Une Prof Très Particulière

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Quand une prof de math donne des leçons très particulières.
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En cette année de 1ère S, dire que les maths sont mon point fort serait un mensonge certain. Pourtant, dans une section où cette matière a tellement d'importance, je ne dois pas me louper si je veux ne pas être décrochée et pouvoir passer en Terminal sereinement en fin d'année.

Conscients de mes difficultés, mes parents ont décidé dans un premier temps de recourir aux services d'un prof particulier, encouragés dans leur démarche par ma prof du lycée. Mais ils ont vite renoncé. Notre famille, sans être pauvre, n'a pas vraiment les moyens de me payer 4 heures de cours privés par semaines. J'ai donc du continuer seule ou en cours de soutien. Soir et week-end, mes devoirs terminés, je m'oblige à faire et refaire des séries d'exercices. Je ne compte plus mes heures devant mes leçons.

Les jours de contrôle, je suis stressée. Mais les jours de remise des notes, je suis en état de panique totale. Et quand, comme c'est le cas ce jour là, je reçois une mauvaise note, je dois serrer les dents pour ne pas pleurer devant la classe et rester digne. Bien sur le découragement est souvent là, la sensation de m'être trompée d'orientation me taraude l'esprit. Encore plus à cet instant où un pauvre 8 vient sanctionner des heures et des heures de révisions. Une seule larme glisse sur ma joue, échappant à ma volonté. Mais c'est une larme de trop. Madame Laqueur, ma professeur de maths a eu le temps de la voir.

À la fin du cours, alors que je sors en même temps que mes camarades, elle me demande de rester un instant. Elle attend que nous soyons seules pour me parler.

« Justine, je sais très bien que vous vous donnez beaucoup de mal pour réussir. Je le vois dans vos copies, je vois que vous avez largement les bases et les possibilités pour réussir. Mais que se passe-t-il? Vos parents m'avaient demandé si ils pouvaient avoir recours à un autre collègue en dehors des heures de classes. Cela ne fonctionne-t-il pas avec cette personne? »

« Mes parents ont du renoncer car ça aurait été trop cher pour nous. »

« Comme c'est embêtant, vous êtes certainement l'une de mes élèves les plus travailleuses... Et ça me chagrine vraiment de vous voir vous heurter à toutes ces difficultés. »

Mme Laqueur marque un temps de réflexion, se plongeant intérieurement dans une intense réflexion, puis elle me dit :

« Je vais vous proposer quelque chose. Normalement ce n'est pas spécialement autorisé par le règlement, mais si nous gardons cela pour nous, il ne devrait pas y avoir de problème particulier. Je vais appeler vos parents pour leur soumettre l'idée suivante : je vais vous donner ces cours dont vous avez besoin. »

« Mais Madame, je vous l'ai dit, mes parents n'ont pas les moyens... »

« Qui vous parle d'argent?! Je veux vous aider, pas gagner de l'argent. Mais je vous le redis, je n'ai pas le droit de vous donner des leçons en dehors du lycée, nous devrons être discrètes et faire cela chez moi. Je crois savoir que quelques uns de vos camarades vivent non loin de chez vous, et une présence répétée de ma part à votre domicile susciterait des questions et ferait naître la suspicion. Nous ferons donc cela chez moi. Cela vous conviendrez? »

Étonnée par cette offre inespérée, j'accepte d'un mouvement de tête tout en lui adressant un grand sourire, ne sachant comment lui exprimer ma gratitude.

Bien évidemment mes parents ont accepté cette aubaine tombée du ciel avec enthousiasme et soulagement. Et le premier cours est fixé au vendredi suivant à 18h précise.

Mme Laqueur, vit dans un petit pavillon, dans une banlieue paisible de ma ville. Facilement desservie par une ligne de bus, je n'ai pas de mal à trouver la maison. Ma prof m'accueille amicalement et me conduit dans sa salle à manger. Sans être une professeur très sévère et peu aimable, elle garde toujours une certaine distance et l'autorité nécessaire pour maîtriser une classe de 37 élèves. Cela implique logiquement peu de familiarité pendant les heures de classe. C'est pour cette raison que son ton plus doux et son visage plus souriant me font un drôle d'effet. Bien que nous parlons mathématiques, et qu'elle m'explique les mêmes choses qu'en cours, je me rends compte que je ne vois plus une prof mais une femme.

Elle doit avoir dans les 30 ou 35 ans, elle est aussi grande que moi, donc environ 1m70. Elle a quelques petites rondeurs discrètes qui lui vont bien. D'ailleurs moi même, je serais une menteuse si j'affirmais avoir un corps de rêve. Après tout nous avons toutes nos imperfections. Ses cheveux bruns, toujours coiffés en queue de cheval au lycée, lui arrivent au milieu du dos quand elle les laisse libre comme c'est le cas à cet instant. Ses yeux sont d'un vert clair délicat. Et sa voix, assez sèche dans l'exercice de son métier, est à présent plus douce. Et son rire est agréable. C'est étrange comme sortis des quatre murs de leur classe, les profs peuvent paraître humains et sympathiques.

Cette première heure d'aide passe à la vitesse de l'éclair. Il me semble avoir compris quelques subtilités qui m'avaient échappées. Nous fixons le rythme de nos rendez vous de travail à une heure les mardi et jeudi soir et deux heures le samedi.

« Merci beaucoup pour votre aide Madame, je vais y aller car votre mari ne va sûrement pas tarder à rentrer, et moi j'ai un bus dans peu de temps. »

« Ne t'inquiète pas pour ça, je vis seule. Rentre bien, et à lundi au lycée. Retravaille un peu ce que l'on a vu toutes les deux ce week-end, mais n'y passe pas trop de temps non plus, car tu ne dois pas oublier de vivre pour autant. »

Dès ce jour précis, les cours et les semaines se sont enchaînés. Mes progrès sont devenus flagrants, mes notes ont grimpé. Et je peux vous assurer que cela se fait sans aucun traitement de faveur. J'ai fini par comprendre que beaucoup de mes problèmes venaient de mon stress et de ma manie de toujours tout vouloir comprendre trop rapidement.

À la fin des cours privés, Madame Laqueur et moi avons pris l'habitude de parler un peu toutes les deux. Au début on parlait des cours, du lycée, de mes camarades. Puis nous nous sommes mises à parler de tout et de rien. De nos passions, nos souvenirs. J'en apprenais autant sur elle qu'elle en apprenait sur moi. En quelques semaines nous n'avons plus eu une relation de prof à élève, mais une relation que je pourrai qualifier d'amicale.

Parfois le samedi midi, nous déjeunons ensemble. Si je continue de lui dire vous dans nos conversations, elle m'a demandé de l'appeler par son prénom en dehors des cours. Madame Laqueur est donc devenue pour moi Maëlle. Je me suis mise à attendre nos conversations avec impatience, car je me sens libre de tout lui dire.

Parfois nos conversations obliquent vers les garçons, la vie amoureuse. Étrangement, avec elle, je me sens libre d'aborder des sujets plus intimes avec elle. Des choses que je n'aurais pas le courage de dire à ma mère. Je vais même jusqu'à lui confier quelques petites choses sur ma sexualité. Enfin si on peut appeler ça une sexualité.

L'été précédent, je suis sortie avec un garçon durant les vacances. Un garçon gentil et doux a qui j'ai offert ma virginité. Bien sur, je savais qu'il ne serait jamais l'homme de ma vie, mais un soir je me suis dit que je ne trouverai jamais un garçon aussi gentil que lui, alors je lui ai fait ce cadeau. Nous nous sommes séparés à la rentrée, puis j'ai commencé une relation avec Thibault, un garçon de ma classe. Pas vraiment le grand amour, mais il me fait rire et partage avec moi la passion des livres d'heroïc fantasy. Avec lui, je ne vais pas très loin pour ce qui est du sexe. Mais quelque chose en lui me bloque... Mais j'y reviendrai peut-être plus tard.

Les mois ont donc passé. Le printemps est arrivé, nous offrant pas mal de jours chauds. Le soir, nous avons pris l'habitude de travailler dans le jardin de Maëlle. Dès la première fois où j'y ai mis les pieds, j'ai remarqué la piscine qui s'y trouve. Je dois être si peu discrète que ma prof et nouvelle amie me dit un soir.

« Samedi prochain, ils annoncent du beau temps et des températures élevées, viens déjeuner avec moi et emmène ton maillot, je pense que l'eau sera enfin assez chaude. »

Inutile de vous préciser que le samedi en question mon maillot est bien présent dans mon sac. Nous déjeunons dans le jardin, puis Maëlle me fait travailler. Bien que concentrée sur mon travail, je suis impatiente de pouvoir plonger dans la piscine. Je suis donc particulièrement ravie de voir la fin des deux heures de révisions arrivée. Maëlle me propose de me changer dans la salle de bain pendant qu'elle file dans sa chambre pour enfiler son maillot de bain.

Si mon maillot deux pièces est particulièrement sage (un shorty pour le bas et un soutien-gorge couvrant au maximum mon 85C car ma mère n'accepterait jamais de m'acheter quelque chose de plus léger), ma prof revient avec un bikini blanc, sexy sans être osé.

Après avoir profité de la sensation de bien être de l'eau, nous restons dans la piscine pour papoter en prenant appuis contre l'une des parois au carrelage bleu ciel et blanc.

Un peu plus curieuse que lors de nos précédentes conversations, je lui fais remarquer que mignonne comme elle est, je trouve étrange qu'elle soit seule, et que depuis des mois que nous nous voyons les samedis, jamais elle n'a reporté une séance en raison d'un rendez vous, ou quelque chose de ce genre. Cela lui provoque un joli rire sincère, puis elle me dit :

« Comme tu es curieuse ma petite Justine. Si tu veux savoir, j'ai vécu avec un homme mais notre relation s'est terminé en octobre dernier. J'ai bien eu un ou deux rendez vous depuis, mais rien de très intéressant pour que l'on en tienne compte. »

« Oh... Je suis désolée... »

« Tu n'as pas à l'être car c'est moi qui ai rompu. Ce mec était plutôt doué au lit, mais c'est là sa seule qualité. Nous ne partagions plus rien, il ne s'intéressait pas vraiment à moi, alors c'était mieux de mettre un terme à cette relation. »

« C'est déjà bien un bon amant. »

« Oui -- répond elle en rougissant -- mais construire une relation amoureuse uniquement sur ça, ce n'est pas véritablement ce que je recherche. Et toi avec Thibault? »

« Oh nous... Je sais qu'il n'attend que ça, mais je suis certaine que jamais je ne lui donnerai ce qu'il veut. Quand il commence à être entreprenant, il devient brusque et ses mains sont plus maladroites qu'agréables »

Puis me sentant libre de tout dire, j'ajoute :

« La dernière fois où ses doigts sont venus sur mon sexe, il a galéré à trouver mon clitoris, et quand enfin il y est arrivé, il m'a plus fait mal que plaisir. Je ne crois pas que nous resterons longtemps ensemble tous les deux. »

Dans un petit rire, elle me dit que les hommes sont parfois comme ça.

« Avec les femmes, je n'ai jamais connu ce genre de mésaventures... »

Quoi? Maëlle? Avec des femmes!!!

Passé l'instant de surprise, je la remercie de me confier son secret. Elle m'explique alors que depuis l'âge de 22 ans, elle passe des hommes aux femmes et inversement. Puis elle me raconte qu'avec les femmes avec qui elle a fait l'amour, tout était plus doux, plus dans le partage, tout en prenant son temps. Alors que ses amants cherchaient principalement la performance et à prendre leur pied avant tout.

Lorsque je l'interroge sur sa première expérience avec une fille, elle me confie que c'était à la fac avec une de ses amies de l'époque. Depuis, bien que sa vie la conduise vers des hommes, elle revient toujours régulièrement vers les femmes.

Ma bouche devient sèche, et j'ai comme des papillons dans l'estomac. Je m'excuse de lui paraitre aussi curieuse et indiscrète, tout en lui avouant qu'elle est la première lesbienne, ou plutôt bisexuelle, à qui je parle. Du moins qui l'assume devant moi. J'ajoute que je sais bien qu'il y a sûrement des lesbiennes au lycée mais qu'elles ne se montrent pas, que je trouve normal que l'on soit bisexuel car le plus important c'est d'aimer une personne et non pas ce que cache son entrejambe. Moi même, à une période j'ai été attirée par une autre fille à l'époque où je faisais volley, et que de la voir sous la douche des vestiaires m'excitais beaucoup.

« Elle devait être belle, non? » me demande Maëlle.

« Oui vraiment très belle. Son corps était parfait, ses fesses merveilleuses... Et ses seins... »

En me confiant, je revois le corps de cette fille, et l'excitation qui me saisissait à l'époque refait sur face.

« Moi, j'aime surtout les seins bien ronds et fermes. » me précise ma prof et amie.

Sentant mon excitation grandir, je lui demande si il lui est arrivé de me trouver attirante. Elle m'avoue que oui, et que mon corps est « sublime » selon ses propres mots. Lorsque je lui dis que je ne me trouve pas du tout belle, et que je trouve que j'ai un trop gros derrière à mon goût, elle proteste en disant que mon cul est parfait.

Elle l'a donc observé... Sans que je ne me rende compte de son regard?

« Et... vous avez été sexuellement attirée par moi? »

« Tu sais Justine, je ne veux pas compliquer notre relation. Tu es mon élève. Mais je peux te dire que tu es très attirante... »

Puis elle se redresse, sort de la piscine pour se rendre à la cuisine.

« Je vais me chercher un verre de vin, tu veux que je te ramène quelque chose? Un coca?»

« Non, merci, pas de coca, mais un verre de vin, pourquoi pas. »

Elle se dirige alors vers la maison. Mon regard se fixe irrésistiblement sur ses fesses. Discrètement, je fais glisser deux doigts sous mon shorty. Je crois que je n'ai jamais été aussi excitée de toute ma vie.

Lorsqu'elle revient, elle pose les verres de vin sur le rebord de la piscine, et se glisse à nouveau dans l'eau. Je me rapproche d'elle pour saisir mon verre de vin. Nos genoux se frôlent brièvement avant que je ne me recule un peu après avoir bu une petite gorgée.

Mon sexe semble être devenu le centre nerveux de tout mon corps. Comment en serait-il autrement? D'autant plus qu'elle commence à me décrire toutes les façons qu'ont les femmes de se donner du plaisir sans la présence d'un sexe d'homme.

Pendant que nous parlons, je fais glisser mon pied vers le sien. Elle ne s'écarte pas. Je me rapproche à nouveau pour reprendre mon verre. Mon cœur est sur le point d'exploser dans ma poitrine. Nos jambes se touchent et nos visages sont si proches. Je ferme les yeux et j'incline la tête vers Maëlle. Pendant une seconde je me dis que je suis folle. Mais le contact doux de ses lèvres sur les miennes m'apaise étrangement. Pourtant il s'agit d'un simple petit smack qui s'attarderait un peu. Puis ses lèvres reculent et je rouvre les yeux. Mon regard plonge dans le sien. Je colle mon corps contre son corps, tandis qu'elle passe un bras autour de mon épaule.

Nos lèvres se rejoignent à nouveau et cette fois je sens sa langue venir à la recherche de la mienne. Ma bouche s'ouvre d'elle même et nos langues s'entrelacent et virevoltent l'une contre l'autre.Je la prend par la taille pour être encore plus proche d'elle, et je caresse doucement sa peau. Maëlle place sa main gauche sous mon sein droit et commence à la palper. Mes tétons pointent sur le tissus de mon maillot de bain. Son autre main se charge de dénouer le nœud qui retient mon soutien gorge. Celui-ci chute en libérant mes seins. Je retiens mon souffle, mon dos se cambre. À mon tour, je pose une main sur sa poitrine en passant dessous le haut de son maillot de bain.

Pour la première fois de ma vie, je touche le corps d'une autre fille. D'une femme même. Sa peau est douce et ses seins sont fermes.

Pendant plusieurs minutes -- merveilleuses -- nous ne faisons rien d'autre que de nous embrasser et nous caresser délicatement les seins. Je me noie dans ses baisers. Puis sa main descend soudainement sur ma hanche. Elle commence à jouer avec l'élastique de mon shorty. Je me recule légèrement pour qu'elle le fasse descendre et me le retire. Elle le jette alors sur le bord de la piscine. Je n'arrive pas à croire que je sois nue devant une autre femme, devant ma prof de maths. Ses doigts s'immiscent dans la fine toison qui recouvre mon pubis, ce qui me fait automatiquement entrouvrir les jambes. Du bout d'un doigt, Maëlle caresse les lèvres de mon sexe puis elle le fait disparaître dans mon vagin. J'en ai le souffle coupé. Je sens mon sang qui s'échauffe, mon sexe qui palpite. J'ai une folle envie de jouir.

« Sortons... » me dit-elle.

Je m'extrais de la piscine, aidée par mon amie qui me tient par la taille. Elle saisit l'un des draps de bain qu'elle avait apporté avec elle quand elle est allée se changer, et le passe sur mon corps pour le sécher. Ensuite, elle me prend par la main pour me conduire à l'intérieur de la maison. Sans un mot, nous traversons le salon puis un couloir et nous nous retrouvons dans sa chambre.

Arrivées devant son lit, elle le libère de toute la colonie de coussins et d'oreillers qui s'y trouve pour que je puisse m'asseoir. D'une légère poussée, elle me fait basculer en arrière. Je me retrouve donc allongée sur le dos pour tout le haut de mon corps tandis que mon bassin se trouve au bord du lit. Elle s'agenouille devant moi avant de placer ses mains sur mes cuisses et les écarter. Sa langue ne tarde guère à passer à l'action. Elle remonte le long de l'une de mes cuisses pour venir finir son trajet près de mon sexe. Ce simple contact suffit à me faire frissonner et gémir. Instinctivement, je soulève mon bassin pour venir provoquer un contact plus intime et plus intense. Sa langue sur mon sexe me procure un véritable moment de grâce qui ne dure pas assez longtemps hélas.

Maëlle se redresse et fait glisser son bas de bikini qui tombe doucement sur le descente de lit. Mes yeux se fixent sur son Mont de Vénus parfaitement épilé. J'aperçois la silhouette de ses lèvres intimes d'un rose tendre. Mais elle me pousse pour que je sois mieux installée dans sur le lit et vient me rejoindre.

Sans attendre, elle se met à m'embrasser. Je peux découvrir le parfum de mon propre nectar sur ses lèvres. En même temps, une de ses jambes s'est frayée un passage entre les miennes et le haut de sa cuisse se met à frotter contre ma vulve.

Pour ma part, je plaque mes mains sur ses fesses pour les malaxer. Elle interrompt ses baisers pour descendre le visage entre mes jambes. Elle reprend son jeu de langue avec la même habileté dont elle a fait preuve juste un moment avant. Elle me mange littéralement la chatte pour mon plus grand plaisir. Chaque sensation a une force que je découvre pour la première fois. Mes mains délaissent son sublime derrière pour agripper le dessus du lit. Mon corps exulte de plaisir. Il se cambre ou se tortille au gré de cette langue qui prend possession de mon intimité.

Lorsque Maëlle décolle sa bouche de mon sexe, elle me demande si je suis prête à aller plus loin. J'accompagne mon « oui » d'un hochement de tête pour qu'elle soit certaine de mon accord. Pas question d'en rester à ce stade. Je veux plus, j'ai besoin de plus.

Ma maîtresse, autant l'appeler ainsi à présent, se place à quatre pattes au dessus de moi, dirigeant son sexe vers mon visage et son visage vers... mon sexe. Elle replonge sa figure vers ma vulve et reprend le ballet enivrant de sa langue. Je ne peux donc qu'en faire autant. D'autant plus que ce fruit rose et juteux ne parait attendre qu'une chose : être dégusté. Dès le premier passage de ma langue, j'ai adoré cette sensation merveilleuse de la faire frémir rien qu'avec le mouvement de ma langue ou les sucions de mes lèvres sur son clitoris.

Fréquemment mes petites attentions la font soupirer de plaisir. Son bassin tangue parfois quand je trouve comment exciter un point sensible de son sexe. D'ailleurs, je le repère très rapidement pour pouvoir les titiller quelques instants plus tard. J'apprends avec ma professeur à donner du plaisir à une autre femme. J'apprends le bonheur d'être léchée tout en pratiquant moi aussi un cunnilingus. Je me découvre tout autant que je découvre le sexe des femmes.

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