Alice in Wonderlands? Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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Mes couinements de plus en plus intenses ne le ralentissent pas et il s'applique à ne laisser aucune partie de mon arrière-train en manque de sensation. Lorsque ma réserve d'injure se tarit et que seuls sortent de ma bouche mes gémissements de douleur, il décide de stopper.

- Es-tu calmé Alice? me demande-t-il flegmatiquement après avoir largement contribué à l'échauffement de mon popotin.

Mon "va te faire foutre" sorti en grimaçant le rassure. Je suis toute essoufflée par la fessée que je viens de prendre et par la diatribe que j'ai débitée à toute vitesse à son encontre. Il me lâche les mains. Je me redresse et masse mes fesses généreusement pour naïvement faire passer la douleur qui les taraude depuis quelques minutes. Le sang circule bien, cela a déjà été vérifié longuement par Vincent !

- Je voulais te remercier, mais tu ne me laisses pas en placer une, ironise-t-il.

- Me remercier? Laisse tomber les violons Vincent, ce que tu as fait est ignoble.

- Si si j'insiste. C'est grâce à toi si je suis allé voir un psy, celui que tu m'as conseillé d'ailleurs ! Ce fut une rencontre inattendue, merveilleuse, enchanteresse et surtout pleine de nouvelles perspectives pour l'avenir.

Ça y est il est en train de me raconter sa vie, je me serais bien passé de faire un peu de social en cette fin de journée déjà très chargée.

- Tu es tombé amoureux et tu veux faire ton coming out, me moqué-je.

- Non, je ne te l'aurai pas annoncé comme ça sinon. Il m'a découvert une petite dépression qui traîne depuis quelques mois, consécutifs très certainement au départ de ma femme.

- Un seul être vous manque et tout est dépeuplé, continué-je à me foutre de sa figure.

- Il m'a surtout proposé un moyen de le résorber sans se goinfrer de pilule en tout genre. La technique est simple, je ne dois pas me censurer dans mes envies sexuelles pour combler le manque affectif. Bien sûr tant que ces envies restent dans le raisonnable.

- Alors on a échangé autour de mes principales libidos et il en a validé quelques-unes. L'uro en fait partie et je crois même qu'il doit partager mes goûts pour cette pratique vu le ton de nos discussions. Grâce à toi j'ai pu te proposer de découvrir cet univers, c'était une première pour moi aussi.

- Me proposer? M'imposer oui, on ne doit pas avoir le même vocabulaire ou ne pas mettre les mêmes définitions sur certains mots, lui lâché-je agacée et commençant à remonter dans les tours.

- Allez redescend, ce n'était pas si difficile que ça, commente-t-il en me tendant mes affaires.

Je bous et attrape mes fringues d'une main rageuse. Prise par les inepties de ses dernières déclarations, j'en ai complètement oublié de lui parler de ma rencontre fortuite avec Mr Robert. Une fois habillée je lui narre cette déconvenue sans lui préciser que j'avais aussi participé à cette nouvelle miction. Il ne faut surtout pas alimenter d'idées ce cerveau dérangé ! Je l'accuse bien sûr d'avoir organisé tout ça.

- Je n'y suis pour rien Alice, réellement pour rien. Pourquoi prendrais-je un tel risque? continu-il à argumenter en voyant ma tête peu convaincue par ses paroles. Je n'ai rien à y gagner et je préfère me réserver tes services.

Je finis pas me laisser persuader par son discours et met cette rencontre sur le hasard. Ceci dit cela reste un problème en soi. Qu'en est-il de la discrétion de Mr Robert? Devant mes inquiétudes Vincent m'affirme qu'il va le contacter demain et voir cela avec lui. Il n'a aucun doute sur sa retenue.

Je le laisse sur cette perspective optimiste en sollicitant un retour rapidement pour calmer ces nouvelles angoisses. De retour à mon home sweet home, je passe une partie du début de soirée à tenter de me débarrasser du goût et de l'odeur de l'urine qui persiste à rester ancré dans ma mémoire. Impossible de m'en défaire, même après trois douches, une dizaine de brossages de dents et deux bonnes douzaines de bâtons d'encens. J'ai même par moment l'estomac qui rejoue une version perturbée lorsque je me remémore cette affreuse séance des toilettes.

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La semaine suivante a été calme. Aucun geste déplacé de Mr Robert, ni de remarque sur ce qui s'était passé dans les toilettes. Il est resté le même, discret et efficace. J'ai quand même eu l'impression quand je lui tournais le dos de sentir son retard s'attarder un peu trop sur mes courbes, mais pouvais-je vraiment lui en vouloir?

Vincent m'a rassuré dès le lendemain en m'envoyant un sms en début d'après-midi alors que je venais tout juste de m'assurer de la compagnie du rosebud. Son échange avec l'homme de ménage a été constructif et je pouvais passer le week-end détendue. Il m'a donné rendez-vous le vendredi suivant pour discuter de ce "léger détail" vers 19h. "Léger détail" ! Il faut vraiment que je lui fasse travailler son vocabulaire.

Je ne suis pas en retard, mais j'avale quand même quatre à quatre les marches menant à son bureau, presque pressée d'en finir avec ça pour me sentir enfin en vacances. Ce trimestre a été en tout point chargé et il me tarde de poser mes fesses un peu et de passer en mode farniente.

En fait je le suis presque déjà en vacances. Les veilles de vacances sont toujours des journées chargées avec pas mal de choses à régler, un vrai planning de ministre. Difficile pour lui de profiter de mes atouts dans ces cas-là, il m'a donc donné ma journée.

Le clocher du quartier commence tout juste de sonner les sept coups lorsque je toque énergiquement à sa porte. Je n'attends pas sa réponse et rentre dans la foulée. Il se débat avec une tonne de paperasse entassée sur son bureau, il n'est pas encore en week-end le Vincent !

- Sais-tu faire plusieurs choses en même Alice, me demande-t-il.

- Bien sûr, je ne suis pas un mec, le rembarré-je d'entrée de jeu.

- Tu ne peux pas savoir à quel point ta bouche m'a manqué toute la journée, tu ne verras pas d'inconvénient à venir me rappeler son bon plaisir pendant que je te détaille mes échanges avec Mr Robert, m'indique-t-il tout en écartant son siège du bureau pour me laisser atteindre ma niche privée.

Je la joue agacée, soupire en grand, lui fais les yeux réprobateurs, mais je sais que je ne peux y couper et rejoins donc l'alcôve tout en rechignant.

Alors que je mets en bouche un braquemart rempli de désirs, il m'explique que Mr Robert restera discret sur l'événement des toilettes. Il a quand même laissé sous-entendre qu'une petite compensation pourrait fortement faciliter son silence, mais que nous aurons le temps d'en discuter à la rentrée. Cela pourra très certainement se négocier autour d'une petite pipe, pensé-je, je commence à en avoir l'habitude ! À peine terminée sa petite synthèse de ses échanges avec l'homme de ménage que Vincent déverse son flot de semence dans mon palais. Rapide pour une fois le dirlo, ma bouche a vraiment du lui manquer !

- Pas très appliquée Alice sur cette petite gâterie, cela manquait de motivation tout ça, tu ne trouves pas? Tu buvais mes paroles peut-être avant mon foutre? s'amuse-t-il à commenter.

Ce n'est pas complètement faux, impatiente du dénouement de ce problème en suspens qui me travaillait le ciboulot depuis le début de semaine, je ne devais pas être vraiment concentré sur son bout de chair.

- Un second round s'impose, m'indique-t-il en secouant délicatement son chibre devant mon nez.

Cette fois je ne dis pas non, cette bonne nouvelle devrait me permettre de passer des vacances de noël détendues et me motive à lui prodiguer une turlutte haut de gamme pour clôturer l'année ! Non pas par charité chrétienne, je ne fais pas mon coming out religieux après un an et demi à St Thérèse des Lucioles, mais tout simplement parce que j'en ai envie ! J'ai déjà dû vous le dire, car je radote quelques fois (!), mais à force de pratique je me suis découvert une passion pour la fellation.

Maîtriser ce petit bout de chair, lui donner de l'ampleur, contrôler ses émotions, exciter ses sensations et ses désirs, le faire vibrer de plaisir, le frustrer en l'abandonnant quelques instants, pour finalement choisir à quel moment il rendra grâce et lâchera son ignoble semence m'excite terriblement. Le seul hic de cette délicieuse pratique est lorsque mon partenaire m'oblige à avaler son foutre. Je regrette presque, lorsque je déglutis avec difficulté ce liquide poisseux, de l'avoir amené à son nirvana. Ce nectar d'homme ne sera jamais dans la liste de mes aliments préférés !

J'attrape de ma main gauche son vit qui est resté à demi dur et glisse pour une fois ma main droite dans mon shorty. Je m'autorise un petit plaisir solitaire. Je suis sous le bureau, Vincent n'y verra rien. Je glisse son gland entre mes lèvres et commence à le téter doucement. Je fais quelques pauses pour que ma langue prenne le relais et lui roule le palot du siècle. Il ne faut pas longtemps à ce fier braquemart pour reprendre ses aises et afficher toute sa longueur. Son imposante épaisseur remplit ma petite bouche et m'oblige à changer de technique.

Ma langue a retrouvé toute sa vigueur et lèche cette fois avec ferveur la hampe de ce chibre pour la rendre luisante à souhait. Je m'applique à ne laisser aucune partie desséchée, revenant à la charge à mainte reprise pour la rendre glissante et onctueuse de ma salive abondante. Une fois satisfaite par son allure étincelante, je descends visiter ses fondations. Deux énormes rochers très poilus soutiennent ce petit menhir d'une quinzaine de centimètres tout au plus.

Je gobe goulûment ses deux valseuses à tour de rôle et écarte d'un doigt autoritaire un poil qui tente de se frayer un chemin entre mes canines. Chaque coup de langue sur l'un de ses globes fait vibrer son mat contre mon front. Une fois les poils plaqués par ma salive, je décide de retourner jouer avec son gland. Mes lèvres entourent ce dard et ma langue lui adresse de longues caresses. Elle dessine ses contours et s'arrête de temps en temps sur son frein pour le titiller et faire tressaillir ce fier étendard qui réagit vivement.

Mon majeur droit a lui trouver une place de choix sur mon clito tendu et, d'un rythme pour l'instant plutôt langoureux, le maintien dans un état de douce excitation. Vincent grogne et s'impatiente quelque peu d'une nouvelle envolée au firmament, mais je vais faire durer le plaisir et faire monter sa tension au maximum. J'agace ce gland humide, le titille, le mordille, lui prodigue de longues léchouilles, l'aspire, le bisouille sous tous les angles. Lorsque je sens monter la pression, je retourne d'une langue baveuse lubrifier le manche de son paf.

Je ne pense pas que Vincent tiendra encore longtemps, alors je change le tempo sur mon clito. Je souhaite voir en premier le drapeau à damier de cette course au panard que je maîtrise ! Cette fois il m'obéit au doigt et à l'œil, enfin surtout au doigt (!), et se gonfle d'un désir intense. Il ne me faut pas longtemps pour atteindre la ligne d'arrivée et c'est avec sa verge collée contre ma joue gauche que j'atteins ma délivrance.

Après quelques secondes d'absence provoquées par cette petite mort, je repars conter fleurette à ce mandrin qui me fait face. Je le sens fébrile, prêt à rendre l'âme, mais je veux lui faire repousser ses limites et m'occupe d'une langue discrète de ses joyeuses turgescentes. Chaque passage de ma menteuse fait vibrer l'édifice de tout son long et lorsque j'entreprends de les gober à nouveau je m'applique à les faire rouler sous ma langue.

Le gland trémousse et une sourde bouffée de chaleur envahit sa hampe. Je me précipite d'une bouche gourmande pour le reprendre entre mes lèvres. Il n'en faut pas plus pour qu'après une dernière succion langoureuse Vincent me récompense d'une nouvelle copieuse dose de sa semence. Alors que j'avale comme je peux cet important surplus dans une bouche déjà bien occupée par sa verge que je l'entends murmurer discrètement.

- Bonnes vacances Alice !

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