Au Bois Galant (nouveau)

BÊTA PUBLIQUE

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Le réceptionniste regarde longuement son écran, puis au bout d'un moment : « Monsieur et Madame Primeur, chambre 127, la direction vous souhaite un bon séjour »

« Pardon... j'ai réservé deux chambres communicantes. L'une au nom de Florence Primeur et l'autre au nom de Stéphane primeur. » s'exclame Stéphane.

L'employé a beau se replonger dans son listing informatique, les sourcils froncés il confirme : « Désolé, il n'y a qu'une chambre réservée au nom de M. et Mme Primeur »

Cette dernière réponse fit éclater de rire Florence mais pour Stéphane, cela ne le fit pas rire du tout.

Cependant le moment n'est pas à chercher d'où vient l'erreur mais à trouver une solution de rechange. Hélas le réceptionniste affirme qu'aucune chambre n'est libre dans l'hôtel, qu'il peut à la rigueur leurs confier des couvertures pour utiliser au mieux le canapé disponible dans la chambre. Il leurs laisse peu d'espoir de trouver une chambre dans un autre établissement.

Ils rejoignent donc la 127 mais au premier coup d'œil Florence voit qu'il y aura un problème. Le canapé est bien trop petit pour que son frangin dorme correctement. Arrivé dans la chambre Stéphane dépose la valise sur le lit et s'avachit dans le fauteuil, contrarié.

« Ce n'est pas marrant, j'avais pourtant bien spécifié deux chambres communicantes. »

« Ce n'est pas grave... tu seras simplement fourbu demain matin » dit-elle. Cette situation la fait sourire. « Je vais avoir pitié de toi mon fanou » ajoute-t-elle. « Je veux bien partager MON lit avec toi, mais seulement si tu ne sens pas le bouc et que tu ne ronfle pas » persifle-t-elle en riant. « Le lit est assez grand pour dormir à deux sans se gêner... et après tout ce n'est pas la première fois que tu viens dormir avec moi »

« Oui mais j'avais 8 ans la dernière fois et puis d'abord je me lave et ne ronfle pas!!! » répond-il hilare

« Salopiaud... je ne ronfle pas » lance t'elle amusée. « Bien justement... lève-toi et va prendre ta douche... tu dois te préparer. Je ne veux pas que nous soyons en retard. ».

Florence a réservé une table dans un restaurant gastronomique, une surprise qu'elle a prévu pour son fin gourmet de frère.

« Ok ma sœur... » répond-il tout sourire.

Pendant ce temps sa frangine sort de la valise ses tenues qu'elle a prévu et les vêtements pour son frère. Prenant ses affaires, Stéphane s'attarde un instant, observant sa sœur debout essayant de choisir, devant ses deux robes étalées sur le lit.

"Laquelle dois-je porter?" » Demanda-t-elle en mettant son doigt entre ses dents et en plaçant l'autre main sur sa taille. Plongée dans ses pensées, elle a un air perplexe.

« Celle que tu veux » dit-il sans se mouiller.

"Maintenant sérieusement, dis-moi laquelle je devrais porter?" » demande-t-elle en se grattant la tête.

"J'aime le blanc » Dit-il en désignant la robe « mais la noire, satinée, a l'air sexy » ajoute t'il un peu trop précipitamment.

« Oh merde, qu'est-ce que j'ai dit, elle va me prendre pour un pervers » pense t'il.

« Ah bon tu veux que ta sœur ai l'air sexy?! » lui demande t'elle très contente au fond d'elle qu'il ait employé ce mot... « Ah, il commence à se lâcher! » pense-t-elle.

« Non, non, ce n'est pas ce que je voulais dire » plaide t'il.

« Taratata... je vais donc mettre une robe sexy pour mon frère. » s'exclame t'elle amusée.

Elle rejette la tête en arrière, hilare et sur une impulsion, taquine Florian. « Monsieur a des idées pour les dessous... Tu m'excuseras je n'ai pas pris des culotes de grand-mère... au cas où cela plairait à Monsieur » relance t'elle en se gaussant.

« Oh... t'es chiante! » lui dit il riant alors qu'il se dirige pour prendre une douche.

La soirée n'est pas encore entamée, mais Florence se dit qu'elle s'oriente vers les meilleurs auspices, pendant qu'elle fouille dans sa valise pour choisir les sous-vêtements adaptés à la robe.

Aussitôt sorti, Florence s'éclipse dans la salle de bain avec ses tenues. En cinq minutes, Stéphane est habillé. Il a fini depuis vingt minutes quand sa sœur sort, enfin prête.

« A quoi je ressemble?" » demanda-t-elle provocante.

La bouche de Stéphane s'est ouverte lorsqu'il s'est retourné. Son souffle est bloqué dans sa gorge alors qu'il l'observe. Florence est absolument magnifiques dans cette robe mi-longue. Elle se tient là, immobile dans sa tenue rouge en satin, un léger sourire sur son visage. Elle voit les yeux de son frangin s'accrocher aux fines bretelles retenant la robe, au tissu fluide couvrant sa poitrine sans pour cela la masquer complétement avec le décolleté plongeant, et ensuite elle note qu'il apprécie la fente à hauteur de cuisse.

Les mains jointes derrière le dos les yeux brillants et remplie d'espoir, elle ne dit pas un mot en attendant de voir ce que son frère va faire. Puis elle se retourne, lui donnant une vue complète de sa robe. Elle est certaine qu'il va aimer son dos nu abyssal.

« Fermes la bouche, tu vas finir par gober les mouches.... Dis-moi plutôt ton avis. Qu'en penses-tu?" relance t'elle en faisant de nouveau face. Stéphane reste pétrifié, bouche bée.

La regardant plus en détail il se dit qu'il n'a jamais vu sa sœur aussi belle. Cette robe rafinée et stylée épouse son corps et sublime sa silhouette en mettant en valeur ses courbes naturelles. Il est hypnotisé par sa sœur. Certes elle n'a jamais porté devant lui ce genre de tenue mais avec ses interminables jambes elle est décidément élégante, désirable et sensuelle. De plus avec ses longs cheveux noirs tombant doucement sur ses épaules elle offre un contraste parfait avec sa douce peau légèrement ambrée.

Sa sœur adorée se tenait là, sur ses talons hauts, sans bouger ni dire un mot, attendant patiemment d'entendre la réaction de son fanou. Peut-être pouvait-elle dire, d'après son étonnement lorsqu'elle est entrée dans la pièce, qu'il approuve son apparence. En tout cas ses yeux parlent pour lui se dit-elle, mais elle aimerait tellement qu'il lui dise.

"Je pense que je suis le frère le plus chanceux du monde", lâche t'il enfin, et se rapprochant d'elle il se laisse aller. « Tu es vraiment belle." Murmure-t-il à son oreille, tout en embrassant légèrement le côté de son cou.

Florence frissonne, elle est aux anges. Radieuse, elle prend sa veste et se dirige vers la porte. « Alors tu es prêt pour emmener ta vielle sœur. » dit-elle ironique.

Heureusement qu'elle met sa veste légère coupe boléro, se dit-il. Elle est magnifique avec cette robe, seulement il est content qu'elle soit un peu plus couverte pour aller au restaurant. Même s'il l'adore dans cette robe lumineuse, il reconnait au fond de lui que sa sœur est ce soir un peu provocatrice. En montrant un peu, suggérant beaucoup, sa tenue est scandaleusement révélatrice.

Arrivés au restaurant en avance, une charmante hôtesse les accueille et leur indique le petit salon pour les faire patienter. Florence et Stéphane se dirigent alors vers un ensemble de fauteuils club disposés autour de petites tables ou plusieurs personnes patientent déjà en savourant un apéritif. S'asseyant l'un à côté de l'autre, la jeune femme leur propose de prendre un verre. C'est un whisky pour Stéphane et un mojito pour Florence.

Ils savourent leur verre en parlant de choses et d'autre quant au bout d'une dizaine de minutes, parmi le groupe à côté d'eux, Vincent le beau ténébreux, plus hardi que ses confrères, propose une coupe de champagne à l'occasion de l'anniversaire de son ami. Il leur explique qu'ils sont un groupe d'étudiants de première année de commerce. Amélie, Julien, Marc et Éric dont c'est l'anniversaire aujourd'hui ainsi que lui-même, Vincent sont aussi des amis de longue date leur explique-t-il. Stéphane est un peu retissant mais sa sœur accepte et lui fait un signe d'en faire autant. Elle n'est pas sortie depuis très longtemps et cette soirée est l'occasion de s'amuser. Elle ne voit pas de mal à trinquer avec ce groupe qui lui semble sympathique.

Stéphane et Florence vident donc leur verre et prennent la coupe offerte, puis une deuxième, tout en faisant connaissance avec chacun d'eux. Ces derniers se sont maintenant rapprochés d'eux, s'asseyant dans les fauteuils proches. Pendant vingt minutes les jeunes s'avèrent d'une conversation intéressante, ils sont assez bavards, émoustillés par la belle trentenaire plutôt cool à leurs yeux. Ils rient, blaguent tout en restant réservés, et tout naturellement invitent le couple à partager leur table pour manger. Florence est ravie.

Le repas est agréable et joyeux. La discussion s'oriente sur la vie des uns et des autres et ils parlent un peu boulot, des études. Et puis, au fil de la soirée bien arrosée, chacun y va de ses anecdotes croustillantes et à la fin du repas, Vincent propose de finir la soirée dans un club pour boire un coup ou deux. Amélie qui n'a d'yeux que pour Stéphane est on ne peut plus emballée et elle n'est pas la seule. Les garçons ont leur sens en ébullition. Florence s'est fait beaucoup de prétendants. Cependant Stéphane trouve qu'ils ont déjà largement bien bu et il s'apprête à refuser poliment lorsque sa frangine accepte avec entrain : « Ouais, super idée! J'espère qu'on pourra danser! » s'exclame-t-elle.

A la grande joie de sa sœur, le club possède effectivement une petite piste de danse.

Rapidement, Florence se trémousse sur une piste en compagnie de quelques couples, puis invite les étudiants lors des slows. Evidemment, les étudiants sont aux anges.

Elle les abandonne ensuite pour danser avec son frère. Celui-ci vient de quitter les bras d'Amélie. Passablement excité par la belle rousse alanguie contre son corps depuis l'arrivée en boite, elle le colle d'une manière qu'il n'a aucun doute de l'issu de la soirée. Il est néanmoins content de se retrouver dans les bras de sa sœur. Même s'il n'est pas un danseur émérite, il est heureux de prendre la place des jeunes. Il a remarqué le jeu de ceux-ci autour de sa sœur lascive. S'il ne la connaissait pas, il dirait qu'elle a tendance à les aguicher ou tout le moins les taquiner et ne pas opposer beaucoup de résistance devant leurs mains baladeuses. En fait, sous l'apparente nonchalance elle contrôle tout ce que lui font les jeunes. Par ses soupirs, ses poses langoureuses, son comportement lascif, elle simule la femme légèrement grisée, un peu polissonne à la recherche de tendresse. Si elle laisse dériver une main ou deux, elle le fait sciemment. C'est tout nouveau pour elle le rôle d'allumeuses, de faire la mijaurée, de jouer l'énamourée afin d'embraser la libido des jeunes males. Cependant elle a décidé que ce soir elle emploierait les grands moyens pour pervertir son frère. Et sa technique donne des résultats. Non seulement elle a remarqué le regard de Stéphane fixé sur elle pendant qu'elle dansait avec les jeunes et aussi ses yeux foudroyants l'attitudes de ceux-ci. Elle ne lui connaissait pas ce trait de caractère pourtant elle jurerait qu'il est jaloux. En plus lorsqu'elle lui accorde une danse, alangui sur lui, le frottant insidieusement, elle s'aperçoit rapidement qu'il n'a plus rien de son frère, c'est un homme à la libido déchainé. Il bande comme un âne. Florence est plus qu'heureuse. Elle est ravie que son petit jeu de séduction fonctionne.

Aussi décide t'elle d'abréger la soirée. Se plaignant de fatigue elle dit à Stéphane qu'elle voudrait regagner l'hôtel. Ravi de se débarrasser des étudiants, il acquiesce.

Florence est loin d'être fatiguée, par contre elle est un peu euphorique. Il est vrai qu'elle a un peu abusée de la boisson et sur le trajet qui les ramène à l'hôtel, elle parle fort, fait toutes sortes de pitreries, rit sans se retenir alors que son frère essaye de la canaliser et fini par la tenir étroitement. Stéphane est surpris de voir cet aspect de sa sœur, d'ailleurs cette journée est une longue suite de surprises. Mais il adore la voir comme cela.

Arrivés péniblement à leur chambre, Florence ôte ses chaussures, sa veste et se dirige vers la salle de bain pour mettre sa tenue de nuit. Elle se démaquille, enlève ses vêtements et avant d'enfiler sa chemise de nuit, se rafraichit. Excitée tout au long de la soirée, elle veut se coucher propre. Elle a de la suite dans les idées.

Quant au bout d'une demi-heure elle ouvre la porte, la salle de bain éclaire la chambre, Florence aperçoit son frangin allongé sur le côté, la tête vers la fenêtre, le dos tourné vers elle. Soulevant le drap elle s'allonge alors à côté de son frangin endormi. Elle n'arrive pas à trouver le sommeil de suite. Elle repense à la journée. Tout lui prouve que son frère a le béguin pour elle, sa façon de la regarder, ses attentions, ses manières protectrices, et puis...

9) Dimanche 8 juillet 2029.

Florence sait qu'elle est éveillée, or elle n'ouvre pas les yeux. Elle a un peu la gueule de bois et l'impression que sa langue est du papier de verre, mais surtout elle a chaud. Habituée à dormir seule, Florence occupe plus de la moitié du lit. Ce matin elle est sur le côté, légèrement en chien de fusil, le popotin au milieu du lit avec la tête sur son oreiller. Stéphane est collé contre son dos, bras autour d'elle, une main sur son ventre, la verge dressées entre ses fesses. Et quelle verge. Stéphane n'est pas surdimensionné, peut-être a-t-il un sexe légèrement plus long que la moyenne, par contre ce n'est pas une saucisse sèche mais plutôt un saucisson.

Il rêve.

Depuis quelques instant la pression est plus forte et ce sont les tressautements entre ses joues qui la réveille totalement. Elle est surprise que Stéphane soit si démonstratif mais en définitif cela lui plait. Cela lui plait tellement qu'elle en devient coquine. Passive au début, savourant la raideur entre ses fesses, elle remue légèrement son derrière puis accentue la pression avec des mouvements du bassin. Ses hanches se balancent d'avant en arrière.

« Oh merde » se flagelle Stéphane alors qu'il sort de son rêve. Il nage en plein bonheur mais réalise que son bois du matin, sorti de son boxer, est planté dans les fesses de sa sœur. La tête sur l'oreiller, il essaye de trouver un moyen de sortir de cette situation sans réveiller sa frangine. Aussi il stop immédiatement son oscillation et commence à enlever son bras de Florence.

Mais il est trop tard. Sa frangine ne l'entend pas de cette oreille. Excitée, la culotte trempée, elle retient sa main et la serre fort sur elle.

Florence se retourne alors, face contre lui, le regarde profondément dans les yeux et commence par placer les paumes de ses mains contre ses joues.

Stéphane la regarde sans qu'il ne puisse réagir. Ses longs cheveux noirs légèrement ondulés coulent sur sa joue gauche et sur sa gorge, formant un cadre parfait pour son visage lisse et délicat, le doux sourire de ses lèvres charnues, pulpeuses, et le regard d'amour total dans ces grands yeux bruns suffisent à faire fondre son cœur. Ses yeux fixent les siens, comme si elle lit ses pensées et ses sentiments les plus intimes. Il reste là, complètement figé, captif de son regard, incapable de bouger ou de la quitter des yeux.

Pendant ce temps, sa sœur se mordille la lèvre alors qu'elle scrute le visage de son frère, enserre fortement sa tête et se penche pour l'embrasser, passionnément, langoureusement.

« Florence, qu'est-ce que tu... Je veux dire... tu... » Stéphane bégaye littéralement, incapable de terminer sa pensée ou sa phrase, captivé, impuissant.

Le cœur battant la chamade, sans un mot, Florence sourit à son frangin, et presse ses lèvres contre les siennes l'empêchant d'en dire plus.

Et pour la première fois de sa vie Stéphane perd le fil de ses pensées. Sa poitrine se serre et les papillons dans son estomac deviennent fous. Il se concentre uniquement sur la façon dont ses lèvres se modèlent sur celles de sa frangine. Une fois le choc initial passé, il ne pense plus, il lâche prise.

« Tu sais déjà que je t'aime mon Fanou, et peut-être que je me trompe, mais j'ai l'impression qu'il y a une attirance mutuelle entre nous, une attirance bien au-delà d'une relation de frère et sœur. » lui déclare t'elle ensuite, les yeux dans les yeux. « Je ne sais pas quoi faire ni quoi penser quand tu es près de moi, C'est comme si mon esprit devenait vide et mon corps perdait le contrôle » ajoute-t-elle fiévreuse.

Quand elle rompt finalement le baiser, Stéphane est haletant. Mais Florence ne le laisse pas réagir à ses paroles. Les paumes toujours fixées sur son visage, elle l'embrasse le long de sa mâchoire, de son cou en descendant jusqu'à la clavicule pour finir derrière l'oreille ou elle mord son lobe. Stéphane navigue dans les profondeurs de la béatitude. Sa peau est en feu.

L'émotion brute et la sincérité qui accompagne les paroles de sa frangine, lui font gonfler le cœur. L'attraction magnétique entre eux est irrésistible et, une fois de plus, leurs lèvres se rencontrent.

Il décide de prendre les devants cette fois. Il prend son visage en coupe, suce sa lèvre inférieure dans sa bouche tout en la mordant doucement. Florence laisse échapper un profond grognement qui fait trembler sa queue.

Puis Ils ferment les yeux tous les deux, et partagent un doux baiser, encore innocent. Mais rapidement le désir bouillant sous la surface, les deux frères et sœurs ne peuvent retenir la passion qui les dévore. Le baiser sensuel embrase leurs sens, ils ne sont plus maitres de leur désir. Ils se lancent dans un bouche-à-bouche frénétique, ardent, ou chacun veut dévorer l'autre, s'embrassant avec ferveur, sans vergogne. Les soupirs et les gémissements sont profonds.

La frénésie s'empare d'eux.

Florence se presse contre Stéphane, écrasant son corps alors que celui-ci caresse son dos, ses reins, triture ses fesses.

« Mmmmnnnnn » gémit-elle en frottant sa chatte contre sa bite. Ses mouvements sont lents et rythmés, elle se tient contre son pieu avec une pression accrue. Ils halètent tous les deux mais n'arrêtent pas de s'embrasser. Et puis, ils font une pause respiration. Florence se détache doucement de la bouche de son frère pour déposer plusieurs petits baisers sur ses lèvres, le fixe intensément avec les yeux implorants.

« Ne dis rien mon Fanou » lui dit-elle en glissant sa main entre eux pour se poser ensuite sur sa verge.

Elle se redresse ensuite, s'assoit à côté de lui, fait passer son tee-shirt par-dessus ses épaules et tout en repoussant le drap, s'allonge, se contorsionne pour enlever sa culotte puis se love à nouveau contre lui. Florence s'accapare de la queue durcie, la flatte, la caresse, amadoue le saucisson, le pieu dressé, bien assez tendu pour combler sa grotte affamée, coulante et distendue par l'impérieux désir de se faire remplir. « Fais-moi l'amour!!! » supplie t'elle impatiente.

Faisant ce qu'elle lui demande, Stéphane la retourne et ne voulant pas lui faire de mal, se soulève pour pouvoir supporter une partie de son poids sur ses bras. Immédiatement, sa sœur passe ses mains dans son dos, accroche les doigts dans l'élastique du boxer le tire vers le bas et attire son frère sur elle. Tout le poids de Stéphane repose sur le corps élancé. Il sent ses longues jambes s'enrouler autour de lui, le tenir fermement.

« aaaaaaaaa... que j'aime ton corps pressé contre moi » Murmure-t-elle à son oreille en resserrant ses bras autour de son cou. « Je t'aime tellement mon fanou »

Avec leurs joues pressées l'une contre l'autre, tout ce que Stéphane peut faire est de mordiller légèrement le lobe de son oreille avec ses lèvres alors que son pénis est niché entre les lèvres chaudes de sa chatte. Jamais il n'a ressenti une sensation aussi merveilleuse, leurs corps étroitement serrés l'un contre l'autre, son appendice coincé par la vulve brulante. Il se sent tellement aimé, tellement soigné. il pourrait rester dans cette position pour toujours. Cependant sa frangine ne se satisfait pas de son sexe au bord de la salle de jeux.

« Tu es sûr? » réussi à sortir Stéphane, entre deux bisous.

« Je le veux tellement », murmure sa sœur.

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