Paix Syndicale

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Il y a un nouveau patron à la mine.
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Patrick Mitchell avait laissé ses problèmes derrières lui. Son ex-employeur avait décidé de ne pas le poursuivre pour l'argent qu'il avait détourné pour payer ses dettes de jeux. Il avait dû contracter un emprunt important pour rembourser ses dettes, mais après une thérapie salutaire, il avait postulé sur un poste de directeur de chantier dans une petite ville isolée du Nord. Ainsi, loin de ses démons, il pourrait payer ses dettes et rebâtir sa vie.

C'est ainsi que Patrick 38 ans, sa femme Catherine 32 ans et leurs 3 enfants se sont installés dans une petite maison fournie par la compagnie dans ce secteur du pays presque exclusivement nourri par l'industrie minière.

Patrick s'est rapidement plongé dans son travail. Son mandat était de restructurer l'organisation du travail. Son prédécesseur, Mark Cassidy, un petit comptable né dans la région, avait quitté son poste précipitamment après environ un an pour retourner travailler sur un chantier loin dans le nord. Pour le peu que Patrick sache, la pression de l'emploi était trop forte pour ce petit commis mal formé. Il faut dire qu'on ne se battait pas pour aller travailler dans le nord. Son poste est resté vacant pendant environ 2 ans. Si ce n'était de son besoin de s'éloigner des casinos, jamais Patrick et sa famille n'aurait accepter ce genre de travail.

Après quelques mois, Patrick avait réussi à mettre au point un plan de restructuration ambitieux qui allait modifier en profondeur l'organisation du travail dans la mine et l'usine adjacente. Avec les économies réalisées, Patrick aurait sûrement une promotion et pourrait finalement tourner la page sur son passé de gambler et lui permettre de régler les dettes qui l'étouffent tout en levant les possibilités de poursuite que son ancien employeur maintenait jusqu'au paiement complet de sa dette.

Un soir vers 11h, alors que les enfants dormaient, Patrick révisait ses dossiers pour la rencontre prévue avec les hauts dirigeants la semaine suivante. La porte s'ouvre sans qu'on ait sonné. En sortant de son bureau, Patrick tombe face à face avec 4 hommes de forte stature armés de barres de fer. Immédiatement, il reconnaît un des hommes. Il s'agit de John Bloom, le président du syndicat de la mine. Cet agitateur était le premier élément à éliminer dans le plan de Patrick. Sans même le regarder, un des hommes le prend par le bras pour l'entraîner vers le salon alors qu'un autre se rend directement dans la chambre à coucher où Christine dors. Quelques instants après, il voit sa femme conduit poliment mais fermement jusqu'au divan par une brute de plus de 300 lbs.

Personne ne parle, mais le regard affolé de Christine et la sueur qui coule sur le corps de Patrick témoignent de la tension qui règne dans la maison. Un des hommes prends son téléphone portable et compose un numéro, puis le referme. Personne ne souffle mot.

Soudainement, la porte s'ouvre à nouveau. Une femme dans la quarantaine d'environ 5'4, ne pesant pas plus de 120 livres, entre dans la maison, la tête basse. Elle s'avance au centre du salon, fait face au couple terrorisé et retire lentement ses vêtements. Ses seins ne sont plus aussi ferment que dans sa jeunesse et sa chatte agréablement entretenue montre un poil noir et court. Une fois nue, elle s'agenouille sans dire un mot et fixe intensément le plancher. Aux yeux de Patrick et de sa femme, il est clair que cette femme n'apprécie ni sa condition, ni sa position.

Dans un silence accablant, un des hommes s'avance et baisse son pantalon devant le visage de la femme qui place lentement ses mains derrière son dos. Il empoigne fermement sa riche chevelure et enfouie sa gigantesque queue profondément dans sa bouche.

La pièce se remplie du son de la femme qui tente de respirer tout en suçant cette queue qui, en grossissant, obstrue presque entièrement sa bouche. Râles, bruits de succion et grognements se mélangent sans que la femme n'offre la moindre résistance. L'homme est dur et ne montre aucune délicatesse pour la suceuse. Parfois, sa main glisse vers ses seins qu'il malaxe maladroitement pour finalement lui pincer le téton. Le corps de la fille se raidit sous l'effet de la douleur, mais sans jamais tenter le moindre mouvement pour éviter ces violentes caresses.

John Bloom se place à côté de Christine et prend la parole.

« Il est de tradition dans le coin que les représentants du syndicat rendent visite au nouveau patron en dehors du cadre de la mine, question de créer des liens plus amicaux.»

Patrick en a le souffle coupé. Jamais John ne tient compte de la fille qui ne cesse de s'user les genoux sur la moquette. Il fixe Christine dans les yeux.

«Va nous chercher quelque chose à boire. Tu n'as pas appris à recevoir la visite en ville? »

Maladroitement, Christine se lève. Elle passe le plus loin possible de la femme à genoux et reviens quelques instants plus tard avec 4 bières. Les hommes la remercient poliment et elle retourne s'assoire. Le gars qui reçoit la fellation ralentie le rythme et dépose sa bouteille sur la tête de la pauvre suceuse. Tous sirotent leur bière en silence.

Après une dizaine de minutes de ce traitement, le gars se retire en bousculant la fille qui tombe sur le côté, épuisée. Il la ramasse par le bras, la bouscule et s'allonge sur le sol, la queue fièrement dressée. Curieusement, Patrick à une pensée pour l'impressionnant engin et surtout pour l'endurance de cet athlète. Il chasse rapidement cette idée de son esprit, envahi par l'horreur de la situation. La brute de 300 livres empoigne la femme par les bras, la brasse un peu et celle-ci va s'asseoir d'elle-même sur la bite tendue, face à Patrick et Christine.

Elle se laisse descendre lentement sur la queue de l'homme en grimaçant. Il est clair qu'elle n'est absolument pas lubrifiée et que la pénétration est douloureuse. Soudain, le gars lui agrippe les hanches et s'enfonce profondément d'un violent coup de rein.

« Arrrrrgh!!! » s'exclame t'elle alors que des larmes de douleur éclatent dans ses yeux.

« Arrête de taponner chienne! Bouge ton cul! »

Lentement la femme commence à monter et descendre sur la bite de son tourmenteur.

John Bloom s'avance vers elle et lui allonge une puissante gifle. Elle doit s'accrocher aux jambes du baiseur pour ne pas tomber et garder un semblant de rythme. Alors que l'empreinte de la main de John prend une couleur rougeâtre sur son visage, elle prend la parole sans arrêter de baiser l'homme étendu sur le sol.

« Je... suis la.... touffe de la ... arrgh... mine. »

Le gars au sol lui donne périodiquement de violents coups de queue, mais jamais la fille ne stop son discours.

« Je suis la femme ... Unnh...de Mark Cassidy. »

« Quand mon... mari était patron de la mi...... Ahiiie ... ne »

L'homme lui assène une cuisante claque sur le cul pour qu'elle bouge plus vite.

« Il a voulu mater... le... syndicat. Il a congédié John. »

À la mention de ce souvenir, ce dernier lui envoie une puissante gifle. Mme Cassidy poursuit.

« Unhh... Peu de temps après, Mark... a été battu et nous avons été harcelé quotidiennement par... »

« Ahhh moins fort SVP... »

«... tous le monde au village. »

Les larmes coulent alors librement sur ses joues. Voyant cela John lui ordonne.

« Allez chienne bouge tes tétons. »

Immédiatement, la pauvre femme augmente le rythme de ses vas et viens et laisse librement bondir ses seins, rendus moins fermes par l'âge et les abus, sur sa poitrine dans un bruit de claquement.

« J'aime les voir bondir comme ça. »

« Jouie salope! »

Sur ce, Mme Cassidy se lance dans le plus mauvais orgasme simulé qu'on ait connu.

« Ah oui, Ah oui, plus fort... Baise-moi... Aahhhhh! Ihhhhh! Je jouiiiiie!!! Aaaaahhh! »

Le tout est dit sans aucune conviction, son visage traduisant sa douleur et sa honte. John et les autres rient à gorge déployée.

« Elle n'a jamais réussi à jouir correctement. Malgré son dressage, elle est incapable d'y arrivée. »

« Allez continue garce. »

Elle reprit son vas et viens plus lentement. « Nous avons appelé ... la police. Arggh... mais le policier du.... village est l'ami de John... »

THUD! L'homme que chevauchait madame Cassidy la projette sur le sol. Il prend la femme par les cheveux et, sans ménagement, la dispose à quatre pattes, sa tête reposant sur les genoux de Christine.

L'homme lance un salut de la main au couple terrorisé et leur fait un clin d'œil amusé. C'est le policier.

« Marc a tenu son bout, le harcèlement s'est transformé en guerre. Ma sœur a été agressée. Mon fils battu à l'école et ma fil... fille ».

Le reste de la phrase s'est perdue dans les sanglots. Le silence était total dans la pièce à l'exception des pleurs de Mme Cassidy qui mouillaient la chemise de nuit blanche de Christine.

Elle reprend rapidement, le souffle court.

« Une nuit, ma fille de 18 ans est revenue chez nous à moitié nue, les vêtements déchirées, des bleues partout sur le corps, les cheveux et le visage couverts de sperme séché. »

Vint un long moment de silence.

« Sur son dos et ses fesses, on pouvait lire écrit au feutre: La salope est toujours vierge. On s'est bien amusé. La prochaine fois, elle ira lécher des anus dans les mines du nord. »

« AAAARRRRGGGHHHHH »

Le hurlement de la femme fend la nuit. Le policier vient de planter son énorme pénis dans le cul de la pauvre femme. Sous le rire gras des trois autres hommes, il se lance alors dans un rapide mouvement qui ne laisse aucune chance à la pauvre soumise.

Tout au plus, peut-on entendre la voix de Mme Cassidy en sourdine alors que sa tête s'enfonce dans le ventre de Christine.

« Pitié..... Lubrifiant.... Pitié... »

« Moi, je préfère ça à sec. Le lubrifiant, c'est pour les bites molles » lance le policier sous le rire tonitruant du gros bonhomme de 300 lbs.

La femme est malmenée pendant quelques minutes. Les seuls bruits qu'on entend sont les grognements du policier qui s'exécute sans retenu et les pleurs des enfants au loin.

Christine perd soudainement conscience sous le coup de l'émotion. Remarquant cela, le dernier homme quitte la pièce. Il revient peu après avec une chaudière d'eau glacée qu'il lance à la figure de la jeune femme. Celle-ci ce réveil brusquement pour voir le visage tordu par l'effort du policier qui jouie dans le cul de la femme pliée sur son ventre.

Sous l'effet de l'eau froide, les seins de Christine se cabrent laissant deviner des mamelons bien définis et une poitrine agréable.

Le gros homme, sans dire un mot, se place juste devant Christine. Son odeur est atroce et, au moment où il retire son pantalon, l'odeur devient tout bonnement écoeurante.

Mme Cassidy, complètement sonnée, se place d'elle-même à quatre pattes derrière le gros homme. Elle cale son visage dans son cul et reprend d'une voix faible et étouffée.

« Suite à l'agression de ma fille, la police à porté des accusations de fraude contre mon mari.»

CLAC!!! Une formidable claque s'abat sur le cul de la femme.

« Plus Fort! »

Elle reprend.

« John est venu à la maison un soir. Il nous a expliqué jusqu'à quel point notre situation était désespérée et il nous a offert une solution. »

Son discours est entrecoupé de SLURPS et de sons de succion alors que Mme Cassidy nettoie avec dédain le cul de l'obèse. Celui-ci masturbe frénétiquement sa petite queue tout en fixant les seins de Catherine avec des yeux exorbités, la bave coulant du coin de ses lèvres.

« Allez continue chienne! Lèche-moi le cul! Ça fait 5 jours que je ne l'ai pas lavé en prévision de notre rencontre. »

« Allez. Dis-moi que tu l'aimes. »

« J'aime le goût de ton cul Richard. Il est merveilleusement épicé ton cul poilu. »

Ses mots se perdent dans les sanglots.

Elle continue néanmoins.

« Mark devait aller travailler dans la mine la plus éloignée au nord. Il devait rétablir les anciennes règles et réengager John. On laisserait alors ma famille tranquille. Seulement pour signer l'entente, John a exigé que la signature se fasse sur mon dos pendant que sa bite fouillerait le fond de mon cul. Je me suis retrouvée pliée sur la table de la cuisine. John m'a prise pendant que Mark signait l'entente en pleurant. »

Madame Cassidy parlait maintenant d'un ton monocorde. Elle ne léchait plus Richard qui semblait s'en foutre complètement et continuait à se branler frénétiquement face à Catherine.

« John nous a ensuite dit que c'est moi qui devrais présenter le nouveau plan de travail à Mr Ming (le président de la compagnie). Le chinois m'a enculé pendant 3 jours et il a signé le plan avec un sourire pendant que je le suçais, nue sous son bureau. »

« Depuis, nous n'avons plus de problèmes. Ma fille vie dans une autre ville minière et le syndicat la laisse tranquille. Moi, je travail pour le club social du syndicat. Je remplie de petits contrats. Comme ce soir... »

Sa voix s'est éteinte. Elle n'a plus dit un mot. Richard a déchargé une importante quantité de sperme sur Catherine qui fut prise de nausée.

John a signifié aux autres de partir. Mme Cassidy est sortie, sans dire un mot, nue dans la neige et la pluie froide de l'automne.

John pris la parole.

« Dans cette enveloppe, vous trouverez une copie du nouveau contrat de travail. Monsieur Ming le signera sans problèmes la semaine prochaine grâce à Mme Cassidy qui résidera sous votre bureau pour la durée de son séjour. Je vous invite à en profiter. Elle n'est pas exclusive. D'ailleurs, Mr Ming aime bien les doubles pénétrations. »

« Nous sommes bien au courant de votre passé et de ton problème de jeu. Je crois que vous avez compris ce soir que le syndicat ne recule devant rien pour protéger ses membres. »

Il se tourna vers Catherine, blanche et tremblante.

« Si ton copain veut jouer au malin avec nous, pas de problèmes. Mme Cassidy appréciera sûrement de voir sa charge de travail réduite. »

Il fit un clin d'œil et ajouta.

« Ne barre jamais ta porte. Je reviendrai sûrement prendre une bière en ta compagnie. Si jamais la porte était barrée.... »

Il se retourna et sorti sans un mot.

Par la fenêtre, on pouvait voir Mme Cassidy, pliée en deux sur le capot d'une auto, toute grelottante dans la pluie froide, qui se faisait prendre lentement pas le quatrième homme.

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Anonymous
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4 Commentaires
Sangohan2Sangohan2il y a 22 jours

Très excitant. Dommage que ça se termine si vite et qu'il n'y ait pas de suite

AgentChelateurAgentChelateuril y a presque 14 ans
Pour un premier essai, c'est très bien.

J'avais lu cette histoire quand elle était sorti mais je n'avais pas pensé à écrire un commentaire. Je la trouve très bien écrite surtout sur le thème en question. Tu as pensé à en faire des suite ou ce n'était qu'un essai sans suite ?

misterbonemisterboneil y a environ 14 ansAuteur
Rectification

Je tiens à confirmer que ce texte n'est pas une traduction, mais bien un texte original. Il s'agit en fait de ma première histoire toute catégorie confondue.

Les références au système de mesure américain sont du au fait que par chez nous c'est le système couramment employé par les gens de ma génération. Pour ce qui est des noms à consonance Anglophone, je les ai choisis pour rendre le texte plus international.

Merci

AnonymousAnonymeil y a environ 14 ans
Pas mal, mais simple traduction

Le texte est sympathique, mais il ne s'agit que d'une traduction. En effet, bien que l'auteur ait eu la gentillesse de nous founir un nouveau récit, il aurait été préférable qu'il précise l'origine de sa traduction. Pour preuvre les efforts de traduction n'ont pas été poussé suffisement loin : le poids et la taille de la femme sont encore en unité americaine, a revoir donc...

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