Au Bois Galant (nouveau)

BÊTA PUBLIQUE

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Sa bite dans un état de semi dur depuis vingt minutes, se réveille maintenant avec une vigueur renouvelée alors que le sang se précipite pour remplir ses canaux caverneux. Stéphane s'émerveille à la vue des collants roses dessinant parfaitement les lèvres et la fente du fruit défendu. Le dos cambré, les genoux écartés, cette pose étire si finement son legging que Stéphane peut distinguer l'intégralité du string ou plutôt la ficelle qui coupe sur toute la longueur le fessier. Il peut même voire où le string fend les lèvres, poussant les lippes charnues de chaque côté.

Ce nouveau jeu est une nouveauté pour Florence. Elle y prend énormément de plaisir. Tourmenter son frère est un régal. Elle n'est pas dupe, sous son indifférence apparente, son frangin la reluque dès qu'elle a le dos tourné. Elle remarque son inconfort, son regard fuyant, les absences alors qu'elle s'adresse à lui. Il est souvent perdu dans ses pensées. « Quoi? qu'est-ce que tu dis » lui répond-il alors qu'elle s'adresse à lui. Souvent elle doit répéter sa phrase.

Florence est elle-même excitée par toutes ses manigances. De surcroit elle découvre que jouer la coquine l'affecte plus qu'elle ne l'aurait imaginé. Elle mouille abondamment.

Cependant tout ceci ne décoince pas Stéphane.

Florence ne désarme pas pour autant. Avec ses hormones au plus haut, elle ne peut rester indéfiniment dans l'attente. Elle doit trouver une solution pour confronter son frère. Florian se trouve certainement en plein dilemme et n'arrive pas à faire un pas vers elle. Seulement, il réagit à la vision de son corps. Bien sûr, elle continue de plus bel à descendre le matin en nuisette pour lui préparer son petit déjeuner, et ce soir elle innove en portant un legging, cet achat qu'elle s'est permise sur un coup de tête. Stéphane à l'air d'apprécier, pourtant ce n'est pas suffisant. Florence réfléchit alors à toute sortes de situations qui pourraient faire craquer son frère sans que pour autant elle ne soit indécente. Elle ne voudrait pas qu'il la considère comme une fille facile, une aguicheuse.

Elle pense avoir trouvé ; Une journée à la mer. Il sera obligé d'être constamment avec elle, s'occuper d'elle. Il ne pourra s'échapper.

Jeudi soir Florence convainc son frangin de passer le prochain weekend sur la cote. Il a bien tenté toutes sortes de parades pour éviter d'y aller, mais sa sœur fut tellement persuasive qu'il a cédé..à la mer malgré toutes ces parades.

7) A la mer samedi 7 juillet 2029

C'est le grand jour. Le temps s'annonce magnifique, idéale pour aller passer une journée à la plage. Lorsque ce matin Stéphane descend, il est encore surpris. Sa sœur l'étonne de jours en jours. Revêtue d'un paréo simple et classique, une tunique blanche lui tombant à mi-cuisse avec un décolleté brodé apportant une touche sophistiquée, les lunettes de soleil sur le nez, Florence est ravissante.

« Ça y est, tu es prêt! On peut y aller » lui dit-elle souriante.

Il est dix heures lorsqu'ils s'installent sur la plage des sablières au vieux boucau. Il y a déjà beaucoup de monde, les vacanciers sont nombreux. Lorsque Florence décide de se poser, Stéphane ne peut s'empêcher de remarquer à droite un groupe de huit jeunes étudiants avec quatre filles sublimes et à gauche, un couple mixte, une jeune femme dans la trentaine avec un homme beaucoup plus âgé. Entre les jeunes femmes brunes et blondes en topless et la black allongée sur son drap de bain seulement couverte par un haut mini et un string, il ne sait où tourner de la tête. Elles sont toutes ravissantes.

« Et si tu étalais les serviettes » lui demande Florence en souriant. Elle remarque évidemment pourquoi son frère est dans la lune.

« Oui bien sur » répond-il sortant de sa rêverie.

Il étale les draps de plage et s'assoit sur l'un deux, les genoux pliés, puis allongé en se reposant sur les coudes, observant la mer. Il ne fait pas attention à ce que fait sa sœur car il est rapidement attiré par l'activité de la belle black à deux mètres de lui. Il lui semble que cette jeune femme a des racines Ethiopienne. Cette trentenaire aux très longues jambes a un visage fin, des pommettes hautes, des cheveux ébènes, de grands yeux, des lèvres charnues et une peau soyeuse. Il est sous le charme.

Son cœur manque d'ailleurs un battement lorsque l'Ethiopienne attrape la bouteille d'huile de bronzage et en asperge ses mains. Elle commence par ses pieds et remonte ses longues jambes toniques. L'huile brille au soleil alors qu'elle l'applique sur sa peau avec des mouvements délibérément lents et sensuels. Ayant mis ses lunettes, Stéphane se croit à l'abris pour regarder la belle trentenaire appliquer l'huile de bronzage sur ses cuisses. Il est hypnotisé par les mains voyageant sur les muscles toniques, l'huile laissant un éclat luisant dans son sillage. Il peut voir le plaisir que la belle tire des sensations. Sa respiration devient difficile alors qu'elle continue à faire pénétrer la protection sur ses cuisses, les yeux fermés et les lèvres légèrement entrouvertes de plaisir.

Stéphane ne peut pas s'empêcher de retenir son souffle. La belle black prend son temps. Elle fait maintenant pénétrer l'huile sur son ventre et sa poitrine. Sa peau parait presque surnaturelle au soleil, lisse et brillante. La façon dont elle bouge son corps est incroyablement séduisant pense-t-il, et Stéphane se sent de plus en plus excité. Elle passe ses mains sur ses courbes, s'assurant que chaque centimètre carré de sa peau sensible, est couverte. Il la regarde avec admiration appliquer l'huile sur les parties exposées de ses seins puis, glisse rapidement ses mains sous son haut de bikini, frottant ses doigts sur ses mamelons clairement durs.

C'est alors que l'Ethiopienne tourne son visage pour jeter un coup d'œil à Florence et Stéphane, révélant qu'elle sait que son voisin la regarde.

« Tu sais que ce n'est pas bien de fixer les jeunes femmes, surtout si elles sont accompagnées » chuchote Florence dans son oreille, le sourire aux lèvres. « On dirait que mon frère n'a jamais vu une femme de couleur » insiste t'elle ironique.

Pris la main dans le sac, Stéphane se retourne pour répondre à sa sœur mais sa réplique est bloquée dans sa gorge.

« Ferme ta bouche... tu vas gober les mouches » relance t'elle amusée. Celui-ci n'a pas vu que dans l'intermède sa frangine a ôté sa tunique. Lorsqu'il s'est tourné, elle sourit alors qu'elle étale la crème de protection sur ses jambes. Lui, il l'observe, médusé. Florence n'a rien à envier à la belle Ethiopienne. Elle est magnifique, et plus encore dans ce mini bikini. Il est saisi par la petitesse de celui-ci, les deux triangles blancs ne coiffent non seulement qu'une partie de sa formidable poitrine mais en plus le tissu est assez fin pour que les aréoles ainsi que les tétons soient visibles.

D'un seul coup il a l'impression que tout son sang s'est propulsé dans sa queue.

« Et si tu me mettais un peu de protection dans mon dos » lui dit-elle en lui passant le tube de crème. « Je vais bronzer un peu » enchaine t'elle en se retournant pour s'allonger sur le ventre.

« Oui bien sur » se reprend-il.

Lorsque sa sœur se retourne, il manque de s'étouffer. Sa frangine porte un string. Il a l'impression de la voire totalement nue surtout qu'allongée, elle dénoue le cordon de son haut de bikini et ouvre l'attache dans son dos. Il est énormément perturbé.

Il essaye de se reprendre et toujours tourneboulé, à genou à côté d'elle, il fait couler de la lotion sur son dos et l'étale consciencieusement. Tout en rêvant, il ajoute plusieurs fois de la protection qu'il applique des épaules au bas des reins sans jamais se lasser de la peau douce qu'il effleure maintenant sans s'apercevoir qu'il y a longtemps que toute la surface est protégée. Il retrouve avec plaisir les sensations éprouvées au bord de la piscine et ne réalise pas que ses mains, devenues indépendantes, remontent souvent le long des côtes pour mourir sur le dessous des seins. Il est sur un nuage. Florence exprime son contentement en lui disant à quel point ses mains sont douces, mais l'informe qu'il peut aussi protéger le reste de son corps. « Mets en aussi sur mes jambes... et n'oublie pas mes fesses. » et ajoute pernicieuse, « je pense que j'ai le cul tout blanc, j'aimerai ne pas bruler!!! »

Toujours à genou, mais déplacé au niveau genoux, il commence alors à recouvrir ses chevilles, ses mollets et remonte doucement, passe sur l'extérieur et l'intérieur aidé par la deuxième main en étau, massant plus qu'il n'enduit la cuisse. Il doit faire attention que ses doigts ne s'approchent pas dangereusement de la fourche alors que fasciné ses mains montent et descendent pour oindre copieusement la cuisse. Ensuite il réitère le traitement sur la deuxième jambe puis s'attèle avec délice à protéger les fesses. Emporté par l'excitation, il applique la même pression que sur les cuisses. Or la plasticité des fesses de sa sœur est totalement différente, la chair est moelleuse. Par mégarde ses mains se trouvent donc à malaxer son cul dans un premier temps puis s'apercevant de l'indélicatesse, Stéphane se reprend, confus il finit en étalant avec douceur la protection.

Si faire le dos de sa sœur l'excite, faire ses jambes et surtout ses fesses est bien pire. C'est un véritable supplice. Le bikini de Florence dévoile son superbe cul. Ses rondeurs si magnifiquement exposées sont des fruits murs qu'il a la tentation de palper, serrer et même mordre. Malgré son esprit totalement anesthésié, il a essayé de rester éloigné de son entrejambe.

Ce n'est pas l'avis de Florence. Une ou deux fois elle a senti le contact de ses doigts flirtant avec ses lèvres. Elle n'a rien dit et ne l'a pas non plus arrêté. Les yeux fermés, elle savoure et pire encore, lorsque son frère s'est attaqué à ses fesses elle est au bord de l'extase. Elle ne peut retenir l'écoulement qui s'insinue a travers ses lèvres, elle est impuissante face aux mains puissantes de Stéphane lui triturant pratiquement le cul.

« Ça y est, je crois que tu es totalement protégée » lui dit Stéphane

.

Pendant presque une heure elle reste allongée, assoupie. Pendant ce temps son frère patiente à côté d'elle. Il feuillette une revue mais jette régulièrement un œil sur les jeunes femmes autour de lui.

Et puis, alors que la fin de matinée devient plus chaude, Florence se réveille et décide d'entrainer son frère à l'eau, piquer une tête dans l'océan pour se rafraîchir. L'eau est chaude et accueillante, et tous les deux s'éclaboussent de manière ludique, sautent dans les vagues rafraîchissantes, s'ébrouent ensemble, se chamaillent. Il y a beaucoup de contact entre eux deux. Florence est incroyablement affectueuse, tout jeu est une opportunité pour toucher son frère, ses doigts effleurant sa poitrine, ses bras l'encerclant par derrière, se collant à son frangin par tous les moyens. Elle le provoque avec bravade. Stéphane ne peut pas s'empêcher de remarquer ses tétons, exposés par le tissu transparent. Il a les nerfs qui vibrent d'excitation. A chaque contact et notamment lorsqu'elle serre sa poitrine contre son dos, il ressent des décharges électriques le traverser. Assez souvent, Florence vient se coller à son frère, mais il fait mine de ne pas y prendre garde. L'exercice est difficile, parce qu'entre son cul qu'elle sait si bien faire bouger contre son bas-ventre, et ses mains qui le touchent lorsqu'elle fait quelques mouvements sous l'eau. Il ne peut pas s'empêcher de se demander si Florence sait l'effet qu'elle a sur lui. Elle le rend nerveux.

Sortir de l'eau ne va pas être une mince affaire, se dit-il.

L'amour qu'il ressent pour Florence en tant que petit frère et plus tard comme que colocataire ne fait que grandir. il tient vraiment à sa grande sœur, il l'aime profondément, mais réalise qu'il tient suffisamment à elle pour hésiter à lui montrer franchement ses sentiments. Il est persuadé que s'il fait quelque chose de sexuel, qu'il laisse le désir l'encourager à franchir la barrière de l'inceste, il n'y aurait pas de retour en arrière.

Pourtant il lui faut beaucoup de réserve pour ne pas craquer, son cœur bat la chamade.

Sorti plus vite de l'eau, cachant son érection à la vue de sa frangine, il est assis sur le drap de plage. Il l'observe émerger de l'eau, la regarde se rapprocher d'une démarche naturelle. Elle ne fait rien pour attirer les regards, son pas est assuré, l'allure est régulière, sans déhanchements provocateurs, pourtant sur la plage, beaucoup de visages, hommes ou femmes, se tournent vers elle. Certains l'observent cachés derrière leurs lunettes, discrètement ou non alors que d'autres, la reluquent, la fixent, l'examinent, avec envie et luxure pour la gent masculine mais aussi jalousie et dégout quand il s'agit du monde féminin. En fait tout en elle est sensualité.

Comme Stéphane, ils sont hypnotisés par cette grande brune taillée comme une mannequin qui aurait un cul pommé et surtout deux obus pointant outrageusement. Evidemment avec la finesse de sa stature, sa lourde poitrine parait presque une anomalie. C'est aussi ce que pensait Florence il y a peu de temps. Mais depuis cet été, elle est réconciliée avec sa poitrine arrogante.

Les lunettes remis sur son nez, Stéphane note mentalement les fines bretelles s'efforçant de retenir les petits morceaux de tissu triangulaires qui luttent pour couvrir ses incroyables seins. Et puis son regard est attiré par le string et plus particulièrement par ce qu'il est sensé cacher. Le mini triangle offre plutôt qu'il ne cache les trésors de sa sœur. La fine ficelle en bas qui maintient le tout ensemble est aussi tendue qu'une corde de violon et le triangle humide dessine la vulve saillante. Le fin tissus épouse, sublime et révèle avec plus d'impudeur que la nudité complète, les deux monts charnus des lèvres et la fente ouverte au milieu. Le pire est qu'elle doit en être consciente car à une dizaine de mètres de Stéphane, Florence a simplement pris un doigt pour remettre son maillot de bain en place. Elle n'a pas essayé de cacher ce qu'elle fait mais il n'a pas l'impression qu'elle fait cela délibérément pour le taquiner.

Il a tort.

D'ailleurs après le pique-nique sur la plage, Florence à l'envie de taquiner encore plus son frère. Elle se met sur le ventre, commence à bronzer, puis lui demande s'il peut de nouveau lui mettre de la crème solaire. « Pas de problème ma chère sœur » lui répond-il instantanément. Il sait qu'il va encore avoir des problèmes d'érection, mais la tentation est trop grande. Il y prend gout. Toucher à nouveau sa sœur, la caresser, sentir l'onctuosité de la peau sous ses doigts est un plaisir vertigineux. Elle s'allonge alors confortablement, puis comme auparavant, passe une main dans son dos, dégrafe son haut de maillot, mais en plus l'enlève complétement et le pose près d'elle. Elle l'étonnera toujours, mais ne s'en plaint pas. Entrapercevoir sa belle poitrine, regarder ses seins consistants s'écraser sous elle est un spectacle qu'il ne peut refuser.

Il la badigeonne longtemps, soigneusement puis elle lui propose aussitôt de lui passer de la crème à son tour. Il acquiesce. Elle se lève alors libérant ses deux seins nus particulièrement excitants avec leurs aréoles en cône, tellement tendus que l'on s'attend à voir du lait couler des tétines

.

« Ça ne te dérange pas que je ne remette pas mon haut, j'ai envie de bronzer topless. » lui dit-elle coquine.

« Tu fais comme tu veux... mais fais attention de ne pas bruler » répond-il pour masquer son émoi.

Un voile passe devant ses yeux éblouis. Il n'a jamais vu une poitrine aussi excitante. Pourtant comme nombreux de ses congénères, il en a vu de toutes sortes sur le net, mais comme celle-ci, surtout à cinquante centimètres de lui, non, cela ne s'est jamais produit. Protégée par le petit soutien, il était déjà fasciné par leur taille, mais là, il manque d'air tellement ses seins lui semblent superbe. S'il n'entendait pas les rires et les cris tout autour de lui, il dirait qu'il rêve. Et quel rêve! oh bien sur la poitrine s'affaisse légèrement, ce qui est normal vu leur taille. Cependant il trouve extraordinaire leur forme si singulière, si fière, si arrogantes, mais sans conteste, excitantes. De petits pamplemousses sur lesquels un cône serait placé, un cône à couleur chair avec une large collerette brune en son sommet elle-même réhaussée d'une tétine proéminente plus foncée.

Avec les lunettes de soleil toujours sur ses yeux, Stéphane pense que sa sœur ne peut pas voir la direction de son regard.

Il se trompe.

Dans un premier temps, lorsque négligemment Florence regarde autour d'elle, elle est stupéfaite de voir autant de personne la dévorer du regard. Elle se demande si elle ne devrait pas se couvrir. Les voyeurs la dérangent un peu, mais quand elle s'aperçoit que son frère est pratiquement en état catatonique, elle se rend compte de l'attrait réel de ses seins, de l'effet qu'ils font. Elle est rassurée. Elle est d'ailleurs amusée et ravie aussi que son frère soit tétanisé par la vue. Elle se sent convoitée et elle adore cette sensation, mais plus encore, cela l'excite, et ce n'est pas le slip de bain de Stéphane fortement déformé qui endigue la chaleur entre ses cuisses. Il y a quelque temps elle trouvait sa poitrine trop forte et surtout trop pointue. Certaines femmes ont une poitrine conséquente en forme de poire alors que d'autres des seins plus modestes avec la particularité de pointer comme des obus mais il est très rare qu'une femme ai les deux ensembles. La poitrine lourde et pointue de Florence défie la gravité au-delà de toute croyance et c'est cela qui la rend unique. Aussi quand une femme, notamment la vendeuse de la boutique de lingerie s'est émerveillée devant sa poitrine et lui a assuré qu'elle n'était pas moins que prodigieuse, Florence s'est réconcilié avec son corps puis aujourd'hui, elle prend conscience de sa chance.

« Assis toi là » lui dit-elle en prenant le tube de ses mains. Florence se positionne alors derrière lui, à genou, les fesses sur ses talons.

« Pourquoi? tu crois que je ne saurais pas me protéger les seins!!! » relance t'elle ingénue en étalant la crème sur sa main. Elle couvre ensuite minutieusement le dos de son frère puis, se levant sur ses genoux, elle protège délicatement le visage, le cou, les épaules en descendant sur le devant pour oindre le haut du torse et enfin, passe ses deux bras autour de lui pour finir le ventre. Se faisant, Florence doit se rapprocher de son frangin et ses seins viennent caresser, s'écraser contre son dos. Evidemment la coquine a sciemment collé sa poitrine contre Stéphane. Il n'ose pas bouger de peur de rompre le charme. Florence se réinstalle ensuite sur son drap de bain, s'assoit d'abord pour se passer de la crème sur les jambes, les bras, le cou, le visage, finissant par sa poitrine, sujet de toute son attention. Espiègle, elle les enduit copieusement de protection et fait pénétrer la crème à grand renfort de passages enveloppant. Fière d'elle, Florence remet enfin ses lunettes de soleil, et s'allonge sur le dos. Pendant un moment elle observe ravie, son frère qui lui jette des œillades plus ou moins discrètes. Elle est comblée de voir son inconfort, son trouble. Elle s'assoupit ensuite, radieuse.

Le reste de la journée s'écoule dans un tourbillon de rires, de baignade et de flirt puis en fin d'après-midi, fatigués mais exaltés par les aventures de la journée ils regagnent l'hôtel que Stéphane a choisi. En effet, sa sœur lui avait demandé de réserver deux chambres dans le centre-ville si possible, car de son côté elle s'occupait du restaurant.

8) Soirée... Samedi soir

À dix- huit heures Florence et Stéphane sont arrivés à destination et se présentent à la réception de l'hôtel. La personne relève la tête et les accueille. « -- Bonsoir, madame, monsieur, à quel nom avez-vous réservé? ».

Stéphane prend la parole : « Primeur Florence et Primeur Stéphane »

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