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Rainett
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C'est à la déchèterie, en jetant des encombrants, que j'ai trouvé ce cahier d'écolier. Je l'ai feuilleté par curiosité et j'ai découvert que c'était le journal intime d'une dame. Intrigué et captivé, j'ai eu l'indiscrétion de dissimuler le précieux document dans mon blouson pour le rapporter chez moi.

En le lisant, je me suis aperçu qu'il contenait beaucoup de sujets différents, allant de la liste des courses à son emploi du temps, jusqu'à un chapitre qui m'a particulièrement intrigué. La découverte pour cette dame du plaisir sexuel dans l'adultère et le mensonge.

J'ai voulu réécrire ce chapitre en le romançant, afin de partager avec vous cette expérience charnelle d'une dame mariée qui découvre dans la fleur de l'âge le plaisir que peut lui procurer le gros sexe d'un africain. Dorénavant, je laisse la parole à cette dame.

D'abord, pour préciser ma position, je n'ai jamais envisagé l'infidélité ou l'échangisme dans le mariage. Laisser des partenaires sexuels entrer dans votre couple est une absurdité qui mène à la catastrophe. L'humain est fait pour vivre en couple, pas en troupeau ou chacun copule avec qui lui plaît. Ça, c'était ma position il y a moins d'un an. Depuis ...

Sachez aussi que j'adore mon mari, et que je ne voudrais jamais lui faire de mal de quelque manière que ce soit. Il y a deux ans, à la suite de la crise du Covid, et à l'approche de la quarantaine, nous avons décidé de quitter la ville pour nous installer à la campagne. Le télétravail m'offre la possibilité de travailler depuis chez moi souvent, et mon mari est commercial, donc il passe beaucoup de temps sur les routes, en déplacement.

N'ayant pas eu d'enfant, je ne suis pas trop mal conservée, à en juger par le regard des autres, hommes ou femmes que je croise dans les lieux publics. Même si je suis très à l'aise avec mon corps et que je ne cherche pas à le cacher, je ne l'exhibe pas non plus dans des tenues très sexy.

Nous avons cherché et trouvé la perle rare dans un petit village. C'était une vieille maison, et même si elle était habitable, elle nécessitait beaucoup de travaux. Nous avons emménagé et nous avons répertorié un planning des urgences, pour ce que nous devrions faire en premier.

Nous avons rendu la maison acceptable et nous avons fait la connaissance de quelques voisins, pour la plupart des personnes âgées. Nous avons apporté quelques améliorations, mais la liste de nos besoins et envies était encore très longue, et le temps imparti pour cela était trop court. Nous ne travaillions sur ce chantier que le week-end, la motivation commençait à manquer, les travaux s'éternisaient, il nous fallait de l'aide pour effectuer les nombreuses réparations.

Un jour, mon mari, Thomas, est revenu du magasin de bricolage en me disant qu'on lui avait recommandé un gars à la retraite, qui améliorait ses fins de mois en rendant de menus services à droite ou à gauche. C'était un ancien professionnel du bâtiment qui connaissait bien son affaire, et qui avait une bonne réputation. Ce type, prénommé Omar, était un vieil africain qui habitait près de chez nous.

Le samedi suivant, Omar est venu à la maison. Nous avons fait les présentations et c'était un type sympa. Omar était à la fois très grand et très maigre, un homme costaud mais sec, sans être très musclé, mais formé par une vie de travail manuel. Je savais qu'il avant plus de 60 ans, et je m'inquiétais du fait qu'il semblait trop vieux pour les travaux les plus pénibles. Omar n'était pas très rapide, mais il ne prenait pas de pause et travaillait dur jusque tard dans la soirée.

Je leur ai servi le déjeuner et des boissons pendant toute la journée. C'était le début de l'été et la chaleur était encore supportable, mais c'était quand même un travail pénible. Le dimanche soir, en faisant le point avec Thomas, je lui ai dit à quel point j'étais impressionnée par le travail dont était capable un si vieil homme. Thomas m'a avoué qu'Omar avait plus d'endurance que lui, et qu'il lui était reconnaissant d'avoir fait tant de choses.

Le week-end suivant, Omar s'est présenté tôt le samedi matin et s'est immédiatement mis au travail. Thomas était sur un salon, et donc absent le samedi. À l'heure du déjeuner, j'ai préparé le repas pour Omar et moi, et nous avons mangé ensemble. Il a préféré manger sous le porche arrière, car il craignait la climatisation. Omar était en jeans et comme il avait ôté sa chemise, j'ai remarqué qu'il était très musclé. Pendant que nous mangions, nous avons bavardé car je voulais mieux le connaître.

Omar avait 71 ans, et il était veuf. Sa femme était décédée il y a 5 ans des suites d'une longue maladie, et depuis il vivait seul. Une grande partie de son temps consistait à bricoler en rendant de menus services, plutôt que se distraire en faisant des rencontres. Omar avait emménagé dans ce village après que sa femme ait disparue, il ne connaissait donc pas grand monde.

Omar m'a prévenue qu'il devait partir tôt ce soir, mais qu'il serait de retour tôt ce dimanche comme prévu. Nous avons fini le déjeuner, et il est retourné à son travail. J'ai surpris son regard sur moi plusieurs fois dans l'après-midi, et même à 71 ans, j'ai réalisé qu'Omar était bien un mâle !

Effectivement, le dimanche, il était de retour tôt le matin. Il a raconté à mon mari que le samedi soir, il était à une partie de bingo pour essayer de faire une rencontre. J'ai trouvé amusant qu'il raconte cela à mon homme, et qu'il n'ait rien voulu me dire. Il semblerait qu'Omar n'avait plus de relation sentimentale depuis la mort de sa femme, et il espérait que le bingo puisse combler un vide.

J'ai laissé passer quelques semaines avant de dire à Omar que le meilleur moyen pour lui de trouver quelqu'un, c'était d'utiliser internet. Nous avons un ordinateur, et s'il avait besoin d'aide, je serais ravie de l'aider. Omar m'était sympathique et je pensais qu'il ne devait pas rester seul. En le voyant si vaillant au travail, je savais qu'il lui restait quelques belles années et qu'il pouvait rendre une femme heureuse.

Il ne connaissait rien des rencontres en ligne, alors je lui ai proposé de venir dîner mardi pour établir un profil. Il a accepté. Thomas sera en déplacement, donc nous pourrons passer du temps à rechercher un rendez-vous pour Omar.

Le mardi, il est arrivé pile à l'heure. Il semblait différent, plus décontracté, en short et chemisette. Plus détendu que lorsqu'il venait travailler le week-end. Je lui ai offert une bière, et il a accepté avec plaisir. Nous nous sommes mis à remplir son profil sur un site de rencontres. En plus de lui poser des questions pour le profil, j'en ai profité pour en apprendre un peu plus sur lui.

Il était resté marié avec la même femme toute sa vie et, plus nous buvions de bières, plus il me racontait d'anecdotes. Jusqu'à ce qu'elle tombe malade, ils avaient beaucoup d'activité sexuelle. Ils avaient eu des rapports passionnés tous les soirs, et maintenant cela lui manquait. Elle a souffert énormément les 4 dernières années de sa vie, et elle est morte depuis 5 ans maintenant, donc il est resté privé de sexe pendant presque 9 années.

Je lui ai posé des questions sur d'éventuelles rencontres et, comme il continuait de boire bière sur bière, il était tout à fait disposé à révéler. Je ne me rappelle pas lui avoir demandé, mais je buvais presque autant de bières que lui, alors j'étais très intéressée par ses confidences, même si je rougissais en écoutant quelques récits scabreux. Il m'a dit qu'il avait connu quelques bonnes fortunes, même s'il lui avait fallu une bonne année pour se remettre de son veuvage.

Ensuite, une fois qu'il s'est résolu à se remettre sur le marché, il s'est aperçu que ce n'était pas si facile. Notre communauté est majoritairement blanche, et parmi les femmes seules dans la soixantaine, bien peu souhaitent avoir des relations sexuelles, surtout avec un noir. Il en avait quand même rencontré quelques-unes, mais lorsqu'elles avaient jeté un coup d'œil sur son Popaul (comme il l'appelait), elles avaient tourné les talons.

Nous en sommes à notre énième bière, il est presque 22 heures quand il m'a dit ça, et je me suis mise à rire. J'ai pensé que je ne pourrais plus jamais m'arrêter de rire. Il me regardait avec des yeux ronds, sans comprendre pourquoi je riais, alors je lui ai demandé :

« Qu'est-ce qui ne va pas avec ton Popaul? Il est tout tordu, ou quoi? » Ce n'est qu'une fois que ces mots sont sortis de ma bouche que j'ai réalisé que je n'aurais pas dû dire ça, mais c'était trop tard.

Omar a souri tristement, puis il s'est levé et il s'est dégrafé pour me montrer. Il a baissé son short, il ne portait pas de slip :

« Tu vois, il est juste un peu trop gros, je suppose qu'elles ont cru que c'était trop épais pour elles, et que cela pourrait être douloureux? »

Omar se tenait là devant moi, dans toute sa gloire, et il avait raison. Il était grand. Grand et gros. Et il n'était même pas dur. Je sais que mon visage a exhibé toutes les nuances de rouge pendant que je le contemplais. Je n'avais jamais vu un homme noir nu auparavant, et je n'avais jamais vu un engin de cette taille avant. Il se tenait à moins d'un mètre de moi, et je ne pouvais pas détacher mon regard :

« Putain ! » C'est tout ce que j'ai trouvé à dire. Et je l'ai dit à voix haute !

Cette bite pendait mollement, mais plus épaisse et plus longue que ce que j'avais vu avant. Cette bite était incroyable. Sa bite était d'un noir de jais, encore plus sombre que la peau d'Omar. Il n'était pas aussi noir que son sexe. Voyant que j'étais captivée, il l'a caressé un peu et m'a dit :

« Tu vois, quand il se dresse, il devient dur, et il grossi, donc je pense que c'est cela qui les a effrayées même si j'ai essayé de leur expliquer que tout irait bien, que ma femme l'adorait et que nous l'avions fait tous les jours » Et pendant qu'il m'expliquait cela, il se caressait et son sexe se redressait en commençant à grandir.

J'ai commencé à bredouiller en tentant de lui expliquer ce qui les effrayait, qu'il n'existait sûrement pas beaucoup d'hommes équipés comme lui, que moi en tout cas je n'en connaissais pas. Aussitôt, j'ai regretté mes paroles en voyant cette lueur s'allumer dans son œil :

« Même pas ton mari, Bérengère? » Puis, voyant mon embarras : « Oh, je suis désolé Bérengère, je ne voulais pas dire cela »

Mais le mal était fait. Sa queue qu'il continuait de caresser grossissait, j'avais la bouche sèche, et quand il a remonté son short, sa bite s'est brusquement dressée comme si elle refusait d'être enfermée en présence d'une femme. Mes yeux n'ont pas pu quitter sa queue pendant tout le temps où elle était visible, et une fois qu'il a été couvert, je me suis secouée et je l'ai regardé :

« Oh, ça va, ça doit être toute cette bière que j'ai bue, ne t'inquiètes-tu pas pour ça »

Ce fut un instant un peu gênant, puis Omar m'a dit qu'il devait rentrer et s'est dirigé vers la porte. En le voyant partir, je lui ai dit de revenir dîner le lendemain soir pour voir si son profil a eut du succès. Il s'est juste retourné, m'a souri et il est parti.

À quoi pensais-je en l'invitant de nouveau, alors que Thomas était absent? Cette nuit-là, impossible de me sortir cette bite monstrueuse de l'esprit. J'avais connu d'autres hommes avant Thomas et je n'étais pas une oie blanche. Mais aucun n'avait d'équipement comparable à celui d'Omar. La plupart, en pleine érection, étaient plus petits que celui d'Omar au repos.

Bon sang, aucun n'était comparable, et même si je ne l'avais pas vu en pleine érection, je l'imaginais, ce qui est encore pire. Je pouvais comprendre que certaines femmes soient effrayées et qu'elles puissent redouter la souffrance. Mais moi, si j'avais peur, ce n'était pas de souffrir, c'était de succomber. J'étais émoustillée, avec des papillons dans le ventre et la chatte frémissante.

Pourquoi ai-je cette pensée dans mon esprit? Je n'ai jamais envisagé de tromper mon mari, ni avec un blanc, ni avec un noir, même si je n'ai rien contre eux. Mais Omar, waouh ! En pensant à son énorme bite, mes doigts agiles m'ont emmenée vers l'orgasme le plus intense que j'ai connu depuis des mois !

Le lendemain, mes pensées étaient tourmentées par l'image de ce monstrueux sexe. Je n'arrivais tout simplement pas à penser à autre chose. J'ai essayé de m'occuper l'esprit en faisant mon ménage, puis en bricolant, puis en allant me promener, mais mes pensées revenaient toujours au point de départ. La journée allait se terminer et Omar allait revenir. Omar et son énorme bite. J'ai préparé le dîner en me demandant s'il aurait le culot de venir, sachant qu'il était probablement aussi embarrassé que moi.

À 18 heures, il est arrivé, et cette fois il avait apporté de la bière, en disant que puisque je préparais le dîner, il pensait qu'il devrait apporter quelque chose. Je n'ai pas réfléchi en me demandant ce que ce cadeau cachait, et s'il pouvait y avoir une arrière-pensée, comme s'il espérait me faire boire pour profiter de moi. Nous avons mangé et nous nous sommes installés devant l'ordinateur. Je lui ai montré comment l'utiliser, et je l'ai regardé rechercher des femmes dans la base de données.

J'étais assise à côté de lui devant la table de la cuisine pendant que nous regardions tous les deux l'ordinateur. Je buvais pas mal puisque je ne faisais rien pendant qu'il explorait. Pour quelqu'un qui n'a jamais utilisé un ordinateur, il a rapidement compris. Il a cherché des femmes de son âge mais il n'y en avait pas beaucoup. Et ce que j'ai appris, c'est qu'Omar avait un attrait pour les femmes blanches.

Nous avons ri de quelques profils, et je me moquais de lui lorsqu'il pensait avoir déniché la perle rare. Je buvais de plus en plus à mesure que nous plaisantions. Ne trouvant pas ce qu'il espérait dans la catégorie des 50-60 ans, Omar recherchait maintenant des femmes entre 40 et 50 ans. J'ai dit en badinant que des femmes plus jeunes auraient plus d'intérêt pour son Popaul que les femmes plus âgées.

Il m'a regardé et m'a demandé : « Tu le penses sérieusement? »

J'ai dit : « Oui, j'imagine que oui, les femmes dans la fleur de l'âge ont plus de besoins que les femmes plus âgées, peut-être devrais-tu chercher une femme plus jeune, je suis certaine que tu pourrais rendre une jeune femme très heureuse avec cette bite »

J'étais pompette à présent, ce qui n'était pas rare, mais je ne me sentais pas en danger puisque j'étais chez moi, avec un ami, et que nous plaisantions beaucoup. Et comme j'aime le sexe, et que j'aime plaisanter, les mots sont sortis de ma bouche sans que j'y prenne garde. Il était de toute évidence très intéressé par les photos des femmes blanches plus jeunes, et il sollicitait mon avis :

« Pourquoi, toi qui es jeune, pourquoi une femme de ton âge préfèrerait mon Popaul, même s'il est un peu gros, et qu'a-t-il de si étrange? »

Parfaitement détendue, parce que notre conversation était amicale et indulgente, qu'il n'y avait plus d'embarras, j'ai répondu : « Omar, très peu d'hommes ont quelque chose de comparable à ce que tu caches dans ton pantalon. Il y a des femmes qui en ont peur, et d'autres qui aiment les pénis plus gros. Moi-même, je n'en ai jamais utilisé, donc je ne suis pas un bon exemple, mais je connais des femmes qui recherchent un homme aussi bien doté »

Cette conversation m'excitait tellement que c'était tout ce que je pouvais faire pour ne pas lui demander de me montrer sa grosse bite. J'ai fait un mouvement pour attraper d'autres bières, me levant et tournant en même temps, dans mon état d'ivresse j'ai perdu l'équilibre, et je me suis étalée de tout mon long. J'ai eu un fou-rire en pensant à quel point c'était ridicule, et à quel point je devais avoir l'air stupide, allongée parterre comme une ivrogne.

Omar m'a aidé à me relever. Il était si grand, me dominant lorsqu'il m'enlaçait parce que je vacillais. Accrochée à sa haute stature, je pensais que je n'avais plus besoin de bière, mais que j'avais besoin de sexe. De son sexe. Profitant du fait qu'il me tenait enlacée, ma main lui a massé l'entrejambe. J'ai senti sa bite, elle était énorme, bandait-il? Ivre, j'ai demandé :

« Omar, quelle est la taille de ta bite? »

Il m'a demandé : « Tu veux la revoir? »

« Bien sûr ! »

Omar m'a aidée à monter les escaliers jusqu'à ma chambre et m'a jetée sur le lit. Il m'a dit :

« Tu veux voir mon Popaul, je vais te le montrer, mais tu devras me filer un coup de main, ok? »

« Ok, bien entendu ! » J'ai répondu. Ivre, je n'ai pas compris l'allusion. Je voulais seulement revoir son Popaul, je n'ai vraiment pas pensé ce à quoi je m'engageais. Je l'ai regardé enlever sa chemise, admiré son torse si musclé pour un homme de son âge, puis il a enlevé son short et s'est tenu nu devant moi. Il a lentement caressé sa bite, et voyant qu'elle commençait à grandir, il s'est approché de moi en me disant :

« Si c'est toi qui le caresse, il grandira beaucoup plus vite »

J'ai posé mes mains dessus et je l'ai caressé, le faisant devenir plus dur, plus épais et plus long. Je voyais son gland se découvrir au fur et à mesure que sa bite grandissait. Mes yeux étaient fascinés par cette grosse bite noire dans mes petites mains blanches. Omar s'est encore approché, et bientôt sa queue était proche de ma bouche lorsqu'il m'a demandé de le sucer. J'ai léché la petite goutte qui perlait du méat, la petite goutte au goût âcre et salé.

Je me demandais comment quelqu'un pourrait sucer une bite de ce diamètre. J'ai aimé sucer la bite plus jeune, j'ai aimé la sentir grossir dans ma bouche, j'ai apprécié le satiné de la peau. Mais j'ai surtout aimé le pouvoir que détenait ma bouche de donner du plaisir à un homme, et la puissance que cela me conférait pour dominer et subjuguer mon partenaire.

Sucer une bite, en sachant tout cela, me faisait toujours mouiller, c'est tellement excitant de faire jouir un mec. Mais en regardant cette énorme bite noire devant moi, je savais que je ne serais jamais capable de la sucer correctement. Non pas que je n'allais pas essayer, mais elle était beaucoup trop grosse pour entrer dans ma petite bouche.

Avec la bite de mon mari, je savais que je pouvais prendre les deux tiers, parfois un peu plus, et avec les gars qui l'avaient précédé, je faisais ce qu'il fallait pour faire plaisir aux gars. Mais cette fois, le gland est si gros, et la tige si épaisse, que je savais que je ne pourrais pas la mettre dans ma bouche.

Bouche grande ouverte, je léchais le gland en tentant de sucer ce que je pouvais. Ma langue tourbillonnait autour de son énorme gland violacé, et je faisais de mon mieux pour sucer ce que je pouvais. Mes mains caressaient lentement son énorme poteau pendant que je le suçais. Il était très long et anormalement épais. Ma main ne parvenait pas à en faire le tour. Mon esprit était confus pendant que je suçais sa bite. Que dirait mon mari s'il me trouvait dans cette position, et comment j'avais pu me fourrer dans un tel guêpier?

Pendant que je suçais sa bite intimidante, il jouait avec mes seins, malaxant mes globes laiteux et triturant mes tétons durcis à travers mon sweater sexy. Sa queue était maintenant tendue comme un arc, alors il l'a retirée de ma bouche, me laissant frustrée.

« Donc, tu n'as jamais joué avec une grosse bite comme celle-là auparavant? Jamais? Tu vas adorer ! Allonge-toi sur le dos, je vais te faire du bien ! »

Avant que je puisse esquisser le moindre geste, il m'avait repoussée sur le lit et baissait mon short. Il tenait mes jambes écartées, et doigtait ma chatte très humide. Il a demandé :

« Qu'est-ce que tu caches sous tes poils pubiens? »

« Oh, c'est juste un petit tatouage en forme de cœur que je me suis fait faire quand j'étais jeune. Tu peux le voir? » J'ai répondu sans réfléchir, puis j'ai réalisé qu'il était maintenant en train de me lécher la chatte et le clitoris. Je me suis arquée, sa langue était si énergique, me faisant frissonner sous son attaque. Si près du but, alors que je me sentais chavirer, il s'est arrêté.

Rainett
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