Valérie Ou La Petite Fiole Noire 03

A force de coups de boutoir, de va et viens doux ou violents, il lui rode le fion.

- Ti sens la merde, il va falloir que tu sois plus propre...

Cette phrase la déchira encore plus. Humiliation suprême.

Il la libère enfin et elle s'écroule en pleurs sur le lit matrimonial. Elle vient de se faire enculée par son amant sur le lit conjugal.

Il la regarde indifférent aux pleurs silencieux, aux soubresauts et gémissements. Elle n'a plus rien de la bourgeoise admirée et crainte. Il lui claqua les fesses.

- Vas ti laver...

Elle n'arrive pas à se lever. Il la traine sous la douche. L'asperge d'eau brulante, puis glacée. Elle subit inerte. Il lui ouvre les fesses pour diriger le jet sur la rosace abimée. Elle ne saigne pas. Elle sursaute.

- J'ai mal.

Voix pâteuse. Regard vague

- Ti va vite prendre l'habitude.

Elle a du mal à tenir debout pour se sécher et il doit l'aider. Il a un regain de fierté en la serrant contre lui. Ce corps chaud et magnifique est à lui. Entièrement à lui. Il la frotte énergiquement avec une serviette de bain épaisse. Lui aussi a envie d'une douche. Mais il sait qu'avant il doit bien l'asservir.

- A genoux...

Elle lui obéit.

Le téléphone se remit à filmer...

- Nettoie ma queue salope..

Elle hésita à peine. Elle leva la tête vers lui. Son visage était encore couvert de traces de pleurs et de larges traces noires de maquillage. Il a fait exprès de ne pas nettoyer son sexe toujours bandé.

- Ti as sali mon zob... Alors tu nettoies salope... Ouvre ta bouche...

Il lui enfourna sa bitte maculée de diverses sécrétions dans la bouche et elle se met docilement à le sucer. Il ressentit un immense sentiment de fierté. La première étape est un succès. Mais rien n'est encore gagné.

- Tu es à moi, à mes ordres. Tu obéis sans rien dire sinon....

Assise au sol elle baisse la tête.

Elle n'a aucun mouvement de révolte.

- Lève-toi... Penche-toi contre le mur...

Elle a du mal à tenir debout. La tête lui tourne.

Habib dévisse le pommeau de la douche. Il bloque la femme et pousse le tuyau entre les fesses pour faire pénétrer l'embout dans l'anus.

- Tu dois toujours avoir le cul propre

Il ouvre l'eau qui remplit doucement l'anus de la femme. Elle se trémousse mais il ne la lâche pas. Puis quand il estime qu'elle atteint la limite il recule rapidement pour la laisser seule sous la douche. Il arrive à la filmer en train de se vider à grands jets expulsés de ses fesses et déféquer sur elle.

- T'as pas honte de te chier dessus...

Il recommence plusieurs fois la même opération jusqu'à ce que l'eau qu'elle évacue soit claire.

- Tu dois toujours être propre de derrière. T'i a compris.

Elle hoche misérablement la tête.

Toute la soirée, il va durement la baiser, la casser, l'humilier.

Et tout préparer pour la suite.

Et tous les soirs pendant quinze jours, elle va subir et obéir.

Toutes ses défenses sont brisées. Toute fierté abandonnée devant lui.

Tous ses trous visités et assouplis quotidiennement.

Quand il est avec elle, elle a en permanence la tête baissée.

Habib vit presque en permanence chez elle. C'est son maitre. Elle accepte. On s'habitue à tout. Malgré ce qu'il lui fait endurer, à chaque fois qu'il la pénètre elle jouit. C'est plus fort quelle. Elle adore le sucer. Elle ne laisse pas échapper une goutte de sa semence. Lui lécher l'anus et les pieds est devenu courant. C'est son signe de soumission. De temps en temps il lui donne une petite fiole noire à boire.

Quand il lui présente ses fesses, elle sait parfaitement quoi faire. Ecarter les fesses musclées, dévoiler la pastille brune et la lécher sans relâche.

Habib alèse tous les soirs le cul de Valérie. Quand elle rentre du bureau et se fait ses lavements avant d'aller sous la douche et se maquiller de plus en plus pute.

Elle est formée. Elle arrive à gérer une triple vie. Bureau, famille, amant.

Au bureau les gens la trouve plus dure et distante. Mais les résultats sont là.

Le dossier de la prise de contrôle du groupe Aldjoubani grossit de plus en plus.

Habib a exigé un jeu de clefs de chez elle. Et il a un nouveau moyen de la contrôler psychologiquement. Il lui a acheté un rosebud. Sans culotte et équipée de la sorte, impossible pour elle d'oublier son statut réel. Il exige qu'elle le porte en permanence, même au bureau. Elle a eu du mal à s'habituer. Marcher allait encore, mais se pencher ou s'assoir est bien plus difficile. Elle a toujours peur de le perdre devant tout le monde. C'est sa hantise. Mais il est bien accroché et au bout de quelques jours, elle peut reprendre une vie presque normale.

Son mari ne se doute de rien les enfants sont heureux tout va bien pour eux et à son travail.

Personne ne se doute de l'emprise du jeune homme sur un des membres du Comex.

Son mari et les enfants repartent pour quinze jours.

Habib lui a ordonné de prendre des vacances entre le premier mai et le huit mai sans prévenir sa famille qui de toute façon ne seront pas avec elle.

Elle prend comme justificatif un repos avant la grande opération.

C'est le même jour qu'elle reçoit la convocation au sexe chop.

A son retour du sexshop elle se lave longtemps. Elle se sent sale, humiliée, rabaissée.

Elle mange à peine, elle est fatiguée. Démoralisée. Impuissante à sortir de ce tourbillon.

Elle se couche.

Elle entend pas les clefs et sursaute quand une silhouette se découpe dans la pénombre.

- En position!

Elle ne comprend pas ce qu'il veut.

- T'es qu'une chienne alors fait la chienne.

Elle se met en levrette. Il lui retrousse la chemise de nuit. Et il commence un pilonnage des trous offerts. Il va de plus en plus vite de plus en plus fort. Elle crie quand il défonce sans anus. Mais elle mouille. C'est plus fort qu'elle. Elle sent les papillons de l'excitation. Et malgré la situation, son nouveau statut, elle jouit comme jamais. Il se répand dans son cul.

- Suis moi

Dans les chiottes il lui ordonne de s'assoir sur le sol entre la cuvette et le mur. Elle le voit tenir son sexe lourd et luisant de ses sécrétions féminines. Le filet de pisse sort dru et s'écrase dans la cuvette. Il se tourne légèrement vers elle. Il lui pisse dessus

Elle veut éviter la douche dorée.

- Ti bouges pas et tu lèves la tête.

Il l'arrose longuement.

- Lèche. Nettoie.

Elle obéit ruisselante de pisse.

- Tu restes ici cette nuit.

Il éteint la lumière et ferme la porte.

Elle capitule en sanglot la tête sur ses genoux.

Jusqu'au dimanche soir il va la casser psychologiquement.

Elle reste à jeun tout le week-end, se contentant de sperme et de pisse. Pas de douche.

Quand il la baise elle jouit. Son corps humilié va au-devant des coups de bittes. C'est son seul plaisir de la journée. Et il la baise souvent.

Il part dimanche en début d'après-midi.

Elle est sans aucune force. Sans aucune pensée.