A La Recherche De La Disparue 2/2

BÊTA PUBLIQUE

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Sans hésiter, l'homme traversa la salle, se dirigeant vers une porte équipée d'un verrou extérieur ce qui surprit la jeune femme.

- C'est pour empêcher les gens de sortir?

- Le bâtiment est très vieux et ce devait être pour ça avant. Mais en fait c'est surtout la seule chambre du club si on fait abstraction des box qui ne sont pas très discrets.

Elsa se dit que le verrou ne paressait pas si vieux que ça mais préféra ne rien rajouter.

- C'est là que tu vas habiter jusqu'à ce que le collectionneur vienne te chercher, dit-il en ouvrant la porte.

- Encore faut-il qu'il me veuille.

- Je ne suis pas inquiet, tu es superbe.

La pièce était équipée d'un lit, d'une table de chevet et d'une armoire et contre un mur se trouvait une petite table encadrée par deux chaises. Au fond de la chambre on pouvait voir une petite porte restée ouverte où l'on découvrait une petite salle d'eau et un wc.

A part le manque de lumière naturelle, la chambre n'était pas si mal que ça.

- Maintenant mets-toi à poil.

La jeune femme fut surprise par la façon un peu crue que l'homme utilisa pour lui demander de se déshabiller. Elle savait que si elle voulait retrouver sa sœur elle devait se faire prendre en photo complètement nue et cela ne lui posait pas de problème.

Depuis qu'elle était arrivée dans la ville, elle n'avait plus aucune appréhension de montrer son corps, bien au contraire. Elle se rendit compte que sa pudeur avait été complètement annihilée.

Elle se dévêtit entièrement pour le plaisir du noir qui adorait la voir nue. Une fois que cela fut fait, il se saisit des vêtements de la fille et lui dit de l'attendre. Il allait chercher de quoi la préparer pour les photos afin qu'elle soit la plus attirante possible.

Elsa se demanda pourquoi il partait avec ses habits mais depuis qu'elle avait pris la décision de se vendre, tout paraissait bizarre dans l'attitude des hommes du club.

En attendant qu'il revienne, elle s'assit sur le lit, commençant à se demander si elle avait pris la bonne décision en les laissant tout organiser. De toute façon, il était hors de question qu'elle fasse marche arrière car elle avait la certitude qu'elle reverrait bientôt Angélique.

Un quart d'heure plus tard elle fut surprise de voir revenir John accompagné de Francis. Ce dernier tenait une bassine remplie de produits ainsi qu'un appareil photo en bandoulière.

- Bonjour ma belle, dit le dernier arrivant. Prête à briller?

Ne comprenant pas ce qu'il voulait dire, John donna quelques explications.

- Le collectionneur aime les corps qui luisent, aussi, Francis va t'enduire le corps d'huile pour les photos.

Elsa était tellement dépassée par les événements qu'elle ne trouva rien à redire à cette lubie et se leva.

- Écartes les cuisses et les bras.

Docile, elle se positionna comme demandé alors que l'homme prenait dans la bassine un vaporisateur rempli du fameux produit.

- On va tacher un peu le sol mais il en a vu d'autres.

Tout en disant cela, il commença à envoyer l'huile sur le corps, commençant par la poitrine et le ventre puis une fois satisfait du résultat, il se mit à tourner autour d'elle tout en pulvérisant.

Elsa se sentait bizarre d'être ainsi traitée mais elle n'osait pas bouger.

Pendant qu'il l'enduisait, John s'était saisi d une serviette-éponge et commença à l'essuyer pour enlever le trop-plein de liquide, la rendant brillante.

Francis, ne laissa pas un millimètre de peau sans huile, s'attardant sur son sexe et les fesses avant de lui demander de fermer les yeux pour enduire le visage

Avec sa serviette, John répartit consciencieusement le produit pour que l'effet brillant soit bien uniforme

Elsa prit beaucoup de plaisir de se sentir ainsi caressée même si ce n'était pas l'effet voulu. Lorsqu'ils eurent fini ils se reculèrent pour voir le résultat. Ils purent admirer le corps luisant de la jeune femme que l'huile magnifiait encore plus.

Francis commença à préparer son appareil photo en visualisant dans sa tête tous les superbes clichés qu'il allait pouvoir faire.

Ils préférèrent la faire sortir de la chambre pour avoir plus de place et pour diversifier les photos. Pour le collectionneur, ils lui firent prendre des tas de poses sensuelles, essayant d'être le plus imaginatif possible. Non seulement Elsa se plia à toutes leurs exigences mais cette dernière, se prenant au jeu, trouva d'elle-même des postures très érotiques.

Ils allaient pouvoir envoyer à leur client de quoi le faire craquer pour la jeune femme.

Lorsque la séance fut terminée, les deux hommes demandèrent à Elsa de retourner dans sa chambre et de prendre une douche. N'ayant plus de vêtements, elle n'avait pas d'autre choix que de rester nue mais cela ne la dérangeait pas outre mesure.

Elle passa près d'un quart d'heure sous l'eau chaude pour dégraisser son corps et lorsque enfin elle sortit de la salle d'eau, elle se sentait propre et détendue. La machine était en marche et elle n'avait plus qu'à attendre que le collectionneur morde à l'hameçon.

Elle alla voir si la porte de sa chambre était verrouillée et fût rassurée en constatant que ce n'était pas le cas. Elle était libre d'aller ou elle voulait même si, en étant nue elle aurait du mal à aller bien loin.

C'est Francis qui lui apporta le soir son plateau-repas, le déposant sur la petite table. Même si Elsa n'était plus gênée d'être nue devant les gens, sans savoir pourquoi l'homme la mettait mal à l'aise.

Pour ne pas le montrer, elle s'assit à table et mangea sa salade et son blanc de poulet en essayant d'être le plus naturel possible sous le regard insistant de l'homme.

Ils n'échangèrent aucun mot durant tout le repas, et lorsqu'elle eut fini de se restaurer, il resta sans bouger à la fixer.

Se sentant de plus en plus mal à l'aise, elle finit par lui demander.

- vous allez ramener le plateau?

- pas tout de suite. Je vais te tenir un peu compagnie.

- C'est que, je suis un peu fatiguée et que...

- Et que tu te reposeras plus tard. Je n'arrête pas de te voir à poil et j'ai envie de te baiser alors tu vas venir sur le lit tout de suite.

Elsa hésita quelques secondes puis préféra obtempérer. L'homme avait pris un ton agressif et il lui faisait un peu peur. Elle ne se rendit pas compte que si on lui avait demandé ça un mois auparavant, elle se serait offusquée et serait montée dans les tours. Mais elle n'était plus la même et, se levant, elle vint se placer devant lui qui se redressa à son tour pour lui faire face.

Elle ne se débattit pas lorsqu'il la serra contre lui et qu'il l'embrassa assez fougueusement, lui introduisant sa langue dans la bouche. Par peur ou par excitation, elle répondit à ce baiser avant de sentir les mains de l'homme la saisir par les hanches pour la pousser sur le lit. Elle le laissa faire sans aucune résistance et se retrouva rapidement allongée sur la couche.

Il ne mit pas longtemps pour se dévêtir et la jeune femme fut agréablement surprise découvrant un corps assez musclé même s'il l'était moins que celui de John.

Elle finit par oublier la peur lorsqu'il se coucha sur elle et qu'il la pénétra avec une certaine douceur. Finalement, ils firent l'amour de façon assez tendre ce qui surprit la jeune femme qui s'attendait à du sexe plus violent.

Les trois jours qui suivirent parurent durer une éternité pour la jeune femme Elle n'osa pas quitter sa chambre et ses seules distractions furent les repas toujours apportés par Francis et les parties de jambes en l'air avec ce dernier qui venait la voire même hors des repas.

Elle fut un peu triste de ne pas voir John qui ne la laissait pas indifférente.

Au bout du troisième jour, le vieux convoqua dans son bureau son fils et John pour leur donner des nouvelles de la transaction avec le collectionneur. L'ancien avait le sourire et prit la parole avant que les deux autres hommes ne lui posent des questions

- J'ai eu une réponse du collectionneur qui a trouvé notre petite protégée vraiment très belle et il est très intéressé. Comme vous vous en doutez, le prix que nous en voulions l'a un peu refroidi et il m'a proposé une contre offre très intéressante que j'ai acceptée. Ils viendront la chercher demain.

- Un problème de régler, dit le fils avec une voix un peu hésitante qui surprit son père.

- Il y a quelque chose que je devrais savoir, demanda le vieux.

L'homme hésita avant de répondre.

- Une femme est venue au club et cherchait Elsa.

- Il n'y a rien d'alarmiste là-dedans.

- C'est que... elle m'a dit qu'elle savait pour le collectionneur et s'est proposé d'être vendue à la place d'Elsa si on la laissait tranquille.

Le vieux qui avait jusqu'à présent le sourire le perdit presque instantanément.

- Tu sais qui c'était?

- Une amie de la petite mais aussi de sa sœur.

- Et tu la laissais repartir?

- Non, justement, j'ai accepté son offre et elle est actuellement enfermée dans une des cellules.

Le patron réfléchit quelques minutes et d'un seul coup, comme par magie, son visage s'illumina.

- Téléphone à Wang. La fille qu'on lui a vendue il y a un mois pour la plateforme pétrolière dans le Pacifique n'a pas tenu le coup. Je pense qu'on peut lui faire un petit cadeau au titre de la garantie et ce sera une expérience plutôt sympathique pour notre petite curieuse.

- Et en plus ça fera plaisir à Wang qui est un bon client, rajouta John

- par curiosité comment s'appelle notre nouvelle recrue

- Elle s'appelle Fabienne.

Pour Elsa qui n'était au courant de rien, ce fut une journée comme une autre. Lorsqu'elle se coucha le soir, elle ne savait rien de la tentative de son amie, ignorant qu'elle ne la reverrait sûrement jamais plus.

Lorsque Francis lui emmena son petit déjeuner le lendemain matin, il paraissait un peu triste. La jeune femme fut étonnée qu'il ne reste pas pour la baiser après son café au lait. Il se contenta juste de lui dire de demeurer plus longtemps sous la douche car ses acheteurs venaient la chercher dans la journée.

En entendant ça, elle eut un nœud au ventre. C'est vrai qu'elle voulait revoir sa sœur et que c'était elle qui avait provoqué cette vente mais cela lui faisait tout de même très peur.

Elle obéit à son geôlier et se lava longuement, voulant que son corps soit irréprochable. Lorsqu'elle sortit de la salle d'eau, elle alla s'allonger sur le lit pour attendre l'arrivée de son propriétaire.

Ce fut le fils du patron qui passa en milieu de matinée.

- Bonjour Elsa, lui dit-il. Je viens pour te donner les dernières consignes avant l'arrivée de nos invités.

- C'est le collectionneur qui vient?

- Hélas non, il ne se déplace pratiquement plus. Ce sont des hommes à lui qui viennent te chercher et d'après ce que je sais, l'un d'eux est docteur.

- Docteur? mais je ne suis pas malade.

L'homme se mit à rire.

- je le sais bien mais je suppose que notre client doit être hypocondriaque et qu'il veut être sûr que tu ne transportes aucun virus.

- Si ça peut le rassurer, répondit Elsa en haussant les épaules.

- Il n'y aura que deux consignes que tu devras respecter si tu veux qu'il t'emmène.

- Lesquelles?

- Tu obéis à tous leurs ordres et surtout tu ne parles plus. Ce sera la preuve d'un bon dressage et ils te guideront sans problème là où est Angélique.

- Ok. S'il n'y a que ça.

- Bon je vais te laisser, ils ne vont pas tarder et je veux aller les accueillir.

Le fils du patron parut soulagé de l'attitude d'Elsa. Il avait eu peur qu'au dernier moment elle décide de ne plus obéir mais maintenant il était rassuré. Elle fera le nécessaire pour retrouver sa sœur.

L'homme se rendit compte que personne ne savait vraiment ce que devenaient les femmes que le collectionneur achetait car aucune n'était jamais réapparue. De toute façon, ça n'était plus son problème dès qu'elles quittaient le club et le fait de ne rien savoir rendait les choses beaucoup plus faciles.

La jeune femme dût attendre encore au moins deux heures avant que le fils du patron ne revienne. Cette fois il était accompagné par deux hommes qui parurent très intéressés en la découvrant.

Elsa, en voyant ses visiteurs, quitta immédiatement son lit pour se mettre debout face à eux, un peu comme au garde-à-vous afin de montrer son obéissance.

Le plus vieux des deux hommes n'était pas très grand et ses lunettes rondes lui donnaient un air de fouine. Le deuxième, beaucoup plus jeune, portait une grosse mallette et se tenait un peu en retrait. La jeune femme en déduisit que le docteur devait être celui à lunettes.

- Très beau spécimen, dit-il. Notre patron a fait une très bonne acquisition.

Et tout en disant ça, le petit homme s'était rapproché d'Elsa pour mieux l'inspecter.

Elle ne bougea pas lorsqu'il commença à la palper mais cette fois, il n'y avait rien d'érotique dans ses attouchements. Elle avait affaire à un professionnel qui posait ses doigts à des endroits très précis. Il fit glisser ses mains le long de sa colonne vertébrale très lentement, descendant vers les fesses.

- On va pouvoir faire du bon travail, expliqua-t-il au plus jeune, elle m'a l'air parfaite.

Tout en disant ça, ses mains vinrent tâter ses hanches puis l'intérieur des cuisses.

Elsa n'avait pas le droit de parler mais elle était de plus en plus inquiète. De quels travaux parlait-il?

- De toutes ses acquisitions, je peux dire que celle-là est de loin la plus belle et on va faire en sorte de la sublimer, finit-il par conclure.

- Il ne faudra pas qu'on se loupe, lui répondit le plus jeune alors que la jeune femme était maintenant très angoissée.

- Jeune fille, allongez-vous sur le lit, ordonna la fouine alors qu'il prenait la mallette de la main du jeune pour aller la poser sur la petite table.

C'est presque en panique que la jeune femme obéit, se demandant ce qu'il allait sortir de la petite valise. En fait, il ne s'empara que d'une seringue et après avoir chassé l'air qu'elle contenait, il se dirigea vers le lit.

- J'adore la manière dont vous l'avez dressée, dit-il en s'adressant au fils du patron.

- On a fait de notre mieux.

Tout en disant cela, il piqua Elsa au niveau de la cuisse qui était tétanisée par la peur.

Il ne fallut pas longtemps pour que la vue de la jeune femme se brouille et qu'elle sombre dans un sommeil profond.

Le docteur, satisfait, prit son téléphone pour demander qu'on vienne récupérer le paquet. Elle allait être plongée dans un coma pendant plus de 48h00, ce qui était largement suffisant pour l'emmener vers sa destination finale.

Elsa se sentait vaseuse et avait du mal à émerger. Ouvrant avec difficulté les yeux elle constata qu'elle n'était plus dans la cave car des rayons de soleil pénétraient par une fenêtre et réchauffait son corps toujours nu. Il lui fallut encore quelques minutes pour finir de se réveiller et avec surprise elle se rendit compte qu'elle se trouvait dans une chambre d'hôpital.

Elle eut du mal à tourner la tête et même à bouger les mains, un peu comme si elle pesait une tonne. Elle se rendit compte qu'elle avait un goutte-à-goutte relié à son bras mais cela ne la perturba pas spécialement.

En fait, elle se rendit compte que toute peur avait disparu et qu'elle se sentait bien même si les mouvements qu'elle voulait effectuer s'avéraient difficiles.

Le docteur « Fouine » pénétra alors dans la chambre, un grand sourire aux lèvres.

- Je vois que notre petite patiente est réveillée.

- ...

Elsa essaya de parler mais aucun son ne sortit de sa bouche qui était comme engourdie.

- Je voulais vous dire que votre corps est un chef-d'œuvre à lui tout seul. On n'aura pas à faire grand-chose pour le sublimer davantage.

La jeune femme regarda le docteur ouvrir le robinet d'une deuxième perfusion reliée à son bras et elle plongea lentement dans un coma profond. L'homme sourit en montrant ses dents à moitié pourries par le sucre, pour lui le travail était presque terminé.

- Bonne nuit ma beauté, les modeleurs ne vont pas tarder à venir te chercher et je suis sûr que tu seras la plus belle pièce de la collection.

***

Grégorio poussait son petit chariot chargé de produits et de lingettes, le cœur en fête. Il était au service du collectionneur depuis plus de sept ans et il adorait son travail. Tous les jours, à la même heure, il faisait son circuit, toujours dans le même sens pour finir par sa statue préférée.

Mais aujourd'hui, il savait qu'une nouvelle œuvre d'art allait être installée dans la grande salle de réception, bien au centre pour que tous ceux qui viendront voir le milliardaire puissent l'admirer.

L'homme ne l'avait pas encore vue, faisant son parcours habituel, mais il avait hâte de la découvrir.

Lorsqu'il arriva vers sa préférée, il la regarda un instant avant de prendre son flacon et sa lingette. Il ne savait pas pourquoi il adorait cette œuvre qui s'intitulait « Angélique sur son rocher ».

Même si elle n'était peut-être pas la plus jolie de la collection, elle avait quelque chose dans son regard qui le faisait fondre. Elle était allongée sur le côté, installée sur un faux rocher et son corps brillant était attendrissant.

Lentement, il fit passer la lingette partout sur sa peau, toujours autant surpris par la chaleur qui s'en dégageait.

Il y avait juste une chose à laquelle il devait bien faire attention. Ne pas abîmer ou arracher le cathéter sortant de la cheville et s'enfonçant dans le socle. C'était ce petit tuyau qui les maintenait dans cet état et il savait que s'il en détériorait un, il risquait d'avoir de très gros problèmes.

Après un bon quart d'heure à enduire sa préférée, il se recula pour admirer son œuvre. Elle était magnifique mais il était tout de même pressé de voir la dernière acquisition de son patron.

***

Le collectionneur et une dizaine d'ami assistèrent à la mise en place de sa plus belle pièce. Pour la première fois, ils avaient réussi à faire tenir debout une femme. Elle était à la fois magnifique tout en étant complètement obscène.

Elle se tenait debout jambes écartées sur un socle rond. Pour la maintenir de façon stable, une sorte de phallus sortait du sol et monter entre ses cuisses pour s'empaler dans son anus.

Elle avait les bras décollés du corps, ce dernier légèrement cambré et ils avaient réussi à exprimer sur son visage une sorte de jouissance provoquée par la sodomie.

Elle était magnifique et le collectionneur constata que pour la première fois, un érotisme incroyable se dégageait d'une de ses statues.

Tous les hommes présents mirent un certain temps pour réussir à détacher leurs yeux de cette splendeur.

Finalement Elsa était parvenue à ses fins. Elle avait retrouvé sa sœur et son côté exhibitionniste qu'elle s'était découvert allait être comblé.

Épilogue

Je tenais à rassurer les personnes qui auraient aimé que cela se termine bien pour Elsa. Cette dernière n'ayant pas été empaillée, ni même momifiée mais juste transfusée, elle serait donc toujours vivante. Ce serait en quelque sorte une belle une bois dormant d'un autre siècle.

Un jour peut-être un prince charmant viendra et la réveillera en lui arrachant le cathéter qui la relie à son socle. Ils se marieront et auront beaucoup d'enfants. Mais connaissant Elsa, il y a de grandes chances que si on la réveille, elle préfèrera retourner au club pour se prostituer.

Par contre pour Fabienne, le prince aura du mal à se rendre sur la plateforme pétrolière. De toute façon, il faut être positif, elle fait tellement d'heureux dans le Pacifique que ce serait dommage d'intervenir.

Fin

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8 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

la fin me laisse perplexe, j'aurai aimer une fin ou les portionnaires soit decouvert et sanctionner

dicordobadicordobail y a plus d’un anAuteur

Du coup, comme j'hésitais pour la fin de l'histoire, je suis en train d'écrire une suite qui sera un peu plus favorable aux deux sœurs.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Une histoire bien écrite, fluide et originale. En bonus deux suites possibles chez le collectionneur tout en finesse, ou pas, et plus hard sur la plateforme pétrolière "une gouine comme bonus pour l'équipage"

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Un récit original ...

... qui laisse la porte ouverte à une site !

horpheuhorpheuil y a plus d’un an

Salut, ne t'attache pas trop aux notes... Et fait des textes qui te plaisent...

La plupart des lecteurs ont pu être décontenancés par la fin de l'histoire (et pas parce qu'elle se termine mal)... ce qui explique qu'elle est un peu moins bien noté que les autres.

Il reste néanmoins un texte avec une belle créativité, continu... :)

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