Au Bois Galant (nouveau)

BÊTA PUBLIQUE

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Tous les deux haletants, le son de leur respiration presque plus fort que celui de leur voix, Florence ajoute : « Je veux te sentir en moi. ».

Stéphane s'appuie sur un bras et se penche, avec l'intention de prendre le relais de la main qu'elle a encore sur sa verge, mais sa frangine l'arrête.

« Je veux. » Dit-elle en tirant doucement sa bite vers elle. « Laisse-moi faire. »

Il hoche la tête et l'embrasse pendant qu'elle aligne le bulbe, puis tous deux étouffent un gémissement dans la bouche de l'autre alors que le champignon écarte les lippes brulantes. Florence le frotte de haut en bas de sa fente, recouvre la tête de son jus, puis satisfaite le stabilise devant son puit, accroche l'autre main sur la fesse de son frangin et tire. À son tour Stéphane s'avance, ses hanches ajoutent la pression nécessaire à la progression en douceur.

Florence sent le pieu s'enfoncer dans son vagin en feu. Elle relâche alors la verge, prend le visage de son frère à deux mains et colle ses lèvres sur sa bouche. Pendant ce temps le pieux poursuit son chemin.

« Aaaaaaaaaaaahhhh » miaule tout de même Florence surprise alors que le saucisson n'est pas encore totalement en elle. Cela fait plus d'un an qu'elle n'a pas eu de rapport et de plus, sans être étroite, elle n'a jamais eu à avaler un tel calibre.

Il l'étire.

Stéphane se retire d'un ou deux centimètres pour donner du répit à la vulve distendue puis se réinsère en poussant plus fortement, surpris par sa hardiesse. « Oooohhhhaaaaaaaaaaahhhh » souffle fortement Florence.

Stéphane a du mal à croire que cela se produit. Savourant le moment de pure intimité, il reste immobile pendant ce qui lui semble une éternité alors que tous ses instincts l'incitent à bouger. Entrer dans la chatte de sa sœur pour la première fois est au-delà des mots. Il n'a tout simplement pas le vocabulaire nécessaire pour expliquer à quel point c'est fantastique.

« C'est le moment le plus extraordinaire de toute ma vie » se dit Stéphane en reculant doucement. Les sensations qu'il ressent sont paradisiaque. Sa chaleur humide l'enveloppe lentement, et la chatte, si serrée, telle un fourreau, agrippe et masse sa verge sans discontinuer. Il va lentement, poussant ensuite, régulièrement, de plus en plus loin en elle. Florence halète comme lui, sa tête passant devant la sienne tandis que ses bras s'enroulent autour de lui, le serrant fort.

Finalement, Stéphane recule et pousse lentement, plus profondément. Florence est si serrée que s'en est presque difficile, néanmoins elle mouille abondamment et le fourreau s'adapte au fur et à mesure à sa taille.

« Bon sang, c'est magique » se dit-il. Il recule à nouveau puis avance jusqu'à ce qu'il ne puisse plus y aller. Les couilles touchent les lèvres et le gland s'abute au fond du vagin.

Sa sœur et lui développent rapidement un rythme agréable, ses jambes le guidant par leur contact, tout au long du cycle. Il peut la sentir répondre à ses poussées alors qu'il fait pleuvoir de doux baisers sur son cou et ses épaules, l'embrassant et léchant derrière ses oreilles, la sentant se tortiller et de la chair de poule envahir son corps.

Ensuite, avec puissance et douceur, il augmenter le rythme, poussant de plus en plus profondément en elle, alors que Florence rapproche ses jambes, enserre son dos. En changeant d'angle de pénétration, le nœud visite des contrées insoupçonnées, force de nouveaux passages, s'accapare le territoire au grand plaisir de la grande.

«Aaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh » gémit Florence de plus bel, les doigts ratissant le dos de son frère.

« Mon Dieu, mon chéri, je n'arrive pas à croire à quel point tu m'étires. » lui dit-elle suavement dans l'oreille.

Elle n'a pas son pareil pour exciter son frère avec son timbre chaud, doux, et des sons graves et sensuels qui l'envoutent. Elle le pousse à se lâcher et c'est ce qu'il fait. Elle n'est pour autant, pas en reste. Elle l'accompagne dans sa recherche du plaisir, celui qu'elle désire, qu'elle veut, qu'elle attend depuis trop longtemps.

« Cette adorable peste va me déchirer le dos » pense t'il « elle ne perd rien pour attendre » se dit il en en imprimant de légères rotations de son bassin.

Florence roule des hanches, son corps se tend sous les assauts répétés de la queue tendue, le va-et-vient s'amplifie, les pubis se cognent, le clito exacerbé subit les caresses des poils pubiens de son frère. Échevelée, hagarde, Florence s'écartèle pour subir encore et encore la violence de la bite déchaînée qui la bourre. Sans retenue, sans fausse honte, elle se donne, s'abandonne pour prendre et prendre encore, bien décidée qu'elle est, à extirper de cette violente sarabande, son plaisir, le chemin de l'extase, cet orgasme ravageur dont l'envie, le besoin lui tiraille les tripes et l'âme. Tout son corps est tendu vers ce plaisir suspendu.

. "Baise-moi bien, bébé", susurre-t-elle à son oreille. Coquine et même un peu garce elle rajoute : « ton petit zizi me fait du bien »

« Salope » répond-il tout de go. Il est tout de meme interloqué par son audace. Il s'est enflammé et se demande ce que va en penser sa sœur.

« mmmmmm » maugrée-t-elle jouant le jeu. A l'initiative de ces joutes verbales, Florence n'est pas mécontente d'entendre son frère se laisser aller. Au contraire, elle s'enthousiasme de le voir réagir, baisser sa garde et réveiller l'animal qui sommeille en lui. Elle ne le connait pas sous cet angle. Elle le connait d'ailleurs très peu. Lui si convenable, toujours poli, respectueux, sans une parole plus haute que l'autre, ne se mettant jamais en colère, du moins ne l'a-t-elle jamais vu, est un nounours. C'est comme cela qu'elle le définit. Cependant, elle pourrait être surprise, étonnamment surprise. Il y a toujours des conséquences à faire sortir le loup du bois.

Stéphane perd tout contrôle à ce moment-là. Son intention était d'y aller lentement, de la torturer, de la conduire vers des hauteurs célestes, mais l'entendre parler ainsi réveil des instincts primaires. Il se rend compte que sous ses airs de jeune femme bien sous tous rapport, se cache une coquine, une dévergondée lubrique qui le pousse dans ses retranchements. Les mots qui lui viennent à l'esprit en ce moment, ceux qui la désignent judicieusement, sont « vilaine fille », et à cette vilaine qui l'excite au-delà du raisonnable, il décide de répondre d'une façon appropriée ; la baiser de manière insensée.

Il se retire donc lentement, jusqu'à ce que seule la tête soit encore à l'intérieur, détache ses jambes de leur emprise autour de sa taille, l'attrape sous les genoux et pousse ses jambes vers ses épaules. Il pompe alors en elle en sortant avec une vitesse et une force qu'il ne savais même pas posséder.

Florence se mord la lèvre, « Aaaaaaaaaahhhhhhhhhhh » souffle-t-elle, le désir inscrit sur son visage.

"Oh salooooooooop!" » crie-t-elle ensuite, les mains volant vers l'arrière pour saisir la tête de lit.

« C'est ce que tu voulais, n'est-ce pas? » lui répond ironiquement Stéphane, le visage enfoui dans son cou. Il la mord doucement ensuite, laissant sa marque, tandis qu'elle enfonce ses ongles dans son dos avant de glisser lentement le long de la colonne vertébrale, la bouche grande ouverte, incapable de formuler des mots, les yeux fermés, haletante. Elle peut déjà sentir les débuts d'un orgasme gronder au plus profond de son ventre.

Stéphane aussi pense qu'elle est proche. Il lève la tête pour la regarder et l'embrasse pour attirer son attention.

« Comment va ma sœur » murmure t'il narquois tout en ne cessant de la marteler.

Les yeux de sa soeur s'ouvrent à moitié, essayant de se concentrer « Je vais jouir. Oh mon Dieu!!! S'il te plaît, fais-moi jouir » plaide t'elle pressée. « Jouis avec moi » ajoute-t-elle impatiente.

Stéphane augmente la vitesse et elle perd tout contrôle. Elle le regarde, le visage transformé par le plaisir, la bouche grande ouverte. « Ooooooohhhh Je suis sur le point de aaaaaaaaaahhhhhhhh » crie t'elle, les jambes tremblantes.

Mais Stéphane ne la laisse pas savourer son orgasme. Au contraire, Impitoyable, il s'acharne entre ses jambes largement écartées, indiffèrent aux mains qui essayent de le repousser.

"Non", pense-il en empoignant les chevilles et les appuyant sur le matelas.

« Oh que tu es belle comme cela » lui dit il en la regardant, les pieds à hauteur de sa tete, alors que sa sœur s'efforce de le repousser. C'est une sensation indéfinissable que ressent Stéphane d'avoir le contrôle. Il sait que cela ne durera pas, mais pour l'instant il prend un plaisir phénoménal à maitriser sa frangine de cette manière, comme jamais il n'aurait cru possible de posséder quelqu'un. Elle le rend fou.

« Fanou, s'il te plaît, je ne peux pas", panique-t-elle.

Insensible à ses suppliques, ne lui laissant aucun répit, Stéphane active son va-et-vient cognant à chaque fois contre les bords de l'utérus.

« Qu'est-ce que... aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh... tu me fais? » gémit-elle en rejetant la tête en arrière. Ses bras s'agitent alors que l'air lui manque à nouveau, une boule grossit dans son ventre.

Telle une machine emballée, Stéphane la pistonne sur un rythme endiablé, la ramone comme un forcené au point que Florence ne sait plus où elle est. Elle crie, hurle, sa tête se balance dans tous les sens. Elle est perdue, perdue en pleine tempête, noyée dans une mer agitée, retournée, balayée par une houle gigantesque.

Et puis, sans prévenir, sans qu'elle n'y soit préparée, un ressac énorme lui gonfle la poitrine. Ses yeux embués d'un désir sans nom reflètent une grande stupeur. Abasourdie par ce qui lui arrive, elle a l'impression de perdre la vie « oouuuuuaaaaaaahhhhhhhh » alors que Stéphane s'enfonce au fond de son vagin en attente, qu'il devient rigide et qu'un orgasme le frappe comme un coup de fusil. Gueulant comme un veau, il expulse sa sève. Ses yeux se ferment, indiffèrent au monde autour de lui, notamment Florence avec les yeux écarquillés, les pupilles éblouies par le deuxième orgasme encore plus dévastateur.

Les tempes bourdonnantes Florence sombre dans le néant. La chambre tournoie tout autour d'elle, sans force, elle plonge dans un abime sans fond.

Stéphane s'effondre alors sur sa sœur, essayant d'égaliser sa respiration, puis, quand il peut bouger, il se glisse lentement hors d'elle avant de se retourner sur le lit.

Il est onze heures quand une sonnerie stridente les réveille. En sursaut, Florence tend la main pour répondre au réceptionniste.

« Bonjour... c'est exact.... Oui nous descendons dans dix minutes... merci » répond-elle maintenant réveillée.

Pendant tout le trajet du retour, tous les deux sont silencieux ne sachant pas comment exprimer ce qui leur arrive, ce qu'ils ressentent. Ils pensent tous les deux à la soirée et ses conséquences

Arrivé au bois galant, ils déchargent la voiture, sans échanger une parole, et chacun se réfugie dans son univers.

10) Déni et retrouvailles.

Durant toute la semaine Florence et Stéphane continuent à s'éviter, limitant leur seul contact au moment des repas. Parfois ils s'assoient ensemble dans le salon et parlent très sommairement de leurs activités, regardent la télévision ou lisent avant d'aller se coucher.

Stéphane se plonge dans son travail, la vie est devenue pour lui une routine sans émotion. La routine est quelque chose dont il a désespérément besoin, incapable de se confronter avec sa sœur.

Le weekend à la mer reste gravé dans sa mémoire comme deux jours fantastiques, et il aimerait tellement que ce ne soit pas une parenthèse. Il n'a jamais pensé à sa sœur comme un être sexuel. Or il s'est aperçu qu'elle est un million de fois plus belle que tout ce qu'il aurait pu imaginer, mais en plus, elle lui est apparue sur un jour nouveau, désirable, amoureuse, érotique, sexy et sauvage aussi. Rien dans aucuns de ses fantasmes, ne peut se comparer à ce qu'il a vécu.

Il irait n'importe où avec elle. Il sent que c'était la personne avec qui il veut être. Il ne peut pas croire qu'il a trouvé une partenaire qui regroupe, tout ce qu'il a toujours voulu sans le savoir. Stéphane a vécu quelques relations et le sexe n'est pas nouveau pour lui. Mais ce n'est pas seulement du sexe. C'est tout à fait différent. L'amour est nouveau pour lui, et c'est quelque chose dont il sait qu'il ne pourra pas se passer. Personne avec qui il a été auparavant n'a fait bouger son cœur comme Florence. Personne ne lui a donné l'impression que sa vie a un but clair et définissable comme le fait sa sœur.

Maintenant, Florence est entrée dans sa vie, et soudain il est réveillé. Tout est clair. Il n'y a pas de retour en arrière mais Il ne veut pas changer cela. C'est ce qui lui convient. Il doit faire savoir à sa sœur qu'il la considère comme partie de lui, qu'il lui a caché ses sentiments au lieu de lui avouer, et qu'il est persuadé qu'ils trouveront ensemble une solution pour vivre ensemble sans qu'ils ne soient jugés par les uns et les autres.

Et justement une occasion se présente.

En fin de semaine ils ne peuvent échapper aux obligations. En effet, ils sont invités au barbecue de Jane et Paul, un couple d'Anglais fêtant leurs fiançailles. Jane, un professeur de la langue de Shakespeare au lycée d'Auch, amie de Florence depuis de nombreuses années, ne pourrait comprendre que sa future témoin, ne puisse être présente à cet heureux événement. De même Stéphane se doit d'être présent avec ses amis du rugby, Paul étant le pilier droit de l'équipe. La solidarité et l'esprit de corps prévaut sur toute autres considérations.

Lors de cette soirée, regardant Florian autour du barbecue, ne se ménageant pas au côté de Paul pour préparer, cuisiner, cuir et servir la viande au gout de chacun tout en veillant à n'oublier personne, elle sourit. Il soulage son ami à la fois comme chef cuistot et comme maitre d'hôtel. Ne laissant rien au hasard afin que chacun puisse profiter de cet événement et surtout que Jane et Paul soient présents au milieu de leurs amis. L'observant se démener, bouger, rire, elle ne peut que repenser à cette nuit inimaginable, au torrent de volupté, à la cascade de plaisir, au nirvana inconnu jusqu'à présent. Lorsqu'elle décrit les sentiments qu'elle a pour son frère, elle réalise qu'elle ne peut pas se passer de lui. Il est celui qu'elle espérait, celui qui occupe toutes ses nuits, celui qui hante ses rêves. « Et tant pis si c'est mon petit frère » se dit-elle, « au diable les conventions ».

Il lui fallait cette semaine pour se poser tout un tas de questions et cette soirée pour s'apercevoir qu'elle est amoureuse de son frère.

Florence culpabilise, mais maintenant le moment est venu pour elle d'affronter ses angoisses, ses peurs. Elle sait à quel point son frère lui manque et ressent la force presque écrasante de son amour pour lui. Le lien avec Stéphane ne pourra jamais être rompu, elle en est convaincue. Les sensations physiques sont puissantes, sauvages et merveilleuses, mais elles ne sont rien comparées à ses émotions, son amour. Ils trouveront des solutions se dit-elle. Vivre avec son frère comme mari et femme, est le sentiment le plus puissant qu'elle ait jamais connu, bien plus puissant que ses peurs.

De retour chez eux, dans la voiture, ils sont plus détendus qu'à l'aller. Ils évoquent la soirée réussie, le barbecue succulent, les différentes connaissances qu'ils ont rencontrées, et relèvent l'harmonie et la tendresse qui caractérise le couple de leurs amis, Jane et Paul. Bref, ils discutent avec le plaisir retrouvé d'être ensemble.

Arrivés au Bois Galant, ils se font un bisou et montent tous les deux dans leur chambre, mais au moment de fermer la porte, tous les deux font demi-tour. Une seconde plus tard, au milieu du couloir, ils sont enlacés. Au moment où leurs lèvres se sont rencontrées, une explosion de paix et de sérénité totale les a submergés tous les deux. L'amour et l'émerveillement total sur leurs visages est au-delà de toute expression.

Plus tard, bien plus tard, réunis dans la chambre de Florence, serrés l'un contre l'autre, ils ont discuté. En caressant le visage de son frère, Florence lui dit doucement : « Stéphane, nous devons parler... Si nous sommes amants, nous ne serons plus frère et sœur. Et puis, si tu décides plus tard de passer à une autre femme, je ne pourrai pas le supporter »... « Tu dois comprendre que nous sommes tous les deux dans le même bateau pour le long terme...le très long terme. Mais si tu n'est pas prêt pour cela, nous devons arrêter maintenant. »

Allongé sur le dos, Stéphane a du mal à sortir les mots de sa bouche. « Oui, je sais. Je t'ai toujours aimé, mais Je ne savais tout simplement pas combien jusqu'à la semaine dernière. » murmure t'il. Puis ajoute en la regardant profondément, ému, « Je n'ai personne d'autre que toi dans ce monde, donc je ne peux pas me permettre de te perdre... je t'aime. »

11) Nouvel an.

Stéphane a définitivement quitté sa chambre. Le grand lit de sa sœur est autrement plus confortable et surtout, s'endormir, se réveiller aux coté de sa sœur est tout ce qu'il espère vivre le plus longtemps possible.

Pendant l'été tous les deux poursuivent leur idylle tout en s'occupant de leur travail, de leur occupation. Les contrats de Stéphane s'enchainent sans discontinuer et Florence à la joie de vendre ses premières récoltes de fruits, notamment la transformation en confitures que de nombreux commerçants se disputent. Par ailleurs elle a trouvé un débouché au lait d'ânesse. Ils gardent le sens des responsabilités et s'accordent en même temps un espace à eux.

Et puis, avec la rentrée des classes, une nouvelle organisation s'initie. Ils sont super-actifs. Toujours aussi proche, amoureux, ils se câlinent le soir, mais ne prennent pas le temps de sortir le weekend. Non seulement ils se reposent ensemble, mais aussi ils doivent faire très attention car ils ne veulent pas que quiconque puisse les juger, s'interposer dans leur relation. Aussi la fin d'année est là sans qu'ils n'aient vu le temps passer.

Florence ne se rappelle pas depuis quand ils ne sont pas allés en soirée. En tout cas, lorsque son amie Jane lui a demandé la semaine dernière ce qu'elle prévoyait pour le nouvel an, elle s'est empressée de lui dire qu'elle serait super heureuse de se joindre à eux pour sortir. « Evidemment Stéphane peut venir » ajoute Jane. « il faut simplement que vous preniez un masque » spécifie-t-elle.

Elle se réjouit de cette soirée. Ce qu'elle ne se doute pas c'est qu'elle est riche en rebondissements.

En effet ses deux amis les emmènent dans un cabaret, et pas n'importe lequel! Les spectacles de cabaret traditionnels se distinguent par leur ambiance intime et leur mélange éclectique de numéros artistiques. Ils mettent souvent en vedette des chanteurs, des danseurs, des acrobates et des comédiens talentueux qui se produisent dans des décors somptueux et des costumes élégants. Les spectacles sont également connus pour leur sensualité et leur audace, captivant le public avec des performances passionnantes et provocantes. Rien ne déroge dans ce cabaret. Pendant la première partie, les metteurs en scène donnent vie aux fantasmes les plus inavouables, créant une féérie érotique entre cirque, burlesque, danse et striptease.

Mais ce n'est que l'entrée avant le plat de résistance.

A table, Florence est assise à côté de son frère avec en face d'elle Paul et Jane. La soirée a bien commencé, et l'ambiance est bonne. Elle est venue habillée plutôt sexy, et remarque que Paul la mate discrètement. Elle est habillée en pantalon certes, mais moulant, et un haut assez léger qui la met bien en valeur et comme très souvent, elle n'a pas mis de soutien-gorge sous son top. Elle se rend aussi compte que son frère, émoustillé par le spectacle, sous son loup, n'a pas ses yeux dans ses poches. Il faut dire qu'elle ne connaissait pas sa copine Jane sous cet angle. En effet celle-ci s'est habillée pour la circonstance. Elle est heureuse de se montrer en jupe super mini, avec un chemisier manche longue en dentelle qui ne cache pas un bustier osé. Florence se demande un instant si ses deux amis ne l'ont pas convié à cette soirée pour finir ensuite ensemble en toute intimité. Ses doutes sont largement confirmés. L'alcool va bon train à mesure du temps qui passe, et leur couple d'amis sont de moins en moins discrets avec des allusions dirigées alors que la deuxième partie du spectacle fait monter la température dans la salle.

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