Maman Dévote en Chaleur

Informations sur Récit
Maman est dévote, mais ses pulsions sont trop fortes.
2.8k mots
4.49
3.6k
1
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
luc1234_
luc1234_
22 Admirateurs

MAMAN DEVOTE EN CHALEUR

Ce texte est la traduction adeptée en français de celui, en anglais, écrit pas SimonDoom et paru saous le tire « Mama told me not to come ».

Ma mère était ce qu'on peut appeler une dévote.

Elle allait régulièrement à l'église. Pas seulement le dimanche : depuis longtemps, elle avait pris l'habitude d'aller à des séances privées d'étude biblique les soirs de semaine avec le pasteur Reeves, le jeune assistant du pasteur Johnson, un vénérable pasteur aux cheveux gris qui avait présidé notre église depuis avant ma naissance. Maman se rendait à ces sessions tous les mardis et jeudis jusqu'à ce que le pasteur Reeves déménage pour fonder sa propre église dans trois comtés à l'ouest du nôtre. Moi-même, je n'ai jamais été très passionné par la religion, mais cela semblait faire beaucoup de bien à Maman. Elle avait les joues colorées à chaque fois qu'elle revenait de ces séances avec le pasteur Reeves.

Elle n'a jamais été bavarde, mais après le départ du pasteur Reeves, j'avais l'impression qu'elle était plus silencieuse encore qu'avant. Elle avait aussi le visage plus sombre et devenait irritable, et irritable pour des broutilles, comme lorsque je ne me nettoyais pas assez soigneusement les ongles à la fin de la journée lorsque je revenais des champs pour le dîner.

Je venais d'avoir 19 ans, mais je vivais toujours à la ferme familiale. Honnêtement, je ne peux pas dire que j'avais l'œil le plus attentif à l'humeur des femmes, mais je pouvais voir que quelque chose dérangeait Maman. Un jour, je lui ai posé la question.

-Maman, quelque chose ne va pas? Elle était dans la cuisine, en train d'éplucher le maïs, et je venais de rentrer après avoir fait boire les porcs. Je me suis essuyé les pieds sur le paillasson.

Maman n'a pas répondu tout de suite. Elle m'a regardé avec un regard que je ne sus interpréter.

-Pourquoi me demandes-tu ça, Jubal?

-On dirait que tu n'es pas de bonne humeur depuis quelque temps, lui ai-je dit.

-Non, répondit-elle, je vais bien, ne t'inquiète pas.

Je la connaissais suffisamment pour savoir que je ne devais pas insister. Je suis allé dans la salle de bain pour me laver les mains en vue du dîner. J'ai entendu la porte claquer et j'ai su que Papa revenait des courses.

Le dîner était délicieux, comme d'habitude. Maman était une bonne cuisinière. Comme d'habitude, personne n'a dit grand-chose. Papa a simplement complimenté Maman pour son poulet frit et s'est félicité du rabais qu'il avait obtenu au supermarché.

Une fois le repas terminé, j'ai proposé à Maman de faire la vaisselle. Maman m'a remercié tandis que Papa se retirait dans le salon. Elle l'a suivi. J'ai entendu la télé s'allumer. Papa ne regarde jamais qu'une seule émission : les rediffusions de Walker Texas Ranger. Il doit être le plus grand fan de Chuck Norris sur la planète. Il aime monter le son à fond et le bruit se répercute dans toute la maison. Au bout de quelques minutes, j'ai entendu la voix de maman s'élever au-dessus du vacarme. On aurait dit qu'elle se plaignait de quelque chose, mais je ne pouvais pas comprendre ce qu'elle disait et je savais qu'il valait mieux ne pas écouter. Une fois le dernier plat lavé, j'ai quitté la cuisine, suis monté dans ma chambre, ai fermé la porte et me suis couché.

Le lendemain matin, un samedi, je me suis levé tôt comme d'habitude, juste avant l'aube, me suis douché et habillé et je suis descendu pour le petit-déjeuner. Maman était dans la cuisine, mais pas Papa.

-Il est parti chasser avec ses amis, expliqua Maman, il sera absent toute la journée. Il m'a dit de te dire de nourrir les animaux, mais quand tu auras fini, tu pourras prendre le reste de la journée.

C'était une bonne nouvelle, car je pensais que j'allais devoir travailler aux champs après m'être occupé des animaux.

Je n'ai pas dit grand-chose pendant le petit-déjeuner et Maman non plus. Mais j'avais le sentiment qu'elle voulait me dire quelque chose. Elle s'est agitée sur sa chaise pendant tout le petit-déjeuner, comme si elle essayait de se décider à propos de je ne savais quoi mais ne savait pas trop quoi faire ou dire à ce sujet.

J'ai également remarqué qu'elle était plus joliment habillée que d'habitude. Elle portait une robe imprimée moulante qui épousait ses formes et montrait davantage ses jambes que d'habitude. Maman était une jolie femme. Elle m'a eu quand elle n'avait que 19 ans -- mon âge d'alors --, et n'avait donc que 38 ans. La vie de femme de fermier avait laissé quelques rides sur son visage, mais elle avait toujours une silhouette agréable. On aurait dit qu'elle avait pris un soin particulier à se brosser les cheveux ce matin-là, et qu'elle s'était maquillée plus que d'habitude.

Après le petit-déjeuner, j'ai proposé à nouveau de faire la vaisselle.

-Non, Jubal, je vais la faire. Tu vas voir les animaux. Finis vite et reviens. Il y a quelque chose dont je veux te parler.

-Qu'est-ce qu'il y a, Maman?

-Nous en parlerons plus tard. D'abord, occupe-toi des bêtes.

Je n'étais pas du genre à discuter avec Maman.

Notre ferme n'était pas très grande et il ne m'a pas fallu trop de temps pour nourrir les poules, les porcs, les vaches et les chevaux et pour faire un peu de nettoyage. Deux heures plus tard, les corvées terminées, j'étais de retour à la maison, revenant par la porte arrière dans la cuisine. Maman était là.

-Lave-toi, Jubal, dit-elle. Quand tu auras fini, viens dans ma chambre. Je veux te parler.

J'étais intrigué par l'étrangeté de sa demande. La chambre de mes parents était comme leur sanctuaire. C'était un endroit interdit pour moi la plupart du temps. Mais j'ai fait ce qu'elle m'a dit, et 20 minutes plus tard, les cheveux encore humides, j'ai frappé à la porte de la chambre de Maman.

-Entre, dit-elle. Elle était assise au bord du lit, sa robe remontée jusqu'aux genoux et le bouton du haut ouvert. Je ne me souvenais pas qu'elle m'ait jamais montré autant d'elle-même.

Elle tapota le lit et je m'assis à côté d'elle, attendant qu'elle dise quelque chose. Cela lui prit quelques instants, comme si elle avait du mal à s'exprimer..

-Jubal, as-tu une petite amie?, me demanda-t-elle enfin.

J'ai été surpris. Maman et Papa ne parlaient jamais de ce genre de choses.

-Non, Maman, lui dis-je. Tu te souviens que je suis sorti avec Mary Anne Miller plusieurs fois au printemps dernier, mais plus rien depuis.

-C'est ce que je pensais, dit-elle. Elle m'a tapoté le genou en ajoutant :

-C'est dommage. Il serait tout à fait naturel qu'un beau jeune homme comme toi souhaite profiter de la compagnie de jeunes femmes, même si, tu le sais, nous devons toujours respecter les commandements de la Bible, qui interdisent les relations charnelles en dehors du lien sacré du mariage.

-Oui Maman. Je savais ce que disait la Bible, mais, Bible ou non, Mary Anne et moi avions passé du temps dans la grange de ses parents à profiter ensemble des... explorations de la chair. Je n'étais pas vierge et Mary Anne avait une réputation de marie-couche-toi-là dans tout le comté. Mais je n'allais rien dire de tout ça à Maman.

-Est-ce que ton père a déjà eu... une conversation avec toi? poursuivit-elle.

-Une conversation?

-Oui,Jubal. Est-ce qu'il t'a déjà parlé de sexe?

Papa ne m'a jamais parlé de grand-chose, sauf de la ferme. Je ne me souvenais pas avoir jamais « discuté avec lui de quoi que ce soit en rapport avec le sexe.

-Non, Maman.

-Dommage, dit-elle. Les pères sont censés parler de telles choses à leurs fils, comme les mères sont censées en parler à leurs filles. Mais je n'ai jamais eu de fille. Ton père a manqué à son devoir... comme il a manqué à d'autres devoirs...

Son regard se fit lointain et elle resta silencieuse. Je ne savais pas trop quoi dire.

-Que veux-tu dire, Maman? réussis-je tout de même à demander.

Elle me regarda dans les yeux et passa sa main sur ma joue.

-Tu es un adulte maintenant, Jubal, et j'ai l'impression que je peux partager certaines choses avec toi, d'adulte à adulte. Est-ce que ça te dérange si je fais ça?

-Je suppose que non, ai-je répondu, incertain. Je me demandais ce que Maman essayait de dire et je ne savais quelle attitude adopter.

-Ton père est un homme bon, a poursuivi maman. Il est honnête, il craint Dieu, il travaille dur et est un bon soutien pour notre famille.

Elle fit une pause avant de continuer :

-Mais d'une certaine manière, il n'a pas rempli ses devoirs. Jubal, connais-tu le premier livre des Corinthiens, chapitre 7?

" -J'ai lu la Bible, Maman, mais je ne peux pas le dire car je ne me souviens pas spécifiquement de ce passage.

-Il y est dit, aux versets 3 et 4, que « le mari doit donner à sa femme ses droits conjugaux, de même que la femme à son mari. » Tu vois donc, Jubal, que si en dehors du lien du mariage, les relations sexuelles entre un homme et une femme sont un péché, au sein de ce lien, elles sont un devoir. Est-ce que cela a un sens pour toi?

En vérité, j'étais horriblement gêné de ce que ma mère me disait.

-J'espère que cela ne te dérange pas que je sois si franche et intime avec toi, Jubal, dit-elle. Mais puisque tu es un jeune homme et le fils de ton père, il est important que tu entendes cela.

Et elle a continué, comme si elle récitait un discours longuement répété :

-Un mari a des devoirs envers sa femme, et une femme envers son mari. Je n'ai jamais dérogé à mes devoirs envers Papa. Je lui ai donné tout ce que le Bon Dieu m'a ordonné de lui donner. Si tu vois ce que je veux dire.

Elle avait agrippé et enroulé autour de son doigt une mèche de ses cheveux.

-Mais ton père n'a pas jugé bon d'accomplir son devoir avec la même diligence.

Elle se tourna vers moi :

-Est-ce que ça te met mal à l'aise, Jubal?

-Euh... C'était tout ce que je pus articuler.

Maman m'a encore tapoté le genou.

-Je comprends qu'il soit difficile de discuter de telles choses, surtout avec ta mère.

Elle a soupiré et n'a rien dit pendant encore une minute. Ce silence était oppressant.

-J'ai souffert, Jubal, reprit-elle enfin. Pendant si longtemps.... Mais finalement, j'ai trouvé quelqu'un à qui me confier. Le pasteur Reeves.

Je ne savais pas où cela allait me mener, mais je me sentais sur des charbons ardents.

-C'est le pasteur Reeves qui m'a assuré que mes sentiments étaient normaux. Le Seigneur nous donne des envies, Jubal, et il nous a dotés de l'institution du mariage pour faire face à ces envies. Mais j'étais mariée, et ton père, mon mari, ne faisait pas son devoir de satisfaire mes pulsions. J'ai souffert. Ah, Jubal, j'ai souffert pendant si longtemps...

La main de maman reposait sur mon genou, plus lourde qu'auparavant.

-Le pasteur Reeves m'a expliqué que dans de tels cas, le Seigneur offrait un remède. Que lorsque le mari... échouait, le Saint-Esprit pouvait prendre sa place. Le pasteur Reeves m'a expliqué qu'en tant qu'homme de Dieu, il pourrait être l'instrument du Seigneur pour remédier au délaissement de ton père.

-Maman, tu veux dire...?

Elle a posé ses doigts sur mes lèvres, me faisant taire.

-Oui, Jubal. Lors de nos réunions, le pasteur Reeves a accompli le devoir sacré que votre père n'accomplissait plus.

Abasourdi, je ne savais pas quoi dire.

-Mais Dieu a appelé le pasteur Reeves pour fonder sa propre église, loin d'ici. Et maintenant, je me retrouve, une fois de plus, sans le bénéfice d'un mari qui juge bon d'accomplir son devoir sacré envers sa femme. Une épouse, pourrais-je dire, Jubal, que le Saint-Esprit a bénie avec un désir sain et normal de voir ce devoir s'accomplir envers elle.

Elle serra mon genou.

-Comprends-tu ce que je veux dire?

-Je pense que oui, Maman...

-Tu es devenu un jeune homme beau et costaud, Jubal. Fort et grand. Quelle est ta taille?

-1m 85, Maman.

-5 centimètres de plus que ton père.

Elle entrelaça ses doigts aux miens.

-Et tes mains sont si belles, si fortes, si grandes....

Elle s'est assise plus près de moi et j'ai senti la chaleur de sa cuisse contre la mienne à travers sa robe.

-« Lorsque le mari manque à son devoir envers sa femme, le Seigneur lui fournira un substitut à sa place. » C'est ce que m'a dit le pasteur Reeves, Jubal. Il était mon substitut, mais il est parti. Je n'ai personne pour le remplacer, pour remplir le devoir de ton père, à part... toi.

-Moi, maman?

-Oui, Jubal. Toi.

Elle a levé la main qu'elle tenait serrée sur mon genou et l'a posée sur sa poitrine. J'ai ouvert la bouche pour parler, incrédule, mais aucun son n'en est sorti. Ma main, guidée par celle de Maman, avait malgré moi saisi un mamelon, que j'ai tout à coup senti durcir à travers son soutien-gorge invisible.

-Jubal, tu dois te mettre à la place de ton père et faire son devoir pour lui. Je te le demande. S'il te plaît, Jubal. Ta mère mérite ça. Elle en a besoin.

-Mais Papa...

-Il ne sera pas à la maison avant six heures. Il m'a dit qu'il dînerait avec ses amis après la chasse et qu'il ne rentrerait que tard.

Je n'ai pas bougé. Je restais assis, figé sur place, la main toujours sur la poitrine généreuse de maman, ne sachant que faire ou que dire. Maman semblait inquiète de ma réserve.

-Est-ce que je... ne t'attire pas, mon fils?

J'ai secoué La tête.

-Oh Ce n'est pas ça, Maman," ai-je dit précipitamment. Tu es... tu es... très...... belle...!

-Tu le penses, ou tu essaies juste d'être gentil avec une vieille femme?

-Tu n'es pas vieille, ai-je protesté. Tu n'as que 38 ans. Et tu es plus attirante que n'importe laquelle des mères de mes amis. Ils me le disent tous.

-Vraiment?

-Oui."

Je ne mentais pas à ce sujet. Maman prenait soin d'elle plus que n'importe quelle autre femme d'agriculteur de notre communauté. Mes amis l'avaient remarqué à plusieurs reprises. En fait, ils avaient fait bien plus de commentaires...

Maman a posé sa main sur la mienne, toujours sur son sein. Elle m'a serré la main et j'ai répondu en le serrant. Il était plus lourd que celui de Mary Anne Miller, avec une plénitude maternelle et seulement un soupçon d'affaissement. Mon pouce s'est appuyé sur son mamelon. Maman a soupiré. Puis elle a fait quelque chose que, deux minutes plus tôt, je n'aurais jamais pu imaginer : elle a retiré sa main de la mienne, elle l'a portée à mon entrejambes, et elle m'a caressé sous mon jean.

-Seigneur, aie pitié, a-t-elle murmuré.

Je ne pense pas que le Seigneur y était pour beaucoup, à vrai dire, mais je n'allais pas la contredire, car elle prenait ces choses bien plus au sérieux que moi. Tout ce que je savais, c'est que sa main reposait sur ma bite, qui était dure et le devenait de plus en plus de seconde en seconde.

-Oh Maman... ai-je commencé...

s

Elle m'a interrompu en mettant un doigt sur mes lèvres.

-Non, Jubal. Ne dis rien. Pas encore.

J'ai hoché la tête. Je ne savais pas quoi faire ou dire d'autre.

-Chacun de vous doit aimer sa femme comme lui-même, murmura Maman en regardant mes genoux. Elle a levé les yeux vers mon visage. "Éphésiens 5:33, Jubal."

-Oui Maman.

-Aujourd'hui, tu es mon mari. Le Seigneur le veut. Nous devons nous soumettre à sa volonté.

Je n'ai rien répondu. Maman a semblé prendre cela comme un « oui », parce que ses mains ont commencé à s'activer sur la braguette de mon jean.

Quand elle eut réussi à l'ouvrir, ses yeux s'écarquillèrent et brillèrent à la vue de mon membre dressé. Elle émit un petit cri.

-Oh, Jubal!

J'étais excité, mais embarrassé. Je n'avais pas de mots pour exprimer ce que je ressentais. Mais heureusement, je n'ai pas eu à le faire. Maman a pris les choses en main, littéralement. Sa main a saisi et encerclé ma tige palpitante.

Sa main a glissé lentement le long de ma bite. Puis elle a fait quelque chose que je n'aurais jamais pu imaginer dans mes rêves les plus fiévreux. Elle s'est penchée vers mon entrejambes, a ouvert grand la bouche et refermé ses lèvres sur ma bite. J'ai senti l'humidité et la pression de sa langue, qui tourbillonnait autour de mon gland. Un tremblement m'a saisi...

(à suivre)

luc1234_
luc1234_
22 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 13 jours

bien amené en espérant une suite rapide

cocuaviecocuavieil y a 13 jours

Dieu me pardonne, mais c'est trop bon.....

AurailiensAurailiensil y a 17 jours

Excellent... que c'est bien raconté, bien amené

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Une Mère Autoritaire Ellesurpend son fils à se masturber et le force à continuer.
Mes Cousines Sont Deux Salopes Mes cousines me suce la queue !
La Luxure d'une Mère - Chapitre 01 Elle veut surtout l'homme qu'elle a mis au monde.
Ma Tante Sonia Me Vide Les Couilles Marc va en vacance chez sa séduisante tante Sonia.
Stratégie Incestueuse Un fils met une stratégie en oeuvre pour baiser sa mère.
Plus d'histoires