Alice in Wonderlands? Ch. 06

Informations sur Récit
Alice - Une histoire de vengeance.
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Partie 6 de la série de 9 pièces

Actualisé 12/29/2023
Créé 02/25/2023
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cinolas
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Chapitre 6 - Une fin d'année mouvementée !

La tête enfoncée dans un gros bonnet à pompon et les mains bien au chaud dans mon duffle coat, je flâne au gré des stands de ce grand marché artisanal qui remplit la place du centre-ville. Ce début décembre est un peu frisquet, mais noël approche à grands pas et je n'aime pas être à la bourre pour les cadeaux. Je ne suis pas très inspirée pour l'instant, mais je me suis quand même fait plaisir. J'ai craqué pour le bonnet qui me couvre la tête et que j'ai enfilé sans plus attendre.

Ces dernières semaines ont été plutôt calmes, enfin comparées à celles de la rentrée ! Aucune visite de Kas-bonbon, mes fesses sont donc restées au calme en dehors de ce rosebud qui les torture tous les samedis ! La douzaine d'heures passées à chaque fois en sa compagnie est amplement suffisante pour mettre ma corolle en compote et réclamer moult crèmes réparatrices. Deux journées de « formation » ont été annulées pour mon plus grand plaisir. Vincent a anticipé les maladies hivernales en se chopant une bonne grippe. C'est moi qui me balade à poil dans son bureau toute la journée et c'est lui qui tombe malade, hihihi bien fait pour lui !

Mon traitement est arrivé à terme et j'ai rendez-vous en tout début d'après-midi avec le professeur Schwartz pour faire un premier bilan, mais je vous en reparlerais tout à l'heure, car mon portable vibre comme un dératé dans ma poche.

- Oui commissaire Louvin? attaqué-je en reconnaissant son numéro.

- Bonjour Alice. Notre affaire prend une bonne tournure, les parents viennent tout juste de retirer leur plainte.

- Wouahhh, ne puis-je m'empêcher de lâcher bruyamment au milieu des flâneurs du marché, elle est complètement classée alors?

- Pas tout à fait, comme c'est une affaire de mineur il y a une petite enquête pour vérifier qu'aucune pression n'a été effectuée sur le jeune ni sur la famille.

- Ah bon, retombé-je après cette joie de courte durée.

- Mais rassurez vous c'est purement une démarche de routine. Je me charge de la mener, votre dossier reste entre mes mains et vous savez que vous pouvez compter sur ma discrétion.

- Elle va être longue cette enquête? m'inquiété-je.

Ma marge de manœuvre commence à se réduire sérieusement. Il faut que tout soit bouclé avant la fin du mois sinon je vais être obligée de le garder ce rejeton.

- Je ne peux pas trop vous donner de délais, car la période de noël est généralement très chargée. La mairesse et le préfet nous mettent en plus la pression pour réduire les problèmes de drogue qui nous préoccupe depuis plusieurs mois, vous avez sûrement dû en entendre parler? Ils veulent que l'ambiance des fêtes soit sereine.

- Oui, oui, bien sûr, mais pour moi, revins-je à la charge, ne démordant pas de mon égocentrisme.

- Je vais faire mon possible pour la boucler rapidement, mais rassurez-vous tout est presque terminé, se répète-t-il.

Rassurez-vous, rassurez-vous, il n'a que ce mot à la bouche, c'est facile pour lui de le lancer à tout va. C'est plutôt bien avancé, certes, mais tant que je n'ai pas un petit bout de papier signé de sa part dégageant toute ma responsabilité dans cette fichue affaire je ne peux pas mettre un terme à ma grossesse ! Je vais le relancer tous les jours pour tenter de clôturer tout ça au plus vite.

Cela reste malgré tout une bonne nouvelle que toutes les charges soient levées et je décide de me lâcher sur la paire de boucles d'oreille que j'avais en vu lorsque Louvin m'a appelé. L'achat réalisé et après avoir traîné encore sur un ou deux stands je me dirige vers le métro pour me rendre à la clinique.

Je profite de ces quelques minutes de trajet pour vous faire le point sur ce traitement qui devait, à l'origine, diminuer mes éjaculations lors de l'orgasme que je trouvais parfois trop importantes. Difficile d'en voir vraiment les résultats tant ma libido est au point mort avec ce foutu cadenas castrateur, mais j'ai plutôt l'impression des effets inverses. Mon clito, lui, a pratiquement doublé de volume !! Un effet secondaire dont le professeur s'est bien retenu de me parler ! On ne voit plus que lui entouré de son anneau, comme le tarin de Cyrano au beau milieu de la figure !

Je le retiens d'ailleurs cet éminent scientifique des causes féminines. Lors de notre rencontre en milieu de traitement, pour un simple point de contrôle, il m'avait annoncé quelques effets un peu perturbants possibles lors de la dernière semaine. Ils seraient passagers, quelques jours seulement avait-il précisé. De légères démangeaisons, principalement, pouvaient survenir à partir du milieu d'après-midi.

Légères, légères il en a de bonne lui, je veux bien lui faire un cours sur les adjectifs et la subtilité de la langue française au teuton satanique. L'adjectif est en effet adapté à la journée qui se déroule avec juste quelques taquineries au niveau du bas ventre, mais quand arrive la fin d'après-midi et surtout le début de soirée, à la tombée du soleil, au moment où sort de sa tanière le plus vil des vampires, c'est une autre paire de manches. C'est intenable qu'il faut dire diabolique, dévastateur, invivable, insoutenable, infernal, épouvantable, tant ces "légères" démangeaisons m'obsèdent !

Cette dernière semaine de traitement fut particulièrement démoniaque. Il ne me fallait que quelques minutes après avoir franchi le seuil de mon home sweet home avant que mes doigts ne trouvent l'accès à mon centre à plaisir pour une première partie de clito en folie qui m'amenait rapidement à l'extase. Mais ne croyez pas l'affaire résolue pour autant. Confiante au début par la retombée brutale des démangeaisons après l'orgasme, elles revenaient imperceptiblement à la charge pour se réinstaller invariablement, pour, moins d'une heure après, m'obliger de nouveau à faire la fête à mon clito. C'était épuisée que je trouvais le sommeil après pas loin de six à sept orgasmes dans la soirée !

Malgré les indications de Schwartz, mes réactions m'ont posé beaucoup de questions. Étais-je devenue réellement addict au sexe à ce point? Une véritable nymphomane qui, tel un misérable apôtre, demanderait qu'on lui donne sa dose de plaisir quotidien? Une de celles qui s'agenouillerait, pour une fois pour une véritable bonne cause, devant la sainte bite? Une droguée dont l'orgasme serait devenu sa cocaïne? Une de ses débauchées que le clito mènerait par le bout du nez à la recherche de l'extase journalière?

Et que dire de ces explosions presque précoces? Moi qui suis plus Orient Express que TGV et qui apprécie admirer le paysage en allant rejoindre les contrées du plaisir. Moi qui aime le faire durer lorsque mes doigts jouent un air de musique à mon clitoris. Là au plus tard à la fin du 2eme titre de l'album, sans forcer, sans passer la surmultipliée, j'atteignais mon nirvana !

Et là je ne vous parle pas de celui que vous allez chercher le soir pour trouver un petit moment de détente après une journée speed, mais bien de celui qui vous fait vibrer, de celui qui vous emmène, qui vous transporte, qui vous fait gémir, rouler des yeux, frissonner de tout votre être et dans tout votre corps, de celui qui vous laisse pantelante, essoufflée, vidée, reput, rassasiée .... Et bien lors de cette semaine folle c'est presque deux fois sur trois qu'un de ces tsunamis m'emmenait en quelques minutes seulement !

Mais comme prévu par le professeur, le pic de delirium sexuel passé tout a retrouvé un peu près la normal la semaine suivante à quelques bouffées orgasmiques irrésistibles prêt ! En y repensant, je me demande comment j'aurai réagi si ces démangeaisons délirantes m'avaient prise dans la journée. Je n'imagine même pas en plein travail sur les couleurs d'Elmer avec les pitchouns être prise par cette folie clitoridienne et demander à l'atsem un remplacement d'urgence pour cause de besoin naturel pressé que j'aurai été obligée d'aller soulager dans les toilettes !

Mais je vous laisse, car la blouse blanche de Schwartz est devant moi.

- Mlle Harchambault, comment allez-vous? Vous imaginez mon impatience à constater les effets de mon traitement révolutionnaire. J'en parlais avant hier avec un confrère qui se demandait si ...

Ça y est il est reparti, c'est le roi du monologue l'éminent professeur, il doit avoir un ego surdimensionné pour aimer s'écouter comme ça ! Le petit résumé que je lui fais de la période mouvementée vécue dernièrement le met dans tous ses états. Il m'assomme d'une tonne de questions pour que je lui raconte dans les moindres détails les diverses sensations physiques ressenties et tout ce qui m'ait passé par la tête à chacune de mes jouissances.

- C'est formidable ce que vous me racontez. Vous vous rendez compte du peu de temps qu'il m'a fallu pour vaincre cette frigidité qui vous taraudait les sens, s'enorgueillit-il sans avoir les chevilles qui gonflent. Vous allez avoir maintenant les clés de vote plaisir entre vos mains, si vous me permettez cette métaphore.

- Mais non professeur ce n'était pas pour mon côté frigide que j'étais venu vous voir, mais pour ...

Je n'ai pas le temps d'en placer plus qu'il se lève, m'attrape par le bras et m'entraîne dans la petite salle d'examen contiguë à son bureau.

- Venez allons vérifier tous ces effets de visu. Installez-vous dans le fauteuil.

Alors que je m'apprête, docile, à grimper sur le siège gynéco qui me fait fasse, Swchartz intervient d'un ton sec avec une pointe de sévérité.

- Mais enfin Mlle Harchambault vous jouez à quoi? Déshabillez-vous enfin et arrêtez de faire votre timide. Allez à poil et plus vite que ça, commence-t-il à s'agacer.

Je m'exécute penaude comme une gamine que l'on vient de prendre en flagrant délit de main dans le pot de confiture et me retrouve quelques instants plus tard toute nue avec les cuisses grandes ouvertes avec mon intimité offerte aux regards du professeur. Il a enfilé une paire de gants et commence à m'ausculter un peu partout. Il commente sur un petit dictaphone mes réactions en constatant ma plus grande réceptivité dès les premiers contacts. Il remarque l'évolution de mon clito qu'il prend le temps de mesurer pour apprécier scientifiquement les effets de ses piqûres.

J'ai un mauvais réflexe et devant ses doigts qui me titillent allègrement le clito je referme mes cuisses et emprisonne sa main !

- Mlle Harchambault, si vous ne m'aidez pas on va y passer la journée, soyez coopérative enfin, comment faite vous chez votre gynéco?

- Désolé professeur, m'excusé-je en rendant à sa main toute sa liberté d'expression. Je m'abstiens de lui préciser que les doigts de mon gynéco appartiennent à la gent féminine et que cela fait toute la différence !

À la seconde fermeture intempestive, le professeur s'énerve carrément.

- On va jamais y arriver, s'emporte-t-il en allant chercher dans un grand placard collé dans un angle de la pièce deux bandes Velpeau qu'il utilise pour fixer chacun de mes mollets aux portes-jambe du fauteuil.

- Que faites-vous professeur? m'inquiété-je.

- Calmez-vous Mlle, cela va juste faciliter votre examen, vous n'arrêtez pas de gigoter pour un rien.

Il en a de bonnes lui. "Pour un rien", alors qu'il est en train de me tripoter le clito, en gant en latex d'accord, mais quand même ! Peu envieuse d'être attachée comme un saucisson à son siège d'exploration je tente de me redresser et de défaire les liens qu'il vient de m'offrir. Agacé par mon attitude et n'appréciant pas qu'on le contredise, Swchartz emploie les grands moyens. Il retourne quérir une autre bande pour m'attacher les mains derrière le dossier du fauteuil et un grand foulard pour recouvrir ma bouche et mettre un terme aux revendications que je ne cesse depuis un moment de lui crier aux oreilles !

Ainsi saucissonnée ma marge de manœuvre est réduite à subir sans pouvoir broncher la suite de ses attouchements médicaux !

À peine a-t-il repris son examen qu'une secrétaire frappe à la porte.

- Professeur, les quatre étudiants que vous deviez accueillir pour un mois de stage sont arrivés, quand pouvez-vous les recevoir?

- Merde je les avais complètement oubliés ceux-là ! Faites les entrer dans mon bureau, je suis à eux dans quelques instants.

Il prend encore quelques notes sur son dictaphone, puis me laisse pour aller s'occuper des futurs confrères.

- Professeur fermez la porte, crié-je sans résultat dans mon bâillon alors qu'il la laisse à moitié ouverte.

Je reste grande ouverte aux yeux de tous, même si les quatre jeunes assis face au bureau du professeur me tournent le dos ! Je me détache un peu de leur conversation pleine de détails administratifs, d'explications techniques et de charabia médical jusqu'à ce que j'entende la voie de Swchartz se rapprocher dangereusement de la porte de son cabinet d'examen.

- Je crois, qu'avant de vous faire visiter la clinique, que l'étude d'un premier cas très particulier peut être une bonne entrée en matière, suivez-moi leur demande-t-il en ouvrant la porte en grand !

- Nonnnnnn, ne puis-je m'empêcher de crier dans mon bandeau en voyant le petit groupe entrer dans la pièce.

- Calmez-vous Mlle, me recommande le professeur en me caressant la cuisse comme à un animal craintif en me voyant m'agiter dans le fauteuil, c'est une visite purement médicale !

Sans faire attention à mes grognements répétés, il entame une présentation solennelle !

- Messieurs voici Mlle Harchambault qui a eu la chance de bénéficier dernièrement de mon produit miracle contre toute forme de frigidité. Ne faites pas attention à la mise en scène certaines patientes ont besoin qu'on leur force un peu la main, précise-t-il devant leurs regards ébahis.

- Mlle Harchambault ces quatre jeunes praticiens sont en dernière année d'étude et sont majors de leur promotion,continue-t-il en s'adressant à moi comme si j'étais capable de leur serrer la main pour leur souhaiter la bienvenue ! Leur stage est en lien avec mon nouveau traitement et devrait ...

Mais je n'en ai rien à foutre moi de connaître les détails de leur cahier de notes , ils peuvent être majors de l'ENA, de St Cyr, d'HEP ou tout autre grande école ou même prix noble de mes fesses que je n'accepterai pas plus qu'ils puissent lorgner sur mon intimité exposée dans ses grandes largeurs à leurs yeux avides. Leur regard n'est pas neutre, mes anneaux et mon cadenas ne les laissent pas indifférents et ils ont beau être dans un cadre professionnel je les sens grandement perturbés par ce qu'ils découvrent devant eux.

Ils tentent de faire bonne figure, de ne rien laisser paraître et d'être détendus malgré une excitation que je soupçonne débordante en voyant une petite bosse tendre la blouse qui le boudine généreusement du plus grassouillet d'entre eux. Une légère transpiration fait briller son front déjà largement dégarni malgré son jeune âge.

- Alors messieurs comme je vous l'ai expliqué lors de votre arrivée, nous avons la un cas extrêmement intéressant. Elle a bénéficié du traitement sans souffrir de frigidité ni de sécheresse vaginale, je ne rentrerai pas dans les détails du pourquoi, ce qui nous intéresse ici est de découvrir les effets du traitement sur une personne "normale" sexuellement.

- Excellent cas d'étude professeur, lance le plus lèche-cul des quatre.

Le majeur du professeur a réussi à négocier avec le cadenas un petit passage vers ma grotte à plaisir

alors que ma libido se balade entre les tombes de Michel Berger, Dalida ou encore François Truffaut du cimetière Montmartre. Elle est au point mort donc !

- Cette demoiselle nous a rempli le questionnaire d'avant examen et il est tout fait dans la norme, comme vous pouvez le constatez continue-t-il en leur présentant le document que j'ai rempli lors de ma première rencontre avec le professeur, les fantasmes sont des plus classiques, l'exhibitionnisme n'y est pas présent et elle est clairement tendue par votre présence. Nous allons pouvoir constater que les effets ne sont aucunement liés avec sa libido qui doit être aux abonnées absents en ce moment, n'est-ce pas Mlle Harchambault? me demande-t-il en me regardant.

Le regard que je lui retourne est tellement violent qu'il n'insiste pas dans sa question, il avait même, je crois, déjà oublié que j'étais bâillonné tellement pris par son étude clinique !

- Je crois, change-t-il brusquement de sujet, qu'à voir vos regard que vous vous questionnez sur les ornements de la demoiselle, leur demande-t-il en tripotant le petit cadenas qui ferme mon sexe.

Je suis pétrifiée, tétanisée, la figure empourprée d'un rouge aussi vif que celui de la "Desserte rouge" de Matisse à l'écoute des propos du professeur. Vous allez me dire que c'est juste un examen médical, oui, mais j'aurais bien aimé qu'il m'en parle avant, que je me fasse une idée, que je donne mon avis alors que là, quatre personnes que je ne connais que depuis quelques minutes viennent de découvrir le moindre de mes secrets et son planté bouche bée devant mon intimité exposée.

- Notre fonction de praticien, leur rappelle-t-il, ne doit pas juger ni questionner nos patients sur leurs pratiques s'ils n'ont pas de lien avec leur venue ou leur demande. Aussi cet aspect reste du privé de Mlle Harchambault, leur précise-t-il tout en continuant de tripoter mon cadenas.

Sa posture professionnelle me rassure un petit peu, mais n'enlève en rien la gêne qui m'habite depuis leur apparition.

- Abordons donc plus précisément l'objet de mon étude. Comme vous pouvez le constater, son clito qui a bénéficié du traitement "Smoldu" a pris une belle taille et est devenu beaucoup plus sensible. Enfilez ces gants messieurs pour tester ses réactions.

Ils ne se le font pas répéter et une fois affublé du latex le tripotage des doigts des quatre jeunes va bon train, caressant mon clito, le pinçant légèrement, le faisant rouler entre leurs doigts ... lui, à mon grand regret, leur fait les yeux doux. Il se tend comme un arc et vibre au moindre contact un peu appuyé.

- Comme vous pouvez remarquer, son corps réagit favorablement, cela fait seulement quelques minutes d'attouchement et son sexe est déjà bien humide, leur précise-t-il. Son cadenas ne nous autorise qu'un seul doigt dans son vagin, mais comme vous pouvez le voir celui que je viens de mettre est luisant à souhait !

Il replonge son majeur au fond de mon sexe et continu ses commentaires pour mon plus grand malheur. L'objet d'étude que je suis devenue est en train de monter dans les tours. Leurs tripotages me font réagir bien au-delà de ce que je souhaite. J'ai beau mettre des verrous partout, réprimander sévèrement mon clito pour ses laisser-aller, mettre des pancartes dans tous les recoins de mon cerveau pour éviter cette dérive sensorielle qui m'emporte, rien n'y fait, je ne maîtrise plus grand-chose.

- En ce moment, c'est son corps qui décide et qui réagit à vos doigts. Son cerveau, lui, doit combattre en permanence cette libido qui s'affirme. Elle doit être perturbée et lutter pour ne pas prendre du plaisir devant des inconnus.

Son discours sonne tout à fait juste, je me retrouve pleinement dans son analyse très pointue de la situation. S'il pouvait fermer sa bouche l'éminent professeur pour que je puisse me concentrer au maximum bordel. J'ai beau combattre, l'envie progresse et vient régulièrement me faire un petit pied de nez en passant devant mes yeux ou un petit bras d'honneur lorsque je l'insulte de tous les noms. Elle se glisse dans le moindre interstice, pousse les barricades, renverse mes pancartes.

- Vous voyez qu'elle se trémousse légèrement quand mon pouce vient en complément exciter son clito, vous avez déclenché le chronomètre Mathieu, s'enquiert-il en se retournant vers l'étudiant.

- Oui professeur, c'est lancé.

Le professeur accentue les effets de sa pince de crabe qui maîtrise à la fois mon vagin et mon clito en venant doucement frotter mes lèvres de son autre main. Mon corps est en train de monter en pression alors que je combats ce plaisir qui est en train m'envahir. Ses doigts sont expérimentés et lorsqu'il accélère ses mouvements mes barrières volent en éclats et laissent arriver en trombe une vague qui m'emporte violemment et secoue tout mon bassin !

cinolas
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