Une Mère Autoritaire (Suite 01)

UNE MERE AUTORITAIRE (suite 01)

Ce texte est la suite librement adaptée en français de la suite du texte anglais de Gentleman99 publié sur Literotica sous le titre « Mother's nasty boy chap.04 »

Corentin fut réveillé par le soleil dont les rayons filtraient à travers les persiennes. Il s'étira et sentit qu'il bandait. Instinctivement, il commença à se masturber. Ce qui s'était passé la nuit précédente lui revint en flashes: sa mère le branlant, et se faisant finalement éclabousser de son sperme!

La porte s'ouvrit soudain. C'était elle, debout, là, toute habillée déjà, la mine empreinte de sa sévèrité habituelle.

"Tu es en retard! Habille-toi, nous n'avons que dix minutes."

La porte se referma sur un claquement.

Le cœur de Corentin battait à tout rompre. L'avait-elle vu se toucher? Puis il prit conscience de ce qu'elle venait de dire. Bon Dieu, on était dimanche. S'il ne se rendait pas à l'église avec elle, il en entendrait parler pendant des semaines! Il sauta du lit.

Cinq minutes plus tard, il attrapait une tranche de pain grillé, avalait en hâte un peu de jus d'orange et nouait ses lacets. Sa mère se tenait près de la porte du garage et tapait du pied.

Le trajet jusqu'à l'église fut silencieux. Sa mère conduisait avec sa précision habituelle, les lèvres serrées. Elle lançait un regard renfrogné aux autres conducteurs comme pour les défier de s'approcher de sa voiture. Ils arrivèrent à temps.

Alors qu'ils montaient les marches en rejoignant le flux des paroissiens, Corentin fut parcouru d'un frisson d'irréalité. Était-ce cette femme stricte et rêche, ce pilier d'église, qui s'était révélée à lui la veille sous ce jour ô combien nouveau? Il regarda autour de lui les matrones potelées, maladroites sur leurs haut-talons et aspergées d'eau de Cologne. Il essayait de les imaginer au lit, cuisses écartées comme sa mère la veille devant leurs fils qui se branlaient...

Ils saluèrent le pasteur en entrant dans l'église. C'était un homme grand et mince, qui semblait toujours triste, même quand il souriait. Il était marié à une petite femme sans cesse en mouvement, qui organisait tout et régentait tout autour d'elle. Corentin essaya de les imaginer en train de faire l'amour.

« Je sais qui se met sur l'autre », sourit-il intérieurement.

Sa mère lui fit signe de se diriger vers l'un des bancs du fond.

Corentin prit connaissance de la liste des hymnes au programme de ce dimanche. Dieu, cela allait durer une éternité!

Il sursauta quand il sentit la main de sa mère se poser sur sa cuisse. Il se tourna vers elle, mais elle regardait droit devant elle, le dos rigide. Il baissa les yeux et vit sa main se déplacer vers son entrejambes. Il se lécha nerveusement les lèvres et jeta un coup d'œil autour de lui. Ils étaient les plus en retrait de tous et tout le monde était tourné vers l'autel. La main de sa mère commença à le pétrir à travers son jean et il sentit son sexe se gonfler malgré lui.

"Il se lève!" entonna la chorale.

La main de sa mère ouvrit la fermeture éclair de sa braguette et se glissa dans son slip.

« Ah Maman... je ne pense pas... murmura-t-il.

-Chut! », siffla-t-elle en fronçant les sourcils et en continuant de regarder droit devant elle.

"Laissez entrer la lumière du Seigneur", trillaient la voix des filles

La bite de Corentin jaillit de sa braguette...

"Recevez votre amour..." chantaient les voix graves des hommes.

La main de sa mère commença à branler rapidement son pénis. Corentin, éperdu, regardait anxieusement autour de lui. Ils se feraient prendre, c'était sûr. Quelqu'un se retournerait. Malgré sa panique, sa queue se raidit sous l'activation de la main maternelle

"Réjouissez-vous, réjouissez-vous, réjouissez-vous..." chantaient les filles.

La bite de Corentin palpitait. Il pensait qu'il allait mourir de honte.

"Maman, s'il te plaît..." chuchota-t-il.

Une dame assise sur le banc devant eux se retourna pour le regarder. Heureusement ses lunettes aux verres épais disaient assez sa presbytie. Sa mère se tourna vers lui et lui lança un regard noir.

"Ne parle pas à l'église!", intima-t-elle.

La dame lui fit un signe d'approbation et se retourna vers la chorale.

Corentin réalisa qu'il ne pouvait rien faire. S'il quittait sa place, tout le monde se retournerait et le regarderait. Comment pourrait-il d'ailleurs remettre sa queue dans son jean sans que tout le monde le voie?

Et puis il sentait le plaisir monter en lui.

" Louez-le, louez-le... " chantaient les hommes.

Corentin ferma les yeux et la sensation exquise du sperme commençant à monter dans sa bite le saisit. La main de sa mère le branlait de plus en plus vite.

"Venez à Lui..." chantait toute la chorale.

Les yeux de Corentin s'ouvrirent brusquement. Il allait gicler, il ne pourrait pas s'en empêcher!

Juste au moment du premier spasme, sa mère se pencha et posa sa bouche sur sa queue.

"Gloire, gloire, gloire..." chantaient les hommes.

Il sentit les lèvres humides courir de haut en bas de son membre dans un mouvement de succion effréné... ça y était, il ne peut se retenir de juter dans la bouche maternelle.

"Donnez-moi votre grâce, Seigneur", chantaient les filles.

Il la sentait déglutir alors qu'elle continuait à le sucer et chaque fois qu'il pensait en avoir fini, un nouveau jet succédait à un nouveau spasme et un. Après ce qui lui avait semblé durer des minutes entières, il s'arrêta enfin et sa mère lui lécha la bite d'un dernier coup de langue. Elle se redressa alors comme si elle avait ramassé un recueil de cantiques tombé à terre, remit sa queue dans son slip et ferma sa braguette.

"Alléluia, Alléluia, Alléluia." chantait à présent toute la chorale.

Quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent sur le parking après avoir salué et remercié le pasteur.

Sa mère se tourna vers Corentin.

"Tu es écoeurant!", siffla-t-elle d'une voix venimeuse.

"Mais maman, c'était...

-Tais-toi! l'interrompit-elle, je n'ai jamais vu quelqu'un faire quelque chose d'aussi vicieux! Et dans une église encore! Tu vas être sévèrement puni dès notre retour à la maison!"

Sur ce, elle se dirigea à grands pas vers la voiture et Corentin dut courir pour la rattraper.

(à suivre).