sa bouche et sous le regard atterré de Stéphane elle crache une grande quantité de salive sur le monstre et l'étale consciencieusement.

Florence ne se rend pas vraiment compte de ce que fait sa copine, elle essaye de deviner, par contre elle voit très bien la hampe dressée de son frère, lorsque sa copine se retourne. « Elle ne va tout de même pas se baiser devant son mari » se dit-elle. Et elle regarde rapidement Paul qui ne semble pas contrarié. Elle est malade, mais ne peut rien faire.

Sa copine est maintenant assise sur son frère et il lui semble qu'elle le branle entre ses fesses. Elle aperçoit par contre très clairement Jane prendre les mains de son frangin pour les poser sur sa poitrine. Il ne lui échappe pas qu'elle est aux anges quand il lui agrippe et serre ses seins. En effet son jus coule entre ses cuisses. Stéphane aussi est excité comme un fou. Accompagnant les mouvements de la belle rousse, il va bientôt jouir. Or Jane le ressent aux pulsions de la bite entre ses fesses et ne veut pas que Stéphane éjacule dans sa raie. Aussi elle repousse les mains, se relève rapidement, se retourne et s'accroupi entre les cuisses de son ami et plonge sur la bite tendue. Elle est encore surprise par le diamètre du pieu car elle doit ouvrir grandement sa bouche, or cela la ravi de lécher, sucer un tel monstre. Il ne lui faut que quelques aller et retour pour extirper un brame de Stéphane avec la sève qui l'inonde, et encore moins de temps de jouir après qu'elle ait mis sa main entre ses cuisses et qu'elle avale le jus.

De retour dans la loge pour se rhabiller, elle est encore tremblante de l'orgasme. Elle n'arrive pas à croire tout ce qu'elle a fait, mais ne le regrette aucunement. C'est l'un des meilleurs moments qu'elle ait vécus.

Revenu à la table, Stéphane est silencieux tandis que Paul félicite sa compagne pour le spectacle. Florence ne fait aucune remarque, et sourit même à sa copine, lui montrant par ce geste qu'elle ne la juge pas.

Lorsque les deux couples sortent, Paul demande s'ils veulent prendre un dernier verre chez eux, cependant Florence décline gentiment l'invitation, prétextant la fatigue et les obligations du lendemain. Il est hors de question que ces amis l'entrainent dans une partie carrée. Paul et Jane n'en prennent pas ombrage. Ils se quittent sur le parking.

12) Fin de soirée agitée.

De retour au bois Galant, l'excitation de Florence n'est pas retombée, bien au contraire. Elle pense à sa copine et tout ce qu'elle veut faire cette nuit.

Sitôt la porte de la maison franchie, elle la ferme juste derrière elle. « Il faut fêter cette nouvelle année » dit-t-elle en prenant la main de son frère et le conduisant précipitamment dans la chambre. Assis toi mon chéri... je veux te sucer lui dit-elle en le poussant vers le lit. « Je vais te sucer jusqu'à ce que tu jouisses dans ma bouche et te faire regretter la bouche de cette garce... j'espère pour toi qu'il te reste quelque chose pour moi... salopard! » ajoute-t-elle lubrique en se déshabillant précipitamment.

Submergé d'excitation, Stéphane sent sa queue se contracter et se courber vers son ventre. Alors que sa sœur descend son pantalon jusqu'à ses chevilles, la vue des longues jambes, des cuisses et du petit triangle de tissu noir du string maintenu en place par les fines ficelles remontant sur ses hanches lui fait couler du liquide séminal dans son boxer.

Il est hypnotisé par la vue de sa frangine capable de devenir la femme la plus érotique à ses yeux. Ses cheveux relevés en queues de cheval, son maquillage modifié pour l'occasion du repas la rend encore plus irrésistible à regarder.

« Mon Dieu, Floooo!... Comme j'aime quand ma grande sœur est une salope » dit-il alors qu'elle se déplace entre ses jambes, abaisse pantalon et boxer en même temps, caresse sa tige épaisse les yeux dans les yeux, lubrique à souhait.

Glissant ensuite ses lèvres à mi-longueur de lui, elle passe sa langue contre le dessous sensible. « Putain! je ne me souviens pas avoir été plus excité ou plus heureux » pense t'il.

Florence suce la tête de sa queue tout en tirant sa main de haut en bas sur sa tige veineuse. Elle se presse à chaque fois de prendre sa bite dure plus profondément dans sa bouche et fait de son mieux pour s'abandonner au rôle de soumise. Elle gémit avec une bouchée de bite alors que son esprit savoure le mot « salope » et sait que cela s'applique pleinement à elle maintenant.

Stéphane ferme les yeux et repose la tête en arrière pendant que sa frangine bouge la tête de haut en bas en lui caressant les couilles. Ses tétons durs frôlent ses cuisses tandis que sa langue talentueuse danse autour de sa queue.

C'en est trop, il sent la tension monter rapidement. Il attrape alors la tête de sa sœur et enlace ses doigts dans ses cheveux. Leurs yeux se croisent. Elle pompe sa queue dans un mouvement rapide avec ses lèvres enroulées autour de la tête. Stéphane voit les yeux de Florence s'ouvrir de surprise et la sent haleter autour de sa grosse bite qui remplit sa bouche et lui chatouille la gorge.

Elle fait glisser sa bouche vers le haut pour ne garder que la tête dodue de sa bite dans sa bouche alors qu'elle gémit de manière incontrôlable, suçant désespérément le bouton charnu et chaud de la tête de son frère.

Elle n'arrive toujours pas à croire que sucer son petit frère l'excite autant. Est-ce le fait de lui donner du plaisir, participer à l'inceste ou encore paraitre soumise au désir de son frangin, une grande sœur dévouée.

De son côté Stéphane est sur un nuage. Entendre sa sœur gémir avec sa bouche pleine est un enchantement. D'ailleurs, alors qu'elle se balance sur sa tête, il sent un orgasme se développer. Il est sur le point d'avertir sa sœur lorsqu'elle plonge sa bouche aussi profondément qu'elle le peut sur sa queue et il sent le premier jet de sperme incontrôlable gicler. Il baise Florence dans la bouche, crachant du sperme qu'elle avale de toute urgence pendant qu'il lui maintient la tête en place.

« Elle suce et avale comme une gentille fille » sont les mots qui lui viennent à l'esprit. Il est outré d'avoir ce type de réflexion lui qui aime tant sa sœur, et en même temps ces quelques mots, l'excitent. Il se vide avec fureur.

Florence sent le liquide chaud du sperme de son frère jaillir au fond de sa bouche et fait de son mieux pour soulever sa bouche alors qu'elle s'étouffe de surprise, avalant une partie de son jus tandis que le reste se déverse sur sa bite et coule sur son ventre. Florence déglutit pour s'éclaircir la gorge et ferme les lèvres contre les dernières poussées qui jaillissent et pose ensuite son visage sur le ventre de son frère avec la bouche ouverte à la base de sa queue, alors que les dernières gouttes de sperme suintent.

« Putain! Flo! » soupire Stéphane « c'était... Je n'ai pas de mots »

« J'ai apprécié aussi », dit-elle en rampant et se blottissant contre lui.

Ils se câlinent puis Stéphane la retourne lentement pour l'admirer. Quand ses yeux se régalent de ses magnifiques seins, il laisse échapper un sifflement appréciateur, puis son regard dérive vers le bas, le ventre plat, le ticket de métro, les lèvres charnues, l'ouverture luisante.

"Tu m'embrasses!" » murmure-t-elle

,

« OH OUI, je vais t'embrasser ma grande sœur! »

« Oh...tu veux dire... », sourit-elle en le voyant se lever, descendre du lit et observer son minou frémissant. Elle écarte les jambes de manière invitante, puis cache sa chatte avec sa main tout en le fixant avec son regard lubrique. « Tu ne vas pas lui faire de mal? » ajoute-t-elle coquine. Sa chatte est en feu, trempée comme une crue éclair.

« Ouah! » murmure-t-il en se plaçant entre ses jambes. « Tu es vraiment mouillé. » Remarque t'il en voyant les lèvres de la chatte brillantes d'humidité. Il respire profondément par le nez, aspirant son arôme féminin. C'est comme une drogue qui le fait planer. Même si elle n'a pas besoin de beaucoup de taquineries, il lui lèche quand même les lippes.

"Mmmmmm", gémit-elle, se tortillant et essayant de mettre sa langue en contact avec son bouton. Finalement, il penche son visage directement sur vulve ouverte et lèche longuement du bas de sa fente jusqu'au sommet de son clitoris. Le goût, mélangé à son arôme, est incroyable

« Oh ouais! Oh mon fanou! » gémit-elle alors qu'il aspire doucement une des lèvres, faisant tournoyer sa langue tout autour, la mordillant légèrement avant de passer à l'autre.

« Aaaahhh, Oh mon Dieu! C'est si bon! » soupire-t-elle.

Il glisse ses bras derrière ses genoux, soulevant ses jambes pour lui donner un meilleur accès à son ouverture. Glissant sa langue entre ses lèvres mouillées, il lape son jus.

« Oh! Steph! Oh! Mon dieu! » pleure-t-elle alors qu'il glisse sa langue dans et hors de son trou glissant. Elle est trempée. Son jus recouvre sa bouche et ses joues alors qu'il bouge la tête d'un côté à l'autre.

Florence se débat sur le lit, lui attrape les cheveux et lui met sa vulve bouillante contre sa bouche.

« Oh mon Dieu! Oui! » S'exclame-t-elle alors qu'il remonte sa langue pour lécher le haut de sa fente, juste en dessous de son clitoris. Glissant deux doigts dans sa chatte ensuite, il les pompe dedans et dehors et passe légèrement sa langue sur son clitoris exposé. Au moment où il suce son bourgeon sorti de son enveloppe protectrice, elle est presque hystérique.

« Ohhhhhhhhh! Putain! » crie Florence le corps tordu, frottant ses doigts et poussant son clitoris contre sa bouche. « Ne t'arrête pas! J'éjacule, Steph! ne t'arrête pas!!! » Elle lui tient la tête tout en pressant fébrilement sa chatte.

Il continue de lui sucer le clitoris, essayant de le garder dans sa bouche pendant qu'elle se tord sur le lit. Juste au moment où il pense qu'il ne peut pas rester avec elle, elle serre les muscles de sa chatte autour de ses doigts et laisse échapper un fort gémissement.

« Aaaaarrrrrrrgggggghhhhhhhhh! » crie-t-elle, écrasant fermement sa tête entre ses cuisses alors qu'elle tremble et frissonne pendant son orgasme. Quand elle relâche enfin la pression sur l'arrière de sa tête, il commence à laper son jus, mais il continue de la lécher jusqu'à ce qu'elle recommence à se balancer contre sa bouche. Une fois de plus, il utilise ses doigts et en même temps aspire son clitoris, le dévore, jusqu'à un autre orgasme intense. Cette fois, elle est encore plus frénétique, se tortillant partout dans le lit, attrapant ses cheveux et lui écrasant le visage jusqu'à ce qu'il puisse à peine respirer. Quand elle jouit enfin, c'est comme si quelqu'un avait ouvert les vannes d'un réservoir. Florence l'inonde sur tout son visage.

Pas mécontent de lui, le sourire aux lèvres, Stéphane se redresse et s'allonge alors à coté de sa sœur.

Encore frémissante, florence enroule ses bras autour de son cou et presse son corps contre lui, puis prend la tête de son frère entre ses paumes, la sert délicatement et plonge son visage sur lui. La bouche ouverte, gourmande, elle l'embrasse intensément, passionnément.

« Oh Fanou, comme je t'aime... j'ai tout le temps envie de toi » lui dit-elle en abrégeant le baiser.

Elle replonge ensuite sa langue dans la bouche qui l'accueil avec ferveur tandis que les bras puissants de son frère l'enveloppe, la serre, lui caresse langoureusement le dos. Elle frissonne. Elle est amoureuse comme elle ne pensait jamais l'être. Aussi quand les mains se positionne maintenant sur son cul, malaxe ses fesses elle se décale vers l'oreille de son frère

« Ce soir sera une soirée spéciale pour vous, Monsieur. » Dit-elle coquine en se mordant la lèvre inférieure. Stéphane est un peu surpris quand elle l'appelle Monsieur, mais pense ensuite qu'elle dit ça pour paraître méchante. Et c'est ce qu'elle est.

Lentement, elle se penche en avant et rapproche ses lèvres de celle de son frère. « J'ai bien remarqué que tu l'aime... mon cul » et Florence s'entend dire effrontément. « Tu ne veux pas me prendre par derrière »

« Quoi!!! » s'exclame t'il pris de court.

« Tu sais... mettre ton saucisson dans mes fesses » ajoute-t-elle lubrique.

« Oh!!! » réagit-il en souriant.

« Et ne fais pas l'innocent... ça ne te va pas... j'ai remarqué tous ces jours passés, à la piscine, les regards sur mes fesses. En plus tu passes ton temps à les triturer comme de la pâte à modeler... et puis, sous prétexte de me protéger les fesses, tes doigts me badigeonne la raie. » proclame t'elle salace.

« Tu te fais des idées »

« Oui... c'est cela... Je ne vais pas m'en plaindre non plus, ça m'excite aussi, t'es doigts qui s'égarent... »

« Mais tu sais que j'adore tes seins » rappelle-t-il narquois.

« Oh oui, ça je le sais... mais n'empêche que tu aimerais mettre ton bâton dans mes fesses » dit-elle en le regardant dans les yeux, le sourire aux lèvres « tu aimerais m'ouvrir le trou du cul, t'enfoncer à fond et me faire brailler ensuite sous tes coups de boutoirs » ajoute sa sœur, vicieuse.

« Salop!!!... Tu bandes à nouveau » signale-t-elle « tu ne peux pas me mentir. Je le savais que tu es un infame pervers... ça t'excite l'idée de sodomiser ta grande sœur innocente... lui ouvrir son petit trou et la faire crier avec ton gros truc » relance t'elle en mimant la femme outrée. « Tu crois que je ne l'ai pas senti hier!... Ton doigt dans mon cul, sale vicieux! » renchérit Florence.

« Je ne l'ai pas fait exprès... il a glissé » réplique Stéphane de mauvaise foi évidente.

« C'est cela oui... tu vas aussi me soutenir que les poules ont des dents...mauvais garçon! »

« Allez ne dis rien et viens ouvrir mon petit trou » lui dit elle les yeux pétillants en soutenant son regard. Et puis florence se rallonge sur lui, imbriquant son corps étroitement. Elle lui murmure : « toi si tu en as pas envie, en tout cas ton vilain copain me tapote le ventre... apparemment il veut découvrir si ma rosette est plus accueillante que ma chatte. »

« Ohhhh... mais que tu es méchante ce soir »

« C'est de ta faute... toute la soirée tu as maté les seins de ma copine... une garce en chaleur... tu croyais quoi?... que j'allais regarder sans réagir! » lui dit-elle en relevant la tête, les yeux dans les yeux. « Allez mon amour, fais de moi une femme heureuse... » lui dit-elle amoureusement en se mettant à quatre pattes à côté de lui.

« Florence!... tu veux vraiment le faire! »

Celle-ci ne répond rien. Elle ne peut pas. Extrêmement excitée par toutes les paroles salaces qu'elle lui a sorties, elle frissonne d'appréhension et de désir. La sodomie est un fantasme qu'elle cultive depuis longtemps, mais en plus, se faire enculer par son petit frère est un double tabou qui la fait chavirer. Elle se représente l'image d'elle la tête dans les draps, les fesses écartées, le cul relevé, offerte à son frangin. Elle se voit déjà crier quand il l'ouvrira, miauler ensuite lorsque le pieu écartera son colon et gueuler ensuite quand il la martèlera sauvagement, car bien sur elle l'encouragera. Elle aime faire l'amour langoureusement, mais ce qu'elle adore par-dessus tout c'est lorsque Stéphane perd le contrôle, qu'il la fait sortir de sa zone de confort. Tout le monde a ses petits secrets et le sien, elle l'a découvert récemment. Elle adore baiser sauvagement. Elle ne connait pas encore ses limites, or elle aimerait que son frère la bouscule, joue avec elle à des jeux méchants, très méchants. Elle devient folle quand il se transforme en hussard impatient, en animal fougueux, en primate incontrôlable.

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