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BÊTA PUBLIQUE

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« Omar, non, je suis mariée, s'il te plaît, n'insiste pas »

Omar, toujours souriant et sûr de lui, m'a demandé : « As-tu apprécié le sexe que nous avons eu? »

Je n'ai pas répondu, mais il a insisté. J'ai bégayé, troublée, et j'ai finalement acquiescé.

« OK, et c'était la meilleure baise que tu as eue de toute ta vie, n'est-ce pas, Bérengère? Allez, sois honnête maintenant, chérie. Tu sais bien que ton mari ne pourra jamais t'offrir un plaisir aussi intense. Tu sais bien que tu peux en profiter encore plus ce soir, et tous les autres soirs, tant que ton mari n'est pas là, il n'en saura rien. Et en parlant de ton mari, tu ne voudrais pas avoir à lui expliquer comment je connais l'existence de ton petit tatouage au milieu de tes poils pubiens? »

J'ai bégayé, j'ai pleuré, je l'ai supplié, mais j'ai finalement dû céder. Il a ri et m'a dit :

« Allez, Bérengère, tu sais mieux que moi que tu en as envie. Tu veux que je te baise à nouveau, ça se voit sur ton visage, tu veux cette bite noire qui te fait tant jouir. Tu sais que ce n'est pas un hasard, je peux te faire jouir autant de fois que tu le désires, tu veux exulter en ressentant à nouveau ces merveilleux orgasmes si intenses »

Je ne pouvais pas répondre, il ne mentait pas, il m'avait fait jouir, à de nombreuses reprises, et je voulais ressentir encore ce plaisir, et bien plus encore. Mais je ne voulais pas lui céder sans combattre, pour ma dignité, même s'il n'en restait pas grand-chose. Je voulais négocier, alors je lui ai demandé de se contenter d'une branlette, ou d'une pipe?

Mais il m'a rit au nez, s'est soulevé, m'a attrapée, et m'a attirée sur le lit. Il m'a enlevée mon haut, mon soutien-gorge, puis mon short et ma culotte. J'ai essayé de me débattre, de le griffer, de le gifler, mais ça l'a fait rire. Il m'a attirée contre lui, j'ai essayé de le repousser, mais il m'a maîtrisée, il était beaucoup trop fort pour moi. Il s'est vite retrouvé allongé sur moi, sa belle et grosse bite noire glissant en moi. J'étais tellement mouillée, il n'a eu aucune difficulté pour me pénétrer.

Avec de la persévérance, sa baise méthodiquement lente m'a amenée à l'orgasme, puis après orgasme après orgasme, jusqu'à ce qu'il éjacule enfin en moi, si profondément, ma chatte dilatée par sa bite monstrueuse. Les sensations que me procurent l'épaisseur et la longueur de son infernal engin, tandis qu'il me cloue sur mon lit conjugal, ses mains glissées sous mes fesses, ses bras bloquant mes jambes relevées le long de mon corps, me font perdre conscience à plusieurs reprises.

Lorsque ce vieillard noir me baise, je ne suis qu'un jouet entre ses mains, je n'ai plus aucune volonté, parfaitement dominée et soumise. Aucun autre homme ne m'a procuré autant de plaisir. Je réfléchis pendant que nous sommes allongés là, épuisés, vautrée dans son sperme qui s'écoule de moi.

« À mon âge, j'ai encore des désirs et des besoins, Bérengère, je ne peux pas t'expliquer à quel point le sexe me manque. J'adorais faire l'amour à ma femme, et ce vide me hante. J'ai besoin d'une chatte à ma disposition, et ta chatte gourmande me comble. J'adore ta chatte blanche de femme mariée. Toute ma vie d'homme, dans mon travail, mes chefs, mes patrons, c'était des blancs, et ils me traitaient comme de la merde. Baiser une femme blanche mariée, quelle vengeance ! Et ta petite chatte blanche est si étroite, bon sang, quel régal ! Nous savons tous les deux que Thomas n'a pas les capacités pour te satisfaire, alors profites-en tant que tu peux ! »

Sur ce, il a rampé pour mettre sa bite molle dans ma bouche : « Suce-moi, bébé, suce pour me faire bander, et te baiser encore »

Et c'est ce que j'ai fait, je l'ai sucé énergiquement, le plus profond que je pouvais, quitte à lutter contre ces maudits haut-le-cœur. Cette grosse bite noire m'a baisée pendant plus de deux heures et m'a faite jouir un nombre incalculable de fois, je lui dois bien ça. A 36 ans, cela ne m'était jamais arrivé, et pourtant j'ai eu pas mal d'expériences, mais je n'avais jamais entendu parler d'une bite pareille.

Bientôt, je suis soumise à la pression de sa main sur ma nuque, son sexe ne pénétrant pas assez fortement dans ma gorge à son goût, mais j'ai profité de chaque instant. Bientôt, il est redevenu rigide, et aussitôt de retour dans ma chatte, son comportement méthodique, mélange de lenteur et de puissance, m'a fait jouir encore et encore. D'abord sur le dos, lui sur moi, avec ses coups profonds qui me clouent sur le matelas, puis l'inverse, je l'ai chevauché, mais ses mains sur mes fesses contrôlaient le tempo, et enfin en levrette, le visage dans les coussins et les fesses en l'air.

J'ai perdu le contrôle de mes pensées et de mes émois, complètement soumise à cette force de la nature qui m'a asservie et rendue addicte au sexe noir. Presque une heure plus tard, lorsqu'il fut sur le point de jouir, il m'a dit qu'il voulait finir dans ma bouche, et j'ai obéi, posant ma bouche grande ouverte sur sa bite tressautant avec les premiers spasmes. Son sperme a giclé par saccades dans ma bouche, mais impossible d'avaler tout, c'était beaucoup trop abondant.

Déjà, avec mon mari, j'ai des difficultés pour tout prendre, mais là, c'est tellement énorme que c'est peine perdue, j'ai gâché plus de la moitié du précieux liquide. Cette énorme bite m'a donné plus de plaisir en une nuit que tout ce que j'avais connu auparavant, et elle a transformé ma conscience, mes goûts et mes attraits. Auparavant, j'étais une femme fidèle, et je suis à présent une femelle qui s'adonne au libertinage. Comment a-t-il pu faire de moi cette marionnette soumise au sexe noir? Je me suis endormie blottie tout contre lui, mes fesses baignant dans une mare de sperme.

Quand je me suis réveillée, la première chose dont je me souviens, c'est de sa bite progressant dans ma chatte encore humide. Il faisait nuit, j'étais détruite, je le sentais collé derrière moi, m'enlacer, me prendre avec sa bite qui distend ma chatte, et qui m'envahit. Je me suis cambrée pour mieux m'offrir, excitée par les sensations qu'éveille sa bite en moi. J'ai ouvert un œil pour voir le réveil afficher 3 heures du matin. Il m'a baisée pendant plus d'une demi-heure avant de finalement remplir ma chatte avec son sperme. J'ai joui presque continuellement pendant tout ce temps. Il a roulé de l'autre côté du lit, je n'ai pas eu la force de le rejoindre, et je me suis rendormie dans une flaque gluante.

Je me suis réveillée quand le soleil était déjà haut dans le ciel. En ouvrant les yeux, toutes les péripéties de la nuit me sont revenues en mémoire. Mon Dieu, quelle folie ! Alors que m'étais juré de rester sage, de refuser ses avances, et de mettre un terme à notre relation malsaine. Je me suis offerte totalement, à un vieillard noir, dans mon propre lit conjugal. Je lui ai permis de passer la nuit avec moi, et d'abuser de mon corps. Je le regardais dormir près de moi, et ce matin, il ne cachait pas son âge.

Les traits tirés, le poil grisonnant, il était attendrissant. Il m'avait fait l'amour toute la nuit, mieux qu'un jeune homme, et waouh, quel amant ! Aucun homme, jamais, ne sera capable de me satisfaire totalement comme lui. J'ai baissé le drap et j'ai sucé sa bite noire, sa belle bite qui m'avait donné tant de plaisir. Quelque chose en moi me poussait à faire cela, pas seulement pour le remercier, mais aussi parce que, ce matin, je suis amoureuse de ce vieil homme.

Je l'ai sucé du mieux que je peux, car il est déjà très gros, et il commence à durcir. Je sais qu'il est réveillé maintenant, et qu'il apprécie la caresse. Ne parvenant plus le prendre en bouche, je l'ai léché, contournant le gland, agaçant le frein, descendant avec ma bouche tout le long du tronc. J'ai sucé ses couilles et j'ai léché la raie jusqu'à son trou du cul. Ensuite, je suis revenue lentement vers le méat en le branlant, et j'ai attendue, bouche ouverte, qu'il éjacule dans ma bouche.

Je me suis blottie dans ses bras et il m'a félicité pour mes compétences. Puis je suis allée à la salle de bain, avant de lui préparer un solide déjeuner. Ensuite, il est rentré chez lui. Depuis, il continue d'aider mon mari le week-end, et de me baiser la semaine quand mon mari est absent. J'ai entendu beaucoup d'autres histoires à son sujet de la part de mon mari. Apparemment, au bar du village, Omar se vante, quand il a un coup dans le nez, des bonnes affaires qu'il entretien avec certaines dames des environs. Les gars essaient bien de le faire boire pour délier sa langue, et connaître le nom de ses bonnes fortunes, mais Omar tient bien l'alcool. Mais je me suis reconnue dans certaines histoires que m'a conté mon mari. Mais je sais aussi qu'il y a beaucoup d'âmes charitables prêtes à l'accueillir.

Donc, il se présente pendant la semaine, quand il sait mon mari absent, et me baise toute la nuit, tandis que je proteste en disant que je suis mariée et fidèle, et que je ne mange pas de ce pain-là. Il sait que je le désire, je sais que je le veux, mais c'est notre petit jeu qui pimente nos ébats. Qui ne voudrait pas d'un tel amant? Je l'attends impatiemment, et je m'offre à lui totalement.

Cela a duré plusieurs mois. Il venait le soir, dînait avec moi, puis me baisait à m'en rendre folle jusque tard dans la matinée du lendemain. L'endurance de cet homme m'étonnait, sachant que je n'étais pas la seule à bénéficier de ses services. Il m'épuisait et me laissait pantelante. Mon mari aussi a profité de ma relation sexuelle avec Omar. Lorsque Thomas était à la maison, je ne pouvais rien lui refuser, et j'étais extrêmement gentille avec lui. Jamais je ne me suis inquiétée de savoir s'il pouvait être vu en entrant ou en sortant de chez moi.

Un samedi, mon mari l'attendait, mais Omar n'est pas venu. Cet après-midi-là, mon mari était allé au bar du village, et il a apprit qu'Omar était décédé la veille d'une crise cardiaque. Il était chez une dame à qui il rendait de menus services. C'était une jeune dame qui habitait seule à l'extérieur du village. Elle a appelé du secours quand il a fait un malaise. L'histoire raconte que les secours l'ont trouvé nu dans le lit de la jeune femme. Elle n'avait pas eu la force de le rhabiller avant l'arrivée du médecin.

Mon mari est persuadé qu'Omar n'avait pas plusieurs maîtresses, et qu'il se vantait en racontant ses exploits. D'ailleurs, je l'ai un peu encouragé à avoir cette opinion. Mais la grosse bite noire d'Omar me manque, et me manquera longtemps.

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