Alice in Wonderlands? Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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- 5 minutes 10 professeur !

- C'est une belle performance !

Ce salaud vient d'arriver à me faire jouir en 5 minutes alors que je pensais avoir tout verrouillé, pourquoi je ne me contrôle plus?

- Messieurs continuez l'expérience, j'ai un patient à voir. Je vous retrouve dans un quart d'heure.

Sans plus attendre les quatre jeunes gens commencent à activer toute mes zones à plaisir alors que je viens tout juste de redescendre de mon premier orgasme. Mes seins et mes tétons sont pris d'assaut, mes cuisses caressées, mon clito titiller délicatement. Mon sexe est, quant à lui, occupé par un gros vibromasseur à l'embout arrondi posé contre mes lèvres qui diffuse ses ondes vibrantes dans tout mon corps.

Ce ballet à huit mains remet rapidement tous mes sens en action. Mes seins pointent et leurs anneaux sont tirés légèrement pour accentuer leur dureté. Mon clito lui est toujours au garde-à-vous bénéficiant par alternance de doigts le faisant rouler sans répit dans tous les sens et les vibrations du vibro qui résonnent en moi jusqu'à ses racines ancrées au plus profond de mon palais à plaisir.

La chorégraphie ne fait aucune pose et c'est seulement parfois un échange de mains qui accorde à mes sens de minuscules moments de répit. Ça tripote, trifouille, titiller, tapote ... ça m'emmène, m'emporte, m'enlève, m'entraîne vers des endroits que je n'aurai pas imaginés en entrant en début d'après-midi dans la clinique du professeur Schwartz. Mon cerveau tente de retrouver sa tenue de combat et de ne pas laisser ces inconnus avoir raison de mes capteurs sensoriels, mais la bataille semble perdue d'avance tant les troupes adverses débordent en nombre et en imagination.

Une grosse suée est en train de m'envahir et lorsque le vibro change sans prévenir de vitesse pour une accélération violente, tout mon corps vibre au rythme de cet orgasme qui me traverse de part en part ! Alors que mon bassin secoué à plusieurs reprises leur a clairement annoncé que je venais d'atteindre mon nirvana, ces salauds ne baissent pas la garde et continuent leur intense tripotage.

C'est horrible, moi qui aime avoir quelques minutes de pause avant de reprendre le jeu pour cause de clito extrêmement sensible, là le vibro vient d'en reprendre possession et le rend carrément douloureux. Je gigote dans tous les sens tentant désespérément à travers le bandeau de leur faire comprendre le message. Mais malgré tous les panneaux-stops affichés, ils ne tiennent pas compte de la signalisation et accélèrent presque leurs attouchements.

Mon cerveau a lâché prise après cette seconde envolée et flotte dans un entre-deux. Les douleurs finissent étonnement par se transformer en plaisir et mon clito torturé redevient très réceptif à ce vibro qui ne le quitte plus d'une seconde. Les ondes qui m'ont emportée il y a peu de temps sont en train de réapparaître à toute vitesse et viennent en remettre une couche. Cette nouvelle vague qui m'emporte me met une grande baffe qui secoue tout mon être et me laisse pantelante dans le fauteuil.

Il faut faire une pause là je n'en peux plus ! Le retour du professeur me permet de bénéficier d'un peu de répit et de retrouver partiellement mon souffle.

- Vous allez être satisfait professeur, un petit quart d'heure seulement pour un nouvel orgasme, suivit deux minutes plus tard d'un troisième. Est-ce que l'on continue?

- Nonnnnn grogné-je sans grand résultat dans mon bâillon.

- À partir de maintenant messieurs plusieurs possibilités s'offrent à nous, leur précise le professeur, nous pouvons la laisser récupérer une bonne heure et elle aura retrouvé toutes ses capacités et pourra à nouveau jouir assez rapidement ou alors tentez d'enchaîner pour voir dans quels délais un nouvel orgasme peut arriver.

- J'opterai pour le 1ere option, Mlle Harchambault me semble fatiguée et il m'intéresse d'observer ses réactions lors d'un contact plus masculin, plus viril et de voir comment son corps les interprétera. Qu'en pensez-vous messieurs?

- Qu'appelez-vous des contacts plus viril professeur? s'enquiert l'un d'entre eux.

- Une bite cher ami, tout simplement une bite !

Sortant progressivement de mon brouillard, ces quelques mots m'inquiètent, car je suis bâillonnée et cadenassée et seule mes fesses sont potentiellement disponibles pour recevoir quelques braquemarts en goguette !

- En attendant que notre patiente récupère un peu, je vous mets entre les mains de Monique mon assistante qui va vous faire visiter les installations. Nous nous retrouvons d'ici une heure. J'ai quelques rendez-vous d'ici là.

Tout le monde quitte la pièce en me laissant attachée et bâillonnée, j'aurai aimé un peu d'attention ! Le professeur laisse la porte à moitié ouverte et je bénéficie de son premier entretien avec une patiente qui complexe sur sa poitrine et la veut bien plus volumineuse. Malgré ma position et en sachant qu'elle risque de me voir, je pique du nez et somnole une bonne partie du temps en attendant le retour des stagiaires.

Cette micro sieste m'a un peu revigoré et lorsque je rouvre les yeux c'est la tête du professeur que je vois pencher au-dessus de la mienne. Les quatre jeunes sont également de retour dans la salle d'auscultation. Ils tiennent leur sexe dans leur main, déjà prêt à l'action.

- Messieurs notre patiente vient de revenir avec nous, nous pouvons donc entamer cette dernière partie des tests. Allez, mettez-vous en branle.

Là il peut rêver le Einstein des plaisirs féminins, j'ai déjà joui trois fois, c'est énorme. Il va falloir qu'ils y mettent du leur ces petits jeunots pour arriver à m'envoyer sur la lune à nouveau. Je ne veux pas vous casser la baraque, mais bon. Mes craintes de sodomie vigoureuse disparaissent rapidement. Ils se contentent de me caresser avec leur braquemart au garde à vous.

Tout mon corps y passe. Ils m'entourent et se sont partagé le territoire. Chacun officie sans relâche sur la partie qu'il s'est octroyé. Mes seins sont pris d'assaut par deux chibres plutôt bien battis. Mon sexe, lui, reçoit la visite d'une petite trapue alors que mon visage est envahi par les poils d'une assez fine de grande taille. Ils frottent avec une certaine frénésie les parties les plus sensibles de mon anatomie. Ils me font profiter de leur mouille, de leurs odeurs, de leur poil, de leur bourse qui s'aventure parfois jusque sous mes narines. Quelques doigts viennent parfois compléter ces caresses en agaçant mes tétons ou mon clito.

L'effet escompté par le professeur n'est pas au rendez-vous, car si mon sexe a recommencé de réagir favorablement à tous ces glands qui lui compte fleurette, je suis loin de monter au rideau ! Les jeunes eux ont du mal à résister à la douceur de ma peau et ils craquent l'un après l'autre en m'envoyant de copieuses doses de foutre sur le corps et figure. Agacé par cette jouissance qui tarde à venir, il traite ses stagiaires d'incapables et les écarte sans ménagement pour prendre place devant mon centre à plaisir.

Ses doigts se mettent en action. Il n'y a pas à dire, il sait y faire le fournisseur de mamelle en plastique. Malgré mon esprit qui vagabonde à des années-lumière d'une envie de plaisir, il arrive à faire monter la tension dans cette zone de mon corps que je n'arrive plus du tout à contrôler. Il amène très rapidement mon clito à une phase critique et me pousse du bord du gouffre sans me demander mon autorisation. Je chouine dans mon bâillon en soulevant mon bassin quand ce dernier orgasme m'emporte.

Sans s'enorgueillir de sa victoire auprès des quatre jeunots qui n'ont pas quitté des yeux un seul instant la qualité de son doigté pour prendre de l'expérience, il consulte sa montre.

- 20 minutes, c'est bien long tout ça, je vous espérai plus réactive. C'est à cause de ces queues que vous êtes moins réceptive? Une tendance lesbienne peut-être? Non je ne vois rien de marqué dans votre questionnaire à ce propos pourtant ...

Toujours bâillonnée je ne peux intervenir, mais est-ce bien utile? Il fait les questions et les réponses tout seul Swchartz repartant dans ses analyses et ses notes.

- Mlle Harchambault, je vais vous prescrire quand même un petit complément pour asseoir les effets du traitement dans la durée. Une petite gélule à prendre par semaine, sans effet indésirable pour vous, rassurez-vous, ajoute-t-il.

Il peut toujours rêver pour que je prenne un nouveau traitement ce docteur Jekyll de mes fesses, celui-là m'a déjà bien déréglé, même si je ne déteste pas jouir !

- Je transmettrai les gélules à votre ami Vincent, précise-t-il.

Le salaudddddd !!

- On se voit dans un mois pour continuer les tests, vous êtes d'accord, Mlle Harchambault?

- Onnnnnn grogné-je, mais sans tenir compte de ma réponse il enchaîne.

- Bien, je vous remercie d'accepter.

- Onnnnnnn répété-je, mais il est déjà parti s'occuper d'une autre patiente en manque de libido me laissant prisonnière du fauteuil.

- Professeur, professeur vous la laisser attachée demande un peu naïvement l'un de ses stagiaires en lui courant après dans le couloir de la clinique?

- Bien sûr que non, pourquoi cette question? Je ne l'ai pas détachée? Occupez-vous-en, prenez des initiatives Michel, prenez des initiatives.

En retrouvant le plancher des vaches, j'ai les jambes qui flageolent. Les quatre premiers de la classe n'ont pas demandé leur reste et sont partis aussitôt détachée. Je les ai sentis un peu gênés par la situation. Je cherche quelque chose pour nettoyer les traces de foutre qu'ils m'ont copieusement offert. Rien en me tombe sous la main aussi je dégrossis au mieux avec le foulard qui m'a servi de bâillon. Ma culotte et mon soutif sont partis aux oubliettes, ils me les ont piqués ces petits cons, il doit y avoir un fétichiste dans le lot, les plus perturbés ceux-là ! J'enfile ma robe qui colle sans attendre au reste de foutre oublié. J'ai les cuisses poisseuses, la figure encore collante par un peu de foutre qui finit de sécher. Je me sens sale et quitte au plus vite cet établissement satanique.

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Je traîne mes guêtres dans le bureau de Vincent lorsqu'il arrive. Je ne me suis pour une fois pas déshabillée. Ce vendredi matin est frisquet, j'ai monté le chauffage à fond. Pas motivée, je suis, depuis la visite de Swchartz mercredi dernier ma libido est aux abonnés absents. J'ai envie d'être chieuse aujourd'hui.

Il note ce laissé aller dans ces ordres et ressent aisément mon manque de motivation. Il faut dire que trois semaines sans "journée de formation" facilitent ce début de désinvolture. J'ai passé la dernière déguisée en Bunny, vous savez ce symbole sexuel présent sur un vulgaire Play boy traînant au pied du lit. Vous comprenez mon manque d'envie de rejouer à la playmate du mois.

Quand j'y repense, ce serre-tête avec de grandes oreilles de lapin toutes rose, la culotte avec un gros pompon de la même couleur décorant mon arrière-train, des plus petits attaché aux anneaux de mes seins, une paire de moufles sans doigt trop serré d'un rose bonbon qui ne facilitaient pas la prise de sa queue, ni de toute autre chose d'ailleurs en main, et un rouge à lèvres d'un rose appuyé et flashy. Même si le ridicule ne tue pas, j'ai eu l'impression de passer pour une conne avec son déguisement à la con.

Pour reprendre les choses en main, il me met la pression d'entrée de jeux d'un ton autoritaire. Moins de trois minutes après son arrivée je suis à poil sous la table en train de déguster son chibre en guise de petit enjuguer alors que lui savoure son expresso du matin. Un tantinet excité le Vincent ce matin, je ne pensai pas lui avoir manqué tant que ça !

Il m'informe qu'on lui a bien apporté mes petites pilules pour mon traitement complémentaire et que j'aurai ma dose tous les vendredis. Il commente ma visite chez Swchartz comme s'il y était, je ne suis presque même plus étonnée ma vie privée a une fâcheuse tendance à être dévoilée au public ces derniers temps.

Je ne prends pas la peine de participer à son monologue et m'active sur sa queue j'ai les tétons qui pointent encore par la fraîcheur de cette pièce qui met un temps fou à devenir vivable. Il va falloir que l'on se mette d'accord sur les conditions d'accueil de mes journées de formation sinon il risque de prendre une série de revendications pas piquées des vers !

Alors que j'usine d'arrache-pied pied pour me réchauffer, je sens la pointe de son soulier verni venir taquiner mon entre-jambes fermé à double tour.

- Écarte les cuisses Alice, m'ordonne-t-il.

J'obtempère tout en ronchonnant la bouche pleine. Sa chaussure tente un nouveau passage sans grande réussite. Je suis de mauvais poil moi ce matin et je ne vais pas lui faciliter la tâche. Quelques petites tapes sur la tête me signalent son agacement. La pointe de sa Richelieu revient à la charge et force à nouveau sans se préoccuper du désagrément occasionné pour se créer une route vers mon centre à plaisir. Il est obstiné et commencerait presque à me faire à moitié mal.

Je décide de lui céder et ouvre en grand mes cuisses pour éviter toute anicroche dans cette zone sensible. Il prend sans plus attendre possession de la zone et caresse mon sexe d'un pied plutôt délicat. Il joue à faire bouger le cadenas, frotte mes lèvres, appuie parfois sur mon sexe, caresse l'anneau qui entoure mon clito.

Je m'acharne à le faire jouir au plus vite pour qu'il cesse ce petit jeu dégradant. Il ne laisse pas une seule minute de répit à mon sexe. Ses mouvements deviennent plus appuyés et à cause du fichu traitement du professeur mon sexe finit par réagir à cette présence plutôt active. Sa chaussure s'humidifie au gré des frottements.

Lorsqu'enfin je sens son premier jet de foutre envahir copieusement mon palais, son pied quitte le territoire devenu légèrement marécageux. Vidé, il recule sa chaise et me demande de sortir de sous la table. Je m'exécute, masse mes genoux que le carrelage martyrise à chaque fois et attends la suite. Je commence à le connaître, je vois bien à son attitude qu'il n'est pas encore rassasié et que de viles idées sont en train de lui traverser l'esprit.

- Magnifique cette ultra sensibilité vaginale me complimente-t-il en venant constater d'un doigt fouineur l'état humide de mon entre-jambes.

Avoir, dans cette condition si peu érotique, laissé apparaître quelques écoulements de plaisir me perturbe. Ma gêne s'accentue lorsque je constate que le dessus de sa chaussure brille d'une mouille généreusement récoltée. Sans se préoccuper de mes états d'âme, Vincent continu ses compliments.

- Cette générosité te correspond bien Alice, mais il ne faut pas faire les choses à moitié ce ne serait pas professionnel. Nettoie la chaussure maintenant.

Alors que je m'apprête à aller chercher un torchon Vincent me retient en attrapant mon bras.

- Tu manques toujours autant d'imagination Alice, un peu d'initiative que diable, cette langue que tu manies si bien ne demande qu'à me rendre service.

Je le regarde droit dans les yeux pour voir si il est sérieux. Comme à chaque fois je n'y vois que son esprit pervers s'exprimer.

- Tu es sérieux Vincent? C'est crade là.

- Ce n'est pas sale, c'est ta mouille, allez ne fais pas la fine bouche et nettoie-moi ça, on ne va pas y passer la matinée s'agace-t-il légèrement en prenant ma tête pour m'inciter à aller rejoindre ses pieds.

Arrivée à destination je sors une langue timide et commence sans conviction à léchouiller. Je passe et repasse sur toute la surface maculée de mes sécrétions. L'acte en lui même n'est pas si sale que ça, mais il est humiliant en plein et me met dans une position plus qu'inconfortable en acceptant ce genre de dégradation.

Lorsqu'il semble satisfait de mon travail, en admirant la surface bien nette, il se rassoit et croise les jambes.

- Toujours aussi doué avec ta langue Alice, l'autre pourrait être jalouse, s'amuse-t-il en me présentant son second pied.

Alors que, docile, je m'apprête à retourner au labeur, il me stoppe.

- Alors on oublie aussi rapidement les bases d'une bonne cireuse, il faut bien lubrifier avant toute chose, m'explique-t-il, allez amène ton sexe par ici et frotte bien.

Morte de honte j'enjambe son pied surélevé par le croisement des jambes et plie les genoux pour venir coller mon sexe sur sa chaussure. La position n'est pas idéale, son pied est à mi-hauteur et m'oblige à m'agripper à sa jambe pour garder l'équilibre. Je commence à onduler doucement du bassin et caresse comme je peux sa Richelieu. Je dois ressembler à un toutou qui se caresse sans vergogne contre la jambe de son maître.

J'ai posé ma tête contre sa cuisse pour éviter de croiser son regard dans cette situation une nouvelle fois humiliante en tout point. Il ne commente plus, profitant de la scène. Un silence nous enveloppe et seul le cliquetis de mon cadenas cognant de temps en temps contre son pied donne signe de vie. J'aurais voulu être ailleurs et demain.

Penaude, mais réactive ! Mon sexe ne met pas longtemps à donner une certaine touche luisante à la scène du crime et à faciliter mes mouvements. Je frotte encore et encore, honteuse de voir mon corps réagir aussi favorablement à ce contact pourtant peu agréable et de l'entendre me demander d'accélérer le mouvement.

Je refuse dans un premier temps, tentant une fois de plus de fermer toute montée de plaisir que mon cerveau n'accepte pas. Mais il insiste et insiste encore et encore jusqu'à ce que je craque au 258eme sms réclamant de franchir le cap et de laisser mon bassin s'exprimer plus vigoureusement sur cette infâme chaussure.

Comme une conne je cède à l'appel du plaisir, je suis faible bordel !!!! Je me laisse aller et change de rythme. Pas beaucoup pourtant, mais juste ce qu'il faut pour que l'orgasme qui attendait patiemment blotti dans un coin sombre du théâtre face son entrée en scène et m'emporte dans un mini tourbillon.

Quelques instants où plus rien n'existe. De ceux où uniquement vos émotions prennent le dessus et vous laissent seul au monde dans cette petite mort qui vous transporte. Revenant à moi, je desserre mes cuisses qui avaient emprisonné sans crier gare le pied de Vincent ! Sa Richelieu affiche en grand la taille de mon plaisir, elle est trempée ! De mon côté je dois être cramoisi en constatant son état.

Sans réfléchir, je m'agenouille devant lui et commence à nettoyer ce surplus de mouille, comme pour effacer sans plus attendre toute trace de ma déchéance. Mais non je ne deviens pas docile, il me l'aurait demandé de toute façon. Une fois ma tâche terminée je vois une grande satisfaction sur le visage de Vincent. Si il est content de mon obéissance, qu'il ne se réjouisse pas trop vite ce pervers.

- Alors c'était comment? Tu aurais un succès fou comme cireuse de chaussures avec cette méthode.

Mon "ta gueule" n'est pas aussi virulent que d'habitude, mais fuse tout de même à toute vitesse.

- Une vraie réussite le traitement de Swchartz, tu dois être ravi, non?

Vincent ne me laisse pas la possibilité de répondre, il a décidé de rattraper les deux journées perdues. À peine remise de cette jouissance matinale il offre à mon nez un petit objet métallique en forme de U courbé dont les embouts sont arrondis. Je n'ai pas le temps de réagir, après avoir mis les embouts dans mes narines, il fixe le cordon qui y est attaché au nœud de ma queue de cheval. Mes narines sont tirées vers le haut et je dois relever un peu la tête pour soulager la tension.

Ainsi affublée je concurrencerais sans aucun problème Peggy la cochonne dans le Muppet show. Oui je sais la référence n'est pas toute jeune, mais je ne veux pas m'attirer les foudres des censeurs en citant quelques politiciennes actuelles ! Je râle forcément, mais c'est juste pour me défouler, je n'envisage même plus de faire changer d'avis cet entêté. Il est content en plus ce con devant ma tête ainsi décoré.

La suite de la matinée se déroule plutôt calmement, une seule pipe au programme ! Vincent me quitte à l'heure du repas. Je n'ai pas le droit cette fois à une petite préparation laissée dans un coin du frigo. J'ai vite pris en grippe l'engin de torture qui me déforme le nez et dès qu'il ferme la porte à clé en partant je m'empresse de libérer mes narines de l'intrus. Je masse longuement mon nez pour lui redonner un peu de souplesse et soulager ce long étirement.