Une Passion Inattendue Ch. 03-04

BÊTA PUBLIQUE

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Toujours le pantalon aux chevilles je le fais s'allonger sur un banc en pierre, et m'assois à califourchon sur son visage. Sa langue fouille mon cul évasé qui doit avoir le goût et l'odeur du silicone des préservatifs. Pareil pour ma vulve. J'ai encore envie de jouir mais trop de faire pipi. Je lorgne sur le jardin pour me soulager. A moins que... Je n'ose pas. Mais je retiens les mots qu'il vient de me dire. Je lui murmure dans l'oreille qu'il doit être bien obéissant et bien tout boire. Il comprend vite, rentre sa langue et ouvre encore plus grand sa bouche. C'est tellement excitant, mais je suis bloquée. Je n'arrive pas à me relâcher. Je pense à autre chose, une rivière qui coule et cela se déclenche d'un coup l'inondant tandis qu'il cherche à me boire et ne rien perdre. Quelle sensation! Quelque chose d'énorme. Je régule mieux le flux, je me frotte et je m'essuie sur son visage, masturbant mon clitoris qui explose en quelques secondes. J'ai les jambes coupées.

Nous repartons en riant, le plus heureux des couples de la terre. Je suis complètement dingue d'avoir fait cela, épatée et remplie qu'il ait accepté. Pour lui aussi c'est inouï, me boire! Il me remercie pour le meilleur champagne qu'il n'ai jamais bu.

Lovée contre lui, la tête sur son torse, je caresse son pubis définitivement épilé tandis qu'il malaxe doucement ma fesse. Je repense à cette soirée, à tout ce qu'il m'a dit, à son éjaculation. Je lui demande quelle image il avait en tête au moment de jouir. Il arrête sa main, je le sens qui se crispe quand je le pousse à me répondre la vérité, et non pas qu'il pensait simplement à moi. Très gêné, il me répond que si, il pensait à moi, mais avec une cravache et la menace de le fouetter jusqu'au sang s'il ne jouissait pas. Je me redresse interloquée pour le regarder, ses yeux sont fuyants. Pourquoi donc avoir honte, puisque c'est ce qu'il a comme fantasme? J'en ai des bien crades, mais je ne vous les dirai pas! Il m'avoue qu'il a ce fantasme depuis qu'il m'a vue la première fois. Cela fait beaucoup à digérer pour une soirée cul. Je suis trop fatiguée d'un coup, trop d'émotion, je dois dormir. Je suis un peu mal à l'aise quand même, l'impression qu'il projette un truc sur moi qui n'est pas moi!

Sauf que c'est bien moi! Enfin c'est ce que me dit Alice que j'appelle dès que je suis seule. Elle est quand même restée un peu scotchée et sans voix de tout ce que j'ai pu lui dire. Elle me dit que je ne veux pas l'écouter, mais si les mecs craquent pour moi c'est parce que je suis sublime, merci ma biboche, mais aussi parce que je suis une femme forte, directive et dominante. Pourtant je ne ressemble en rien à toutes ces Maîtresses. Et j'aime bien recevoir la fessée. Faux arguments pour ma copine, moi j'aurais cela en moi que je le veuille ou non, et je suis avec un homme, un bel homme, qui a ressenti le besoin de s'abandonner à moi. Il est vrai qu'il fait tout ce que je veux, et finalement est plutôt obéissant. Et que je n'ai aucun mal à le diriger et faire ce que je veux, n'acceptant aucune contrainte. Elle me promet de m'envoyer plusieurs livres si j'ai envie de creuser. Un truc pareil venant d'Alice, je ne peux pas ne pas creuser. Pour terminer de me convaincre elle m'indique que si j'aime la fessée c'est quand je veux et comme je veux, et que donc c'est moi qui décide et dirige. Elle n'a pas tort. Qu'un mec veuille me donner la fessée sans mon accord et il avale ses boules!

Ceci dit je trouve cela un peu compliqué de penser à cela. La relation est super, j'aime beaucoup François et comme l'a remarqué Alice plus il se laisse faire et plus je l'aime. Je raconte à Samia qu'il paraît que je suis dominatrice et elle part d'un fou rire. Je ne sais pas comment l'interpréter avant qu'elle ne se calme et me dit que c'est trop drôle que je ne m'en rende compte que maintenant. Elles se sont donner le mot alors. Peut-être il va falloir que je regarde cela de plus près. Alice est tellement perspicace, elle ne peut pas se tromper.

J'ai rendez vous après le déjeuner avec Jérôme le directeur commercial, le patron de mon patron. Il a toujours été adorable avec moi, il faut dire qu'on baisait souvent, mais là il semble super sérieux. Mon chef veut revenir sur le terrain et sa place est disponible, il voudrait que je prenne la direction administrative des ventes. Avec un salaire de 20% plus élevé. Je vois bien le coup, mes relations avec le marketing étant au beau fixe, il veut en profiter. Ma réponse fuse avant que je ne le réalise. Il n'en est pas question, j'ai bien compris son intérêt mais je ne suis pas d'accord. D'abord j'adore ce que je fais et le boulot de mon chef c'est différent. Ensuite Samia est la plus expérimentée de nous 5 et c'est à elle que revient le poste. Jérôme ennuyé me répond que la proposition n'est pas liée à ma relation avec François, mais simplement que je suis celle des 5 à avoir le plus d'aptitude à diriger un service, que c'est quelque chose de naturel en moi et que mon assurance et ma maturité sont mes atouts majeurs. Lui s'y met aussi! Mais quelle journée! Je reste sur mon refus dévoilant que je pensais faire encore 12 ou 18 mois à ce poste mais que je voudrais évoluer vers d'autres fonctions, peut être au RH. Cela clôt le chapitre.

Je suis quand même désarçonnée par toutes ces remarques sur ma personnalité, et quand j'ai la tête perturbée, il n'y a qu'une chose pour me remettre les idées claires. Regardant droit dans les yeux Jérôme, je lui demande une augmentation de 50%. Il me regarde les yeux ronds, me fait répéter. Me donne son accord en me disant que je vais déguster. C'est exactement ce que je veux. Pour la petite histoire c'est un code entre nous quand j'ai envie qu'il me baise. En fonction de l'augmentation demandée c'est plus ou moins sauvage. Là je ne suis jamais montée aussi haut. Et il doit de dire qu'avec ma relation c'était du passé, mais non! D'où vient ce jeu, je n'ai pas l'énergie d'y penser là tout de suite!

Il me fait allonger sur son bureau, les seins écrasés. J'écarte les jambes en équerre et tedues, je sais qu'il adore cette vision. Il remonte ma robe légère et découpe ma culotte avec des ciseaux pris sur son bureau. Le salaud, je vais être cul nu toute la journée! Je frissonne. Il prend une règle métallique que je lui ai offerte il y a longtemps, je reçois le premier coup sur la fesse droite avec soulagement. Cela me permet de décharger la tension. Je dois mordre mon bras pour ne pas gémir, tellement c'est bon. Je repense à Alice, c'est vrai que je me fais battre mais c'est moi qui le veux. Je me cambre encore, pour qu'il comprenne que j'en veux plus. Les 10 coups suivants sont forts, je vais avoir des traces, cela m'excite l'idée que François les voit ce soir. La pensée s'envole quand il plante son dard directement dans mon cul sans aucune lubrification. La douleur est violente, me coupe le souffle, effondre toutes mes pensées. Il me faut quelques minutes pour réaliser qu'il me pilonne comme un sauvage, que c'est bon d'être utilisée ainsi, je viens à la rencontre de sa bite pour être prise encore et encore.

Il me retourne, me met sur le dos, lève mes jambes et revient avec force dans mon cul affamé maintenant. Difficile de ne pas gémir en continu, même si je me doute que son assistante a une bonne idée de ce que nous faisons. C'est une copine mais elle est lesbienne, dommage pour Jérôme. A ses mouvements je sens qu'il a envie de jouir, j'ouvre les yeux pour le regarder et je découvre la porte du bureau entrouverte sur François qui nous regarde! Ne sachant plus où je suis, je le regarde et lui sourit, tandis qu'il met un doigt sur ses lèvres. Jérôme choisit ce moment pour jouir, il n'a rien vu, et m'emmène dans un orgasme amplifié par la présence passive de François que j'humilie en baisant avec son principal adversaire.

Quand je reviens à moi, la porte est fermée. J'ai le cul rempli de sperme, avec François on se passe de protection depuis longtemps, et pas de culottes pour éviter que cela coule. François sort mes seins pour les malaxer avec force comme j'aime, titille mes tétons avant de se rhabiller. Je file à la salle de bain pour me refaire une apparence respectable! D'un coup je me sens mal à l'aise avec François. Ce n'est pas la même chose qu'hier soir. S'il le prend mal tant pis, j'en ai trop besoin et plus que de lui en tous cas. Je me fais tous les scenarios dans la tête et oui, tant pis s'il ne supporte pas que je le trompe avec tout le monde!

Samia me regarde en se marrant et en trouvant que j'exagère. Elle n'a aucun doute sur ce que je viens de faire. Je lui cloue le bec en lui affirmant avoir assuré sa promotion! D'ailleurs Jérôme lui demande déjà de venir. Il ne perd pas de temps. Elle part en me demandant ce qui se passe, mais je préfère lui laisser la surprise d'autant que j'ai reçu un message de François. Je me jette dessus en me demandant comment ça va tourner.

[SMS François ]

Ma Déesse, je suis désolé si je vous ai dérangé tout à l'heure, Claudia n'étant pas là j'ai regardé si François était disponible. Je n'avais aucune intention de jouer les voyeurs. Vraiment désolé. Tu es magnifique, j'ai terriblement envie de toi.

[SMS Claire]

Au contraire cela m'a donné encore plus de plaisir de savoir que tu regardais et que tu devais être frustré. Tu n'es pas contrarié que je baise ainsi?

[SMS François]

Je sais que tu aimes cela et je ne veux que ton bonheur. Tu as tous les droits et j'avoue que cela m'a beaucoup excité et que je suis allé me faire jouir dans les toilettes.

[SMS Claire]

En m'imaginant avec une cravache?

[SMS François]

Oui et me forçant à nettoyer ton cul avec ma langue après

[SMS Claire]

Tu es un petit cochon bien pervers! Mais c'est une bonne idée, car j'ai le cul qui coule, il m'a bien défoncée. Je vais te garder cela pour ce soir. Envie de me soulager en toi comme hier soir, c'était magique!

[SMS François]

Aussi souvent que ma Reine le voudra. Je suis tout à toi. Tu me manques.

Je suis encore plus excitée après cet échange, une boule au ventre tellement les perspectives s'ouvrent à moi. Je monte sur le toit appeler Alice et échanger avec elle. Nous rions comme deux gamines surexcitées. Même si nous sommes très proches, c'est fou comme elle partage et m'encourage dans cette aventure. Elle me débloque complètement et m'aide à me lâcher. J'ai bien conscience que nos échanges depuis quelques mois sont à sens unique, mais elle insiste que cela lui va très bien ainsi, et qu'elle n'a pas grand-chose à raconter, même si son boulot la passionne, le reste l'ennuie et que je suis son soleil et qu'elle partage pleinement mon bonheur avec elle. Il n'y a pas un week end où nous ne faisons pas quelque chose ensemble, et elle vient souvent dîner à la maison. Elle m'a commandé plusieurs livres, je dois les recevoir bientôt.

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