Au Bois Galant (nouveau)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Tout cela lui saute aux yeux maintenant. Troublée, elle se remémore de surcroit, l'excroissance de son frère dressé contre son pubis cette après-midi, et l'incendie qu'il déclencha dans son ventre. Sans qu'elle s'en aperçoive tout de suite, sa main est entre ses cuisses, autonome, cajolant sa vulve nécessiteuse. Lorsqu'elle en prend conscience, il est trop tard, elle ne veut ou ne peut l'arrêter et se frotte même énergiquement, allant jusqu'à rentrer profondément deux doigts dans sa chate collante, imprimant un va et vient impétueux. Lorsqu'elle commence à jouir, l'image de son frère devient évidente, aussi elle relève ses cuisses, les écarte au maximum et plonge profondément ses doigts dans son vagin pour ensuite se retirer et martyriser son bourgeon. Son deuxième orgasme est alors plus puissant que son premier et elle ne peut réprimer un long cri d'extase. Sa bouche est grande ouverte. « Il y a longtemps que je n'ai pas joui aussi fort... oh mon dieu pourvu que Stéphane n'ait pas entendu » pense-t-elle. Elle s'endort sur cette réflexion.

Le lendemain matin Florence se réveille au son de la musique. Elle regarde le réveil et s'étonne de l'heure. Il est huit heures. Elle qui se lève toujours avant son frère, est surprise d'avoir dormi aussi longtemps. Mais c'est samedi et son frangin ne travaille pas, il va au rugby. Elle a le temps aussi se met-elle à rêvasser en se souvenant des événements de la veille.

Au début, elle se sent quelque peu confuse d'avoir crié mais ne balaye en aucun cas ses sentiments maintenant qu'elle a mis des mots, un nom sur son bien-être. Aussi fou que cela puisse être, Florence réalise qu'elle considère Florian peut être un peu différemment qu'un simple frère. Comme le nez au milieu du visage que l'on ne voit pas, elle a mis du temps à s'en rendre compte, mais maintenant elle en est sure. Son cœur n'a jamais battu aussi fort. Certes les règles de la société ne sont pas favorables aux amours entre frères et sœur, cependant de nature anticonformiste, il n'est pas question que ce tabou l'empêcher d'être heureuse. Elle est prête à tout. Elle va devoir être prudente pour que personne ne se rende compte de cette transgression. Elle le sait. Or pour elle, le point primordial est de savoir si son bébé a le même béguin. Il lui semble qu'elle ne l'indiffère pas vu sa réaction, cependant elle veut savoir si Stéphane ressent pour elle simplement une attirance ou beaucoup plus. Elle veut s'assurer de la profondeur de ses sentiments. « Vivre ensemble comme mari et femme » se dit elle en frissonnant de plaisir « n'est pas une décision à prendre à la légère ». Elle ne fera rien qui puisse détruire leur complicité, même si elle doit souffrir en silence. Par contre elle va le pousser dans ses retranchements, l'inciter à se dévoiler.

Cette décision prise, elle se lève toute légère, légèrement inquiète mais heureuse.

5) Bikinis... lundi 2 juillet 2029.

A neuf heure Florence est devant une petite boutique de lingerie. Elle regarde la vitrine en attendant l'ouverture. Avec un sourire accueillant une dame à la fois très simple et distinguée en même temps, lui ouvre la porte. Elle se réfugie ensuite derrière son comptoir et l'observe négligemment. Puis, après un petit quart d'heure, la vendeuse s'approche de Florence pour se présenter, lui demander si elle trouve son bonheur.

Florence a flashé sur un bikini bleu azur au motif tropical à ruché qui a l'avantage d'avoir une taille haute pour le bas et un soutien sans armatures pour le haut. A en juger par la matière, il lui semble agréable à porter. Corinne qui est en fait la gérante, la conforte dans son impression.

« Je pourrais l'essayer? » demande Florence.

« Bien sur madame, vous avez des cabines au fond du magasin... si vous voulez je pourrais vous donner mon avis sur la façon dont il tombe sur vous »

« Oui pourquoi pas... mais je voudrais aussi prendre un autre modèle... vous savez... »

« Un modèle encore plus sexy » avance prudemment Corinne.

« Ouuuuiiii... je ne sais pas trop... je n'ai aucune idée de ce qui pourrait m'aller » réplique timidement Florence. Elle n'a pas l'habitude de passer du temps dans une telle boutique et encore moins de choisir des maillots sexy. C'est une première pour elle.

« Si vous voulez je peux vous en amener quelques-uns qui sont tendance et plaisent beaucoup. Vous les essayez et je vous donnerai mon avis si vous le désirez. Comme cela vous n'aurez aucuns regrets sur vos achats. En plus vous avez un mois pour les rapporter si en définitif ils ne vous plaisent pas. »

« Et surtout, soyez totalement rassuré. Je tiens cette boutique depuis quinze ans... mon but n'est pas de vous vendre n'importe quoi. La finalité est que vous vous sentiez bien. Vous savez j'ai beaucoup de clientes qui reviennent et elles me font totalement confiance car je sais ce qui leur convient le mieux en fonction de l'objectif qu'elles recherchent. Comme vous le voyez, je vends aussi de la lingerie pour toute occasion et la discrétion est de règle. »

Florence a choisi cette boutique car elle lui paraissait cosy, mais maintenant, elle est confiante. La quadra en face d'elle est non seulement souriante, avenante mais en plus elle maitrise son sujet. Elle a de plus la réserve ainsi que la diplomatie pour la conseiller sans fards ni tabous.

« Oui d'accord »

« Allez essayer déjà cette tenue, pendant ce temps je vous rapporte d'autres modèles. »

La cabine d'essayage se trouve dans une petite pièce fermée aussi, lorsque Martine frappe à la porte pour s'annoncer, Florence n'est pas gênée pour lui dire d'entrer. Elle se regarde dans l'immense glace.

« Il vous va à merveille cet ensemble... comment vous sentez vous dedans? »

« Très bien... il ne me serre pas. La culotte est très agréable avec cette ceinture haute et le soutien-gorge m'enveloppe bien la poitrine sans trop la comprimer. »

« Oui c'est un modèle confortable... on le met de côté je pense?»

« Oui » Répond Florence

« Tenez voici un autre modèle »

Pendant vingt minutes Florence essaye une dizaine de modèles. En confiance, elle ne ferme plus le rideau de la cabine pour changer un modèle pour un autre et écoute avec attention la quadra lui décrire. Elle n'en retient qu'un. Le slip de forme brésilienne, il lui remonte fort sur les hanches et même s'il descend loin en dessous de son nombril, en forme de v, les attaches qui le ceinture sont larges. Elle a par contre un peu de mal avec le haut car les bonnets en triangle reliés par de fins cordons sont un peu petits à son gout. Certes sa poitrine est confortablement maintenue mais sa poitrine est plus exposée. Corinne lui dit alors qu'elle se familiarisera rapidement avec le regard des hommes, mais ce n'est pas à eux que Florence pense, ou plus exactement à un seul en particulier ; son frère et cela la remplit de joie.

« Vous avez une très belle poitrine, qui ne s'affaisse même pas malgré sa taille. Je peux vous le dire... j'en ai vu des seins... mais comme les votre, jamais. J'ai déjà eu des femmes à la poitrine pointue, mais elles avaient des bonnets c. Là avec un d minimum, votre poitrine défie l'apesanteur... Seul petit hic, si je puis dire, si vous ne voulez pas que vos tétons soient trop visibles, il vous faut ce type de soutien. Il les enveloppe sans trop les mouler. »

Florence est sans voix. Jamais personne ne lui a parlé avec autant de franchise, de clarté et malgré tout avec énormément d'empathie et de sincérité.

Elle ne sait quoi répondre.

« Tenez voici le dernier que je vous ai réservé pour la fin »

Florence est sur un petit nuage aussi elle ne prend plus la peine de se déshabiller dans la cabine. Avec naturel, totalement désinhibée, elle enlève son bas et décroche son soutien. Corinne n'en croit pas ses yeux. Devant elle se trouve une pure beauté qui ferait pâlir tous les mannequins. Assise dans un fauteuil club à cinquante centimètres, elle lui tend alors le haut du bikini et lorsque celui-ci est mis, lui donne la deuxième partie.

« Oh!!!... non je ne pourrais jamais mettre cela » dit alors Florence toute rouge en examinant le minuscule bout de tissus.

« Je peux être franche avec vous » lui dit Corinne.

« Oui bien sur » réplique Florence nerveuse.

« Alors voilà, je vais vous parler comme une copine le ferait. Cela ne vous choquera pas j'espère! »

« Nnnoooonn »

« Vous avez un fessier sublime. Des joues bien dessinées, ronde, sans trop, tonique, une peau lisse et aucune une once de graisse. Un string sur une fille comme vous, ce n'est pas vulgaire. Enlevez-vous cette idée de la tête. Le string va au contraire sublimer votre corps. J'ai vu que vous êtes une jeune femme plutôt timide et qui a certainement eu des complexes plus jeunes. Il faut vous en débarrasser. Habituez-vous à le mettre sans trop de monde au départ et vous verrez ensuite que vous l'oublierez totalement. J'ai bien vu que vous n'aimez pas être serrée et cela ne m'étonnerai pas que vous oubliiez souvent votre culotte sous vos longues robes... à votre visage je vois que je ne me suis pas trompé. Faites-moi plaisir, essayez-le. »

Florence n'arrive pas à répondre. Interloquée par toutes ces vérités. Elle se penche et enfile le string.

« Voyez comme vous êtes belle... regardez dans cette glace. vos fesses sont magnifiques » dit-elle « bon... devant il faudra couper un peu plus...mais c'est un détail » rit elle gentiment. « Alors... il vous serre?» demande-t-elle confiante.

« Non »

« Soyez honnête... comment vous trouvez vous »

« Belle mais... »

« Arrêtez les mais... pensez à vous... ne me dites pas que vous pensez aux autres quand vous êtes nue sous votre robe... je ne me trompe pas... vous ne supportez pas tout ce qui vous serre, alors quand vous le pouvez et que personne ne s'en rend compte vous êtes vous-même ». Affirme Corinne. « D'ailleurs en allant plus loin, je suis persuadée que non seulement vous adopterez ce string rapidement mais vous ne vous achèterez plus que des strings » précise-t-elle, et en riant ajoute « quand vous déciderez de mettre une culotte bien sur »

« Et si je ne me trompe pas vous bronzerez rapidement topless sur la plage et y vous prendrez plaisir »

« huumm »

« Allez ne me dites pas que vous ne vous êtes jamais baignée toute nue lors d'un bain de minuit, ou du moins cette idée vous fait envie depuis longtemps... Tenez, je vais vous offrir le même string, mais en blanc. Là pour le coup si vous voulez être très coquine, celui-ci est en tulle et lorsqu'il est mouillé, il devient transparent. » ajoute martine hilare.

Finalement Florence est repartie avec trois bikinis et un ensemble sexy en dentelle. Dehors elle est encore groggy, mais finalement heureuse qu'une femme la fasse sortir de sa zone de confort. Elle aurait tant aimé que sa mère lui parle de cette façon-là.

« Tant que j'y suis, pourquoi ne pas m'acheter quelques fringues... après tout, combien de fois Stéphane m'a suggéré de porter autre chose que des robes. » pense-t-elle. Aussi au détour d'une ruelle, Florence rentre dans un grand magasin pour jeunes femmes.

6) Piscine.

Florence est contente d'être revenue au bois galant. Les courses l'ont épuisée. Les paquets déchargés, posés sur son lit, elle redescend préparer le repas. C'est vite fait car Stéphane est sur un chantier, il ne rentre pas pour manger. Elle se retrouve donc rapidement devant une assiette de crudité avec une tranche de rôti de porc froid qu'elle mange tout en pensant à ce qu'elle doit faire cette après-midi. Changer les ânesses de pâture, et récolter les groseilles sont les taches urgentes qu'elle répertorie. Ensuite elle ira tester la piscine.

Il est dix-huit heures quand Stéphane rentre de son chantier. Il débarrasse son camion, rentre se désaltérer et prend une douche. En ce début juillet il fait déjà 35°c. Il est pressé de d'enlever son pantalon de travail et se mettre en short. En prenant sa douche il pense à la petite bière fraiche qu'il va prendre ensuite, affalé dans le salon. Il a besoin de se détendre après cette journée harassante.

« Mais où est-elle!!!... Elle est rentrée, sa voiture est là. » pense t'il en appelant Florence. « Oh oui... je sais » conclue t'il souriant. La canette à la main il se dirige vers la piscine.

Cette superbe propriété gasconne se trouve au sommet d'une colline, au bout d'un long chemin. Il n'y a pas de voisins proches et la vue sur la campagne environnante s'étend sur des kilomètres. De chaque côté, la vallée descend doucement, les bois et les champs sont parsemés tout autour, à perte de vue. Le tracé du chemin a été modifié pour inclure une fourche à l'allée usuelle, afin que les clients se rendent directement à l'atelier et n'aillent pas jusqu'à la demeure. Plus loin, lorsque l'on continue sur l'axe principal, après un virage sur la gauche, on longe une grange qui sert pour partie à abriter les ânes et d'autre part, du matériel agricole ainsi que du foin dans le grenier, puis en face, on découvre la maison de maître, typiquement gasconne et symétrique avec dans la continuité de celle-ci, sur la droite, des dépendances. Cette construction, alignée sur la bâtisse principale, séparée de celle-ci par un muret d'une dizaine de mètre de long avec une porte pour accéder au jardin, était une ancienne étable maintenant reconvertie en laboratoire pour Florence.

La piscine est quant à elle, derrière la maison. On y accède en contournant l'ancienne étable, par un petit chemin d'une cinquantaine de mètre. Il faut être devin pour soupçonner que derrière l'ancienne bergerie au fond de ce sentier, se trouve une piscine. Celle-ci est complétement invisible. En effet elle se trouve au sein d'un grand rectangle composé de la bergerie, et d'un écran d'arbres et d'arbustes sur les deux autres coté avec une dernière partie au raz du terrain escarpé. Ainsi, dans cet enclos on se sent à la fois en sécurité comme dans un cocon tout en bénéficiant d'une vue dégagée sur la vallée. Il n'est pas difficile de comprendre pourquoi Florence adore tant nager dans cette magnifique piscine à débordement d'une quinzaine de mètre de long, dont la ligne d'eau rencontre parfaitement la ligne d'horizon.

Lorsque Stéphane dépasse la bâtisse, il aperçoit Florence au centre de la piscine.

« Alors... l'eau est bonne!! » dit-il en s'abritant à l'ombre sous le parasol.

« Oh oui! » répond-elle en se retournant. Elle revient alors vers lui, en nageant.

Cela fait très longtemps qu'il ne l'a pas vu en maillot de bain. Il manque de mots lorsqu'elle sort de l'eau. L'accès à la piscine se fait en douceur, aussi lorsqu'elle le rejoint, il a tout le temps de la voir se dévoiler, petit à petit. Et ce qu'elle montre est magnifique.

Son bikini bleu azur n'est pas étriqué, mais il révèle tout de même une poitrine imposante et son bas en v, dégage et souligne ses hanches dessinées, ses lignes harmonieuses. Les sentiments qu'il a pour elle à ce moment-là sont beaucoup plus complexes qu'il n'y parait.

« Ferme ta bouche » lui dit-elle en riant alors qu'elle se rapproche.

« Tu n'as jamais vu une femme en maillot de bain » reprend elle en se saisissant d'une serviette. « Tu devrais te changer et piquer une tête... La température de l'eau est délicieuse. » continue t'elle en s'essuyant. « Mais avant j'ai besoin de toi » ajoute-t-elle en se dirigeant vers le transat. Florence brandit un tube de produit solaire. « Mets-moi de la crème sur le dos s'il te plait » demande-t-elle

Florence s'allonge sur la chaise longue puis, après un temps de réflexion, dénoue le cordon de son haut de bikini, ouvre l'attache dans son dos et enlève son haut. Clémence n'expose pas ouvertement sa poitrine, mais elle relève suffisamment son buste, sans se précipiter, pour que son frère puisse regarder assez longtemps ses seins. Elle met ensuite ses bras devant elle et pose sa tête dessus.

« Wouuaaaah » pense Stéphane alors que dans son short devient étroit.

Agenouillé sur le coté de sa frangine, Stéphane presse le tube sur son dos et commence à appliquer la crème sur les épaules et les omoplates, puis de fil en aiguille, il enduit le dos de sa frangine en faisant plusieurs allez et retour, doucement, très doucement, comme si sa main voulait s'imprégner des courbes. Il a l'impression d'être en pilote automatique, à moitié conscient de ce qu'il fait. Il n'a jamais touché personne de cette façon, qui plus est sa sœur. Il ne réfléchit pas à ce qu'il doit faire ou ne pas faire, cependant lorsque sa paume remonte le long des côtes, les doigts effleurant la poitrine, il est réveillé par sa sœur. Une décharge électrise le corps de Florence alors qu'elle commence à s'assoupir, perdue dans ses pensées.

« Il n'y a pas que mon dos... Fais-moi les jambes!» plaide t'elle gentiment en sursautant malgré elle.

Si faire le dos de sa frangine est difficile, faire les jambes est bien pire. Le bikini de Florence montre la merveilleuse plénitude de son superbe cul, ses fesses légèrement bombées, ses jambes interminables avec ses cuisses toniques et ses mollets délicats. Il reste immobile, comme hypnotisé et incapable de bouger pendant quelques instants. Puis, s'empêchant de regarder l'intérieur des cuisses, il se décide à oindre sa sœur.

« Oooooohhh, Tu as un toucher si léger et doux, c'est merveilleux. Je ne pensais pas que mon frère serait si délicat. » Chuchote-t-elle. « Ne t'arrête surtout pas... continue comme cela et je vais m'assoupir... J'adore! » Ajoute-t-elle enjôleuse.

Elle a remarqué le trouble de son frère. Cela l'amuse. Elle rajoute de l'eau sur le feu. « N'oublie pas de faire mes fesses... tartine les bien, et met une double dose, elles n'ont jamais pris le soleil... je voudrais pouvoir m'assoir » continue t'elle espiègle.

Pendant une à deux minutes Stéphane s'emploie à ne rien oublier et revient même sur les fesses et les joues plusieurs fois. Il est plus dur qu'il ne l'a jamais été et n'a aucune idée de ce qui se passe. Dommage qu'il ne puisse pas lire le langage corporel ni vraiment le comprendre. Il est au supplice tandis que sa sœur se retient de rire. Elle est aux anges. Elle est d'autant plus heureuse qu'elle sent la retenue de Stéphane. Lorsqu'il s'arrête enfin et annonce à sa sœur qu'il a oublié un coup de téléphone urgent et doit retourner à l'atelier, elle sourit. La déformation du short ne lui a pas échappé.

Dans son lit, ce soir-là, Stéphane ne peut s'empêcher de se masturber en pensant à Florence. Il n'arrive pas à contrôler son envie de se caresser alors que ses pensées dérivent vers le corps de sa sœur. La tension est si forte, que sa sève jaillit rapidement.

Durant toute la semaine qui suit, Stéphane rentre tard du travail, monte directement prendre une douche et se changer avant le repas. Alors que sa sœur passe toutes les fins d'après-midi à la piscine, il attend qu'elle rentre se changer, assis dans le fauteuil à regarder la télévision. C'est tout juste s'il lui répond quand elle rentre. Pendant le repas ils discutent tous les deux sans pour cela évoquer des sujets trop sensibles. D'ailleurs ce soir, Stéphane est particulièrement nerveux. Florence s'est changée après la douche. Son frangin est perturbé par son nouveau look. Même s'il fait semblant de ne pas y prêter attention, dès qu'elle a le dos tourné, il ne peut s'empêcher de regarder ses formes et notamment les fesses rondes et fermes qui ont l'air de lui sourire. La regarder alors qu'elle se penche en avant pour présenter son petit cul merveilleusement formé est un régal et une torture. Il découvre de ses yeux avides, qu'à mesure qu'elle se baisse, le tissu fin de son pantalon de yoga s'étire. La peau devient plus visible en dessous, les sphères parfaites de ses fesses se révèlent sans aucunes marques.

« Elle n'a pas mis de culote... ou alors elle porte un string! » admire-t 'il fasciné. Puis il remarque un mince brin de tissu alors qu'il disparait dans le mystérieux paradis. Lorsqu'elle se penche au niveau de la taille pour essuyer l'eau tombée sur le sol, prenant son temps, Stéphane se délecte de la vue. Le derrière est exposé dans toute sa splendeur avec un ensemble charnu entre les cuisses, un orteil de chameau proéminent.

123456...8