Une Prof Très Particulière

Il n'est pas toujours évident de rester concentrée à ce que je fais car Maëlle me lèche avec tant d'habileté que je suis à deux doigts de jouir. Les bruits bizarres que produisent nos lèvres par moment, prouvent bien que nous nous donnons pleinement à ce partage du plaisir.

Comme si le fait de lui stimuler le clitoris allait me faire jouir plus vite, j'accélère et intensifie chacune de mes caresses. Quand je sens ses doigts me pénétrer, je glisse deux doigts dans son vagin ruisselant. Un petit cri tente de s'échapper de la gorge de Maëlle, mais il vient mourir à l'entrée de sa bouche qui épouse les contours de mon clito. Je la doigte alors de plus en plus vite, de plus en plus intensément. Tout comme je me le fais quand je me masturbe, toute seule dans mon lit, les soirs d'envie.

Je sens arriver le moment magique où mon corps va libérer tout le plaisir qui s'accumule depuis que nous avons commencé à nous caresser les seins dans la piscine. Mon orgasme est bien plus intense que tout ce que j'ai pu connaître avant cet après midi. Mon corps tout entier est parcouru par cette vague de plaisir. Mes muscles se tendent le temps d'un instant, mon dos s'arque. Maëlle est elle aussi emportée par son propre plaisir. De sa position à quatre pattes, elle bascule sur le dos à côté de moi.

Nos souffles sont les seuls bruits qui brisent le silence de la chambre. Mais dès que je me sens de nouveau vaillante, c'est à dire quelques secondes après seulement, je ne peux me retenir de venir glisser ma main entre ses jambes. Elle ne se gêne pas pour en faire autant. Nous finissons par nous retrouver de nouveau dans la position du 69, mais chacune sur un côté. Je trouve cela moins confortable que précédemment. Je cherche donc à nous faire basculer, pour que l'une soit dessus et l'autre en dessous. Mais Maëlle résiste. Comprenant que je n'aurai pas gain de cause, je me plie à sa volonté.

Sa bouche n'a pas perdu de temps pour me refaire mouiller comme une folle. Je me hâte donc de lui retourner la faveur, introduisant encore deux doigts dans son vagin en espérant qu'elle comprenne que c'est ce que j'attends d'elle également.

À partir de ce moment, je ne me restreins pas à reproduire ce qu'elle me fait. Je prend mes propres initiatives. Je m'amuse tout en prenant du plaisir.

Lorsque je sens ses mains m'écarter les fesses, je ne prête pas plus d'attention à cela. Ma partenaire, qui au même moment glisse l'extrémité de sa langue dans mon vagin, me donne tellement de plaisir que mon esprit est détourné de ce qui se prépare. Mais quand sa langue quitte mon sexe pour venir effleurer l'anneau plissé de mon cul, je pousse un « Ah » de surprise. Mais ce contact me fait frissonner et instinctivement, encore une fois, mes hanches basculent vers l'avant pour aller à la recherche de ce contact. Le bout de sa langue dessine alors un cercle autour de mon anus avant d'effectuer une poussée plus importante dessus. Accompagnant cela de quelques caresses avec ses doigts sur mon clitoris en fusion, ce qui me semblait jusqu'ici si tabou et interdit, se transforme en délicieuse expérience. Je ne peux retenir un second orgasme tout aussi intense que le premier. Une vibration partant de mon sexe et se répandant à travers mes entrailles.

Je n'ai pas remarqué tout de suite que j'avais stoppé mes caresses sur la chatte de Maëlle. Mais je me reprend ma douce activité tout en changeant de position. Cette fois, elle se laisse faire, et me laisse me placer comme je l'entends.

Je me retrouve alors avec le visage tout près de la raie de ses fesses. De si jolies fesses, douces et fermes sans être trop dures. À mon tour je les écarte et j'approche ma bouche. L'idée m'inquiète un peu tout de même. Mais je peux le faire. Je veux le faire.

Le premier instant me surprend car ce qui m'aurait paru sale et dégoûtant a le goût de sa peau et le parfum de sa cyprine qui a coulé en abondance de sa fente et qui s'est déversée entre ses fesses. Là encore, je me contente de reproduire tout ce qu'elle m'a fait quelques minutes auparavant. Le léger effleurement du bout de la langue, les cercles, la poussée sans oublier la stimulation de son clitoris avec l'index et le majeur de ma main droite. Est ce que je suis plus maladroite, ou bien est-ce l'habitude de ce genre de plaisir? Maëlle met un peu plus de temps que je ne l'ai mis à jouir encore. Mais cela me ravit car je peux profiter d'elle plus longtemps.

Nous finissons affalées sur le lit, nous embrassant encore un peu. Devant mes yeux rougis, Maëlle, ma prof de maths me demande ce qui ne va pas. Cependant je la rassure en lui disant que tout va bien. Tout va incroyablement bien...