Alice in Wonderlands? Ch. 09

Informations sur Récit
Alice, une histoire de vengeance.
20.9k mots
4.87
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Partie 9 de la série de 9 pièces

Actualisé 12/29/2023
Créé 02/25/2023
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cinolas
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Chapitre 9 - Une fin de contrat inattendue.

Il est à peine midi lorsque je franchis les bras chargés d'un gros gâteau aux pommes fait maison et d'une bouteille de cidre les grilles de St Thérèse de la Luciole pour rejoindre mes collègues au repas de fin d'année organisé par l'école. C'est une tradition cette petite bouffe où tout le personnel de l'établissement est convié le lendemain du début des vacances d'été. Chacun amène un petit truc à grignoter à partager et on passe l'après-midi à papoter de chose et d'autre. Une manière sympa de dire au revoir à ceux qui sont mutés et de se souhaiter de bonnes vacances !

Cela me fait tout drôle de franchir à nouveau le portail, car à part un rendez-vous avec Vincent pour signer ma demande de mutation suite à cette seconde année de stage brillamment validée par mon inspecteur préféré je n'avais pas remis les pieds à l'école depuis mon accouchement début mai.

Comment ça, vous n'étiez pas au courant? Vous n'écoutez pas la BBC? Moi qui croyais avoir fait la une de toutes les radios londoniennes (!). La location de ventre n'ayant pas la même ferveur que les Airbnb en France je me suis exilée et j'ai été pondre de l'autre côté de la manche. Enfin quand je dis je, tout était déjà organisé dans le moindre détail par sieur Kas-roupettes.

J'étais accompagné par William, un grand black filiforme d'une trentaine d'années coiffé d'imposantes dreadlocks qui m'a servi d'homme à tout faire pendant tout le séjour. Et quand je dis à tout faire, ce n'est pas un faible mot, car il s'est même occupé de mon petit cadenas, c'est vous dire. Moi qui pensais enfin être débarrassée de cet infâme castrateur à plaisir après l'accouchement, que nenni ! À peine étions-nous rentrés de la clinique que mon chevalier servant s'est empressé de refermer à double tour mon centre à plaisir. Mais heureusement nos relations intimes se sont arrêtées là !

L'accouchement s'est en plus très bien passé, arrivé à la clinique le lundi midi pour en ressortir le lendemain après-midi après avoir donné naissance à un beau petit mec de 3,5 kg pour 50 cm. Enfin ça, c'est ce qui était marqué sur la feuille, car j'ai tout juste pu lui faire un sourire quand on me l'a mis trente secondes dans les bras après qu'il soit sorti de son home sweet home en location avant que l'infirmière ne me le reprenne.

Certes, ce n'était pas une grossesse voulue, mais j'ai été quand même carrément frustrée le lendemain. J'aurais aimé le regarder, le tenir un peu dans mes bras, juste le temps de voir à quoi avaient servi ces neuf mois de patience et d'emmerde. Si si je confirme, la grossesse n'est pas de tout repos !! Surtout quand il faut que tu tiennes ta ligne pour cause d'escorte pour un Kas-couilles exigeant. Eh oui les filles, nutritionniste oblige, pour plaire à mes nombreux partenaires je n'ai pris qu'un petit kilo qui se balade dans mes fesses, bien sûr je ne parle pas de ma poitrine qui a explosé tous mes soutifs et rendu heureux mes partenaires !

J'ai ensuite passée quinze jours de vacances à Londres au frais de Kas-burnes. Même si je n'avais pas les clés du porte-monnaie, c'est William qui jouait le rôle de la banque, le séjour a été très agréable. Il m'a fait découvrir la capitale que je ne connaissais pas du tout, un véritable guide touristique. J'avais en plus comme pied à terre une petite villa dans une banlieue huppée de Londres avec une femme de ménage qui faisait aussi office de cuisinière. Bref il ne me manquait plus que le prince charmant pour me prendre pour une princesse !

Mais revenons à St Thérèse, après avoir été déposer ma tarte et ma bouteille sur une grande table déjà bien remplie de victuailles en toutes sortes, je vais claquer la bise à quelques collègues. Certains ont déjà attaqué l'apéro, d'autres s'affairent à finir de préparer les lieux du repas, bref ça fourmille dans tous les coins.

Je découvre Vincent harnaché d'un sobre tablier noir, une longue pince à viande entre les mains en train de se battre avec la braise de l'immense barbecue qui est de sortie pour l'occasion.

- Alice, ça fait plaisir de te voir, tu nous as manqué, m'accueille-t-il chaleureusement avec un grand sourire.

Je me demande si le nous concerne mes collègues ou bien lui et son chibre. Je suis mauvaise langue pour une fois et m'abstiens de lui poser la question.

- Je te présente Gabriel, mon fils, qui fait ses études en Suisse. Il est venu fêter ses 19 ans avec son père, me dit-il en tapotant sur l'épaule du garçon à ses côtés pour qu'il se retourne.

Alors que je m'apprête à lui tendre la main, je reste bouche bée lorsqu'il se retourne. Le ciel me tombe sur la tête. Le jeune Gabriel n'est autre que celui avec lequel j'ai couché l'été dernier lors de la colo. Celui par qui cette histoire a commencé et que mon année noire a démarré. Il n'y a aucun doute là-dessus, il a un peu changé et fait moins ado aujourd'hui, mais je ne peux pas me tromper c'est bien lui.

- Bonjour, Alice, je suis ravi de vous rencontrer, me lance-t-il en attrapant ma main qui était restée en suspens pour une poignée virile. Mon père m'a souvent parlé de vous. Vous faites partie de ses meilleurs instituteurs selon lui.

- Et malheureusement elle s'en va, complète son père en souriant. Allez, on te retrouve tout à l'heure, le barbecue n'attend pas sinon on va manger du charbon.

Je poursuis mon tour comme une automate, complètement groggy par le coup de poing que je viens de prendre à l'estomac. Une foule de questions se bouscule dans ma tête et je fais surtout acte de présence lors de la suite des festivités. Mes moments d'absence pour cause de ciboulot en ébullition lors du repas interpellent mes collègues qui en profitent parfois pour me charrier un peu.

Après avoir brillamment gagné la dernière partie de molkky et donné quelques chaleureuses embrassades, je quitte mes collègues pour aller me téléporter au volant de ma C3 vers le manoir de mes parents. Mon samedi est loin d'être terminé, car Kas-burnes m'y a donné rendez-vous à l'heure du tea time. Je vous avoue être impatiente de voir cette année cauchemardesque prendre fin et espère aussi avoir quelques réponses à mes indénombrables questions. Celle du lieu m'en pose déjà, pourquoi chez mes parents? Sont-ils aussi impliqués dans l'histoire? Auraient-ils eu vent de mes mésaventures malgré ma grande discrétion?

C'est William, le grand black aux longues dreads qui m'a servi de nounou pendant mon séjour à Londres, qui m'accueille lorsque j'arrive sur le parvis du manoir. Il arbore la tenue de majordome portée habituellement par Henri. Étonnement, je ne suis même pas surprise de le voir ici. Il écarte gentiment les deux jeunes dalmatiens qui viennent me souhaiter la bienvenue à grand coup de léchouilles puis m'accompagne dans le parc situé à l'arrière du bâtiment. Son pantalon un peu court pour ses grandes échasses lui donne une démarche un peu atypique qui me fait sourire malgré l'enjeu de ma rencontre avec K.

C'est au milieu du parc qu'a lieu la garden-party, à l'ombre de l'un des immenses chênes bordant le petit cours d'eau. La vieille balançoire en bois que nous nous disputions régulièrement avec ma frangine est toujours attachée à l'une des grosses branches et me rappelle des tonnes de souvenirs agréables.

Tout le monde est déjà installé devant sa petite table personnelle. Au centre de ce petit cercle, deux dessertes accueillent boisson et petits gâteaux en tout genre. La scène fait très british et je m'attends à découvrir Hercule Poirot installé sur l'une des petites tables en fer forgé dégustant une petite tasse de thé avant de nous démontrer avec brio qui est l'assassin !

J'ai l'air détendue, mais c'est plus pour cacher le stress qui me travaille l'estomac depuis que je suis arrivée. Cela fait plusieurs mois que je n'ai pas vu mes parents, je ne voulais pas m'enfermer dans de douteuses ou extravagantes explications pour justifier cette grossesse soudaine. Je prenais des nouvelles plusieurs fois par semaine, prétextant un emploi du temps débordé pour justifier mes visites trop rares en promettant un été très présent.

Ma joie non dissimulée de les revoir ne trouve pas de réelle écho dans leur rang. L'atmosphère est pesante et je sens que l'ambiance n'y est pas, chacun reste plongé dans son occupation sans trop prêter attention à mes câlins de retrouvailles. Mon père est, comme souvent, en plein boulot sur son ordinateur portable. Ma mère répond à ses mails sur sa tablette et ma sœur reste enfermée dans sa lecture du Monde. Y aurait-il un mort dans la famille?

La dernière table est occupée par un homme en fauteuil roulant. Difficile de lui donner un âge à cause du masque noir qui recouvre entièrement la moitié droite de son visage, mais je lui donnerai la cinquantaine passée. Un costume noir plutôt élégant et un large chapeau porté malgré l'ombre de l'arbre pour certainement cacher une partie de son masque complètent sa tenue. La carrure imposante des deux men in black situés à quelques encablures derrière lui ferait presque passer les gardes du corps de Joe Biden pour des enfants de chœur.

C'est lui qui brise le silence glaçant qui est installé sous le chêne.

- Bonjour Alice, merci d'être venue. Je suis, comme tu dois le supposer, Mr K se présente-t-il sans me tendre la main. C'est la première fois que nous nous voyons, en ce qui te concerne tout du moins, ajoute-t-il.

- Bonjour, lui répondis-je assez froidement. Je n'ose lui préciser qu'il m'est difficile de refuser toutes ses invitations depuis quelques mois !

- Rapproche-toi, nous avons pas mal de choses à voir ensemble cet après-midi, m'invite-t-il.

À peine suis-je arrivée à côté de son fauteuil que ce pervers me met la main aux fesses sans se soucier de ma famille. Je ne bronche pas et tente de rester stoïque sous les caresses de cette main vagabonde qui explore les courbes de mon popotin.

- Donne-moi ta culotte, me demande-t-il après avoir fait le tour de la question.

Je regarde autour de moi, mais ni mes parents ni ma sœur n'ont bronché et levé le moindre sourcil dans notre direction à sa remarque. William et une servante positionnés non loin au garde-à-vous en attente de la moindre directive n'ont pas, eux non plus, tourné leur regard dans notre direction ! Même si tout le monde semble faire le mort, je me retourne pour leur faire dos et fais glisser aussi furtivement que possible le tanga rouge fraise qui couvrait mon intimité. Arrivée à mes fins je le lui tends discrètement.

Ainsi dénudées, mes fesses respirent l'air chaud que de petits coups de vent s'amusent à glisser sous ma robe légère. Elles ne restent pas seules longtemps. Après avoir porté mon bout d'étoffe à ses narines pour découvrir toute la saveur des odeurs de mon intimité Kas-couilles retourne dire bonjour à mon postérieur. Cette fois c'est sous ma robe que sa main vient le caresser sans trop de délicatesse. Elle s'introduit ensuite entre les deux globes pour vérifier que j'ai bien respecté ses consignes et que le rosebud est bien en place.

Il le taquine un peu et fait jouer l'élasticité de ma corolle, puis, satisfait il s'égare quelques instants au contact du cadenas verrouillant l'accès de ma case trésor. Il tire légèrement dessus pour que je vienne me coller à son fauteuil. Sa main droite sort ensuite de sa poche une chaînette portant une petite clé dorée. Lorsque sa seconde main part sous ma robe avec ce sésame libérateur, un frisson me parcourt l'échine dorsale. Il prend son temps et savoure la libération de mon sexe. Il observe mes réactions tout en ouvrant le petit cadenas et en le posant ensuite sur la table.

En voyant l'objet de cette année de frustration, mon frisson s'intensifie et je suis prise de petits tremblements. J'ai les jambes qui flageolent très légèrement et une bouffée de chaleur m'envahit. L'acte n'est pas anodin, c'est lui qui me l'a posé il y a maintenant dix bons mois et je sais que ce retrait est définitif. Malgré ma position encore précaire à son encontre, le poids de ce symbole de soumission vient tout d'un coup de disparaître !

Sa main ne s'arrête pas en si bon chemin et retourne rendre visite à mon centre à plaisir. Elle prend le temps de le caresser dans tous les sens jusqu'à ce qu'il s'humidifie. Ce n'est pas très long, car depuis le traitement de Swchartz mon corps réagit à toute vitesse à la moindre attention même si ma libido est au point mort.

Lorsque son majeur se fraye un chemin entre mes lèvres pour aller visiter ma grotte je prends carrément une décharge. Après une année d'abstinence, mon vagin réagit comme un fou à cette pénétration. Son index le rejoint sans attendre sur mon point G alors que son pouce vient prendre possession de mon clito déjà tout gonflé.

Passé les effets de cette introduction autoritaire, j'ai soudain un vague sentiment de honte. Je suis en train de me faire vulgairement branler en public ! Kas-bonbons m'utilise comme un objet et je ne tente à aucun moment d'échapper à cette petite humiliation. Cette année difficile a affecté ma combativité et m'a rendue soumise à ses moindres caprices.

Je focalise mon attention sur le manoir pour échapper aux émotions qui me submergent. Je croise le regard de l'un des gardes du corps. Très professionnel, il n'esquisse pas la moindre réaction, il en a certainement vu d'autre ou vécu des situations bien plus vicieuses. Malgré le peu de douceur dont fait preuve Kas-couilles, il possède un doigté plutôt efficace qui ne tarde pas à m'emmener aux portes du paradis.

Je les franchis en rougissant lorsque l'accélération de ses doigts ne me laisse plus aucune chance de retenue. Mes cuisses emprisonnent sa main, je baisse la tête, respire à grand bruit et tout en profitant de cet orgasme fulgurant je maudis en plein ce foutu traitement qui me fait jouir contre ma volonté.

Ce sentiment partagé est vite évacué lorsque Kas-noisette réclame la libération de sa main d'un fort pincement de mes fesses. Je réagis sans attendre et écarte mes cuisses. Il la porte aussitôt à ses lèvres et d'un petit coup de langue goûte au parfum de mes émois. Il l'essuie ensuite sans gêne aucune avec mon tanga. Je tente de retrouver mes esprits et m'appuie sur le dossier de la chaise située à mes côtés le temps de faire redescendre la pression.

- Quel dommage le professeur Swchartz avait vraiment fait du bon boulot, marmonne-t-il avant de m'inviter à m'asseoir.

Je ne pense pas que la scène soit passée inaperçue, cependant aucun membre de l'assemblée ne réagit et tout continue dans le calme comme si de rien n'était ! D'un claquement sec de doigts, il interpelle la servante qui se précipite avec les deux dessertes pour me proposer une petite restauration.

- C'est la nouvelle cuisinière de tes parents, me précise-t-il, et ses pâtisseries sont sublimes, en particulier ses muffins.

Sur ses conseils, j'en prends un à la framboise accompagnée d'un thé aux fruits rouges pour rester dans la thématique. Remise de mes émotions, j'attends maintenant autre chose qu'un simple goûter pour répondre à mes nombreuses questions. Je reste étonnamment calme malgré la haine que je porte au personnage. Certainement à cause de la puissance qu'il dégage qui n'incite pas à l'affrontement.

- Vois tu Alice commence-t-il alors que je croque à pleine dent dans l'énorme muffin que l'on m'a servi, la vie est parfois capricieuse et pleine de rebondissements dont on ne mesure pas toujours bien toutes les conséquences.

Ça y est on est parti pour un cours de philo ! Je m'abstiens de lui rétorquer que ce n'était pas dans la liste des sujets du bac de cette année et le laisse poursuivre.

- Tu n'es certainement pas au courant, mais ton père a fait ces derniers mois des paris sur l'avenir qui se sont avérés beaucoup trop audacieux. Je te passe les détails, mais il a mis l'entreprise familiale au bord du précipice. Heureusement pour tes parents je suis intervenu avant qu'il ne soit trop tard et ai pu renflouer les caisses avant que des individus mal intentionnés n'en profitent.

Voilà qu'il se prend pour un messie maintenant. S'il n'était pas en fauteuil roulant, je lui demanderais s'il n'a pas du mal à marcher avec ses chevilles aussi gonflées ! Même si avec son ego surdimensionné cela ne m'étonne pas du tout.

- J'en suis donc maintenant l'actionnaire principal et donc de ce fait le propriétaire. Mais rassure-toi, tes parents vont conserver la direction de l'entreprise et aux yeux de tous, pour l'instant, rien ne change, elle est toujours leur bébé.

Je détourne la tête vers mes parents et suis surprise de leur manque total de réaction à son discours concernant l'entreprise pour laquelle ils se battent depuis tant d'années.

- Mais cela, forcément, n'est pas sans quelques conséquences, enchaîne-t-il. Nous avons pu facilement nous entendre sur leurs nouvelles conditions salariales. Enfin ils ont surtout accepté mes propositions, précise-t-il avec un petit accent de satisfaction dans le ton de sa voix.

Je ne l'interromps toujours pas dans son monologue pressée d'entendre les explications et les causes d'une situation qui est en train de complètement me dépasser !

- Je ne vais pas t'assommer avec un long discours alors qu'une simple démonstration suffira à te donner un aperçu de la nouvelle situation. Venez donc nous rejoindre Mme Harchambault.

Ma mère lève le nez de sa tablette et nous rejoint à petits pas. Elle se place devant notre table. Elle a la tête des mauvais jours et quelques petits cernes indiquent son visage fatigué.

- Pouvez-vous relever votre robe Mme Harchambault s'il vous plaît, lui demande poliment Mr K.

Mon regard rempli d'incompréhension se porte d'abord sur Kas-burnes avant de me retourner vers ma mère qui, à ma très grande surprise, empoigne sans rechigner le bas de sa robe légère à fleurs et, d'une docilité que je ne lui connaissais pas, la relève pour nous faire découvrir son sexe.

- Allons plus haut Valérie, ne soyez pas timide, plus haut la robe, lui ordonne-t-il d'un ton presque moqueur.

Alors que je croise son regard en colère, elle s'exécute et nous découvre ses seins qui sont eux aussi exempts de tout sous vêtement. Le spectacle qui s'offre à moi me sidère, non pas de voir ma mère nue, je crois vous en avoir déjà parler on est très libre à ce niveau-là dans notre famille. La nudité n'est pas un tabou comme dans la bien-pensance judéo-chrétienne !

C'est, je me répète, cette docilité dont elle fait preuve associée à l'inertie de mon père devant ce spectacle qui n'a pas levé le moindre petit doigt et ce qu'elle nous découvre qui me laisse bouche bée ! Je suis en colère, la bouche remplie de questions devant l'exhibition qu'elle nous offre.

Mais que je vous décrive ce tableau naturel. Ses seins, comme les miens, arborent un anneau chacun, ce qui jusque là n'a rien d'extraordinaire me direz vous. Son sexe par contre a été beaucoup plus gâté que le mien, ça doit être un obsédé du piercing ce taré de Kas-luciole. Son clito n'a pas été simplement décalotté, mais l'anneau qui l'orne le traverse de part en part. En découvrant ce détail un peu lugubre, un frisson me parcourt l'épine dorsale.

Ses grandes lèvres accueillent, elles aussi, deux anneaux chacune. Un petit poids est relié par une petite cordelette à chaque couple d'anneaux tirant ainsi légèrement sur chacune de ses grandes lèvres.

- Ta mère n'a pas été très productive cette semaine et il est bon de lui rappeler régulièrement que même si elle ne leur appartient plus, il est bon d'œuvrer à la rentabilité de l'entreprise, me précise Kas-bombons en voyant mon regard s'attarder sur ce détail monstrueux.

- Mme Lee, complète-t-il, la nouvelle femme de ménage de tes parents à l'occasion, est une adepte de la fessée et des poids. Elle aime jouer avec les parties sensibles et elle lui a fait faire une petite balade dans le parc tout à l'heure pour découvrir l'effet de ces suspensions provisoires. Bien sûr il a fallu la motiver un petit peu, tournez-vous Valérie pour montrer à votre fille votre postérieur.

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