A La Recherche De La Disparue 2/2

BÊTA PUBLIQUE

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- Si vous voulez on peut se retrouver sur le parking.

La jeune femme se rendait compte qu'elle agissait comme une vraie pute mais étrangement cela l'excitait.

- maintenant? vous seriez d'accord

- oui

- et vous me feriez une fellation?

- heuuu, oui si c'est ce que vous voulez

L'homme avait du mal à croire ce qui lui arrivait. Il se leva et demanda :

- je vous attends dehors?

- oui, je n'ai pas le droit de passer par la porte principale? je dois prendre l'issue de derrière

- ok, a tout de suite

En fait le client n'y croyait pas trop. Il ne pensait pas qu'elle viendrait mais il se dit que de toute façon il aurait été bête de ne pas tenter.

Elsa, reprit le chemin du vestiaire. Elle allait se changer puis se dit que cela prendrait trop de temps. Du coup, saisissant juste son badge, elle passa entièrement nue devant Francis qui cette fois, avait les yeux bien fermés.

Lorsqu'elle fut dehors, ce qu'elle ressentit fut extraordinaire. La fraîcheur de la nuit venait caresser sa peau et d'être ainsi à l'extérieur lui donnait une impression de liberté incroyable.

Bien sur, vu l'heure elle ne risquait rien et c'est avec une incroyable excitation qu'elle se dirigea vers les voitures où devait l'attendre l'homme.

Ce dernier se tenait près d'une automobile garait à 10 mètres de la porte en chêne. En la voyant arriver nue, il fut émerveillé par cette beauté qui venait pour lui. Il ne sut quoi dire lorsqu'elle se plaça devant lui. Sans un mot, elle s'accroupit pour lui ouvrir sa braguette et lui dégrafa le pantalon pour mieux s'occuper de son membre.

Elsa sortit du pantalon un sexe qui avait déjà commencé à grossir et elle le caressa un moment pour le faire durcir encore plus.

L'homme était aux anges. La pute la plus belle de l'établissement allait lui faire une pipe alors qu'il n'allait rien débourser.

Il poussa un petit gémissement lorsque la jeune femme emprisonna sa queue dans sa bouche et qu'elle la massa avec douceur entre son palais et sa langue. Jamais encore sa femme ne lui avait fait autant de bien lorsqu'elle le suçait.

Un autre client, qui venait de sortir du club, s'approcha pour regarder ce qui se passait. Lorsqu'il reconnut l'étoile en train de tailler une pipe à un autre client, il en fut tout existé. Surtout qu'elle avait l'air d'aimer ça.

Elsa avait commencé à faire des vas et viens avec sa bouche sur le sexe gonflé à mort.

Jusqu'à aujourd'hui, elle n'avait jamais trop aimé le goût du sperme mais là, elle n'avait qu'une hâte, c'était qu'il éjacule dans sa bouche pour boire le fameux nectar.

L'homme lui avait saisi l'arrière de sa tête pour lui imposer un rythme un peu plus soutenu. Elsa se laissait faire même si le gland qui venait frapper parfois le fond de sa gorge lui procurait des nausées.

Lorsque l'homme éjacula, elle faillit s'étouffer à cause des giclées puissantes de spermes venant inonder son gosier. Se reprenant, elle déglutit à plusieurs reprises pour ne pas tousser, finissant par apprécier cette liqueur pourtant épaisse et salée.

Une fois le sexe tari, elle le lécha pour le nettoyer complètement ce qui plut beaucoup à l'homme.

Lorsqu'elle se redressa, le deuxième client qui avait assisté à la scène, prit le relais.

- Tu m'as trop excité, lui dit-il, mets tes mains sur le capot que je te baise.

Elsa ne chercha même pas à répliquer tellement elle était excitée. Elle posa ses mains à plat sur l'avant de la voiture et cambra son dos pour mieux s'offrir.

Cette fois les rôles furent inversés et l'homme qui venait de se faire sucer, devint le spectateur.

- C'est une vraie salope, dit-il en la voyant se positionner

- Quand je l'ai vu dans la salle, j'avais trop envie de la baiser.

Et tout en disant ça, il plaqua son gland contre la vulve de la jeune femme et d'un coup de rein, la pénétra.

Elsa poussa un petit cri de plaisir mais aussi de douleur car il y avait été vraiment sèchement. Heureusement qu'elle était déjà lubrifiée par l'excitation sinon elle aurait pu avoir plus mal.

L'homme la prit par les hanches et se mit à la posséder avec force. Il avait tellement envie de cette femme qu'il la prit sans fioritures, ne cherchant qu'à se faire plaisir.

La jeune femme apprécia pourtant cette façon de se faire baiser et jouit rapidement. En fait, il éjacula lui aussi très vite en elle, prenant vraiment beaucoup de plaisir à cette pénétration brutale.

Lorsque Elsa émergea de son orgasme, elle était affalée sur le capot alors que les deux hommes s'éloignaient pour prendre leur véhicule. Se rendant compte de ce qu'elle avait fait, elle aurait pu se sentir honteuse de s'être comportée comme une traînée mais au lieu de cela, elle se dit que le plus important était de prendre du plaisir.

Elle retourna dans le club, passant devant un Francis toujours endormi et alla se rhabiller sans même se laver. Le sperme qui suintait de sa chatte était en quelque sorte la preuve de ce qu'elle avait osé faire cette nuit.

Elle préféra rentrer plutôt qu'aller voir John. Il n'avait sûrement pas encore des nouvelles de sa sœur et elle commençait à avoir sommeil.

En arrivant chez elle, elle ne se lava même pas avant de se coucher. Elle avait pu évacuer son stress au club et se sentait mieux.

C'est son téléphone qui la réveilla vers 10h00 et lorsqu'elle répondit à l'appel, elle fut toute étonnée en entendant John. Il avait fini le travail vers 6h00 du matin et était déjà réveillé, à moins qu'il ne se soit pas encore couché.

- Bonjour Elsa, dit-il, j'ai des nouvelles de ta sœur. J'ai pris les photos d'elle qui étaient dans l'ordinateur de Francis et je les ai transmis à tous mes potes.

- Elle va bien?

- Je ne sais pas mais que dirais-tu de venir au club. J'ai mis le fils du patron au courant et lui aussi veut t'aider.

Elsa ne savait plus trop quoi penser. Elle était à la fois très inquiète tout en ayant d'un seul coup énormément d'espoir de la retrouver. Elle prit tout de même une douche rapide avant d'enfiler son jean et son t-shirt. Cette fois elle n'avait pas besoin de plaire, elle avait juste envie d'en savoir plus sur la disparition de sa sœur.

Il n'était pas loin de 11h00 lorsqu'elle frappa à la porte du bureau du patron. Lorsque cette dernière s'ouvrit, elle ne fut pas étonnée de trouver les deux hommes. Elle put constater que John n'avait pas du dormir dû tout car il avait les traits tirés et paressait vraiment très fatigué.

- Bonjour Elsa, dit le fils du patron. Vous auriez du m'en parler lorsque vous êtes venue la première fois.

- Bonjour Monsieur. En fait je n'ai pas osé.

Il lui montra une chaise pour qu'elle s'asseye et ce fût John qui prit la parole.

- On a découvert pourquoi ta sœur a disparu

- Qu'est-ce qui lui est arrivé?

- L'histoire est un peu compliquée. Elle a rencontré quelqu'un qui lui a fait miroiter des placements pour la rendre très riche.

- Milou?

- Heuu non, lui c'était son petit ami et il n'a rien à voir là-dedans.

Le fils du patron se retint pour ne pas rire, voulant paraître au contraire attristé.

- Du coup, reprit John, elle s'est adressée à un usurier véreux pour emprunter la somme nécessaire.

Elsa, pour l'instant ne comprenait pas trop pourquoi sa sœur avait disparu. Elle espérait juste qu'elle était toujours en vie.

- Le problème, reprit le noir, c'est que les fameux placements n'ont pas marché et ta sœur a tout perdue.

- Et?? demanda Elsa impatiente.

- L'homme qui lui avait prêté le pognon a voulu être remboursé. Vu qu'elle n'avait plus l'argent, elle s'est retrouvée en danger.

- Comment ça?

- Soit elle remboursait le prêteur, soit il la tuait

Elsa, en entendant cela, paniqua et demanda affolée.

- Il l'a tué??

- Non, rassures toi, elle a trouvé l'argent, mais ce n'était peut-être pas de la meilleure façon.

- Elle a fait comment? demanda la jeune femme.

C'est le fils du patron qui reprit la parole. D'une voix qu'il essaya d'être grave, il dit

- Elle a décidé d'être vendue aux enchères.

- Comment ça?

- Eh bien, pour ne pas se faire tuer, elle a participé à une vente où c'était elle le lot.

La jeune femme ne pouvait pas en croire ses oreilles. Sa sœur n'avait pas pu faire ça. La vente des esclaves n'existait plus depuis des siècles.

- Et où est-elle maintenant?

- On ne sait pas. On connaît juste le nom de son acheteur ou tout du moins son surnom.

- Et???

- Il se fait appeler le collectionneur mais on ne sait rien sur lui. Il est sûrement très très riche et il ne vit pas dans le pays.

- Mais, qu'est-ce qu'il a fait à ma sœur.

Les deux hommes se regardèrent puis John dit :

- vu qu'il achète toujours les plus belles femmes lorsqu'il y en a aux enchères, on suppose qu'il possède un grand harem où toutes ces filles sont emprisonnées.

- Donc ma sœur serait vivante.

- Il y a de grandes chances car vu qu'il les paye très cher, ce ne serait pas logique qu'il les tue.

Elsa se sentit mieux. Même si sa sœur avait fait une grosse erreur en se faisant vendre, elle était toujours vivante et elle allait la libérer.

- Si on appelle la police, ils la retrouveront.

- Non, c'est impossible. Il ne vit pas dans le pays et on ne connaît pas sa vraie identité.

- alors comment on fait?

- on va y réfléchir. Pour l'instant retourne chez toi, on va trouver une idée. Moi par contre, je vais aller me coucher.

La jeune femme se rendit compte qu'elle n'avait pas non plus récupéré de sa nuit et qu'elle irait elle aussi dormir.

En roulant pour retourner chez elle, elle essaya de s'imaginer ce que sa sœur avait dû endurer et cela l'effraya tout en l'excitant. Elle se demandait comment avait dû se dérouler la vente, si elle était nue et si les gens avaient eu le droit de l'examiner de prêt.

Étrangement, la vision de cette vente la chamboulait plus qu'elle ne l'aurait cru et elle essaya de chasser ces pensées de son esprit. Lorsqu'elle arriva à l'appartement, elle découvrit de nouveau un mot sous la porte.

« Je suis inquiète, viens me voir dès que tu rentres. Stp, tu me manques. Fabienne. »

Elsa ne voulait pas faire de mal à son amie aussi décida-t-elle d'aller la voir. Elle inventerait bien quelque chose pour justifier pourquoi elle ne lui avait pas répondu la veille.

Lorsqu'elle frappa à la porte de sa voisine, ce fut tout de même avec un peu d'appréhension. Fabienne en la découvrant derrière la porte, lui sauta au cou et l'embrassa sur la bouche sans que la jeune femme ne puisse réagir. Dès qu'elle la relâcha au bout de presque une minute, ce fut pour la disputer.

- Mais où étais-tu? j'étais folle d'inquiétude!. Plus jamais tu me laisses comme ça.

- Désolée mais je devais parler à des gens et je suis rentrée hier soir très tard. Après j'ai pris un somnifère car j'avais besoin de dormir.

- Mais! tu as fait quoi?

Elsa hésita un instant puis finalement décida de lui dire la vérité.

- Angélique a été vendue aux enchères parce qu'elle devait une grosse somme d'argent.

Fabienne ouvrit de grands yeux.

- Si elle avait eu des problèmes d'argent, elle m'en aurait parlé

- Faut croire que non. Pour l'instant je n'en sais pas plus à par le pseudo de l'acheteur, c'est le collectionneur.

Fabienne, voyant que son amie n'avait pas l'air très bien, la regarda avec beaucoup de tendresses. Vu que l'heure approchait de midi elle lui demanda

- Tu veux manger avec moi?

- Avec plaisir ;

Les deux femmes se mirent à table peu de temps après et parlèrent d'Angélique durant tout le repas. Toutes les deux se demandaient comment elle avait pu se trouver dans cette galère et surtout comment faire pour l'en sortir.

Fabienne, fixant son amie, dit avec un peu d'anxiété dans la voix.

- Je vais demander que l'on me vende aux enchères. Je veux t'aider à la retrouver.

- Tu es folle, c'est trop dangereux.

- Mais c'est la seule solution.

Elsa réfléchit un instant avant de répliquer.

- Et si ton acheteur n'est pas le collectionneur?

- Tant pis pour moi, mais je veux essayer.

- Non, si quelqu'un doit le faire ça ne peut être que moi. Mais je ne pense pas que la vente aux enchères soit la solution. Il y a trop de risques pour que l'on soit achetée par la mauvaise personne.

- Alors que fait-on?

- On attend de voir ce que John et le fils du patron nous proposent.

La jeune femme, en voulant convaincre Fabienne que ce n'était pas une bonne idée, pensa que ce n'était peut-être pas une aussi mauvaise suggestion que ça. Elle ne voulait pas que son amie prenne ce risque mais elle se dit qu'elle pouvait tout de même en parler à John.

Après le repas, elle préféra ne pas rester avec son amie, voulant se reposer un peu. Elle ne se voyait pas faire une sieste avec Fabienne qui serait sûrement venue rechercher des câlins.

L'idée de la vente germait dans son esprit. Elle se disait que c'était peut-être la seule solution pour retrouver Angélique.

Mais comment faire pour que ce soit le collectionneur qui l'achète.?

Normalement il achetait toujours les plus belles femmes mais serait-il intéressé par son corps?

Même si elle avait été classée numéro 1 au club, elle ne serait peut-être pas du goût de l'homme. Finalement, elle ne se reposa pas vraiment durant sa sieste et n'arrêta pas à penser à l'idée de Fabienne.

Elle ne sut pas trop comment sa main était venue jusqu'à son sexe, excitée en s'imaginant nue et proposée a la vente. Elle se caressa en se voyant sur une estrade, des hommes assis autour en train de la jauger. Ils seraient là, à la regarder alors qu'un commissaire-priseur faisait monter les prix.

Elle ne serait plus qu'une marchandise et cela ne la choquait pas, bien au contraire.

Elle se traita de folle en constatant à quel point d'être mise en vente l'excitait. En fait, elle était pressée de savoir ce qu'en penseraient John et le fils du patron même si elle pensait qu'ils trouveraient ce plan sûrement très nul ou dangereux.

Vers 17h00, elle n'avait toujours pas pu se reposer mais restait allongée sur le lit en pensant toujours à leur discussion.

Elle s'était imaginée à ce qui pourrait se passer, si au lieu du collectionneur, c'était un homme la destinant à la prostitution en masse qui l'achetait.

Elle se voyait dans un endroit sordide, prise par des dizaines d'hommes qui se succéderaient entre ses cuisses. Elle serait devenue une pute des bas fonds et serait baisée de toutes les manières possibles.

Plus elle pensait à ce genre de chose et plus elle était excitée en se disant que ce n'était pas normal. Si elle franchissait le pas, ce serait pour retrouver sa sœur et non pour assouvir des pulsions plus que malsaines.

Voyant que de toute façon elle ne réussirait pas à se reposer, elle prit une longue douche pour se calmer. Vu qu'il l'avait déjà appelée, elle retrouva facilement le numéro de John et décida de lui passer un coup de téléphone.

- Allo, Comment vas-tu, fit la voix grave de l'homme

- Je vais plus ou moins bien. Je voulais savoir à quelle heure tu allais au club car j'ai une idée à te soumettre.

- Sur?

- Sur la façon pour retrouver ma sœur.

Il y eut un assez long silence au point qu'Elsa crut qu'il avait raccroché lorsqu'il dit

- Je peux y aller maintenant.

- Dans ce cas je m'habille vite et j'arrive.

- Prends ton temps, je préviens le fils du patron pour qu'il vienne aussi.

- Merci

Elsa était à la fois apeurée et excitée de leur exposer son plan. Si le collectionneur s'intéressait aux jolies femmes, il y avait des chances à ce qu'il fasse une offre si elle était vendue aux enchères. Mais voudront-ils l'aider car sans eux elle ne savait pas du tout comment faire.

Même s'ils ne lui en avaient jamais parlé, elle avait l'intuition que les deux hommes sauraient comment procéder.

Elle arriva à l'établissement vers 18h00. Elle ne fut pas étonnée de constater que la porte métallique était ouverte. Ils devaient l'attendre et c'est un peu inquiète qu'elle frappa à la porte du bureau.

Comme elle s'en doutait, les deux hommes étaient là. John avait meilleure mine que le matin et elle le trouva vraiment très attirant.

- Assieds-toi, lui demanda le patron. Tu as dit à John que tu avais une idée?

- Heuu, oui monsieur. La seule façon de savoir où se trouve le collectionneur, c'est de refaire une vente aux enchères.

- Pardon?

- Heu oui.... Je me disais que si j'étais vendue aux enchères, je pourrais retrouver ma sœur et l'aider à s'enfuir.

Les deux hommes ne répondirent pas tout de suite. Elsa ne pouvait pas lire dans leur tête mais si ça avait été le cas, elle aurait pu constater à quel point ils étaient satisfaits. Ils n'avaient même pas été obligés de lui souffler l'idée.

Paraissant inquiet, John dit

- Non, c'est trop risqué et en plus tu risquerais d'être achetée par quelqu'un d'autre. Mais je trouve que l'idée était plutôt bonne et il y aurait peut-être quelque chose à creuser.

Elsa qui pensait que les hommes allaient dire un non catégorique fut agréablement surprise en constatant qu'ils adhéraient plus ou moins à son idée.

Après quelques minutes d'un silence pesant, ce fut au tour du fils du patron d'intervenir.

- j'ai peut-être la solution au problème. Le collectionneur venait autrefois au club et on doit peut-être encore avoir son adresse mail.

Il se mit à taper sur le clavier de son ordinateur, cherchant assez longuement sous le regard inquiet d'Elsa. Elle ne savait pas trop ou il voulait en venir mais il avait l'air d'avoir peut-être une idée et c'était ce qui importait.

- Euréka! j'ai trouvé, dit-il avec un grand sourire. Si l'adresse mail est toujours valide, on peut tenter quelque chose.

- Quoi? demanda John qui connaissait déjà la réponse.

- Plutôt que de faire une vente aux enchères aléatoire, pourquoi ne pas proposer Elsa directement au collectionneur. Avec quelques jolies photos et un prix attractif, je pense qu'il pourrait être intéressé.

La jeune femme commençait à comprendre et trouva l'idée géniale. Si ça marchait, elle était sûre de retrouver sa sœur.

- Et lorsque l'homme où ceux qu'il aura mandatés viendront te chercher, on n'aura qu'à les suivre.

- C'est génial s'écria la fille, on peut faire ça quand.

- On peut le faire rapidement mais si on se lance dans l'aventure, tu devras rester enfermé au club. Je ne sais pas si le collectionneur n'a pas des espions chez nous et je ne voudrais pas qu'il te voie en train de te balader.

- Oui, je comprends, ça ne me pose pas de problème.

Les deux hommes se regardèrent en souriant. Leur plan avait marché bien mieux que prévu.

- suis-moi lui ordonna John. On va te préparer pour te mettre en vente.

Elsa fut surprise par le changement de ton de l'homme. Il n'y avait plus aucune chaleur dans sa voix et il était même assez directif dans sa façon de parler. Elle s'étonna que ça se fasse si vite ne pensant pas qu'ils allaient faire les photos dans la foulée. Pourtant, docile, elle se leva et suivit le noir sans un mot.

Le fils du patron était aux anges et se demandait à combien il allait pouvoir mettre en vente cette petite idiote. Elle avait un corps parfait et il savait que le collectionneur n'hésiterait pas un instant pour l'acheter. De plus, le fait qu'elle soit considérée comme volontaire la classait automatiquement dans la catégorie des femmes dressées et elles valaient toujours plus chères.

Elsa suivi l'homme en se demandant où il la menait lorsqu'ils traversèrent la grande salle en se dirigeant vers une porte qu'elle n'avait jamais remarquée. Elle fut surprise en se rendant compte que c'était une ouverture derrière laquelle se trouvaient des escaliers qui descendaient sous l'établissement. Pas une seconde elle ne se serait doutée qu'il pouvait y avoir un sous-sol sous le club.

Elle se sentait de plus en plus inquiète même si elle était à l'origine de ce qui se passait. En bas des escaliers, John éclaira une salle assez vaste et complètement vide de meubles mais sur laquelle plusieurs pièces fermées donnaient.