Educatrices Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

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Un torrent de sperme jaillit soudain dans son ventre, l'immonde fût tres-sautait dans son étui moulant, le plaisir fulgura dans ses reins, ses râles se confondant aux grognements de plaisir de Michel, inerte elle s'effon-dra pantelante sur le torse de son amant.

Dans son ventre l'épaisse bite ne faiblissait pas transmettant ses der-niers spasmes aux muqueuses hyper-sensibilisées, longtemps ils se tinrent enlacés sans bouger lui toujours emmanché en elle, cherchant à reprendre leur souffle .

Se dressant sur ses mollets elle se releva difficilement, le bruit de suc-cion reprit terminé par un plop sonore lorsque l'énorme bonde quitta son ventre meurtri.

Des flots de sperme débordèrent de sa chatte lui poissant les cuisses et la motte, elle s'écroula vidée, se lova contre le flanc de son suborneur et s'assoupit.

Ce spectacle d'une rare intensité avait tant échauffé les spectateurs qu'ils se ruèrent sur les femelles disponibles.

Stephan embrocha d'un coup roide Odette, la fausse blonde, il la poi-gnarda jusqu'à la matrice.

Roland s'emparant de la bouche de Françoise lui enfonçait sa tige jus-qu'à la luette.

Rachid empoignant Sylvie lui faisait absorber la totalité de sa queue , s'aboutant au fond de sa matrice avant de pousser une tête curieuse par delà le col.

Miloud lui s'était accaparé la chatte convoitée depuis presque six mois, mais sa queue se perdait dans la moule distendue de Claudine si sou-vent ramonée par Michel, qu'elle ne serrait plus les queues des baiseurs normalement constitués, seul Michel pouvait encore ressentir une cer-taine pression quand il plongeait dans ce gouffre.

La retournant sur le ventre, il lui empoigna les deux fesses , les écartant rudement avant de poignarder sa corolle de son rostre tendu, Michel l'enculant rarement compte rendu de la difficulté de la chose, la rondelle plus élastique absorba son chibre jusqu'à la racine, l'étranglant dans son

étroit chenal.

L'excitation était telle que dans les cinq minutes qui suivirent, tous les mâles avaient vidé leurs couilles dans les ventres, les bouches, les culs avides de semence.

Tous à l'exception de Rachid qui maintenait Sylvie épinglé sur sa tige comme un papillon sur son présentoir.

D'un coup les cris de Sylvie se firent frénétiques, ses pleurs éveillèrent l'attention des autres couples, qui somnolaient épuisés de jouissance, rampant sur le ventre ils s'assemblèrent autour du couple fornicateur.

Rachid avait entrepris de la sodomiser, si au début tout s'était bien pas-sé, la queue copieusement enduite de cyprine avait facilement perforé son oeillet, et avait progressé d'une vingtaine de centimètres sans coup férir dans ses entrailles, maintenant la tâche était beaucoup plus ardue, ce ne serait pas du gâteau d'admettre le tiers restant.

Raidi sur ses jambes, Rachid forçait comme un damné pour enfoncer encore sa longue bielle dans les entrailles frémissantes.

Les petits cris de Sylvie s'étaient mués en hurlements de douleur, son intestin semblait lui remonter dans la gorge, la pression était atroce, elle n'était plus qu'un bloc de douleur crispée, tétanisée dans un ultime refus, et pourtant le long cylindre progressait encore, s'enfonçant inexorable-ment dans son fourreau abominablement distendu.

Enfin avec soulagement, elle sentit les poils frisés de ses bourses lui chatouiller les fesses, l'épreuve était terminée, pensait elle optimiste, ce en quoi elle avait tort car Rachid s'il s'était retiré avec douceur de son boyau martyrisé s'y renfonçait d'un coup de boutoir d'une violence inouïe.

Le cul véritablement éclaté, Sylvie ne retira aucun plaisir de ces abomi-nables va-et-vient dans son rectum maintenant anesthésié, telle une poupée de son, elle se laissait embrocher, n'aspirant plus qu'au jet de foutre qui marquerait la fin de son supplice.

Mais les choses n'en restèrent pas là, conscient qu'après le passage de son copain, il devrait parvenir à enculer la belle pouliche, Michel qui ne pouvait le faire que très rarement, vu la taille de son abomination, s'ap-procha du couple et frappant l'épaule de Rachid lui fit signe de lui laisser la place.

Celui ci comprit illico le message, déculant de la belle, il roula sur le dos, la reprit par la taille et lui imposa à nouveau sa bite dans son fourreau naturel.

La satisfaction de Sylvie dura peu, l'énormité de la masse qui vint peser sur sa pastille la renseigna immédiatement sur l'identité de son nouvel agresseur.

Folle de peur, elle rua dans tous les sens, échappant à l'étreinte de Mi-chel, mais pas à la queue de Rachid qui lui restait fichée profondément dans le ventre.

Tout à fait réveillés, Miloud et consort se précipitèrent pour seconder Mi-chel et l'aider à mener à bien son abominable projet.

Maintenue enclouée sur la queue de Rachid, Miloud et Stephan lui écar-tant les jambes de force, Roland lui ouvrant largement les fesses, Michel sous le regard captivé des spectateurs entreprit de guider son énorme pieux sur sa cible au centre des fronces brunes, il pressa fortement la rondelle pour mieux en éprouver la résistance, puis d'un formidable coup de son estoc il lui pourfendit la pastille.

Seul le gland était passé, l'anneau ridelé se déformait atrocement for-mant un bourrelet qui épousait la racine du gros champignon, la peau dilatée du sphincter semblait étrangler la tête de l'ignoble envahisseur.

Sous le coup d'estoc, les yeux de Sylvie s'étaient révulsés, des flots de sueur coulaient de son front à son nombril, il lui semblait qu'on lui dé-coupait la rondelle au rasoir elle se mit à forcer, ou plutôt son ventre se mit à forcer, contre elle mˆme en quelque sorte, en tout cas contre sa vo-lonté pour que s'élargisse encore l'orifice et que l'intrusion, qui était iné-luctable en fut facilitée.

Son anus la trahissait et collaborait à sa propre invasion.

Le sphincter céda soudain sous la pression monstrueuse.

D'un coup puissant et implacable Michel s'installa en elle, dans ses intes-tins chauds et palpitants, de toute sa grosseur.

Elle était pleine à éclater de la monstrueuse cheville plantée dans ses reins, c'était tout à fait intolérable.

Elle avait l'impression que son boyau avait du se déplier pour l'accueillir, lui faire place, s'adapter à ses mesures.

Michel sortit d'elle presque en entier, puis revint, forçant s'installant, fai-sant sa place, son trou, la douleur était montée si haut en elle, que ses plantes de pieds étaient crispées par d'affreuses crampes.

Sylvie haletait maintenant, les deux jeunes hommes commencèrent à remuer lentement en elle cherchant à coordonner leurs mouvements.

Elle finit par s'accorder au rythme alterné des deux queues qui lui tarau-daient le sexe et le cul, la limant en cadence.

Elle vibra d'abord imperceptiblement, puis de façon plus nette, comme si elle consentait à ce coït.

Oubliant la douleur sourde qui subsistait encore en elle, elle perdit toute retenue, se cabrant, projetant violemment son cul en arrière, les deux gars se déchaînèrent, leurs rythmes se désunirent, d'un seul coup ils se plantèrent tous deux jusqu'à la garde.

Rachid débordant largement le col, Michel s'enfonçant encore plus qu'il n'était encore allé , ils jouirent simultanément, Michel lui éclaboussant les parois du rectum, tandis que Rachid déchargeait à longues giclées dans le fin fond de son vagin l'entraînant dans une cascade d'orgasmes en chaîne.

Le ventre secoué de vibrations intenses, Sylvie ne parvenait pas à reve-nir sur terre, encore emmanchée sur les deux queues qui lui transmet-taient leurs derniers soubresauts, elle n'en finissait plus de jouir.

Quand enfin elle se calma, Michel décula lui arrachant encore un gémis-sement, la prenant à la taille, Rachid extraya sa bite du vagin vorace, et la laissa rouler à terre, elle resta longtemps pantelante, haletante avant que de pouvoir reprendre ses esprits, honteuse de ce plaisir bestial qu'ils

lui avaient tous vu prendre.

Quelques heures, quelques sodomies, quelques enconnages, quelques pipes plus tard sonna enfin l'heure de se séparer.

C'est épuisée qu'elles s'étendirent au coté de leurs seigneurs et maîtres, sombrant immédiatement dans un profond sommeil réparateur.

Ainsi fêtes et journées de routine se succédaient, ses dames se met-taient maintenant sans rechigner à servir aussi bien aux copains qu'à eux même, convaincues qu'elles étaient de devoir tout leur accorder pour conserver le plus longtemps possible le plaisir qu'ils savaient si bien leur dispenser.

Coulybaca

Janvier 2008-01-03

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