Alice in Wonderlands? Ch. 09

BÊTA PUBLIQUE

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Je me glisse par la petite porte d'entrée de la maison Inuit. Sa taille limite l'accès, gras du bide s'abstenir ! Un homme entièrement nu est à moitié allongé sur des coussins confortables. Il faut un peu de temps à mes yeux pour s'habituer à la semi-obscurité du lieu. Sans son costume j'ai eu un peu plus de mal à reconnaitre mon plus fervent admirateur. C'est son cigare qui me donne le déclic, il joue comme à son habitude avec son imposant Havane.

Lorsque je suis à ses côtés, il vient glisser le bout de son cigare dans mon frifri pour ensuite le porter à sa bouche et goûter aux sucs de mon intimité. Il répète l'opération plusieurs fois. Je caresse pendant ce temps son imposant chibre. Notre histoire d'amour est toujours silencieuse et rythmée par nos actes. Ce dard au format XXL se laisse facilement conter fleurette et réagit rapidement à l'habilité de mes doigts.

La fière colonne est tendue et comme à chaque fois je vais lui proposer d'aller faire un tour au paradis de la jouissance avec ma bouche experte. Cette fois l'homme au cigare m'arrête. Il m'allonge confortablement sur les coussins et vient fourrer sa tête entre mes cuisses. Il joue avec mes anneaux, titille mon clito pour le mettre au garde-à-vous, agace mes grandes lèvres en les tirant légèrement, enfouit son nez dans mon nid d'amour.

Sa préparation est longue et minutieuse. Une fois qu'il est satisfait de l'état de mon centre des voluptés, il relève mes jambes et vient placer le bout de son gland contre l'entrée de ma boutique. Malgré ses préliminaires et l'abondante lubrification du lieu, je suis stressée. Je n'ai jamais accueilli de chibre aussi gros et je doute carrément sur mes capacités à héberger une telle lance.

Avec un tel engin il doit avoir l'habitude des refus d'obstacle et ressent l'angoisse qui est en train de me submerger. Il prend son temps, son gland joue avec mes lèvres et fait connaissance avec l'entrée des lieux. Il tente quelques discrètes approches en laissant parfois à mon sexe le temps de s'habituer à sa présence et à mon esprit d'accepter la chose.

Il sait vraiment y faire et ouvre de multiples feux pour faire diversion en mordillant mes tétons, en caressant ma nuque ... et lorsque son gland s'introduit cette fois pleinement entre mes lèvres j'ai tout juste le temps de m'en rendre compte et de pousser un petit cri qu'il est déjà dans la place. J'essaye de me relaxer au maximum, car je sens mes chairs distendues au possible ayant du mal à accueillir l'intrus.

Je m'encourage en disant que le plus dur est fait. Ce qui est une erreur ! Car si sa hampe n'est pas plus large son avancée écarte sans faille mes parois et devient un peu douloureuse. Il prend son temps et progresse à petits pas tout en jouant avec le reste de mon corps pour continuer ses habiles diversions. J'ai le palpitant qui joue les grandes orgues et je respire à grand bruit concentrée au possible.

Après moult efforts et une bonne dose de patience, ce braquemart grand format finit par remplir pleinement ma grotte à plaisir. Comme cette après-midi lors de la double pénétration, j'ai peur que tout craque tellement mes chairs me semblent écartelées. Mais la nature est bien faite et après m'avoir laissé le temps de prendre la mesure de mon invité, mon homme au cigare commence quelques mouvements langoureux pour me faire profiter pleinement de toute la longueur de son chibre.

Il manœuvre sa vipère de broussaille avec précision, n'accélérant le rythme que lorsqu'il sent mon sexe, et mon esprit, moins contracté. La douleur s'estompe peu à peu et ma baveuse prend la mesure de l'engin. Je suis encore loin d'être pleinement détendue et de démarrer une libido, mais je crois que c'est en bonne voie.

La bataille est longue et mon fervent chevalier m'attend à plusieurs reprises pour faire monter mon désir en harmonie avec son plaisir. Je finis par vraiment décrocher et ranger toutes mes craintes au placard. Ses coups de reins sont maintenant bien plus fougueux et sont en train de me faire monter à toute vitesse à l'échelle des plaisirs. Je ne tente pas de résister ni de retenir l'orgasme qui pointe le bout de son nez et explose sans modération dans un long gémissement.

Je ne suis généralement pas une grande crieuse lors de ma petite mort, mais pour une fois mes cordes vocales ont chanté ma jouissance. J'ai mis un peu de temps à revenir à moi après cette belle envolée. Mon homme au cigare est étendu à mes côtés. Il a dû atteindre également son paradis, car une capote bien pleine est posée à ses côtés. J'avoue avoir été très perso cette fois et n'est pas trop vraiment réalisé ce qui s'est passé lors de la fin de notre cavalcade.

Ma main caresse doucement mon sexe qui vibre encore et récupère de cette imposante visite. J'ai bêtement l'impression qu'il est démesurément ouvert et qu'il ne se refermera pas. Je navigue encore un peu sur les berges de ma jouissance lorsque sans raison aucune une envie folle de reprendre en main ce majestueux gourdin me traverse l'esprit.

Le monstre est avachi sur le ventre de son propriétaire l'air rassasié. Je l'attrape d'une main délicate et l'enfourne sans attendre dans ma bouche pour lui redonner vie. Il résiste un peu au départ, mais sous mes coups de langue experts il finit par prendre forme et grossir jusqu'à envahir le moindre recoin de ma margoulette. Je le taquine et tète gourmande son gland.

Même si je suis parfois aventurière je ne suis jamais téméraire, mais là, de manière complètement insensée, je ne me reconnais plus. J'attrape une capote pour habiller de latex ce fier chibre et viens chevaucher l'homme au cigare. Ce besoin incontrôlable de dominer et de maîtriser ce monstre me fait un peu peur.

Je joue encore un peu avec ce service trois-pièces mis à ma disposition. Mon étalon ne dit rien, il observe mes agissements avec intérêt ne sachant pas encore si je vais oser aller jusqu'au bout. Et puis, après avoir un peu hésité, je me lance et viens positionner l'entrée de mon sexe au-dessus du braquemart. Le premier contact m'électrise et me motive, mais j'ai été un peu prétentieuse et je refrène mon impatience à le sentir en moi. Malgré une première expérience réussie, l'introduction n'est pas aussi aisée que prévu.

Le calibre est imposant et il me faut œuvrer longuement et faire preuve de patience pour arriver à l'engloutir entièrement sous les encouragements de mon partenaire. Arrivée à mes fins, je commence à coulisser sur ce colossal mat de cocagne. Cette seconde manche est longue et je dois rester concentrée.

C'est lui qui cette fois prend son ticket pour panarland le premier. Je n'ai pas complètement maîtrisé tous les débats et n'ai pas atteint de mon côté l'apogée. Mais je ne me sens pas frustrée, je suis satisfaite d'avoir dompté l'engin et de l'avoir amené à prendre du plaisir.

Lorsque je sors de l'igloo, je me sens différente. Non, je ne vais pas vous jouer la midinette épanouie, je n'ai pas eu de révélation, je ne suis tombée amoureuse des chibres tailles XXL. C'est autre chose, une espèce de bien-être, de plénitude, d'accomplissement presque. Je me sens sereine, oui c'est ça sereine c'est un terme qui définit bien mon état d'esprit. Avec en plus une petite touche de fierté. Celle d'avoir osé affronter ce colosse et surtout d'avoir réussi à le maîtriser !

Après avoir retrouvé mes deux pervers non loin, nous continuons à déambuler jusqu'au bout du couloir où nous nous arrêtons devant une nouvelle pièce au nom équivoque « la chambre aux fantasmes » qui a été ouverte au début des vacances. C'est une pièce un peu plus grande que les autres recouverte de tapis très épais, de style dojo, aux couleurs bariolées. À l'entrée, à côté d'une porte fermée par un simple rideau, un panneau protégé par une vitre en verre qui se ferme à clé. Au-dessus une horloge au cadran numérique indique 23 h 15.

Vincent sort le sésame de sa poche et ouvre le panneau. En haut de celui-ci une simple phrase « je suis disponible jusqu'à » située juste au-dessus d'une horloge dessinée dont les deux aiguilles sont déplaçables sur le cadran.

- Le club ferme bien à deux heures du matin? me demande-t-il de confirmer

Je hausse les épaules sans lui répondre. Je n'ai pas mémorisé ses horaires par cœur. Devant mon mutisme ils tournent les aiguilles pour indiquer 2 h.

- Deux heures c'est bien je trouve, confirme-t-il en me regardant le sourire aux lèvres.

En dessous de l'horloge, une longue liste de pratique sexuelle est enseignable en positionnant devant chacune d'entre elles un petit aimant rond rose.

- Tu as compris le principe de la salle, me demande-t-il alors que Marc commence à jouer avec les aimants.

Oui, difficile de rater le principe d'une mise à disposition, mais je n'ose lui l'avouer en sachant que je risque d'y entrer. Devant ma mine dépitée, il décide de me l'expliquer.

- C'est bien plus efficace qu'un site de rencontre. Une femme en recherche de partenaire peut préciser avec ce petit tableau la durée de sa disponibilité et le type de relation qu'elle souhaite. Simple non?

- Elle va ensuite s'installer dans la salle et attend ses prétendants, continue-t-il à préciser. Elle ne peut bien sûr pas refuser l'un d'entre eux et eux ne peuvent pas déroger aux pratiques autorisées. Le tout doit se faire avec un minimum de savoir-vivre évidemment. Le contrat est clair et simple.

- La petite lampe rouge, enchaîne-t-il en me montrant une petite boule posée au-dessus de la porte comme dans les studios de cinéma, passe au vert lorsque le lieu est occupé et disponible ! Que penses-tu du fonctionnement? Excitant non?

- Tu es en forme? me demande-t-il.

- On ne peut pas faire plus court ou plus simple? Je suis carrément crevée là, tenté-je de négocier.

Vincent me caresse les fesses puis vient jouer quelques instants avec le rosebud toujours bien fiché dans ma corolle.

- Il est efficace, non? me demande-t-il

- Comment ça? niaisé-je.

- Aucune visite à déclarer dans ce popotin pourtant accueillant depuis le début de la soirée. Tu ne peux pas contester sa réelle efficacité ... et notre parole jusqu'à présent.

- Qu'est-ce que tu veux insinuer?

- Rien, rien, répète Vincent en continuant de profiter de la douceur de mon postérieur. Mais si tu venais à le perdre, on ne pourrait peut-être plus rien promettre. Ce serait dommage.

Toujours avec ses sous-entendus, Vincent vient de me faire passer le message. Mon visage courroucé et mes fesses qui se contractent lui font comprendre que je l'ai bien reçu.

- Viens, on va remplir le tableau ensemble, me propose-t-il devant ma mine renfrognée.

La longue liste des pratiques s'affiche devant mes yeux. Marc en a déjà coché certaines qui m'effraient.

Vincent le regarde en souriant et enlève l'aimant à la ligne gorge profonde ou encore celui à double pénétration appréciée !! Il coche plus raisonnablement celle que je maîtrise sans rechercher d'extravagance ni d'exploit ou encore de nouvelles découvertes. Je respire un peu, la journée a déjà été très chargée dans ce domaine !

En passant devant la case sodomie, Vincent me regarde le sourire aux lèvres, caresse mes fesses et retire également le petit aimant. Je vois Marc faire un peu la tête, je crois qu'il aurait bien aimé retrouver le confort de mes intestins. Seule ligne qui m'effraie un peu sur cette longue liste est celle ne limitant pas le nombre de partenaires que je peux avoir en même temps.

Une fois la liste validée nous pénétrons. Un petit sas de transition contient une grande pile d'une douzaine de paniers en osier, une grande boite de préservatifs de toutes les couleurs et de toutes tailles, ainsi que des crèmes et des gels de toutes sortes sur une étagère.

Ils se déshabillent et utilisent chacun un petit panier pour mettre leurs affaires. Nous franchissons ensuite le second rideau pour entrer dans une petite pièce dont le sol couvert d'épais tatamis de toutes les couleurs me fait penser à une salle de judo. Elle n'est pas très grande, mais peut contenir aisément une douzaine de personnes.

- Ça va se passer un peu comme un combat d'art martial, me précise Vincent. Tout le monde doit s'asseoir contre les murs et venir à tour de rôle au centre du tatami pour livrer, avec son chibre cette fois, son combat avec la partenaire disponible.

- Tu es la seule à ne pas pouvoir quitter le centre du tatami. Et comme nous n'avons pas limité le nombre de partenaires en même temps autour de toi, ils peuvent venir à plusieurs en fonction du nombre de places disponibles.

- Vous ... vous restez avec moi? m'inquiété-je en voyant que j'allais être lâchée dans une cage aux fauves.

- Bien sûr, nous serons toujours présents pour contrôler la testostérone des participants et éviter les débordements.

Marc est un peu agacé par ces longues explications, je le sens impatient de passer à nouveau à l'action. Il vient sans ménagement remplacer mon rosebud par un plug garni d'une longue et épaisse queue de chienne. Il continue ensuite ma décoration en attachant deux petits pompons aux anneaux de mes seins ainsi qu'un petit grelot à celui de mon clito. Satisfait, il me donne ensuite une petite claque sur les fesses pour me motiver à aller allumer la lumière de la porte d'entrée.

Je retourne dans le sas, appuie sur le bouton et passe ma tête à l'extérieur pour vérifier que l'ampoule est bien passée au vert. Je découvre que deux personnes sont déjà en train de regarder avec attention le menu proposé. Je déglutis, mon attente devrait être brève !

Je suis à peine revenue sur le tatami que Marc me met à quatre pattes et m'embroche sans le moindre préliminaire. Lorsque ses roubignoles prennent le pouvoir, il a carrément le cerveau qui disjoncte l'as du divan. On est plus proche du style de l'homme des cavernes que de celui du gentleman dans ce début de baise endiablée.

Alors qu'il me besogne sans retenue, je vois rentrer dans la pièce les deux hommes qui consultaient le tableau tout à l'heure. Ils sont nus avec leur petit panier et vont sagement s'asseoir le long d'un mur. Vincent profite d'un petit ralentissement des coups de boutoir de Marc pour venir me glisser à l'oreille.

- Ta longue exposition sur la chaise gynéco a fait de nombreux envieux. Nous en avons profité pour faire ta promotion, tu ne devrais pas t'ennuyer !

Je ne suis pas plus envieuse que ça de déborder d'aficionados en tout genre. Après sa courte petite pause Marc pique un sprinte infernal faisant résonner à tout va mon grelot dans toute la pièce pour finir accroché à mes seins, le chibre bien ancré au fond de ma grotte vidant son surplus de spermatozoïdes dans son manteau en latex.

En allant jeter sa capote dans le petit seau prévu à cet effet dans un coin de la pièce, il invite les nouveaux venus à me rejoindre. La place est chaude, ils peuvent en profiter. Ils ne se le font pas répéter et c'est deux braquemarts mis au garde-à-vous par le spectacle de ma première cavalcade que j'accueille dans mes orifices.

Le ton est donné et je sens bien que c'est un marathon que je viens de démarrer. Marc est allé s'asseoir pour récupérer de son envolée alors que Vincent joue au maître de maison en accueillant deux nouveaux hôtes. Je retrouve un peu de douceur avec ce nouveau chibre qui me prend de manière langoureuse et cet autre dard qui se laisse sucer docilement. Ils alternent les places pour profiter de mes deux lieux de plaisir.

La valse des allées et venues vient de commencer et elle va sûrement être à mille temps. À chaque changement de position, je découvre un nouveau mec assis dans la pièce. J'en perds vite le compte tellement je suis prise par l'action. Dès que l'un de mes trous est disponible, il est immédiatement occupé par une nouvelle queue. Aucune pause ne m'est accordée.

Comme le nombre de partenaires n'a pas été limité, j'ai toujours trois ou quatre chibres qui m'entourent en permanence. Un ou deux profite de ma bouche et mes coups de langue experts, un ou deux autres de la douceur de mes mains, tandis qu'un dernier s'épanouit dans ma grotte à plaisir et fait retentir sans relâche le grelot de mon clito.

Ma queue de chienne est appréciée et certains tirent dessus par jeu pour tester l'élasticité de ma corolle. Vincent veille au grain et empêche les rares tentatives de visite de mon colon par quelques écervelés n'ayant pas pris la peine de bien consulter la liste de course autorisée.

Il me rassure en restant proche de l'action en permanence et en animant les débats. Il calme parfois quelques velléités trop fougueuses, accueille les nouveaux arrivant et gère le nombre de places, motive certains partenaires trop timides, rappelle quelques fois que les photos ou les vidéos souvenirs sont interdites ... un véritable GO de club med !

J'ai un succès fou et la pièce est pleine en permanence. Je suis en général à quatre pattes pour pouvoir m'occuper de plus de braquemarts, mais on m'autorise de temps en temps de faire une pause sur le dos pour un plus classique missionnaire. C'est souvent dans cette position que certains viennent baiser ma bouche et que mes mains sont occupées à branler les quelques vis qui traînent à porter.

Je suis parfois étourdi par tous ces hommes qui m'entourent. Cette perte de contrôle totale m'a carrément angoissé au début, mais je n'ai rapidement plus eu le temps d'y penser tellement l'action est intense. J'ai juste l'impression maintenant d'être une poupée gonflable, un simple jouet sexuel entre leur main comme marqué sur mon collier.

Il arrive parfois à ma bouche d'avoir des petits coups de mou tellement la journée a été chargée. Vincent vient dans ces cas-là me remotiver en me murmurant à l'oreille qu'il peut, si je n'arrive pas à satisfaire tout le monde, éventuellement mettre l'option double pénétration au menu. L'effet est immédiat et je retrouve chaque fois malgré une fatigue qui se fait grandement ressentir une bonne dose d'énergie pour pomper comme une folle tous les chibres à porter de bouche !

Le chant du grelot n'arrête pas d'envahir la pièce. J'ai le sexe gonflé qui commence à me faire mal malgré ma lubrification naturelle importante. Je suis monté au plafond deux ou trois fois, je pense, des moments délicats, car aucune pause ne m'a été accordée pour en profiter. Les mains ont continué à jouer avec mon clito douloureux.

La dernière ligne droite est très compliquée, les relations deviennent vraiment désagréables et j'ai hâte que cela se termine. Heureusement une petite sonnerie envahit la pièce. Elle indique, comme dans les pubs, que le club va fermer dans quinze minutes. Il reste encore six personnes en attente d'un billet pour le 7ème ciel. Vincent intervient et propose pour que chacun puisse finir dans les temps qu'ils se masturbent sur mon corps.

Je suis allongée sur le dos et les six hommes viennent s'agenouiller autour de moi. Le concours de branlette commence. Chacun astique son vit vigoureusement d'une main autoritaire tout en me caressant parfois. Les effets de cet acharnement sur leur manche ne tardent pas. Je me retrouve aspergée de toute part par de bonnes doses de semence bien épaisses.

Cette option manuelle a été efficace, car lors de la seconde sonnerie ils avaient tous quitté la pièce rhabillés et détendus du gland. Vincent et Marc viennent m'aider à me relever et sont obligés de me soutenir. J'ai les jambes en coton et le sol se dérobe à chacun de mes appuis. Marc enlève ma décoration, remet mon rosebud en place et m'enfile mes escarpins, seuls rescapés de cette soirée très mouvementée.

Ils sont obligés de me soutenir en descendant les escaliers, car je ne récupère pas. C'est Émilien qui vient à mon secours lorsque nous arrivons dans la salle de spectacle du club en me proposant un large pancho pour éviter un départ trop dénudé !

Je suis sur une autre planète pendant tout le trajet du retour. Je suis étourdie, l'esprit encore dans cette chambre sentant encore sur mon corps toutes ses mains me tripoter sans vergogne et sans relâche. J'ai l'impression que mon sexe vibre toujours et accueille en permanence un chibre en action.